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- JohnMédiateur
Vincent Feltesse sera le rapporteur du projet de loi :
http://www.letudiant.fr/educpros/nominations/vincent-feltesse-nomme-rapporteur-pour-le-projet-de-loi-sur-l-enseignement-superieur-et-la-recherche.html
http://www.letudiant.fr/educpros/nominations/vincent-feltesse-nomme-rapporteur-pour-le-projet-de-loi-sur-l-enseignement-superieur-et-la-recherche.html
Ancien enseignant à Sciences po Bordeaux, le député V. Feltesse a siégé au comité de suivi de la loi LRU.
Ce projet de loi sera présenté par Geneviève Fioraso, ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche, en conseil des ministres en mars 2013.
- CondorcetOracle
Grand bien lui fasse. Pendant ce temps, les perspectives de recrutement de l'ESR s'étiolent : aujourd'hui, elles sont encore pire que celles prévalant sous la majorité précédente (lesquelles s'étaient déjà considérablement affadies).
- Marcel KhrouchtchevEnchanteur
condorcet a écrit:Grand bien lui fasse. Pendant ce temps, les perspectives de recrutement de l'ESR s'étiolent : aujourd'hui, elles sont encore pire que celles prévalant sous la majorité précédente (lesquelles s'étaient déjà considérablement affadies).
L'autonomie des Universités n'y est-elle pas pour beaucoup? Dans mon Université, on nous a déjà prévenus: cette année, nous allons recruter en histoire nos derniers MCF et PR avant au moins 6-7 ans, malgré les départs à la retraite déjà prévus au cours de cette période La raison: l'Université est en déficit.
En plus de cela, les comités de sélection se réduisent très fortement: comme tous les laboratoires voient leurs budgets restreints à des niveaux ridicules (surtout en SHS), les Universités composent des comités de sélection de 8 personnes (car ça coûte cher de faire venir plus de 4 extérieurs), ce qui renforce considérablement le localisme... C'est à regretter les commissions de spécialistes.
- CondorcetOracle
L'autonomie y a sa part mais la volonté de la gauche de ne pas y mettre fin aussi malgré l'évidente course au court terme que cela induit. La gauche pâtit certes des effets déplorables de la LRU mais est comptable de son attentisme ou de son réformisme modéré. Je me rappelle encore comme si c'était hier l'absence de réponse du député PS de la circonscription aux demandes de soutien à la lutte contre la LRU (ou plutôt la promulgation des décrets visant à son application) : je comprends mieux aujourd'hui les raisons de son silence répété. M. Monthubert et Mme This Saint-Jean qui avaient présidé en leur temps Sauvons la Recherche occupent aujourd'hui de belles places et leurs velléités revendicatives en ont été à mon sens singulièrement amoindries.
- CondorcetOracle
Une mise au point de Sauvons l'université au sujet du projet de loi concernant l'ESR :
http://www.sauvonsluniversite.com/spip.php?article5925
http://www.sauvonsluniversite.com/spip.php?article5922
http://www.sauvonsluniversite.com/spip.php?article5925
LA L.R.U. JUSQU’À LA LIE ?
Après une dizaine d’années de réformes (pacte de la recherche en 2004, création de l’A.N.R et de l’A.E.R.E.S en 2006, loi L.R.U. en 2007, réforme des formations à l’enseignement – dite « mastérisation » – en 2008) imposées par les gouvernements successifs avec le soutien de la C.P.U mais contre l’avis de la majorité de la communauté universitaire, le gouvernement actuel a tenté de donner le spectacle de l’écoute et de la consultation lors des Assises de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche tenues à l’automne 2012. Les discours officiels ont même été jusqu’à pointer les défauts de démocratie au sein des nouvelles structures, les vices de la recherche sur projets, la faillite annoncée de la formation des enseignants (F.D.E), le gouffre abyssal de la question financière, l’illégitimité des formes de l’évaluation.
Pourtant, face à une « consultation » très contrôlée et très verrouillée, face aux nominations ministérielles qui avaient déjà largement récompensé celles et ceux qui avaient le mieux accompagné les réformes, et face aux refus du ministère de prendre les mesures d’urgence qui s’imposaient, c’est sans illusion que SLU a participé à ces Assises, tout au moins au niveau « national », le seul qui convienne à une politique universitaire de service public.
Aujourd’hui, le nouveau projet de loi, qu’il faut lire avec le rapport Le Déaut pour en comprendre les termes et les principes, dépasse toutes les craintes que nous pouvions avoir, d’autant plus qu’il s’agit comme nous l’ont dit MM. Fontanille et Houzel (lors de notre audition au M.E.S.R. le 31 janvier 2013), d’une « loi normale » qui n’est pas adossée à une loi de « de programmation » budgétaire. Non seulement ce projet de loi ne corrige pas, ne remédie pas, n’entend rien, mais il renforce encore les dispositifs législatifs qui ont conduit à la situation actuelle de faillite financière qui frappe la moitié des universités françaises, comme le montre notre comparatif point à point avec la L.R.U .
http://www.sauvonsluniversite.com/spip.php?article5922
- CondorcetOracle
Et la résistance à laquelle Sauvons l'Université :
Face à la gravité et à l’urgence de la situation, S.L.U. appelle à ce que tous les conseils, quels qu’ils soient, conseils centraux, conseils d’U.F.R., conseils de département, conseils de laboratoires, se saisissent des questions posées par la nouvelle loi de l’E.S.R. comme par la réforme de la F.D.E. (formation des enseignants) et fassent voter des motions pour faire entendre la voix des universitaires et des chercheurs. Comme en 2008-2009, le site de SLU regroupera et diffusera toutes les motions qui lui seront envoyées (et a d’ores et déjà commencé à le faire : motions de Paris III, Paris-X Nanterre, Université Paris-Est Créteil, 11e section du CNU….).
SLU appelle aussi à ne pas élaborer et à ne pas faire remonter les maquettes en vue de la réforme de la F.D.E. Nous savons depuis 2009 que nous pouvons bloquer une partie du processus en refusant d’y participer.
Enfin, nous vous appelons à relayer le plus largement possible cet appel auprès des collègues de toutes disciplines. Seul un mouvement d’ampleur nous permettra de peser sur notre avenir.
- philannDoyen
J'ai tendance à croire que la gauche a laissé la droite faire le sale boulot!
Il y a entente sur le fond depuis une quinzaine d'années. Voir sur ce point le soutien qu'avait apporté Lang à la réforme de Pécresse, qu'il ne trouvait critiquable qu'à la marge!!!
La REFORME et la MODERNISATION sont les deux mamelles de la sociale démocratie.
Il y a entente sur le fond depuis une quinzaine d'années. Voir sur ce point le soutien qu'avait apporté Lang à la réforme de Pécresse, qu'il ne trouvait critiquable qu'à la marge!!!
La REFORME et la MODERNISATION sont les deux mamelles de la sociale démocratie.
_________________
2014-2015: poste fixe dans les Hauts de Seine
2013-2014: certifiée stagiaire dans les Hauts de Seine
2011-2013: prof. contractuelle dans l'Essonne
- CondorcetOracle
http://www.sauvonsluniversite.com/spip.php?article5941
APPEL DE SLR et SLU à L’Assemblée Générale nationale du 18 février A TOUS LES PERSONNELS DE L’ENSEIGNEMENT SUPÉRIEUR ET DE LA RECHERCHE
Aujourd’hui la situation est grave et il y a urgence.
Les deux projets de loi sur la Formation des Enseignants et sur l’Enseignement Supérieur et la Recherche, pourraient, s’ils sont votés en l’état, entériner définitivement les logiques de précarisation, de pilotage autoritaire et d’affaiblissement des disciplines que la L.R.U., le passage aux R.C.E., le décret sur le statut des enseignants-chercheurs et la mastérisation avaient initiées.
Une fois ces textes votés, aucune majorité politique ne reviendra plus sur ces questions.
Encore faut-il nous faire entendre ! Encore faut-il agir !
C’est pourquoi Sauvons la Recherche et Sauvons L’Université ! appellent avec l’intersyndicale de l’E.S.R. à participer à
Une Assemblée Générale d’information et de mobilisation ouverte à tous les personnels de l’enseignement supérieur et de la recherche
Le lundi 18 février 2013, horaire à préciser
À Paris, (lieu précisé ultérieurement [1])
Pour dire ce que nous voulons !
La mobilisation, c’est maintenant ! Venez nombreux, nous comptons sur vous !
- CondorcetOracle
http://www.franceculture.fr/2013-02-05-dur-dur-d%E2%80%99etre-un-chercheur
A Nantes se tient actuellement un procès opposant une ingénieure-chercheuse, spécialiste du cancer, à l’Inserm : après avoir enchainé 12 CDD – dont seul le nom de l'employeur variait – pendant 11 ans, la scientifique a demandé à l’organisme de recherche à être titularisée. Un changement de statut que lui a refusé l’Inserm, cessant par la même occasion de renouveler son contrat. Le tribunal administratif de Nantes rendra sa décision le 19 février prochain.
A travers cette affaire, c'est la dégradation des conditions de travail dans la recherche qui est une nouvelle fois mise en lumière. Puisque le manque de postes statutaires entraine une multiplication des emplois précaires et un nombre croissant de doctorants sans emplois – qui dénoncent par ailleurs des campagnes de recrutement noyautées.
Une précarisation des chercheurs ?
Il y aurait entre 37 et 50 000 précaires dans l’enseignement supérieur et la recherche. Si la précarité a toujours existé dans ce secteur, elle serait en constante augmentation selon de nombreux acteurs. Pour le collectif P.E.C.R.E.S. (Pour l’Etude des Conditions de travail dans la Recherche et Enseignement Supérieur), la situation s’est surtout détériorée à partir des années 2000, et tend encore à s’aggraver, pour deux raisons principales : d’une part, le développement des appels à projets de l’Agence Nationale de la Recherche (ANR) finançant des projets courts (de 1 à 3 ans) favorise le développement des emplois non permanents ; d’autre part, la loi LRU, qui a mené à l'autonomie des universités en même temps que leur mise en concurrence, a entrainé une flexibilité du système de recherche français concernant l’emploi.
Des ATER aux CDD, des vacations aux contrats postdoctoraux, l'on trouve moult statuts et types d'emploi dans l'enseignement supérieur et la recherche. Et face à un manque criant de budget pour la création de postes statutaires, l’enjeu principal reste pour tous le même : trouver un travail stable. Pourtant, les problématiques semblent différentes entre ce que l’on nomme communément les sciences dures et les sciences humaines et sociales
- CondorcetOracle
http://sciences.blogs.liberation.fr/home/2013/02/loi-universit%C3%A9-et-recherche-slu-et-slr-mobilisent.html
Lundi 18 février, SLU et SLR appellent à une Assemblée à l'Université Paris-7 Diderot. Un rendez-vous fixé à 10h à 13h, dans Amphi 10 E (Halle aux farines), Métro François Mitterand. Son succès ou son échec permettra probablement de savoir si la loi "Fioraso" destinée à remplacer la LRU sera l'occasion d'un conflit délicat à gérer pour le gouvernement, alors que les difficultés de Vincent Peillon avec sa réforme des rythmes scolaires se confirment [...].
- PhilomèleNiveau 9
Merci, Condorcet, de faire suivre l'appel à l'Assemblée générale de SLU pour lundi prochain.
C'est n'est pas évident de se libérer (trouver du temps !) mais je vais essayer d'être.
Dans mon coin, en Lettres, la réforme des concours et la création des ESPE inquiète beaucoup : elle risque de vider quelques UFR (et de les vider des derniers étudiants de niveau correct...).
Entre autres sujets d'inquiétude pour l'ESR, naturellement.
C'est n'est pas évident de se libérer (trouver du temps !) mais je vais essayer d'être.
Dans mon coin, en Lettres, la réforme des concours et la création des ESPE inquiète beaucoup : elle risque de vider quelques UFR (et de les vider des derniers étudiants de niveau correct...).
Entre autres sujets d'inquiétude pour l'ESR, naturellement.
- CondorcetOracle
Philomèle
J'ai l'impression que cette loi est encore plus dangereuse que celle de 2009 (ce qui n'est pas peu dire).
J'ai l'impression que cette loi est encore plus dangereuse que celle de 2009 (ce qui n'est pas peu dire).
- Marcel KhrouchtchevEnchanteur
Des réunions d'information plus locales ont lieu également cette semaine et la semaine prochaine, notamment dans les Universités de province, car il est effectivement parfois difficile de se déplacer. Je crois que de très nombreux acteurs de l'enseignement supérieur ne savent pas du tout ce qui nous attend et la catastrophe que cela risque d'être.
- CondorcetOracle
C'est inquiétant : je croyais la mobilisation mieux amorcée que cela.
- Marcel KhrouchtchevEnchanteur
condorcet a écrit:C'est inquiétant : je croyais la mobilisation mieux amorcée que cela.
Pas partout. Là où je travaille, la réunion d'information et de préparation à une éventuelle mobilisation n'a lieu que mardi prochain
Beaucoup de collègues font les autruches et préfèrent ne pas savoir j'ai l'impression.
- PhilomèleNiveau 9
J'ai l'impression que cette loi est encore plus dangereuse que celle de 2009 (ce qui n'est pas peu dire).
Entièrement d'accord.
Je redonne un lien édifiant (pour tous ceux qui nous lisent, derrière leur écran, cliquez) : http://www.sauvonsluniversite.com/IMG/pdf/LRU-2_par_SLU-2.pdf
C'est un tableau qui compare avant la LRU - la LRU - le projet de loi.
Attention aux frisés : ça défrise !
- PhilomèleNiveau 9
Marcel Khrouchtchev a écrit:condorcet a écrit:C'est inquiétant : je croyais la mobilisation mieux amorcée que cela.
Pas partout. Là où je travaille, la réunion d'information et de préparation à une éventuelle mobilisation n'a lieu que mardi prochain
Beaucoup de collègues font les autruches et préfèrent ne pas savoir j'ai l'impression.
Pareil où je suis (en province, pas très loin de l'Ile de France) : absolument rien.
On se mobilise en réunions pour les ESPE, qui doivent être "adossées à la recherche" : certains collègues du labo essaient de se faire entendre.
- Marcel KhrouchtchevEnchanteur
Je ne comprends même pas de quoi se plaignent les enseignants-chercheurs, puisque je viens d'apprendre d'un article de fond, rédigé par les meilleurs journalistes d'investigation, que le métier le moins stressant était "professeur d'université".
http://fr.finance.yahoo.com/photos/les-m%C3%A9tiers-les-moins-stressants-slideshow/1-professeur-d-universit%C3%A9-photo--575325230.html
http://fr.finance.yahoo.com/photos/les-m%C3%A9tiers-les-moins-stressants-slideshow/1-professeur-d-universit%C3%A9-photo--575325230.html
- CondorcetOracle
"«Tourneur/Fraiseur»: Traduction de 'Drill Press Operator', qui correspond en réalité aux ouvriers qui percent des pièces à l’usine... Malgré la manipulation de machines lourdes et un environnement industriel, ils ne sont pas exposés aux dangers. C'est l'un des métiers les plus demandés dans l’industrie américaine. Salaire moyen annuel: 24.317 euros. Taux de stress: 11,32 %".
- Marcel KhrouchtchevEnchanteur
condorcet a écrit:"«Tourneur/Fraiseur»: Traduction de 'Drill Press Operator', qui correspond en réalité aux ouvriers qui percent des pièces à l’usine... Malgré la manipulation de machines lourdes et un environnement industriel, ils ne sont pas exposés aux dangers. C'est l'un des métiers les plus demandés dans l’industrie américaine. Salaire moyen annuel: 24.317 euros. Taux de stress: 11,32 %".
Je pense que le métier le plus peinard du monde, c'est journaliste sur des sites sans crédibilité journalistique. On peut écrire n'importe quoi.
- barègesÉrudit
Philomèle a écrit:Marcel Khrouchtchev a écrit:condorcet a écrit:C'est inquiétant : je croyais la mobilisation mieux amorcée que cela.
Pas partout. Là où je travaille, la réunion d'information et de préparation à une éventuelle mobilisation n'a lieu que mardi prochain
Beaucoup de collègues font les autruches et préfèrent ne pas savoir j'ai l'impression.
Pareil où je suis (en province, pas très loin de l'Ile de France) : absolument rien.
On se mobilise en réunions pour les ESPE, qui doivent être "adossées à la recherche" : certains collègues du labo essaient de se faire entendre.
Et pour le CAPES ? En 2009, on avait eu ce genre de maquettes, le gouvernement avait fini par reculer et avait rétabli des épreuves dans la discipline ; là j'ai l'impression que ça "passe" mieux (malgré les motions sur SLU...)
J'ai la berlue, ou je vois dans le comparatif donné en lien que le projet supprime carrément le paragraphe sur l'organisation des UFR (conseil d'UFR, élection du président d'UFR) ? Comment faut-il l'interpréter ?
- Marcel KhrouchtchevEnchanteur
barèges a écrit:J'ai la berlue, ou je vois dans le comparatif donné en lien que le projet supprime carrément le paragraphe sur l'organisation des UFR (conseil d'UFR, élection du président d'UFR) ? Comment faut-il l'interpréter ?
La mode est plutôt à des regroupements plus larges encore que les UFR, au sein d'établissements eux-mêmes fusionnés. Après, je ne sais pas comment il faut interpréter ça et si cela signifie la mort à terme des UFR.
- PhilomèleNiveau 9
Marcel Khrouchtchev a écrit:barèges a écrit:J'ai la berlue, ou je vois dans le comparatif donné en lien que le projet supprime carrément le paragraphe sur l'organisation des UFR (conseil d'UFR, élection du président d'UFR) ? Comment faut-il l'interpréter ?
La mode est plutôt à des regroupements plus larges encore que les UFR, au sein d'établissements eux-mêmes fusionnés. Après, je ne sais pas comment il faut interpréter ça et si cela signifie la mort à terme des UFR.
"Chez moi", le directeur de l'UFR l'entend bien ainsi : disparition de l'UFR (et des UFR). Je n'ai pas davantage de tuyaux.
- Marcel KhrouchtchevEnchanteur
C'est sans doute un peu tard, mais on pouvait suivre la tenue de l'AG en direct:
http://www.sauvonsluniversite.com/spip.php?article5948
http://www.sauvonsluniversite.com/spip.php?article5948
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- George Debrégeas, "Qu'attendre des Assises de l'enseignement supérieur et de la recherche ? Rien, ou pire encore ?" (site de l'association Sauvons La Recherche)
- Les Assises de l'enseignement supérieur ont lieu en ce moment.
- La commission des affaires sociales a adopté le rapport : " Les défis du continuum lycées / enseignement supérieur"
- Belgique - un rapport du Conseil supérieur de la Santé sur l'hyperactivité
- Rapport de l'IGAENR : la place des agrégés dans l'enseignement supérieur
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