- Spinoza1670Esprit éclairé
Il faut en parler à ton libraire. Méthode qui marche bien, ludique, à conseiller aux parents.coindeparadis a écrit:L'arbre aux sons, que je n'ai jamais trouvé en librairie, est-elle une méthode de lecture pour la classe ou un cahier "domestique" ?
C'est plus pour la maison d'après la préface, mais c'est une méthode de lecture à part entière (. Il y a beaucoup de phono, un peu d'écriture (graphisme), beaucoup de compréhension et la partie lecture code est aussi très bien faite. C'est vraiment bien étudié. Le seul petit bémol : pas de personnages sympathiques récurrents qui vivent leurs petites aventures, mais les histoires (il n'y a pas que des histoires d'ailleurs : catalogues de Noël, fiches docs, etc) sont tout de même très vivantes et très variées. Ca vaut le coup et le coût, ne serait-ce que comme complément à une autre méthode (banque de textes et d'exercices).
- coindeparadisGuide spirituel
L'enseignement de la lecture dans les pays russophones. Je me suis penchée sur ce sujet (avec l'aide d'un professeur russe) quand une mère d'élève m'a reproché en novembre de ne pas avoir enseigné toutes les lettres à sa fille.
L'alphabet (un peu plus complexe que le nôtre) est enseigné lettre par lettre. Les abécédaires sont beaucoup utilisés tant à l'école qu'en classe. On lit aussi beaucoup de contes traditionnels aux enfants. L'enseignement de l'écriture se fait en parallèle: essentiellement en cursive. Les élèves font aussi beaucoup d'exercices préparatoires à l'écriture de type "frises". Lorsque l'alphabet est maîtrisé on aborde la combinatoire. Même si elle reste plus simple que celle de la langue française, certains signes (mous, durs...) peuvent modifier un son. En janvier les élèves lisent de petits textes, petites histoires souvent issues du patrimoine. On aborde alors la grammaire et l'orthographe de manière plus approfondie qu'on ne le fait actuellement dans nos CP (on se rapproche de ce que proposait le Maquet). Et ce sachant que la grammaire russe est complexe (trois genres, des déclinaisons...). A la fin de l'année, les élèves lisent couramment, sauf exception (au singulier), des petits livres. Les effectifs des classes sont de 40 à 45 élèves. Il est intéressant de noter que l'on apprend à lire à 7 ans et que l'école maternelle (le "sadik") est en fait un jardin d'enfants. Pour avoir eu des CP venant d'un sadik, il y a un monde entre eux et nos élèves issus de GS françaises. Aucune préparation à la lecture, à l'écriture , de prémathématiques. On joue, on bouge, (les "sadik" ont des cours remplies de toboggans, cages à poules, poutres, tunnels... car le sport est valorisé), on patouille un peu. Malgré cela l'apprentissage de la lecture se fait sans problème. A réfléchir ...
L'alphabet (un peu plus complexe que le nôtre) est enseigné lettre par lettre. Les abécédaires sont beaucoup utilisés tant à l'école qu'en classe. On lit aussi beaucoup de contes traditionnels aux enfants. L'enseignement de l'écriture se fait en parallèle: essentiellement en cursive. Les élèves font aussi beaucoup d'exercices préparatoires à l'écriture de type "frises". Lorsque l'alphabet est maîtrisé on aborde la combinatoire. Même si elle reste plus simple que celle de la langue française, certains signes (mous, durs...) peuvent modifier un son. En janvier les élèves lisent de petits textes, petites histoires souvent issues du patrimoine. On aborde alors la grammaire et l'orthographe de manière plus approfondie qu'on ne le fait actuellement dans nos CP (on se rapproche de ce que proposait le Maquet). Et ce sachant que la grammaire russe est complexe (trois genres, des déclinaisons...). A la fin de l'année, les élèves lisent couramment, sauf exception (au singulier), des petits livres. Les effectifs des classes sont de 40 à 45 élèves. Il est intéressant de noter que l'on apprend à lire à 7 ans et que l'école maternelle (le "sadik") est en fait un jardin d'enfants. Pour avoir eu des CP venant d'un sadik, il y a un monde entre eux et nos élèves issus de GS françaises. Aucune préparation à la lecture, à l'écriture , de prémathématiques. On joue, on bouge, (les "sadik" ont des cours remplies de toboggans, cages à poules, poutres, tunnels... car le sport est valorisé), on patouille un peu. Malgré cela l'apprentissage de la lecture se fait sans problème. A réfléchir ...
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Ne t'excuse jamais d'être ce que tu es. Gandhi
- ZaubetteExpert
... plus tard on "entre en lecture", mieux on apprend.... à méditer, oui.
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Mon blog: Zaubette, une maitresse qui ouvre son cartable
- coindeparadisGuide spirituel
3 ans pour apprendre à lire, il y a de quoi perdre en suspens, mystère, magie...
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- ZaubetteExpert
pleurons ensemble....
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- BoubousNiveau 6
Pouvez-vous préciser un peu ?coindeparadis a écrit: L'enseignement de la lecture dans les pays russophones.Je me suis penchée sur ce sujet (avec l'aide d'un professeur russe) quand une mère d'élève m'a reproché en novembre de ne pas avoir enseigné toutes les lettres à sa fille.
Le système scolaire dans les pays de l’ex-URSS était très inégalitaire et les pratiques étaient très différentes d’un pays à l’autre. Donc, j’ai du mal à croire que l’apprentissage de la lecture se faisait sans problème pour tout le monde.
- coindeparadisGuide spirituel
L'enseignement de la lecture est très standardisé, comme celui des mathématiques, vieux reste du totalitarisme soviétique, réalimenté par des régimes dictatoriaux.
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- profecolesHabitué du forum
la dernière étude sur le sujet :
http://www.uvsq.fr/medias/fichier/rapport-enquete-lecture_1384503420148-pdf
et sa conclusion :
Notre enquête confirme à son tour que la réussite des apprentissages au CP est à la mesure de
la place faite au travail sur le code. Elle permet toutefois de préciser que toutes les approches
du code sont loin de se valoir, montrant que la question principale de la didactique de la
lecture aujourd’hui n’est plus de savoir s’il convient ou non de faire place à l’étude du code,
mais de la façon d’aborder cette étude. Ce sont les classes dans lesquelles l’apprentissage est
résolument centré sur le déchiffrage, considéré comme la clé de l’accès au sens, et organise
son étude de façon progressive et systématique, l’élève pouvant déchiffrer de façon autonome
tout ce qu’on lui propose à lire, sans recours à la lecture devinette, qui obtiennent des résultats
dont la supériorité est statistiquement bien établie. La fluidité du déchiffrage s’avère
difficilement séparable, dans ces résultats, de l’appréhension du sens.
La présence dans l’enquête de quelques classes utilisant des manuels de la méthode syllabique
et obtenant des résultats médiocres aurait pu, même si ces derniers ne suffisent pas à modifier
la tendance statistique principale, affaiblir la portée de cette conclusion. Paradoxalement, ces
classes « déviantes » viennent au contraire la renforcer, puisqu’il s’avère que les enseignants
qui les ont en charge ont dérogé aux principes d’apprentissage dont notre enquête souligne
l’efficacité supérieure.
L’observation des effets-classes met en relief, du même coup, un aspect complémentaire des
données collectées. L’analyse des variations du rendement pédagogique des manuels ne
renvoie pas à une opposition bloc à bloc entre méthode mixte et méthode syllabique. Tous les
manuels de la mixte n’ont pas le même rendement, et il en va de même des manuels de la
syllabique. En réalité, il semble que ce soit la même loi, selon laquelle le rendement d’un
apprentissage de la lecture est à la mesure de la priorité donnée au déchiffrage et de
l’efficacité de son enseignement, qui explique à la fois l’efficacité supérieure de la syllabique
et les différences de rendement des manuels au sein tant des méthodes mixtes que des
méthodes syllabiques.
http://www.uvsq.fr/medias/fichier/rapport-enquete-lecture_1384503420148-pdf
et sa conclusion :
Notre enquête confirme à son tour que la réussite des apprentissages au CP est à la mesure de
la place faite au travail sur le code. Elle permet toutefois de préciser que toutes les approches
du code sont loin de se valoir, montrant que la question principale de la didactique de la
lecture aujourd’hui n’est plus de savoir s’il convient ou non de faire place à l’étude du code,
mais de la façon d’aborder cette étude. Ce sont les classes dans lesquelles l’apprentissage est
résolument centré sur le déchiffrage, considéré comme la clé de l’accès au sens, et organise
son étude de façon progressive et systématique, l’élève pouvant déchiffrer de façon autonome
tout ce qu’on lui propose à lire, sans recours à la lecture devinette, qui obtiennent des résultats
dont la supériorité est statistiquement bien établie. La fluidité du déchiffrage s’avère
difficilement séparable, dans ces résultats, de l’appréhension du sens.
La présence dans l’enquête de quelques classes utilisant des manuels de la méthode syllabique
et obtenant des résultats médiocres aurait pu, même si ces derniers ne suffisent pas à modifier
la tendance statistique principale, affaiblir la portée de cette conclusion. Paradoxalement, ces
classes « déviantes » viennent au contraire la renforcer, puisqu’il s’avère que les enseignants
qui les ont en charge ont dérogé aux principes d’apprentissage dont notre enquête souligne
l’efficacité supérieure.
L’observation des effets-classes met en relief, du même coup, un aspect complémentaire des
données collectées. L’analyse des variations du rendement pédagogique des manuels ne
renvoie pas à une opposition bloc à bloc entre méthode mixte et méthode syllabique. Tous les
manuels de la mixte n’ont pas le même rendement, et il en va de même des manuels de la
syllabique. En réalité, il semble que ce soit la même loi, selon laquelle le rendement d’un
apprentissage de la lecture est à la mesure de la priorité donnée au déchiffrage et de
l’efficacité de son enseignement, qui explique à la fois l’efficacité supérieure de la syllabique
et les différences de rendement des manuels au sein tant des méthodes mixtes que des
méthodes syllabiques.
- profecolesHabitué du forum
Ces dernières phrases viennent confirmer ce que les pros du CP claironnent ici sur tous les tons. Mais ce n'est peut-être pas le bon forum pour poster cette conclusion d'enquête (Je prêche des convaincus) :
Au plan plus général de la confrontation de l’institution scolaire aux inégalités sociales, cette
enquête débouche sur deux constats de forte signification.
Elle souligne d’abord l’importance des marges de jeu dont dispose l’école face au poids des
héritages culturels. Certes, ceux-ci ne se font jamais oublier, même dans les classes les plus
performantes : mais leur impact y est considérablement réduit. Il existe donc des moyens
sérieux de lutter contre les déterminismes sociaux, et l’institution scolaire ne saurait se
satisfaire de prendre acte d’inégalités qui ne dépendent pas d’elle pour les transformer en
inégalités scolaires22.
En second lieu il est frappant de constater que le manuel qui se révèle le plus efficient avec les
élèves des milieux les plus défavorisés soit aussi le plus exigeant non seulement dans
l’apprentissage technique du code, mais aussi dans ses contenus intellectuels, de par
l’ambition lexicale et littéraire des textes qu’il propose à la lecture des élèves.
Notre recherche contredit à cet égard, sous un double aspect, les orientations du « Plan de
rénovation de l’enseignement du français à l’école élémentaire » (1971) qui a inspiré les
instructions officielles de 197223. Les auteurs de ce plan plaçaient leurs espoirs de
démocratisation de l’école dans une approche de la culture écrite qui, d’une part, donnerait la
primauté à la compréhension sur le décodage, et éviterait d’autre part « les savoirs abstraits et
la ‘performance’ littéraire », inaccessibles aux publics populaires du fait de l’insuffisance de
leurs ressources culturelles et cognitives. Or on voit ici, quarante après, d’abord que
déchiffrage et compréhension sont indissociables, l’accès au sens exigeant une grande
habileté dans le déchiffrage ; et ensuite que la meilleure progression des publics populaires
suppose une grande exigence à leur égard, tant en ce qui concerne la rigueur dans la qualité du
déchiffrage que pour ce qui est de la richesse lexicale et littéraire des contenus.
Ces observations rappellent a contrario combien la culture professionnelle des enseignants du
primaire reste aujourd’hui fortement marquée par la thématique de la rénovation pédagogique
des années 1970/80. L’apprentissage du déchiffrage est souvent vécu comme le « sale
boulot » de l’enseignement de la lecture, comme un temps soustrait à l’essentiel, le travail sur
la compréhension, dont les publics populaires sont estimés avoir un besoin prioritaire. Ce qui
explique sans doute la diffusion si paradoxalement faible de la méthode syllabique dans les
quartiers les plus défavorisés, comme nous l’avons constaté.
Peut-on espérer, dans ce contexte, que seront entreprises des recherches sur l’apprentissage de
la lecture portant sur de plus vastes effectifs que la nôtre, qui permettraient une mesure
précise des effets-maître, de l’impact de la formation initiale et de l’ancienneté dans le métier ; et qui ne renonceraient pas a priori, au nom de la liberté pédagogique des enseignants
(comme si celle-ci n’avait pas tout à gagner à s’exercer de façon mieux informée), à
interroger le rôle des manuels, dont notre enquête révèle le poids si crucial ?
Rappelons qu’actuellement, loin de compenser les inégalités socioculturelles, l’école élémentaire les
accompagne, et fait peut-être plus que les subir : les écarts culturels et cognitifs moyens entre un enfant de cadre
et un enfant d’ouvrier sont multipliés par deux entre l’entrée au CP et la sortie du CM2 (voir Jean-Paul Caille et
Fabienne Rosenwald, « Les inégalités de réussite à l’école élémentaire : construction et évolution », France,
portrait social, INSEE, 2006). Lesquelles ont ouvert la voie à la grande modernisation pédagogique du système éducatif en France dans les
années 1970/80.
Au plan plus général de la confrontation de l’institution scolaire aux inégalités sociales, cette
enquête débouche sur deux constats de forte signification.
Elle souligne d’abord l’importance des marges de jeu dont dispose l’école face au poids des
héritages culturels. Certes, ceux-ci ne se font jamais oublier, même dans les classes les plus
performantes : mais leur impact y est considérablement réduit. Il existe donc des moyens
sérieux de lutter contre les déterminismes sociaux, et l’institution scolaire ne saurait se
satisfaire de prendre acte d’inégalités qui ne dépendent pas d’elle pour les transformer en
inégalités scolaires22.
En second lieu il est frappant de constater que le manuel qui se révèle le plus efficient avec les
élèves des milieux les plus défavorisés soit aussi le plus exigeant non seulement dans
l’apprentissage technique du code, mais aussi dans ses contenus intellectuels, de par
l’ambition lexicale et littéraire des textes qu’il propose à la lecture des élèves.
Notre recherche contredit à cet égard, sous un double aspect, les orientations du « Plan de
rénovation de l’enseignement du français à l’école élémentaire » (1971) qui a inspiré les
instructions officielles de 197223. Les auteurs de ce plan plaçaient leurs espoirs de
démocratisation de l’école dans une approche de la culture écrite qui, d’une part, donnerait la
primauté à la compréhension sur le décodage, et éviterait d’autre part « les savoirs abstraits et
la ‘performance’ littéraire », inaccessibles aux publics populaires du fait de l’insuffisance de
leurs ressources culturelles et cognitives. Or on voit ici, quarante après, d’abord que
déchiffrage et compréhension sont indissociables, l’accès au sens exigeant une grande
habileté dans le déchiffrage ; et ensuite que la meilleure progression des publics populaires
suppose une grande exigence à leur égard, tant en ce qui concerne la rigueur dans la qualité du
déchiffrage que pour ce qui est de la richesse lexicale et littéraire des contenus.
Ces observations rappellent a contrario combien la culture professionnelle des enseignants du
primaire reste aujourd’hui fortement marquée par la thématique de la rénovation pédagogique
des années 1970/80. L’apprentissage du déchiffrage est souvent vécu comme le « sale
boulot » de l’enseignement de la lecture, comme un temps soustrait à l’essentiel, le travail sur
la compréhension, dont les publics populaires sont estimés avoir un besoin prioritaire. Ce qui
explique sans doute la diffusion si paradoxalement faible de la méthode syllabique dans les
quartiers les plus défavorisés, comme nous l’avons constaté.
Peut-on espérer, dans ce contexte, que seront entreprises des recherches sur l’apprentissage de
la lecture portant sur de plus vastes effectifs que la nôtre, qui permettraient une mesure
précise des effets-maître, de l’impact de la formation initiale et de l’ancienneté dans le métier ; et qui ne renonceraient pas a priori, au nom de la liberté pédagogique des enseignants
(comme si celle-ci n’avait pas tout à gagner à s’exercer de façon mieux informée), à
interroger le rôle des manuels, dont notre enquête révèle le poids si crucial ?
Rappelons qu’actuellement, loin de compenser les inégalités socioculturelles, l’école élémentaire les
accompagne, et fait peut-être plus que les subir : les écarts culturels et cognitifs moyens entre un enfant de cadre
et un enfant d’ouvrier sont multipliés par deux entre l’entrée au CP et la sortie du CM2 (voir Jean-Paul Caille et
Fabienne Rosenwald, « Les inégalités de réussite à l’école élémentaire : construction et évolution », France,
portrait social, INSEE, 2006). Lesquelles ont ouvert la voie à la grande modernisation pédagogique du système éducatif en France dans les
années 1970/80.
- profecolesHabitué du forum
Au fait, ils n'ont pas le même classement que nos "pros" du CP :
Bulle et Taoki sont considérées comme des méthodes mixtes.
Bulle et Taoki sont considérées comme des méthodes mixtes.
- SapotilleEmpereur
Profécoles, quand tu postes un grand texte aussi passionnant à lire, Tu ne pourrais pas aller à la ligne quelques fois et même passer une ligne de temps en temps ?
Parce que là, "aïe, mes yeux" !!!
Merci pour ce texte vraiment intéressant ...
Parce que là, "aïe, mes yeux" !!!
Merci pour ce texte vraiment intéressant ...
- profecolesHabitué du forum
Euh ....le copié collé brut ....Sapotille a écrit:Profécoles, quand tu postes un grand texte aussi passionnant à lire, Tu ne pourrais pas aller à la ligne quelques fois et même passer une ligne de temps en temps ?
Parce que là, "aïe, mes yeux" !!!
Merci pour ce texte vraiment intéressant ...
- Spinoza1670Esprit éclairé
Merci pour le texte.
Cet article mérite un fil à part.
http://www.uvsq.fr/ = Université de Versailles-Saint-Quentin (Brissiaud, Ouzoulias, Jacques David également).
Cet article va-t-il faire l'objet d'une recension sur le site du Café pédagogique, et des Cahiers pédagogiques ?
Cet article mérite un fil à part.
http://www.uvsq.fr/ = Université de Versailles-Saint-Quentin (Brissiaud, Ouzoulias, Jacques David également).
Cet article va-t-il faire l'objet d'une recension sur le site du Café pédagogique, et des Cahiers pédagogiques ?
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« Let not any one pacify his conscience by the delusion that he can do no harm if he takes no part, and forms no opinion. Bad men need nothing more to compass their ends, than that good men should look on and do nothing. » (John Stuart Mill)
Littérature au primaire - Rédaction au primaire - Manuels anciens - Dessin au primaire - Apprendre à lire et à écrire - Maths au primaire - école : références - Leçons de choses.
- fran24Niveau 6
Merci Spinoza !!!!! Mon WE est ensoleillé par la lecture du rapport!!!!!
J'ai immédiatement téléchargé le rapport complet et l'envoie à des personnes très concernées pour partager cette éclaircie...
ET JE L ENVOIE A L INSPECTEUR ET AUX CONSEILLERS PEDAGOGIQUES DE MA CIRCONSCRIPTION
Si tous les PE ici présents peuvent faire de même...
Dans l'intérêt des enfants!!!!!
J'ai immédiatement téléchargé le rapport complet et l'envoie à des personnes très concernées pour partager cette éclaircie...
ET JE L ENVOIE A L INSPECTEUR ET AUX CONSEILLERS PEDAGOGIQUES DE MA CIRCONSCRIPTION
Si tous les PE ici présents peuvent faire de même...
Dans l'intérêt des enfants!!!!!
- Spinoza1670Esprit éclairé
Merci profecoles. C'est elle qui a mis le lien.
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« Let not any one pacify his conscience by the delusion that he can do no harm if he takes no part, and forms no opinion. Bad men need nothing more to compass their ends, than that good men should look on and do nothing. » (John Stuart Mill)
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- coindeparadisGuide spirituel
Je garde le rapport sous le coude, en cas de litige avec un CPC, IEN, collègue ribambellozélé...
Merci !
Merci !
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Ne t'excuse jamais d'être ce que tu es. Gandhi
- doublecasquetteEnchanteur
http://doublecasquette3.eklablog.com/un-rapport-interessant-a103202761
- arcencielGrand Maître
Je viens d'aller voir! Joli blog!!!doublecasquette a écrit:http://doublecasquette3.eklablog.com/un-rapport-interessant-a103202761
- coindeparadisGuide spirituel
Dans la série méthodes mixtes ... séquence souvenirs (je n'ai pas dit "nostalgie") : Lire et écrire avec [i]Prune et Victor (que j'ai utilisé comme remplaçante) et J'apprends à lire avec Boule et Bill (qu'une collègue utilisait).
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Ne t'excuse jamais d'être ce que tu es. Gandhi
- LangelotNiveau 9
Les deux seuls élèves qui déchiffraient comme des déesses et qui ne comprenaient rien (bon il n'y a même une qui n'a pas trouvé choquant de se retrouver dans une autre classe de CP avec une autre maîtresse) ont appris à lire avec Abracadalire. Comme quoi les méthodes... Le point commun de ses deux élèves c'est leur faible mémoire épisodique.
Ceci dit, grâce à vous, j'ai tétanisé une CP qui a deviné "chien" au lieu de lire "animal" à l'étude.
- Spinoza1670Esprit éclairé
Daniel et Valérie, livret 2 en ligne :
http://manuelsanciens.blogspot.com/2013/12/houblain-vincent-daniel-et-valerie.html
http://manuelsanciens.blogspot.com/2013/12/houblain-vincent-daniel-et-valerie.html
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- LilypimsGrand sage
Quelqu'un connaîtrait-il le nom d'une méthode de lecture des années 6O-7O qui racontait l'histoire de deux enfants envoyés à la campagne pour raison de santé ?
_________________
...il faut continuer, je ne peux pas continuer, il faut continuer, je vais donc continuer...
- retraitéeDoyen
Ce n'était pas Peau de pêche, de Gabriel Maurière?
mais ce bouquin est plus ancien, à mon avis, que 60/70
mais ce bouquin est plus ancien, à mon avis, que 60/70
- coindeparadisGuide spirituel
Peau de pêche est un manuel de CM. Les enfants qui partent en vacances à la campagne, est un grand classique des livres de lecture courante CP/CE1: Mico, printemps au moulin bleu, printemps à champ fleury...
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Ne t'excuse jamais d'être ce que tu es. Gandhi
- LilypimsGrand sage
retraitée a écrit:Ce n'était pas Peau de pêche, de Gabriel Maurière?
mais ce bouquin est plus ancien, à mon avis, que 60/70
Merci, Retraitée ; je vais regarder.
coindeparadis a écrit:Peau de pêche est un manuel de CM. Les enfants qui partent en vacances à la campagne, est un grand classique des livres de lecture courante CP/CE1: Mico, printemps au moulin bleu, printemps à champ fleury...
Ils ne partaient pas en vacances mais devaient quitter leurs parents parce que les conditions de vie en ville les rendaient malades.
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...il faut continuer, je ne peux pas continuer, il faut continuer, je vais donc continuer...
- doublecasquetteEnchanteur
Ça peut être un Paul-Jacques Bonzon aussi.
Au CP, c'était Pompon et Le château de Pompon, mais ça ne parle pas d'enfants qui doivent aller à la campagne pour se requinquer...
Au CP, c'était Pompon et Le château de Pompon, mais ça ne parle pas d'enfants qui doivent aller à la campagne pour se requinquer...
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