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- Reine MargotDemi-dieu
Docteur OX a écrit:Olympias a écrit:Bravo aussi, ils n'ont aucune conscience de ce qu'ils font, de la gravité des conséquences. Une gamine a eu l'intestin grêle perforé à cause d'un coup de pied. Il y a eu des sanctions (heureusement). Après, certains gamins s'autopersuadent que l'intentionnel est devenu accidentel et, une fois qu'ils sont dans le déni, difficile de les faire revenir en arrière malgré l'évidence des preuves.
C'est tout à fait ça. Tout devient conflictuel dès la moindre discussion. Le but n'est pas de chercher la vérité mais... de sauver ""l'honneur"" (lequel ?, on se le demande) quitte à mentir jusqu'à l'absurde. On est sur une autre planète.
que des enfants nient avoir fait une bêtise et n'assument pas leurs actes n'est pas nouveau. le problème c'est que maintenant les adultes rentrent dans le jeu du "c'est pas moi" et écoutent.
- abricotedapiExpert spécialisé
Même si les coups ne tuent pas, ils n'ont pas à être donnés... C'est cette banalisation qui me dérange personnellement. On doit apprendre aux enfants qu'on ne doit pas frapper les autres, même si ça ne tue pas.roxanne a écrit:Vous avez écrit que la malformation exonére le coupable.Or, ce qui a tué le petit, c'est cette malformation, non les coups.C'est tout de même important à dire. (je trouvais d'ailleurs que vraiment ce n'était pas de chance pour qu'un seul coup tue).
- roxanneOracle
Je pense qu'on leur apprend.Maintenant, est-ce pour autant qu'ils le font ?
Quant au bon vieux temps, sans violence, mon père se rappelle avec horreur de ses années d'internat dans un collège rural à la fin des années 50, où il ne mangeait que ce qui restait (quand il en restait)quand les plus forts, les plus grands s'étaient servis , et ce, dans l'indifférence complète des aultes..
Quant au bon vieux temps, sans violence, mon père se rappelle avec horreur de ses années d'internat dans un collège rural à la fin des années 50, où il ne mangeait que ce qui restait (quand il en restait)quand les plus forts, les plus grands s'étaient servis , et ce, dans l'indifférence complète des aultes..
- Invité20Habitué du forum
roxanne a écrit:Je pense qu'on leur apprend.Maintenant, est-ce pour autant qu'ils le font ?
Quant au bon vieux temps, sans violence, mon père se rappelle avec horreur de ses années d'internat dans un collège rural à la fin des années 50, où il ne mangeait que ce qui restait (quand il en restait)quand les plus forts, les plus grands s'étaient servis , et ce, dans l'indifférence complète des aultes..
Même expérience pour mon époux, élève interne de sixième, au début des années soixante, avec en outre obligation de se lever plus tôt pour cirer les chaussures des Troisièmes et de faire, en sus de ses propres devoirs, leurs devoirs à eux, sous la menace et les coups. Il est suffisamment discret pour ne pas s'étendre sur d'autres fonctions qu'il a peut-être eu à remplir en tant que moussaillon mais tout est possible. Je ne le saurai probablement jamais car mon époux n'est pas Marcela Yacub mais il n'y a pas de raisons pour que la violence des grands ne se soit pas étendue à d'autres sphères.
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