Tous politiques : V. Peillon sur France Inter le 14.10.2012

C'est en ce moment mais ce n'a pas encore parlé d'éducation

Rentrée 2013 : on ne touche pas aux vacances, et pas non plus aux rythmes des collégiens et lycées.

C'est sûr, ou c'est envisagé ?

Cripure a écrit:C'est sûr, ou c'est envisagé ?

Ça a l'air bien sûr, là, quand même. La rentrée 2013, ce sera la semaine de 4,5 jours, l'allégement de la journée AU PRIMAIRE, le + de maître que de classes et le plan numérique. Pour le moment, pas touche aux vacances, au bac, au rythme en collège et en lycée.

Sûr pour 2013 mais il sous-entend que ça va changer ensuite

Snparg a écrit:Sûr pour 2013 mais il sous-entend que ça va changer ensuite

C'est un homme politique : il ne va pas dire qu'il est impuissant et qu'il ne fera rien par la suite. Maintenant, le fait de ne pas s'y atteler dès maintenant est quand même un sacré signe.

Je trouve aussi.
Et 2014, c'est deux ans avant la campagne électorale. A peine...

Celeborn, quel optimisme !

Comme tu le dis, c'est un homme politique et, en bon stratège, il n'attaque pas plusieurs fronts à la fois mais va au contraire affronter ses adversaires les uns après les autres.

Cette tactique, s'il manoeuvre bien, peut lui permettre de faire valider le résultat des négociations par le Snuipp sans que cela ne provoque de remous au sein de la FSU avec le Snes, ce qui pourrait arriver s'il s'attaquait en même temps au secondaire et que tous les syndicats entrent en lice.

Alors que, dans le secondaire, l'unité entre organisations syndicales semble possible en cas d'attaque violente contre le statut et les missions de l'enseignement secondaire, ce n'est pas le cas dans le primaire, où FO est le seul syndicat à batailler. Espérons que les collègues, qui sont bien remontés dans les écoles, sauront reprendre le pouvoir et imposer leurs revendications au Snuipp. Sinon, on est mal...

Bref...

Mowgli a écrit:Celeborn, quel optimisme !

Comme tu le dis, c'est un homme politique et, en bon stratège, il n'attaque pas plusieurs fronts à la fois mais va au contraire affronter ses adversaires les uns après les autres.

Cette tactique, s'il manoeuvre bien, peut lui permettre de faire valider le résultat des négociations par le Snuipp sans que cela ne provoque de remous au sein de la FSU avec le Snes, ce qui pourrait arriver s'il s'attaquait en même temps au secondaire et que tous les syndicats entrent en lice.

Alors que, dans le secondaire, l'unité entre organisations syndicales semble possible en cas d'attaque violente contre le statut et les missions de l'enseignement secondaire, ce n'est pas le cas dans le primaire, où FO est le seul syndicat à batailler. Espérons que les collègues, qui sont bien remontés dans les écoles, sauront reprendre le pouvoir et imposer leurs revendications au Snuipp. Sinon, on est mal...

Bref...

Le problème, c'est que pour un ou deux collègues lucides sur ce qui nous attend, nous avons tous les autres qui disent, "mais non ça n'est pas possible, ils ne vont pas faire ça"... Du coup ils attendent surtout la mobilisation venant de l'extérieur et comme dans beaucoup d'endroit, seul le snuipp a la parole... Je crois donc qu'on est mal...

Les instits vont travailler 40 jours de plus sans compensation ?
Mais ils faisaient quoi avant ?

Ils glandaient, sans doute.

Le mercredi, ce n'est qu'un début. J'espère qu'on va leur sucrer aussi leurs interminables vacances.