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- yphrogEsprit éclairé
Il intervient en effet dans la formation de profs-stagiaires dans le privé. Pourtant, je ne trouve pas grande chose de contestable dans ce qu'il dit, à part qu'il n'est pas pour demain que Elsevier, etal. vont lâcher prise de leur emprise sur la diffusion des savoirs dits qualifiants (et payants), et qu'il ne semble pas comprendre que LuigiB voit les élèves comme éducables, donc a priori pas foncièrement "mauvais". Quant à sa discussion concernant la grammaire, il est incontestable que l'intervention de Loys était "agrammaticale" (contraire aux règles de grammaire de Wikipédia)
Bref. ViveJohn Benjamins Walter Benjamin!
http://www.larevuedesressources.org/l-oeuvre-d-art-a-l-epoque-de-sa-reproduction-mecanisee,1976.html
Bref. Vive
http://www.larevuedesressources.org/l-oeuvre-d-art-a-l-epoque-de-sa-reproduction-mecanisee,1976.html
interviewer: Loys Bonod, cet enseignant qui avait « piégé » ses élèves par le biais de Wikipédia estime qu'il s'agit d'une source d'informations « médiocre » et formule plusieurs propositions. Qu'en pensez-vous ?
interviewee: Sur le plan intellectuel, je m'oppose à ce Monsieur et à son procédé car il suppose que les élèves sont mauvais et que les profs sont bons. S'il y a une « grammaire » du livre, il n'y a pas encore de grammaire d'internet. Or, justement, il a mis en évidence le fait que ces règles sont encore en construction et donc fragiles. Il propose aussi un nouveau processus éditorial en revenant à un mode d'éligibilité (droit de devenir auteur) et d'attestation (droit d'être diffusé) issu du monde du livre. Mais c'est dépassé ! De plus, il veut distinguer la culture académique et la culture populaire. C'est faire injure à la culture populaire ! La vraie révolution, qui peine encore à être acceptée par tout le monde, c'est qu'il faut apprendre non seulement à lire mais surtout à écrire Wikipédia.
- barègesÉrudit
Vu dans l'article de vousnousils, pour opposer les procédures de validation sur wiki à l'absence de ces mêmes procédures dans la recherche académique :
En voilà un qui ne connaît pas les recensions. J'en ai vu des assassines, j'en ai vu de très critiques, j'en ai vu qui proposaient des corrections.
Cela dit, j'irais presque dans son sens sur un autre plan. En sciences "dures", je vois des gens soumettre leur production aux pairs avant publication. En lettres, l'ouvrage sort en l'état, est critiqué après; du coup on est censé le lire avec l'article critique sur la table à côté pour suivre les corrections éventuelles... Pas pratique.
Ainsi, lorsque des universitaires publient un livre, il n'y a aucune valeur scientifique ni de validation par les pairs.
En voilà un qui ne connaît pas les recensions. J'en ai vu des assassines, j'en ai vu de très critiques, j'en ai vu qui proposaient des corrections.
Cela dit, j'irais presque dans son sens sur un autre plan. En sciences "dures", je vois des gens soumettre leur production aux pairs avant publication. En lettres, l'ouvrage sort en l'état, est critiqué après; du coup on est censé le lire avec l'article critique sur la table à côté pour suivre les corrections éventuelles... Pas pratique.
- JPhMMDemi-dieu
80% des enseignants ne sont pas bien outillés pour rechercher des savoirs attestés sur internet et ils n'en sont pas conscients.
il faut apprendre non seulement à lire mais surtout à écrire Wikipédia
Il faut développer différents modes de lecture de la réalité. En clair, un enseignant devrait exiger de ses élèves, d'une part qu'ils citent leurs sources d'informations, de la maternelle jusqu'à l'enseignement supérieur.
100% des auteurs de ces citations ne sont pas bien outillés pour percevoir les paradoxes de leurs discours.
Aidons-les : si "80% des enseignants ne sont pas bien outillés pour rechercher des savoirs attestés sur internet et ils n'en sont pas conscients", pourquoi leur demander d'enseigner la recherche des savoirs attestés sur internet ?
On devrait consulter ensemble le premier livre de mathématiques venu de chez Springer et l'article de Wikipedia qui correspond au sujet traité. On pourrait même faire le test 100 fois...lorsque des universitaires publient un livre, il n'y a aucune valeur scientifique ni de validation par les pairs. Au contraire, Wikipédia essaie de mettre en place un système de validation !
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Labyrinthe où l'admiration des ignorants et des idiots qui prennent pour savoir profond tout ce qu'ils n'entendent pas, les a retenus, bon gré malgré qu'ils en eussent. — John Locke
Je crois que je ne crois en rien. Mais j'ai des doutes. — Jacques Goimard
- JPhMMDemi-dieu
Il manquait quelques mots dans son assertions, car il parlait d'un domaine qu'il connait bien.barèges a écrit:Vu dans l'article de vousnousils, pour opposer les procédures de validation sur wiki à l'absence de ces mêmes procédures dans la recherche académique :
Ainsi, lorsque des universitaires publient un livre, il n'y a aucune valeur scientifique ni de validation par les pairs.
En voilà un qui ne connaît pas les recensions. J'en ai vu des assassines, j'en ai vu de très critiques, j'en ai vu qui proposaient des corrections.
Cela dit, j'irais presque dans son sens sur un autre plan. En sciences "dures", je vois des gens soumettre leur production aux pairs avant publication. En lettres, l'ouvrage sort en l'état, est critiqué après; du coup on est censé le lire avec l'article critique sur la table à côté pour suivre les corrections éventuelles... Pas pratique.
Explicitons les implicites du discours, comme il dirait :
Ainsi, lorsque des universitaires en sciences de l'éducation publient un livre, il n'y a aucune valeur scientifique
PS : mettre, comme il le fait, sur le même plan les publications scientifiques et les articles de Wikipedia est d'une stupidité effrayante.
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Labyrinthe où l'admiration des ignorants et des idiots qui prennent pour savoir profond tout ce qu'ils n'entendent pas, les a retenus, bon gré malgré qu'ils en eussent. — John Locke
Je crois que je ne crois en rien. Mais j'ai des doutes. — Jacques Goimard
- RoninMonarque
Nous sommes bien d'accord.
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- yphrogEsprit éclairé
Peer review of academic journal papers should be abolished and teaching-focused lecturers should be encouraged to give up research under proposals seeking to ensure that academe continues to produce "paradigm-shifting" research.
The plans are put forward by Donald Gillies, a professor of the philosophy of science and mathematics at University College London, in his new book, How Should Research be Organised?
Published this week to coincide with the publication of the results of the 2008 research assessment exercise (RAE), the book argues that the current system, under which more than £1.5 billion a year is distributed to universities, has damaged research quality.
Professor Gillies argues that the RAE, a massive peer-review exercise, encourages conservative research. He says it stifles developments that lead to major advances and paradigm shifts because academics know this type of work will be rejected by peers.
[...]
His approach , he claimed, passed with "flying colours" a "historical test", which considered how major research advances from the past would have fared under the modern system.
Advances cited in Gillies' book include Einstein's discovery of special relativity, published in 1905 without first being peer reviewed, and a booklet by Gottlob Frege on modern mathematical logic that was published in 1879 and panned by critics. Both works brought major advances to their fields.
"Had they been in force at an earlier historical period, both the RAE and the metrics-based (REF) would have prevented these important research advances," said Professor Gillies.
The book uses a diamond-sorting analogy to explain the dangers of the RAE. While the intention is to separate clear diamonds (valuable) from flawed ones (worthless), pink diamonds (the most valuable of all) may be thrown out in error.
The pink jewels, he says, are the pieces of research that do not seem particularly strong when they are produced, but are destined to yield "brilliant results in the future".
source: http://www.timeshighereducation.co.uk/story.asp?storycode=404707
point Godwin de la "peer review": http://en.wikipedia.org/wiki/Eher_Verlag
- JPhMMDemi-dieu
La question n'a même pas besoin d'être résolue pour démontrer que son texte est au mieux non utile à la vérité.Provence a écrit:Abraxas a écrit:Un enseignant en sciences de l'éducation éructe contre Luigi sur VousNousIls :
http://www.vousnousils.fr/2012/11/30/wikipedia-80-des-enseignants-ne-sont-pas-outilles-pour-rechercher-des-savoirs-sur-internet-538122
Et il enseigne en fac ! Comment voulez-vous que les Chinois ne nous submergent pas prochainement ?
Sur le plan intellectuel, je m'oppose à ce Monsieur et à son procédé car il suppose que les élèves sont mauvais et que les profs sont bons.
J'ose espérer que j'en sais un peu plus que mes élèves tout de même...
En effet :
Soit ce qu'il écrit est vrai, alors il faut s'opposer intellectuellement à ce qu'il écrit lui-même comme professeur selon l'application du principe dont il use.Sur le plan intellectuel, je m'oppose à ce Monsieur et à son procédé car il suppose que les élèves sont mauvais et que les profs sont bons.
Soit ce qu'il écrit est faux, alors le lire est inutile à la vérité.
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Labyrinthe où l'admiration des ignorants et des idiots qui prennent pour savoir profond tout ce qu'ils n'entendent pas, les a retenus, bon gré malgré qu'ils en eussent. — John Locke
Je crois que je ne crois en rien. Mais j'ai des doutes. — Jacques Goimard
- RoninMonarque
Tu me fais rêver JPhMM, sûr que tu exploses les échelles de pensée logique de Piaget
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- yphrogEsprit éclairé
In related news:
http://www.guardian.co.uk/media/greenslade/2012/oct/21/rupert-murdoch-los-angeles-times
http://www.guardian.co.uk/media/greenslade/2012/oct/21/rupert-murdoch-los-angeles-times
- barègesÉrudit
[quote="xphrog"]
Bien d'accord.
Je parlais surtout des possibles erreurs ou coquilles que l'on enlèverait des travaux si des relecteurs extérieurs intervenaient systématiquement avant publication. Pas de "censure" ou de tri selon l'intérêt supposé de tel ou tel travail.
Le même problème touche toutes les instances d'évaluation de l'ère sarkozienne (AERES, et recherche sur appel d'offre ou évaluation de projet par l'ANR).
Professor Gillies argues that the RAE, a massive peer-review exercise, encourages conservative research. He says it stifles developments that lead to major advances and paradigm shifts because academics know this type of work will be rejected by peers.
[...]
Advances cited in Gillies' book include Einstein's discovery of special relativity, published in 1905 without first being peer reviewed, and a booklet by Gottlob Frege on modern mathematical logic that was published in 1879 and panned by critics. Both works brought major advances to their fields.
Bien d'accord.
Je parlais surtout des possibles erreurs ou coquilles que l'on enlèverait des travaux si des relecteurs extérieurs intervenaient systématiquement avant publication. Pas de "censure" ou de tri selon l'intérêt supposé de tel ou tel travail.
Le même problème touche toutes les instances d'évaluation de l'ère sarkozienne (AERES, et recherche sur appel d'offre ou évaluation de projet par l'ANR).
- yphrogEsprit éclairé
Luigi_B: serais-tu le guignol qui aurait proposé oc comme origine d'okeh?
http://en.wikipedia.org/wiki/Talk:Okay#Occitan
:lol:
http://en.wikipedia.org/wiki/Talk:Okay#Occitan
:lol:
- Luigi_BGrand Maître
Les anglophones seraient vexés que ok vienne de notre langue d'oc ? :lol:
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LVM Dernier billet : "Une École si distante"
- Luigi_BGrand Maître
C'est Bruno Devauchelle, un promoteur des nouvelles technologies à l'école mais j'en connais de plus intégristes. :lol:Abraxas a écrit:Un enseignant en sciences de l'éducation éructe contre Luigi sur VousNousIls :
http://www.vousnousils.fr/2012/11/30/wikipedia-80-des-enseignants-ne-sont-pas-outilles-pour-rechercher-des-savoirs-sur-internet-538122
Et il enseigne en fac ! Comment voulez-vous que les Chinois ne nous submergent pas prochainement ?
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LVM Dernier billet : "Une École si distante"
- JohnMédiateur
Promouvoir les nouvelles technologies à l'école n'est cependant pas en soi un problème, n'est-ce pas ?
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"Qui a construit Thèbes aux sept portes ? Dans les livres, on donne les noms des Rois. Les Rois ont-ils traîné les blocs de pierre ? [...] Quand la Muraille de Chine fut terminée, Où allèrent ce soir-là les maçons ?" (Brecht)
"La nostalgie, c'est plus ce que c'était" (Simone Signoret)
- Luigi_BGrand Maître
Non, c'est la solution à tous nos problèmes !
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LVM Dernier billet : "Une École si distante"
- JohnMédiateur
Personne n'a dit ça, mais il y a des excès chez les partisans de ces nouvelles technologies comme il y en a dans leurs opposants.
Les promouvoir ou les attaquer ne déclenche pas en soi chez moi, par le simple fait qu'on est plutôt pour ou contre leur usage en classe, un enthousiasme particulier.
D'ailleurs, sur ce point, tu es d'accord avec moi, Luigi, à ce que je sache. Ce sont les excès des uns ou des autres qui font rire ou qui inquiètent.
Les promouvoir ou les attaquer ne déclenche pas en soi chez moi, par le simple fait qu'on est plutôt pour ou contre leur usage en classe, un enthousiasme particulier.
D'ailleurs, sur ce point, tu es d'accord avec moi, Luigi, à ce que je sache. Ce sont les excès des uns ou des autres qui font rire ou qui inquiètent.
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"Qui a construit Thèbes aux sept portes ? Dans les livres, on donne les noms des Rois. Les Rois ont-ils traîné les blocs de pierre ? [...] Quand la Muraille de Chine fut terminée, Où allèrent ce soir-là les maçons ?" (Brecht)
"La nostalgie, c'est plus ce que c'était" (Simone Signoret)
- IphigénieProphète
De plus, il veut distinguer la culture académique et la culture populaire. C'est faire injure à la culture populaire !
J'ai du mal à comprendre ce que cela veut dire par rapport à un article d'encyclopédie?
Par exemple dans le domaine médical, est-ce que ça veut dire qu'il faut donner égale valeur à tel médecin de renom et Rika Zaraï?
De plus comme je fais des lectures en ce moment sur le thème des BTS (conversations echanges numérique etc), je me demande si au contraire, ce n'est pas internet lui-même qui est en train de creuser la différence entre culture de l'élite et culture populaire: déjà si on tient compte des nouveaux algorithmes utilisés par Google pour personnaliser la recherche en fonction des goûts et habitudes de l'usager: il y a des chances pour que les résultats d'une recherche de Michel Serres (au hasard) ne soient pas les mêmes , déjà au départ et à supposer qu'ils fassent la même requête, que Kévin.
- Luigi_BGrand Maître
Tout se vaut, Iphigénie, tout se vaut : c'est l'application au savoir du principe démocratique.
Je constate surtout que la promotion du numérique est le prolongement, avec la même précipitation irrationnelle, des nouvelles pédagogies dont nous constatons aujourd'hui les résultats dramatiques.
Il faut enfin distinguer le numérique institutionnel (éventuellement utile mais le bénéfice pédagogique doit être évalué) et le numérique sauvage (très répandu et dévastateur). Conduire une classe dans une salle informatique sans filtrage permet de s'en convaincre...
Effectivement, je les utilise moi-même depuis longtemps, mais sans constater que les nouvelles technologies changent grand chose dans l'enseignement. Penser qu'on peut refonder l'école grâce au numérique (c'est le crédo du "Café Pédagogique" et je crois qu'on peut parler d'excès ainsi que du ministre avec la "stratégie globale pour le numérique") me semble non seulement naïf, mais même dangereusement illusoire. Nous sommes d'ailleurs nombreux à le penser, même sur Neoprofs, un forum en ligne.John a écrit:Les promouvoir ou les attaquer ne déclenche pas en soi chez moi, par le simple fait qu'on est plutôt pour ou contre leur usage en classe, un enthousiasme particulier.
D'ailleurs, sur ce point, tu es d'accord avec moi, Luigi, à ce que je sache. Ce sont les excès des uns ou des autres qui font rire ou qui inquiètent.
Je constate surtout que la promotion du numérique est le prolongement, avec la même précipitation irrationnelle, des nouvelles pédagogies dont nous constatons aujourd'hui les résultats dramatiques.
Il faut enfin distinguer le numérique institutionnel (éventuellement utile mais le bénéfice pédagogique doit être évalué) et le numérique sauvage (très répandu et dévastateur). Conduire une classe dans une salle informatique sans filtrage permet de s'en convaincre...
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LVM Dernier billet : "Une École si distante"
- Luigi_BGrand Maître
A lire à ce sujet dans le "Scientific American" (en anglais malheureusement) : "The Rich See a Different Internet Than the Poor" du 18 février 2013.iphigénie a écrit:De plus comme je fais des lectures en ce moment sur le thème des BTS (conversations echanges numérique etc), je me demande si au contraire, ce n'est pas internet lui-même qui est en train de creuser la différence entre culture de l'élite et culture populaire: déjà si on tient compte des nouveaux algorithmes utilisés par Google pour personnaliser la recherche en fonction des goûts et habitudes de l'usager: il y a des chances pour que les résultats d'une recherche de Michel Serres (au hasard) ne soient pas les mêmes , déjà au départ et à supposer qu'ils fassent la même requête, que Kévin.
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LVM Dernier billet : "Une École si distante"
- CondorcetOracle
http://www.vousnousils.fr/2012/11/30/wikipedia-80-des-enseignants-ne-sont-pas-outilles-pour-rechercher-des-savoirs-sur-internet-538122
Cher Monsieur, en général, les livres (scientifiques) rédigés par des universitaires sont publiés dans des collections spécialisées, ce qui signifie qu'ils ont reçu l'aval soit d'un comité de lecture soit d'au moins une personne, qui, le plus souvent, appartient à la communauté scientifique. De plus, un universitaire digne de ce nom aura soin de préciser ses sources et plus encore d'inclure un appareil critique au sein de l'ouvrage, permettant ainsi au lecteur d'aller consulter ses références et de se forger, en connaissance de cause, un avis circonstancié.
Ainsi, lorsque des universitaires publient un livre, il n'y a aucune valeur scientifique ni de validation par les pairs
Cher Monsieur, en général, les livres (scientifiques) rédigés par des universitaires sont publiés dans des collections spécialisées, ce qui signifie qu'ils ont reçu l'aval soit d'un comité de lecture soit d'au moins une personne, qui, le plus souvent, appartient à la communauté scientifique. De plus, un universitaire digne de ce nom aura soin de préciser ses sources et plus encore d'inclure un appareil critique au sein de l'ouvrage, permettant ainsi au lecteur d'aller consulter ses références et de se forger, en connaissance de cause, un avis circonstancié.
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