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- pseudo-alisonNiveau 10
albertine02 a écrit:pseudo-alison a écrit:Je demande à une élève son carnet après de nombreux avertissements sur ses bavardages, elle refuse d'abord puis en me le donnant lache à haute voix : 'Qu'est-ce qu'elle a celle là elle a faim'.
'Celle là' elle va lui montrer de quel bois je me chauffe, j'ai demandé une journée d'exclusion.
et une lettre d'excuses, non ?
je l'avais demandée quand une gamine, dans les mêmes circonstances que toi, m'avait répondu "elle se sent plus pisser, celle-là"
elle faisait moins son intéressante quand elle a dû me présenter des excuses en public devant sa classe. sale gamine, va.
Si, si j'ai aussi demandé ça.
- caperucitaGuide spirituel
Dans le même genre que vous, les filles, j'ai eu droit à "Qu'est ce qu'elle a celle-là, elle a ses zoules ou quoi ?" (pas sûre de l'orthographe de zoules) J'étais stagiaire, et cette gamine m'en avait fait voir bien d'autre, donc je pense que je m'étais contentée d'un rapport d'incident...
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Premier néo-commandement : Je ne mettrai point de S au futur !!!
Par contre,si j'avais un marteau, je cognerais le jour, je cognerais la nuit, j'y mettrais tout mon coeur !
- tiptop77Prophète
Alors que tu es enceinte
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May the force be with us!
- albertine02Expert spécialisé
les filles sont parfois pires que les mecs, je trouve.
en tout cas, les pires souvenirs de ma carrière étaient féminins, qu'il s'agisse des cde ou des élèves.
en tout cas, les pires souvenirs de ma carrière étaient féminins, qu'il s'agisse des cde ou des élèves.
- caperucitaGuide spirituel
caperucita a écrit:Dans le même genre que vous, les filles, j'ai eu droit à "Qu'est ce qu'elle a celle-là, elle a ses zoules ou quoi ?" (pas sûre de l'orthographe de zoules) J'étais stagiaire, et cette gamine m'en avait fait voir bien d'autre, donc je pense que je m'étais contentée d'un rapport d'incident...
Tu n'as pas lu attentivement, tiptop, c'était il y a plusieurs années !tiptop77 a écrit:Alors que tu es enceinte
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Premier néo-commandement : Je ne mettrai point de S au futur !!!
Par contre,si j'avais un marteau, je cognerais le jour, je cognerais la nuit, j'y mettrais tout mon coeur !
- tiptop77Prophète
Oooooops! Lo siento
Bien d'accord avec Albertine pour les élèves désagréables. J'ai eu certaines élèves très ch........., des garçons aussi mais on va au clash et ça se calme. Avec les filles casse-pieds, c'est moins facile je trouve.
Bien d'accord avec Albertine pour les élèves désagréables. J'ai eu certaines élèves très ch........., des garçons aussi mais on va au clash et ça se calme. Avec les filles casse-pieds, c'est moins facile je trouve.
- farfallaEmpereur
tiptop77 a écrit:
Bien d'accord avec Albertine pour les élèves désagréables. J'ai eu certaines élèves très ch........., des garçons aussi mais on va au clash et ça se calme. Avec les filles casse-pieds, c'est moins facile je trouve.
Totalement d'accord avec toi ! Les filles peuvent vraiment être une plaie dans une classe. Je préfère les classes de mecs.
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"Si nada nos salva de la muerte, al menos que el amor nos salve de la vida" Pablo Neruda
"Yo lloré porque no tenía zapatos hasta que vi un niño que no tenía pies." Oswaldo Guayasamin
- Marie LaetitiaBon génie
albertine02 a écrit:tous les ans, j'entends les mêmes refrains, mais tous les ans j'hallucine...
quand je reçois ( convoque) les mamans des gamins super pénibles et super faibles, mamans qui me disent :
- pourtant, il me dit qu'il n'y a jamais de travail à faire à la maison....
ou bien
- je comprends pas pourquoi il ne fait pas plus d'efforts, il a pourtant tout ce qu'il veut, le portable, le pc, la tablette, la DS.....
et moi de suggérer, tout en légèreté, qu'éventuellement, elle pourrait, de temps à autre, vérifier le cahier de textes et supprimer un des gadgets de petit chéri....
franchement, ça me tue...deux entretiens comme ça hier soir, ça me tue.
:| on a les mêmes... *soupir*
albertine02 a écrit:pseudo-alison a écrit:Je demande à une élève son carnet après de nombreux avertissements sur ses bavardages, elle refuse d'abord puis en me le donnant lache à haute voix : 'Qu'est-ce qu'elle a celle là elle a faim'.
'Celle là' elle va lui montrer de quel bois je me chauffe, j'ai demandé une journée d'exclusion.
et une lettre d'excuses, non ?
je l'avais demandée quand une gamine, dans les mêmes circonstances que toi, m'avait répondu "elle se sent plus pisser, celle-là"
elle faisait moins son intéressante quand elle a dû me présenter des excuses en public devant sa classe. sale gamine, va.
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Si tu crois encore qu'il nous faut descendre dans le creux des rues pour monter au pouvoir, si tu crois encore au rêve du grand soir, et que nos ennemis, il faut aller les pendre... Aucun rêve, jamais, ne mérite une guerre. L'avenir dépend des révolutionnaires, mais se moque bien des petits révoltés. L'avenir ne veut ni feu ni sang ni guerre. Ne sois pas de ceux-là qui vont nous les donner (J. Brel, La Bastille)
Antigone, c'est la petite maigre qui est assise là-bas, et qui ne dit rien. Elle regarde droit devant elle. Elle pense. [...] Elle pense qu'elle va mourir, qu'elle est jeune et qu'elle aussi, elle aurait bien aimé vivre. Mais il n'y a rien à faire. Elle s'appelle Antigone et il va falloir qu'elle joue son rôle jusqu'au bout...
Et on ne dit pas "voir(e) même" mais "voire" ou "même".
- caperucitaGuide spirituel
J'avais un collègue qui m'expliquait qu'en tant que femme, on avait plus de chance de rencontrer des problèmes avec les filles, quand les collègues hommes auront plus de clash avec les garçons, question de rivalité implicite, rapport de séduction (implicite aussi...). C'est ma 4e rentrée, et je dois dire que si je cherche dans ma mémoire, les élèves qui m'ont le plus posé problème, avec lesquels ça a été le plus loin, étaient des filles. Alors, mon collègue avait-il raison, ou est-ce que les élèves filles sont plus difficiles que les garçons, dans l'absolu ?
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Premier néo-commandement : Je ne mettrai point de S au futur !!!
Par contre,si j'avais un marteau, je cognerais le jour, je cognerais la nuit, j'y mettrais tout mon coeur !
- Marie LaetitiaBon génie
ah je suis totalement de l'avis de ton collègue !
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Si tu crois encore qu'il nous faut descendre dans le creux des rues pour monter au pouvoir, si tu crois encore au rêve du grand soir, et que nos ennemis, il faut aller les pendre... Aucun rêve, jamais, ne mérite une guerre. L'avenir dépend des révolutionnaires, mais se moque bien des petits révoltés. L'avenir ne veut ni feu ni sang ni guerre. Ne sois pas de ceux-là qui vont nous les donner (J. Brel, La Bastille)
Antigone, c'est la petite maigre qui est assise là-bas, et qui ne dit rien. Elle regarde droit devant elle. Elle pense. [...] Elle pense qu'elle va mourir, qu'elle est jeune et qu'elle aussi, elle aurait bien aimé vivre. Mais il n'y a rien à faire. Elle s'appelle Antigone et il va falloir qu'elle joue son rôle jusqu'au bout...
Et on ne dit pas "voir(e) même" mais "voire" ou "même".
- paul31Érudit
caperucita a écrit:J'avais un collègue qui m'expliquait qu'en tant que femme, on avait plus de chance de rencontrer des problèmes avec les filles, quand les collègues hommes auront plus de clash avec les garçons, question de rivalité implicite, rapport de séduction (implicite aussi...). C'est ma 4e rentrée, et je dois dire que si je cherche dans ma mémoire, les élèves qui m'ont le plus posé problème, avec lesquels ça a été le plus loin, étaient des filles. Alors, mon collègue avait-il raison, ou est-ce que les élèves filles sont plus difficiles que les garçons, dans l'absolu ?
Ton collègue a bien raison !
- caperucitaGuide spirituel
L'année de stage, les filles de ma classe de 3e étaient toujours à me scruter de la tête aux pieds, à commenter si ce jour là j'avais mis du rouge à lèvres ou du gloss, si j'étais habillée comme ci ou comme ça, à se comparer, quoi ! Quand je repense à cette année, aux difficultés que j'ai eues, je me dis que ça devait être écrit au milieu de mon front, que c'était ma première année, car depuis, même en étant TZR, je n'ai revécu une situation aussi infecte !
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Premier néo-commandement : Je ne mettrai point de S au futur !!!
Par contre,si j'avais un marteau, je cognerais le jour, je cognerais la nuit, j'y mettrais tout mon coeur !
- ShajarVénérable
Hier, j'ai pris une heure pour discuter avec ma classe de TSTG de "comment peut-on faire pour faire un cours correct ?". (C'est pas comme si on avait déjà trois semaines de retard, mais bon).
C'est une classe très féminine (7 garçons sur 33), mais avec les éléments masculins sont aussi casse-bonbons que les homologues féminines. Ils ne sont pas méchants (même si ça peut parfois clasher), mais très très très très très très très très bavards. Depuis le début de l'année, je me bats contre eux pour pouvoir faire cours dans le silence. Je m'arrête lorsqu'ils parlent. Je sors de tous mes cours avec eux épuisée, la voix pétée, le crâne comme une citrouille et avec une forte envie de pleurer (qui n'est souvent pas qu'une envie, les collègues me ramassent à la petite cuiller).
Et eux, avec leurs grands yeux naïfs, me disent "Mais madame, on ne peut pas se taire pendant une heure. C'est pas possible du tout. On n'y peut rien, c'est la puberté, c'est les hormones [moi : ]. Vous ne pourrez jamais avoir le silence complet, c'est pas possible. Et puis lever la main, on ne peut pas, quand on sait ça sort, c'est normal." etc.
J'ai passé une heure à argumenter avec eux sur le fait qu'ils devaient être silencieux en classe. On a fini par un règlement en trois points :
1) je ne parle pas quand le professeur parle
2) je peux parler quand je travaille en groupe ou quand le professeur distribue des documents
3) je lève la main pour demander la parole.
Mais je suis juste ahurie par leur attitude tout à fait hébétée (et elle était sincère, je pense, même si certains m'ont fait des reproches pour me déstabiliser) quant à la nécessité d'avoir du silence en classe. Une heure pour leur en faire comprendre la nécessité, en terminale... et la plupart n'étaient pas du tout convaincus.
Petite hallu de néotit'... J'ai encore des choses à apprendre.
C'est une classe très féminine (7 garçons sur 33), mais avec les éléments masculins sont aussi casse-bonbons que les homologues féminines. Ils ne sont pas méchants (même si ça peut parfois clasher), mais très très très très très très très très bavards. Depuis le début de l'année, je me bats contre eux pour pouvoir faire cours dans le silence. Je m'arrête lorsqu'ils parlent. Je sors de tous mes cours avec eux épuisée, la voix pétée, le crâne comme une citrouille et avec une forte envie de pleurer (qui n'est souvent pas qu'une envie, les collègues me ramassent à la petite cuiller).
Et eux, avec leurs grands yeux naïfs, me disent "Mais madame, on ne peut pas se taire pendant une heure. C'est pas possible du tout. On n'y peut rien, c'est la puberté, c'est les hormones [moi : ]. Vous ne pourrez jamais avoir le silence complet, c'est pas possible. Et puis lever la main, on ne peut pas, quand on sait ça sort, c'est normal." etc.
J'ai passé une heure à argumenter avec eux sur le fait qu'ils devaient être silencieux en classe. On a fini par un règlement en trois points :
1) je ne parle pas quand le professeur parle
2) je peux parler quand je travaille en groupe ou quand le professeur distribue des documents
3) je lève la main pour demander la parole.
Mais je suis juste ahurie par leur attitude tout à fait hébétée (et elle était sincère, je pense, même si certains m'ont fait des reproches pour me déstabiliser) quant à la nécessité d'avoir du silence en classe. Une heure pour leur en faire comprendre la nécessité, en terminale... et la plupart n'étaient pas du tout convaincus.
Petite hallu de néotit'... J'ai encore des choses à apprendre.
- caperucitaGuide spirituel
Marie Laetitia a écrit:ah je suis totalement de l'avis de ton collègue !
paul31 a écrit:
Ton collègue a bien raison !
ça a l'air simpliste de dire ça, mais je le constate vraiment. Les filles qui jouent les pimbêches (pour être polie) avec moi minaudent devant mes collègues hommes, essaient de les séduire, et les garçons qui essaient d'être le mâle dominant, d'avoir le dessus sur le collègue homme, avec moi, sont dans le rapport de séduction, je peux les rattraper avec un mot d'humour, en les cassant un peu...
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Par contre,si j'avais un marteau, je cognerais le jour, je cognerais la nuit, j'y mettrais tout mon coeur !
- caperucitaGuide spirituel
Ouch en Terminale, Al qalam ??? :shock:
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Par contre,si j'avais un marteau, je cognerais le jour, je cognerais la nuit, j'y mettrais tout mon coeur !
- ShajarVénérable
caperucita a écrit:les garçons qui essaient d'être le mal dominant
Lapsus révélateur ?
- albertine02Expert spécialisé
caperucita a écrit:J'avais un collègue qui m'expliquait qu'en tant que femme, on avait plus de chance de rencontrer des problèmes avec les filles, quand les collègues hommes auront plus de clash avec les garçons, question de rivalité implicite, rapport de séduction (implicite aussi...). C'est ma 4e rentrée, et je dois dire que si je cherche dans ma mémoire, les élèves qui m'ont le plus posé problème, avec lesquels ça a été le plus loin, étaient des filles. Alors, mon collègue avait-il raison, ou est-ce que les élèves filles sont plus difficiles que les garçons, dans l'absolu ?
+ moi....
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