Reprendre des études... juste pour le plaisir.

alberto79 a écrit:

MrBrightside a écrit:Moi, après une discussion avec ma meilleure amie, je commence à avoir le doute.

J'ai fait un mémoire de master calamiteux, mal dirigé par mon directeur-fantôme, et j'ai juste obtenu le 14 minimum pour continuer en thèse si l'envie m'en prenait.
Sauf que j'ai honte de cette bouse, et je n'ai aucunement l'intention de me ridiculiser à faire lire ça à un-e évnetuelle directeur-trice de thèse.

Du coup, je songe à refaire un nouveau mémoire, peut-être directement avec la prof que j'envisage comme directrice de thèse plus tard. A votre avis, jouable ou pas, tout en bossant?

Mr. B, pour vous donner mon avis il faut que je sache pourquoi vous voulez faire une thèse :
a) Pour devenir MCF.
b) Pour devenir prof dans une prépa littéraire.
c) Pour augmenter votre légitimité comme prof de prépa.
d) Pour votre épanouissement personnel.

Le souci étant que je n'en sais rien. Plutôt b) et d.) La fac m'intéresse de moins en moins, éventuellement plus tard, mais ce n'est pas la priorité dans l'immédiat, d'autant que je peux toujours prendre un TD si l'envie me vient.

Ce que dis Nadejda m'inquiète par contre

Si tu veux faire plus d'études, MrB, tu peux postuler aux EU, hein? Et là, en général, tu te fais payer plutôt. Des programmes de littérature comparée, par exemple, payé soit par un (Mr.)Fulbright, soit par des subventions propres à l'université, ou en travaillant comme TA (pas si exploité que ça). Ce n'est pas le grand luxe, mais les bibliothèques n'ont ... strictement ... rien ... à ... voir. :lecteur:


Je m'en vais avant que quelqu'un ne sorte le fouet... :lol:

xphrog a écrit:Si tu veux faire plus d'études, MrB, tu peux postuler aux EU, hein? Et là, en général, tu te fais payer plutôt. Des programmes de littérature comparée, par exemple, payé soit par un Fullbright, soit par des subventions propre à l'université, ou en travaillant comme TA (pas si exploité que ça). Ce n'est pas le grand luxe, mais les bibliothèques n'ont ... strictement ... rien ... à ... voir.


Je m'en vais avant que quelqu'un sort le fouet... :lol:

Mouais, j'en avais discuté avec deux profs de littérature là-bas, même celle qui était diplômée de Columbia a ramé longtemps avant de trouver son poste dans la petite fac ou j'étais TA. C'est hyper-bouché pour enseigner en fac là-bas. Et si c'est pour faire reconnaitre le diplôme en France, ça a aussi l'air compliqué.

Oui, je dis pas que tu restes chercher un emploi là, hein? Prof de prépa agrégé, ça paie bien mieux que le fac ici. Je croyais que c'était plutôt pour le plaisir / le contenu ...

Nestya, j'ai suivi les cours de culture générale du CNED l'an dernier mais sur le cinéma (Analyse du film). C'était très intéressant, mais je me suis surestimée. En travaillant à temps plein, je n'ai pas pu envoyer tous les devoirs (J'avais pris les cours de base plus un module complémentaire). De plus, j'ai trouvé difficile de travailler à distance, sans cadre. Je ne regrette pas car les cours étaient top et j'ai appris plein de choses.
Cette année, je prépare l'agrèg, pour le plaisir , sans pression, juste pour lire et réfléchir. Et je demande un temps partiel l'an prochain, peut être pour l'agrèg ou pour autre chose, on verra. Le CNED ça a au moins servi à ça : je ne veux plus passer tout mon temps à préparer des cours !

Saloum a écrit:Nestya, j'ai suivi les cours de culture générale du CNED l'an dernier mais sur le cinéma (Analyse du film). C'était très intéressant, mais je me suis surestimée. En travaillant à temps plein, je n'ai pas pu envoyer tous les devoirs (J'avais pris les cours de base plus un module complémentaire). De plus, j'ai trouvé difficile de travailler à distance, sans cadre. Je ne regrette pas car les cours étaient top et j'ai appris plein de choses.
Cette année, je prépare l'agrèg, pour le plaisir , sans pression, juste pour lire et réfléchir. Et je demande un temps partiel l'an prochain, peut être pour l'agrèg ou pour autre chose, on verra. Le CNED ça a au moins servi à ça : je ne veux plus passer tout mon temps à préparer des cours !

Merci de ton témoignage!
ça y est, j'ai reçu les cours du CNED sur l'histoire de l'art. Je ne sais pas trop par quoi commencer. J'ai commencé par lire le cours sur l'art roman et je fais des fiches mais pour l'instant, ce cours-là me semble bien léger. L'auteur insiste pas mal sur la musique médiévale or, ça j'avoue que ça ne m'intéresse pas du tout et je n'y comprends pas grand chose, n'ayant aucune notion de culture musicale.
J'espère que la suite sera plus intéressante.

MrBrightside a écrit:

alberto79 a écrit:

MrBrightside a écrit:Moi, après une discussion avec ma meilleure amie, je commence à avoir le doute.

J'ai fait un mémoire de master calamiteux, mal dirigé par mon directeur-fantôme, et j'ai juste obtenu le 14 minimum pour continuer en thèse si l'envie m'en prenait.
Sauf que j'ai honte de cette bouse, et je n'ai aucunement l'intention de me ridiculiser à faire lire ça à un-e évnetuelle directeur-trice de thèse.

Du coup, je songe à refaire un nouveau mémoire, peut-être directement avec la prof que j'envisage comme directrice de thèse plus tard. A votre avis, jouable ou pas, tout en bossant?

Mr. B, pour vous donner mon avis il faut que je sache pourquoi vous voulez faire une thèse :
a) Pour devenir MCF.
b) Pour devenir prof dans une prépa littéraire.
c) Pour augmenter votre légitimité comme prof de prépa.
d) Pour votre épanouissement personnel.

Le souci étant que je n'en sais rien. Plutôt b) et d.) La fac m'intéresse de moins en moins, éventuellement plus tard, mais ce n'est pas la priorité dans l'immédiat, d'autant que je peux toujours prendre un TD si l'envie me vient.

Ce que dis Nadejda m'inquiète par contre

Je vous conseille d´oublier complètement l´idée de faire un second Master 2. Vous pourriez toujours obtenir une dérogation pour le faire, mais il ne vous servirait strictement à rien. Votre note dans un M2 quand vous êtes devenu docteur est complétement insignifiante. C´est comme si vous obtenez une mention très bien au Bac. Personne ne regarderait ce que vous aviez obtenu au brevet. Croyez-moi, si vous avez envie, foncez dans une thèse tout de suite et oubliez ces idées de répéter votre M2.

alberto79 a écrit:

MrBrightside a écrit:

alberto79 a écrit:

MrBrightside a écrit:Moi, après une discussion avec ma meilleure amie, je commence à avoir le doute.

J'ai fait un mémoire de master calamiteux, mal dirigé par mon directeur-fantôme, et j'ai juste obtenu le 14 minimum pour continuer en thèse si l'envie m'en prenait.
Sauf que j'ai honte de cette bouse, et je n'ai aucunement l'intention de me ridiculiser à faire lire ça à un-e évnetuelle directeur-trice de thèse.

Du coup, je songe à refaire un nouveau mémoire, peut-être directement avec la prof que j'envisage comme directrice de thèse plus tard. A votre avis, jouable ou pas, tout en bossant?

Mr. B, pour vous donner mon avis il faut que je sache pourquoi vous voulez faire une thèse :
a) Pour devenir MCF.
b) Pour devenir prof dans une prépa littéraire.
c) Pour augmenter votre légitimité comme prof de prépa.
d) Pour votre épanouissement personnel.

Le souci étant que je n'en sais rien. Plutôt b) et d.) La fac m'intéresse de moins en moins, éventuellement plus tard, mais ce n'est pas la priorité dans l'immédiat, d'autant que je peux toujours prendre un TD si l'envie me vient.

Ce que dis Nadejda m'inquiète par contre

Je vous conseille d´oublier complètement l´idée de faire un second Master 2. Vous pourriez toujours obtenir une dérogation pour le faire, mais il ne vous servirait strictement à rien. Votre note dans un M2 quand vous êtes devenu docteur est complétement insignifiante. C´est comme si vous obtenez une mention très bien au Bac. Personne ne regarderait ce que vous aviez obtenu au brevet. Croyez-moi, si vous avez envie, foncez dans une thèse tout de suite et oubliez ces idées de répéter votre M2.

+ 1000 ! Suis le judicieux conseil d'Alberto79 et arrête de culpabiliser sur le M2 !

Et le directeur de thèse pressenti aura tôt fait de repérer la motivation de son thésard. Quelqu'un qui se montrera spontanément intéressé par ses sujets de recherche et aura déjà beaucoup lu fera oublier la note un peu moyenne obtenue en master. Il ne manque pas d'étudiants en master certes très studieux (= avec une mention TB) mais sans aucune passion pour la recherche, hélas !
Les professeurs peuvent aussi très bien comprendre les difficultés rencontrées par les étudiants lorsqu'ils se familiarisent avec la recherche.
Discutes-en dans tous les cas avec le professeur en question !

Nestya a écrit:L'université de Lille 3 propose une Licence d'histoire de l'art et d'histoire dans le cadre de l'enseignement à distance. Le programme a l'air super!!!! Je vais envisager ça sérieusement. Reste à voir si j'aurai le temps de mener un travail à temps plein et les études.
Sinon, j'ai vu que le CNED proposait 2 modules d'histoire de l'art mais uniquement dans le but d'améliorer sa culture générale. ça ne débouche sur aucun diplôme.

Amaliah a écrit:Après l'agrég de LM, je me suis inscrite en 1° année de LC et j'ai passé tous les examens de latin et de grec mais pas ceux de littérature française. J'ai eu ma licence en fin de compte. C'était chouette mais à Toulouse les cours du SED sont très limités : aucun cours par correspondance en littérature. J'ai dû traduire moi-même tous les textes au programme et faire des explications moi-même, ce qui était difficile. J'en aurais tellement plus appris avec des cours!

Et tu as eu ta licence en 3 ans ou il t'a fallu plus de temps?

une ancienne collègue a fait ça (à lille 3 précisément, car c'est la seule qui propose un enseignement à distance), en hist de l'art. Elle a commencé il y a qq années, alors qu'elle avait des enfants (mais un peu grands), elle en était ravie même s'il y a des moments de rush pour les partiels qui tombent en même temps que les corrections de bac. Je ne me rappelle plus en combien de temps elle a décroché sa licence en revanche.

je pense que je ferai moi même ça dans qq années.

Oiseau phenix a écrit:

Nestya a écrit:L'université de Lille 3 propose une Licence d'histoire de l'art et d'histoire dans le cadre de l'enseignement à distance. Le programme a l'air super!!!! Je vais envisager ça sérieusement. Reste à voir si j'aurai le temps de mener un travail à temps plein et les études.
Sinon, j'ai vu que le CNED proposait 2 modules d'histoire de l'art mais uniquement dans le but d'améliorer sa culture générale. ça ne débouche sur aucun diplôme.

Amaliah a écrit:Après l'agrég de LM, je me suis inscrite en 1° année de LC et j'ai passé tous les examens de latin et de grec mais pas ceux de littérature française. J'ai eu ma licence en fin de compte. C'était chouette mais à Toulouse les cours du SED sont très limités : aucun cours par correspondance en littérature. J'ai dû traduire moi-même tous les textes au programme et faire des explications moi-même, ce qui était difficile. J'en aurais tellement plus appris avec des cours!

Et tu as eu ta licence en 3 ans ou il t'a fallu plus de temps?

une ancienne collègue a fait ça (à lille 3 précisément, car c'est la seule qui propose un enseignement à distance), en hist de l'art. Elle a commencé il y a qq années, alors qu'elle avait des enfants (mais un peu grands), elle en était ravie même s'il y a des moments de rush pour les partiels qui tombent en même temps que les corrections de bac. Je ne me rappelle plus en combien de temps elle a décroché sa licence en revanche.

je pense que je ferai moi même ça dans qq années.

Merci pour le témoignage, c'est encourageant!

Zelda a écrit:J'y pense aussi mais avez-vous une idée du coût? Car il me semble qu'une inscription à l'université quand on n'a plus le statut d'étudiant coûte très cher!

Arrêtez-moi si je me trompe, mais est-ce que ce n'est pas l'inscription à l'université qui confère le statut d'étudiant, et ce quel que soit notre âge?

Nestya a écrit:

Justinien a écrit:Moi, j'aimerais bien faire quelque chose de mes mains: je pensais à la reliure.

ça doit être génial. Mais je ne saurais même où me renseigner pour savoir s'il y a des cours près de chez moi (l'art du vitrail m'intéresse beaucoup aussi).

Zelda a écrit:J'y pense aussi mais avez-vous une idée du coût? Car il me semble qu'une inscription à l'université quand on n'a plus le statut d'étudiant coûte très cher!

Pour le SEAD de Lille, voici les tarifs:
http://sead.univ-lille3.fr/tarifs.htm

Tu peux toujours chercher sur internet. Et puis, le Nord, ce n'est a loin de Paris.

Justinien a écrit:

Zelda a écrit:J'y pense aussi mais avez-vous une idée du coût? Car il me semble qu'une inscription à l'université quand on n'a plus le statut d'étudiant coûte très cher!

Arrêtez-moi si je me trompe, mais est-ce que ce n'est pas l'inscription à l'université qui confère le statut d'étudiant, et ce quel que soit notre âge?

Pour m'être réinscrite cette année à la fac, après 10 années d'interruption : j'ai le statut d'étudiante à la fac, l'inscription est faite dans le cadre "Formation permanente" (qui revient au même que la "formation initiale", sauf que pour la formation initiale, il ne faut pas d'année(s) d'interruption). Les frais sont les mêmes que pour n'importe quel autre étudiant (la sécu en moins bien sûr). Pour une inscription en M2 Recherche, j'ai donc payé un peu plus de 250 €.
C'est lorsqu'on est inscrit en formation continue que cela coûte beaucoup plus cher, mais il me semble que dans ces cas-là, c'est l'employeur qui paye la formation, ou du moins une bonne partie ... faudrait que je regarde sur les papiers d'inscription.

Attention à cette distinction entre formation continue et permanente, car effectivement les enjeux financiers sont importants. Une de mes meilleures amies voulait s'inscrire en thèse dans une Université que je ne citerai pas, et la scolarité a prétendu lui faire payer une inscription en "formation continue": sauf qu'elle est prof de philo et je me demande bien qui, du côté "employeur" accepterait de lui payer une partie de sa formation...

Bon, témoignage frais: cela fait deux semaines que je me suis vraiment mise au rythme travail+études.
C'est épuisant, mais très riche intellectuellement.
J'ai décidé de consacrer, qu'il vente, pleuve - des copies!-, 4 heures par jour à mes études - domaine inconnu de moi, donc je découvre! J'ai obtenu une équivalence en L2, mais j'ai quelques matières fondamentales à repasser, je ne sais pas si je n'aurais pas mieux fait de repasser par la case départ.
Le rythme est infernal. Heureusement que je suis loin de mon copain cette année, et que je m'ennuie ici! Mais l'année prochaine, on se rejoint, et là, il faudra s'accrocher pour ne pas avoir la tentation de vivre enfin.
Mais c'est plus fort que moi, j'ai toujours besoin d'apprendre plus, et je veux changer de métier. Donc pas tant pour le plaisir, en fait. Bien plus que ça...

Si ça n'est pas indiscret, Sibérie, tu reprends des études dans quel domaine ?
Bon ce post est motivant car j'ai repris contact avec mon université d'origine pour envisager un M2 de philo l'année prochaine...

J'ai discuté hier avec mon ami qui a passé sa licence d'histoire de l'art à distance avec l'université de Lille. Il a résumé le contenu de la formation en une phrase, limpide: " Soyons clairs, j'ai fait de l'or avec de la merde." Venant de lui, qui trouve toujours un intérêt à la moindre lecture, au moindre film, au moindre cours, ça veut tout dire...

Pour le coût, il me semble que par semestre ça lui revenait en gros à 700€, auxquels il fallait ajouter les frais d'inscription annuels de 200 euros en gros, je crois. Ce qui l'a mis en rogne, c'était le fait que sur la plate-forme de cours numériques, les cours sont souvent arrivés trèèèès tard et/ou mal présentés, rédigés, parfois même sans reproduction des oeuvres dont il était question dans les cours. Cela occasionnait un temps de recherche assez impressionnant pour se procurer ses reproductions, et il n'a pu couper à l'achat d'ouvrages divers pour comprendre et compléter ses cours.
Donc au final, oui, ça fait un sacré budget, aussi cher et même plus élevé que les cours Sévigné pour un agrégatif.

On peut avoir l'agrégation sans cours Sévigné, Dieu merci! Je n'avais rien pris du tout. Juste les livres et les critiques.

Je n'ai pas dit qu'il fallait les cours Sévigné pour l'agreg...

Ce n'est pas ce que j'ai dit non plus. Juste: une précision comme ça, puisque ta dernière phrase les mentionnait, ces fameux cours onéreux ne sont pas indispensables. That's all!

ok....mais pour le coup, le contenu des cours Sévigné vaut largement la fortune qu'on paie pour les avoir! ;-)

diddle21000 a écrit:

Justinien a écrit:

Zelda a écrit:J'y pense aussi mais avez-vous une idée du coût? Car il me semble qu'une inscription à l'université quand on n'a plus le statut d'étudiant coûte très cher!

Arrêtez-moi si je me trompe, mais est-ce que ce n'est pas l'inscription à l'université qui confère le statut d'étudiant, et ce quel que soit notre âge?

Pour m'être réinscrite cette année à la fac, après 10 années d'interruption : j'ai le statut d'étudiante à la fac, l'inscription est faite dans le cadre "Formation permanente" (qui revient au même que la "formation initiale", sauf que pour la formation initiale, il ne faut pas d'année(s) d'interruption). Les frais sont les mêmes que pour n'importe quel autre étudiant (la sécu en moins bien sûr). Pour une inscription en M2 Recherche, j'ai donc payé un peu plus de 250 €.
C'est lorsqu'on est inscrit en formation continue que cela coûte beaucoup plus cher, mais il me semble que dans ces cas-là, c'est l'employeur qui paye la formation, ou du moins une bonne partie ... faudrait que je regarde sur les papiers d'inscription.

+1

J'ai recherché dans mes documents, c'est très clair :

Inscription administrative annuelle
RÉGIME INSCRIPTION

* LA FORMATION PERMANENTE ( code 3 )
concerne essentiellement les étudiants EN REPRISE D’ÉTUDES NON FINANCÉES APRÈS 2 ANS D’ARRÊT qui ne bénéficient
pas d’une prise en charge par un organisme public ou privé dans le cadre d’un dispositif de formation continue
(exemple : les candidats au DAEU et autres...)
*
LA FORMATION CONTINUE ( code 2 )
concerne surtout la formation d’actifs (salariés, demandeurs d’emploi, en congés de formation) ou d’inactifs
(retraités, femmes au foyer...) en reprise d’études qui bénéficient D’UNE PRISE EN CHARGE ou D’UN FINANCEMENT
par un organisme public ou privé extérieur ou font RECONNAÎTRE LEUR STATUT SPÉCIFIQUE.
CONTACTER OBLIGATOIREMENT LE SERVICE DE FORMATION CONTINUE (SUFCOB) - MAISON DE L’UNIVERSITÉ - 1ER ÉTAGE
POUR PROCÉDER À VOTRE INSCRIPTION ADMINISTRATIVE.
Ne sont pas concernés : les étudiants salariés en continuité d’études qui exercent une activité régulière
pour subvenir à leurs besoins.
*
LA FORMATION PAR APPRENTISSAGE ( code 4 )
concerne essentiellement les étudiants ayant un statut particulier d’étudiant - apprenti (exemple : élèves ingénieurs
ITII, étudiants DUT ou de DU (IUT) ….).

* LA FORMATION PAR ALTERNANCE ( CODE 2 ou 4 )
- si vous êtes en CONTRAT DE QUALIFICATION - vous relevez de la formation continue ( code 2 )
- si vous êtes en CONTRAT D’APPRENTISSAGE - vous relevez de la formation par apprentissage ( code 4 )

Sibérie a écrit:Bon, témoignage frais: cela fait deux semaines que je me suis vraiment mise au rythme travail+études.
C'est épuisant, mais très riche intellectuellement.
J'ai décidé de consacrer, qu'il vente, pleuve - des copies!-, 4 heures par jour à mes études - domaine inconnu de moi, donc je découvre! J'ai obtenu une équivalence en L2, mais j'ai quelques matières fondamentales à repasser, je ne sais pas si je n'aurais pas mieux fait de repasser par la case départ.
Le rythme est infernal. Heureusement que je suis loin de mon copain cette année, et que je m'ennuie ici! Mais l'année prochaine, on se rejoint, et là, il faudra s'accrocher pour ne pas avoir la tentation de vivre enfin.
Mais c'est plus fort que moi, j'ai toujours besoin d'apprendre plus, et je veux changer de métier. Donc pas tant pour le plaisir, en fait. Bien plus que ça...

J'aimerais pouvoir consacrer 4 heures par jour à mes études. Mais je rentre entre 18h et 20h tous les soirs. Quant à mon mercredi, je le passe sur le campus (10h - 18h, avec pause repas de deux heures).
J'ai 4 "mini-méroires" à préparer pour le 15/20 décembre, je ne sais pas comment je vais faire ...

Bon, ça fait un moment que j'envisage de commencer une nouvelle licence. J'ai envisagé la philo (merci à Parménide), mais ce sera l'histoire, tout compte fait, passion plus évidente.

Paris X propose une licence à distance : c'est bien ? J'ai lu PauvreYorick vanter les mérites de la même licence en philosophie, alors...
Il y a aussi que ce que je préfère, c'est l'histoire ancienne. Je ne voudrais pas passer à côté d'une licence qui la mît plus à l'honneur. Que me conseilleriez-vous ?