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- ClarinetteGrand Maître
Bonsoir,
La dernière édition du Club n'a pas vraiment fait recette; j'y vois deux raisons possibles : tout le monde est débordé, ou le récit de voyage n'a pas convaincu les littéraires purs et durs. Bref, à la demande de certains d'entre vous, je lance néanmoins le n°9 : nous lirons cette fois-ci du théâtre, ce qui devrait faire plaisir à MrB.
Connaissant assez peu ce genre à part les classiques incontournables, je vous laisse faire vos propositions, mais j'en ai quelques-unes up my sleeve en cas de besoin.
La dernière édition du Club n'a pas vraiment fait recette; j'y vois deux raisons possibles : tout le monde est débordé, ou le récit de voyage n'a pas convaincu les littéraires purs et durs. Bref, à la demande de certains d'entre vous, je lance néanmoins le n°9 : nous lirons cette fois-ci du théâtre, ce qui devrait faire plaisir à MrB.
Connaissant assez peu ce genre à part les classiques incontournables, je vous laisse faire vos propositions, mais j'en ai quelques-unes up my sleeve en cas de besoin.
- JPhMMDemi-dieu
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Labyrinthe où l'admiration des ignorants et des idiots qui prennent pour savoir profond tout ce qu'ils n'entendent pas, les a retenus, bon gré malgré qu'ils en eussent. — John Locke
Je crois que je ne crois en rien. Mais j'ai des doutes. — Jacques Goimard
- ClarinetteGrand Maître
J'adore le théâtre contemporain !
- User7674Érudit
Je passe mon tour pour le théâtre : je n'ai pas fini le Bouvier, et on m'a prêté plusieurs livres que je veux lire rapidement. Mais je lirai vos propositions et vos compte-rendus avec intérêt !
- MalagaModérateur
Je n'ai pas lu le Bouvier qui ne m'a vraiment pas motivée. En revanche, le théâtre, ça me plait bien. Je n'ai pas de titre à proposer (n'ayant pas lu une pièce de théâtre depuis le collège et les pièces de Molière) mais je participerai au club.
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J'utilise des satellites coûtant plusieurs millions de dollars pour chercher des boîtes Tupperware dans la forêt ; et toi, c'est quoi ton hobby ?
- OudemiaBon génie
Malaga, au moins une fois aussi Corneille, Racine et Hugo quand même?
J'hésite beaucoup justement pour ne pas proposer un texte qui ramène trop sur les bancs de l'institution...
Il y a des trésors dans le théâtre du XVIIIe, il faut que je voie ce qui se trouve facilement en dehors des deux tomes de La Pléïade.
C'est souvent très court, donc lu rapidement, et ça peut être une découverte.
J'hésite beaucoup justement pour ne pas proposer un texte qui ramène trop sur les bancs de l'institution...
Il y a des trésors dans le théâtre du XVIIIe, il faut que je voie ce qui se trouve facilement en dehors des deux tomes de La Pléïade.
C'est souvent très court, donc lu rapidement, et ça peut être une découverte.
- miss sophieExpert spécialisé
C'est la première fois que je participe ; le théâtre, je devrais pouvoir l'intercaler avec mes lectures en cours...
Aux grands auteurs cités plus haut j'ajouterais Shakespeare.
Sinon je peux proposer des titres d’œuvres que j'ai lues il y a longtemps, du temps où j'étais étudiante, et que j'avais appréciées (je tiens une liste!) mais je ne sais plus du tout pourquoi ni de quoi elles parlent... Les résumés sont donc tirés d'internet.
L'inconnue d'Arras d'Armand Salacrou (1935)
"Cette pièce d’Armand Salacroux, représentée pour la première fois en 1935, s'ouvre sur l’agonie d'un homme, Ulysse, qui vient de se suicider. Pendant la minute qui s’écoule entre le moment où il tire son coup de revolver et celui où il expire, il va revoir toute sa vie. C’est cette minute qui constitue la pièce. Trois actes où cet homme reçoit la visite de certains souvenirs : son père, son grand-père, son proviseur, les femmes qui ont marqué sa vie comme Madeleine, Yette, l’Inconnue d’Arras, Yolande. Armand Salacroux s’adresse à l’angoisse du mourant et de la mort et s’en amuse tranquillement. Une déconstruction et une chute dans la mémoire, la fuite innocente et naïve d’un homme dans le souvenir de ses vingt ans, des premières luttes et de ces femmes fugitives, éphémères et obsédantes. Cette pièce est un intervalle de temps entre deux détonations, deux coups de feu mortels et cet intervalle se veut délire mortuaire, défilé inconcevable, intimité retrouvé par morceaux émouvants et inquiétants, ombres et silhouettes de femmes aimées ou délaissées."
http://www.theatredescrescite.com/l-inconnue-d-arras/
Le rendez-vous de Senlis de Jean Anouilh (1939)
"Las de la vie qu'il mène auprès d'Henriette, une épouse trop riche, dans un milieu corrompu, conscient d'avoir manqué aux promesses qu'il s'était faites, Georges va tenter de s'offrir, pour un soir, la comédie de l'existence dont il rêve. Mécontent du réel, il se donne un passé synthétique, celui qu'il aurait voulu avoir. C’est qu’il a rencontré une pure jeune fille, Isabelle ; le naïf amour qu'il lui a inspiré et auquel il répond avec toute la sincérité dont il est capable, lui inspire à la fois honte et confiance. Redoutant de décevoir son amie, il lui dissimule sa véritable personnalité et recompose pour elle un édifiant tableau de sa jeunesse et de sa famille. Pour donner plus de réalité à son jeu, il loue une villa à Senlis, une vieille maison de province idéale par son charme désuet et paisible, et il engage un vrai maître d'hôtel qui jouera, contre une importante rémunération, un mensonge partiel(...)."
http://www.comptoirlitteraire.com/uploads/2007/06/anouilh_jean.doc
[i]La reconstitution[/i] de Bernard Noël (1988)
"On appelle cela une « bavure ». Après l’assassinat il est donc procédé à une reconstitution de laquelle doit en principe surgir la vérité des faits. Un Juge, un Tueur, une Victime, des Témoins. Mais de quoi se souvient-on quand on a vu ? Le pouvoir et la police sont aussi dans le regard."
(site P.O.L.)
L'importance d'être Constant d'Oscar Wilde (1895)
"Créée triomphalement en 1895, L'importance d'être constant est l'une des comédies les plus aristocratiques jamais écrites: ironie, mauvaise foi, pirouettes et non-sens y tiennent salon, pour le plus grand bonheur du spectateur. Sur une structure de drame bourgeois (mariage contrarié et enfant perdu), Oscar Wilde plaque un héros de roman, mais coupé en deux. A ma gauche, Jack Worthing, gentleman de province, richissime, mais orphelin. A ma droite, Algernon Moncrieff, le meilleur ami de Jack, londonien jusqu'au bout des ongles, d'excellente famille mais sans le sou. Pour fuir la campagne, Jack s'est inventé un frère londonien. Fatigué des mondanités, Algernon doit consoler un grand ami à l'agonie... une excellente excuse pour fuir la capitale.
A Londres, sous l'identité de son "frère" Ernest, Jack demande la main de la belle Gwendolen. Catastrophe: elle l'aime à la folie, charmée et éblouie par ce prénom à double sens. Doit-il lui dire la vérité? Etre "earnest" (sérieux, consciencieux, sincère, d'où, en français, le détour par "constant") ou rester Ernest, c'est-à-dire mentir? Le même malheur attend Algernon à la campagne, où la divine Cecily (la pupille de Jack) ne saurait épouser qu'un homme nommé Ernest."
http://www.lexpress.fr/culture/livre/l-importance-d-etre-constant-d-olivier-parker_808051.html
Quoat-Quoat de Jacques Audiberti (1946)
Le visiteur d'Eric-Emmanuel Schmitt (1993)
"Vienne 1938 : les nazis ont envahi l’Autriche et persécutent les juifs. Par optimisme, Sigmund Freud ne veut pas encore partir ; mais en ce soir d’Avril, la Gestapo emmène Anna, sa fille, pour l’interroger. Freud, désespéré, reçoit alors une étrange visite. Un homme en frac, dandy léger, cynique, entre par la fenêtre et tient d’incroyables discours...
Qui est-il ? Un fou ? Un magicien ? Un rêve de Freud ? Une projection de son inconscient ? Ou bien est-il vraiment celui qu’il prétend être : Dieu lui-même ?
Comme Freud, chacun décidera, en cette nuit folle et grave, qui est le visiteur..."
http://www.theatre-contemporain.net/spectacles/Le-Visiteur-2615/ensavoirplus/
La tour de la défense de Copi (1974)
"On pourrait croire que Copi s’est amusé à prendre des personnages de Boulevard américain psychologique : « un vaudeville moderne et déjanté dans un espace design fonctionnel et propre. Une tour des solitudes ». L’histoire se passe le 31 décembre 1977. Un couple d’homosexuels blasés, une jeune mère meurtrière, un travelo mythomane et Ahmed, beau comme Dieu lui-même, sont tassés dans un appartement moderne, au treizième étage d’une Tour de la Défense, en attendant la nouvelle année.
Une version loufoque de l’apocalypse, avec dégustation de serpent farci au rat, crash d’hélicoptère et incendie généralisé."
http://www.theatre-contemporain.net/spectacles/La-Tour-de-la-defense/ensavoirplus/
Aux grands auteurs cités plus haut j'ajouterais Shakespeare.
Sinon je peux proposer des titres d’œuvres que j'ai lues il y a longtemps, du temps où j'étais étudiante, et que j'avais appréciées (je tiens une liste!) mais je ne sais plus du tout pourquoi ni de quoi elles parlent... Les résumés sont donc tirés d'internet.
L'inconnue d'Arras d'Armand Salacrou (1935)
"Cette pièce d’Armand Salacroux, représentée pour la première fois en 1935, s'ouvre sur l’agonie d'un homme, Ulysse, qui vient de se suicider. Pendant la minute qui s’écoule entre le moment où il tire son coup de revolver et celui où il expire, il va revoir toute sa vie. C’est cette minute qui constitue la pièce. Trois actes où cet homme reçoit la visite de certains souvenirs : son père, son grand-père, son proviseur, les femmes qui ont marqué sa vie comme Madeleine, Yette, l’Inconnue d’Arras, Yolande. Armand Salacroux s’adresse à l’angoisse du mourant et de la mort et s’en amuse tranquillement. Une déconstruction et une chute dans la mémoire, la fuite innocente et naïve d’un homme dans le souvenir de ses vingt ans, des premières luttes et de ces femmes fugitives, éphémères et obsédantes. Cette pièce est un intervalle de temps entre deux détonations, deux coups de feu mortels et cet intervalle se veut délire mortuaire, défilé inconcevable, intimité retrouvé par morceaux émouvants et inquiétants, ombres et silhouettes de femmes aimées ou délaissées."
http://www.theatredescrescite.com/l-inconnue-d-arras/
Le rendez-vous de Senlis de Jean Anouilh (1939)
"Las de la vie qu'il mène auprès d'Henriette, une épouse trop riche, dans un milieu corrompu, conscient d'avoir manqué aux promesses qu'il s'était faites, Georges va tenter de s'offrir, pour un soir, la comédie de l'existence dont il rêve. Mécontent du réel, il se donne un passé synthétique, celui qu'il aurait voulu avoir. C’est qu’il a rencontré une pure jeune fille, Isabelle ; le naïf amour qu'il lui a inspiré et auquel il répond avec toute la sincérité dont il est capable, lui inspire à la fois honte et confiance. Redoutant de décevoir son amie, il lui dissimule sa véritable personnalité et recompose pour elle un édifiant tableau de sa jeunesse et de sa famille. Pour donner plus de réalité à son jeu, il loue une villa à Senlis, une vieille maison de province idéale par son charme désuet et paisible, et il engage un vrai maître d'hôtel qui jouera, contre une importante rémunération, un mensonge partiel(...)."
http://www.comptoirlitteraire.com/uploads/2007/06/anouilh_jean.doc
[i]La reconstitution[/i] de Bernard Noël (1988)
"On appelle cela une « bavure ». Après l’assassinat il est donc procédé à une reconstitution de laquelle doit en principe surgir la vérité des faits. Un Juge, un Tueur, une Victime, des Témoins. Mais de quoi se souvient-on quand on a vu ? Le pouvoir et la police sont aussi dans le regard."
(site P.O.L.)
L'importance d'être Constant d'Oscar Wilde (1895)
"Créée triomphalement en 1895, L'importance d'être constant est l'une des comédies les plus aristocratiques jamais écrites: ironie, mauvaise foi, pirouettes et non-sens y tiennent salon, pour le plus grand bonheur du spectateur. Sur une structure de drame bourgeois (mariage contrarié et enfant perdu), Oscar Wilde plaque un héros de roman, mais coupé en deux. A ma gauche, Jack Worthing, gentleman de province, richissime, mais orphelin. A ma droite, Algernon Moncrieff, le meilleur ami de Jack, londonien jusqu'au bout des ongles, d'excellente famille mais sans le sou. Pour fuir la campagne, Jack s'est inventé un frère londonien. Fatigué des mondanités, Algernon doit consoler un grand ami à l'agonie... une excellente excuse pour fuir la capitale.
A Londres, sous l'identité de son "frère" Ernest, Jack demande la main de la belle Gwendolen. Catastrophe: elle l'aime à la folie, charmée et éblouie par ce prénom à double sens. Doit-il lui dire la vérité? Etre "earnest" (sérieux, consciencieux, sincère, d'où, en français, le détour par "constant") ou rester Ernest, c'est-à-dire mentir? Le même malheur attend Algernon à la campagne, où la divine Cecily (la pupille de Jack) ne saurait épouser qu'un homme nommé Ernest."
http://www.lexpress.fr/culture/livre/l-importance-d-etre-constant-d-olivier-parker_808051.html
Quoat-Quoat de Jacques Audiberti (1946)
Le visiteur d'Eric-Emmanuel Schmitt (1993)
"Vienne 1938 : les nazis ont envahi l’Autriche et persécutent les juifs. Par optimisme, Sigmund Freud ne veut pas encore partir ; mais en ce soir d’Avril, la Gestapo emmène Anna, sa fille, pour l’interroger. Freud, désespéré, reçoit alors une étrange visite. Un homme en frac, dandy léger, cynique, entre par la fenêtre et tient d’incroyables discours...
Qui est-il ? Un fou ? Un magicien ? Un rêve de Freud ? Une projection de son inconscient ? Ou bien est-il vraiment celui qu’il prétend être : Dieu lui-même ?
Comme Freud, chacun décidera, en cette nuit folle et grave, qui est le visiteur..."
http://www.theatre-contemporain.net/spectacles/Le-Visiteur-2615/ensavoirplus/
La tour de la défense de Copi (1974)
"On pourrait croire que Copi s’est amusé à prendre des personnages de Boulevard américain psychologique : « un vaudeville moderne et déjanté dans un espace design fonctionnel et propre. Une tour des solitudes ». L’histoire se passe le 31 décembre 1977. Un couple d’homosexuels blasés, une jeune mère meurtrière, un travelo mythomane et Ahmed, beau comme Dieu lui-même, sont tassés dans un appartement moderne, au treizième étage d’une Tour de la Défense, en attendant la nouvelle année.
Une version loufoque de l’apocalypse, avec dégustation de serpent farci au rat, crash d’hélicoptère et incendie généralisé."
http://www.theatre-contemporain.net/spectacles/La-Tour-de-la-defense/ensavoirplus/
- JPhMMDemi-dieu
Clarinette a écrit:J'adore le théâtre contemporain !
En fait, suite à un certain topic, je voulais proposer "Le Bouc" de Fassbinder, mais après vérification j'ai découvert qu'il est introuvable.
Alors j'ai choisi Plaute. Va savoir pourquoi...
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Labyrinthe où l'admiration des ignorants et des idiots qui prennent pour savoir profond tout ce qu'ils n'entendent pas, les a retenus, bon gré malgré qu'ils en eussent. — John Locke
Je crois que je ne crois en rien. Mais j'ai des doutes. — Jacques Goimard
- LédisséEsprit sacré
Pas d'idée là-maintenant-tout-de-suite, je réfléchis, mais Clari, si je suis en retard pour Bouvier, c'est en cours, et je viendrai dans quelques jours poster mon avis... (je le trouve très prenant !)
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Life is what happens to you while you're making other plans. John Lennon
Life is not governed by will or intention. Life is a question of nerves, and fibres, and slowly built-up cells in which thought hides itself and passion has its dreams. Oscar Wilde
Bien que femme, je me suis permis_ / demandé_ / rendu_ compte / fait_ désirer... etc._
- MrBrightsideEmpereur
Rha, mais c'est nul!!!! Aucun des auteurs (Hansberry, Parks, Shepard, Pinero...) que je voulais (faire) lire n'est traduit en Français! :'( Ils ont arrêté de traduire le théâtre américain après Miller et Williams?? :shock: Même O'Neill est hors de prix sur amzon... Grmblgr!
Aucune proposition à faire du coup de mon côté, je lirais ce que vous proposez.
Aucune proposition à faire du coup de mon côté, je lirais ce que vous proposez.
- Mona Lisa KlaxonEsprit éclairé
On trouve Le Bouc de Fassbinder, avec Liberté à Brême notamment, à l'Arche:
http://www.amazon.fr/Larmes-am%C3%A8res-Petra-Libert%C3%A9-Br%C3%AAme/dp/2851817728
Je vais peut-être m'associer cette fois...
Je pensais à Lagarce (mais les ex agrégatifs vont me maudire!) ou Bonal pour le contemporain...
http://www.amazon.fr/Larmes-am%C3%A8res-Petra-Libert%C3%A9-Br%C3%AAme/dp/2851817728
Je vais peut-être m'associer cette fois...
Je pensais à Lagarce (mais les ex agrégatifs vont me maudire!) ou Bonal pour le contemporain...
- JPhMMDemi-dieu
Merci MLK
Donc je change : "Le Bouc", Fassbinder.
Donc je change : "Le Bouc", Fassbinder.
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Je crois que je ne crois en rien. Mais j'ai des doutes. — Jacques Goimard
- cariboucGuide spirituel
Je dirais les 2, mon capitaineClarinette a écrit:Bonsoir,
La dernière édition du Club n'a pas vraiment fait recette; j'y vois deux raisons possibles : tout le monde est débordé, ou le récit de voyage n'a pas convaincu les littéraires purs et durs. Bref, à la demande de certains d'entre vous, je lance néanmoins le n°9 : nous lirons cette fois-ci du théâtre, ce qui devrait faire plaisir à MrB.
Connaissant assez peu ce genre à part les classiques incontournables, je vous laisse faire vos propositions, mais j'en ai quelques-unes up my sleeve en cas de besoin.
Snif, c'est pas encore ces hiver et printemps que je vais pouvoir lire les bouquins du Néo club
EDIT : et tout de même, si vous aimez le théâtre contemporain, je vous propose 2 pièces que j'ai beaucoup aimées sur les affres de l'amitié :
Art de Yasmina Reza : Marc a acheté un tableau moderne et cherche l'approbation de ses 2 amis. Les trois hommes ayant des goûts fort différents, cette approbation ne vient pas et va révéler des dissensions entre eux, au point de mettre leur amitié en péril.
Pour un oui ou pour un non de Nathalie Sarraute : (résumé d'Amazon, je suis flemmarde sur ce coup) : H1 et H2 ont une discussion, franche et ouverte. C'est le dialogue de deux amis qui se connaissent de longue date, cultivent l'amitié et les souvenirs. Une conversation de bon aloi, si ce n'était cette goutte de venin qui dégrade rapidement l'atmosphère chaleureuse de leur tête-à-tête. C'est que l'un reproche à l'autre des paroles malheureuses, se sent blessé, remet en cause l'estime affectueuse qu'ils semblaient partager... Car H1 a dit, avant que la pièce commence : " C'est bien... ça... " Et ces quelques mots font l'effet d'une tornade...
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"J'adore parler de rien : c'est le seul domaine où j'ai de vagues connaissances" (O. Wilde)
- KakHabitué du forum
Pas de proposition à faire... je suis prête à toute découverte pourvu que le livre soit à ma bibliothèque municipale et soit dans une typographie adaptée pour presbytes!
- ClarinetteGrand Maître
Bon, je vous ai laissés tout seuls ce week-end, mais je vois que vous vous êtes fort bien débrouillés (bienvenue à Miss Sophie, nouveau membre de notre cénacle). Alors, normalement, c'est une proposition par tête de pipe, mais comme beaucoup d'entre nous ne proposent rien pour sortir des classiques, on va tolérer les multi-propositions. Récapitulons :
L'inconnue d'Arras - Armand Salacrou (1935)
Le rendez-vous de Senlis - Jean Anouilh (1939)
La reconstitution - Bernard Noël (1988)
L'importance d'être Constant - Oscar Wilde (1895)
Quoat-Quoat - Jacques Audiberti (1946)
Le visiteur - Eric-Emmanuel Schmitt (1993)
La tour de la défense - Copi (1974)
Le Soldat fanfaron - Plaute (205 av. JC) Non, ce n'est pas une blague ! :lol:
Le Bouc - Fassbinder (1969)
Art - Yasmina Reza
Pour un oui ou pour un non - Nathalie Sarraute
PS : bienvenue aussi à Mona Lisa, mais pourrais-tu nous proposer une œuvre précise ?
L'inconnue d'Arras - Armand Salacrou (1935)
Le rendez-vous de Senlis - Jean Anouilh (1939)
La reconstitution - Bernard Noël (1988)
L'importance d'être Constant - Oscar Wilde (1895)
Quoat-Quoat - Jacques Audiberti (1946)
Le visiteur - Eric-Emmanuel Schmitt (1993)
La tour de la défense - Copi (1974)
Le Soldat fanfaron - Plaute (205 av. JC) Non, ce n'est pas une blague ! :lol:
Le Bouc - Fassbinder (1969)
Art - Yasmina Reza
Pour un oui ou pour un non - Nathalie Sarraute
PS : bienvenue aussi à Mona Lisa, mais pourrais-tu nous proposer une œuvre précise ?
- JPhMMDemi-dieu
Bon ben alors je repropose aussi Le Soldat fanfaron, de Plaute, du coup.Clarinette a écrit:mais comme beaucoup d'entre nous ne proposent rien pour sortir des classiques, on va tolérer les multi-propositions.
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Je crois que je ne crois en rien. Mais j'ai des doutes. — Jacques Goimard
- ClarinetteGrand Maître
C'est un joke ou c'est for good ?
- JPhMMDemi-dieu
For good, of course.
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Je crois que je ne crois en rien. Mais j'ai des doutes. — Jacques Goimard
- ClarinetteGrand Maître
Ça roule mon poulet.
- JPhMMDemi-dieu
Le bouc, c'est 1969.
Le soldat fanfaron, c'est autour de 200 av JC, à la louche (205 av JC probablement).
Le soldat fanfaron, c'est autour de 200 av JC, à la louche (205 av JC probablement).
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- ClarinetteGrand Maître
Bien pris note.JPhMM a écrit:Le bouc, c'est 1969.
Le soldat fanfaron, c'est autour de 200 av JC, à la louche (205 av JC probablement).
- JPhMMDemi-dieu
Merci poulette.
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Je crois que je ne crois en rien. Mais j'ai des doutes. — Jacques Goimard
- FrisouilleEnchanteur
Clarinette a écrit:Bonsoir,
La dernière édition du Club n'a pas vraiment fait recette; j'y vois deux raisons possibles : tout le monde est débordé, ou le récit de voyage n'a pas convaincu les littéraires purs et durs. Bref, à la demande de certains d'entre vous, je lance néanmoins le n°9 : nous lirons cette fois-ci du théâtre, ce qui devrait faire plaisir à MrB.
Connaissant assez peu ce genre à part les classiques incontournables, je vous laisse faire vos propositions, mais j'en ai quelques-unes up my sleeve en cas de besoin.
Pour ma part le Bouvier m'intéressait mais c'est mal tombé : je possède l'édition complète (chez Bouquins ? , offert par un ami pour mon départ en Martinique mais je ne me voyais pas transporter mon gros livre en métropole durant les vacances de Noël. :aaw:
Puis je ne lis pas beaucoup en ce moment heureusement les vacances arrivent.
- JPhMMDemi-dieu
Euh...Frisouille a écrit:heureusement les vacances arrivent.
Oh *** encore 4 semaines !
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Je crois que je ne crois en rien. Mais j'ai des doutes. — Jacques Goimard
- ClarinetteGrand Maître
Frisouille, le Bouvier attendra, mais je te le conseille malgré tout.
JPh... je suis dans la dernière zone (enfin, je crois bien), et les vacances sont pour nous dans trois semaines...
JPh... je suis dans la dernière zone (enfin, je crois bien), et les vacances sont pour nous dans trois semaines...
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