- User5899Demi-dieu
Pour transmettre il faut être sincérement bienveillant avec ses élèves.
Oh mais, ça a l'air rigolo, ici
Malheureusement, ma fainéantise est arrivée à son terme et, si je veux bouffer, il faut que j'aille faire semblant de bosser, malgré mon charisme incroyable.
A demain, ne soyez pas sages, qu'on rigole un peu
- thrasybuleDevin
J'exige qu'on bécote Cripure sur un ban public!
- JaneBNeoprof expérimenté
Canardo a écrit:Provence, tu dis qu'on peut appliquer ce j'ai écrit à n'importe quel boulot et tu crois faire de l'esprit en appliquant ça au médecin et au mécano, mais c'est tout à fait vrai : bien sûr que c'est valable pour n'importe quel profession, de a plus manuelle au plus intellectuelle, du moment que c'est juste pour la graille. C'est juste du bon sens: le type qui ne s'épanouit pas dans son boulot ne va pas en faire des caisses et il y a toutes les chances qu'il le fasse moins bien que celui qui se sent investi. Et ce type sera plus sujet à la déprime que celui qui ne va pas au travail à reculons, motivé seulement par le chèque du fin de mois. Je ne crois pas lâcher une absurdité en affirmant cela.
Et quand tu dis que je qualifie mes collègues dépressifs de boulets, oui, c'est vrai que ce que j'ai écrit revient un peu à dire cela. Mais je ne suis pas pour autant un méchant sans coeur et je n'ai absolument rien contre les dépressifs. Personne n'est à l'abri de faire une dépression un jour, et on ne peut que plaindre ceux qui traversent cette épreuve.
Je crois qu'il y a des tas de gens qui font un boulot alimentaire : caissière, ouvrier, éboueur ...et si on t'écoute, ces gens sont voués à devenir fainéants et dépressifs et donc à devenir des " boulets" pour la société. Personnellement, je vois surtout des gens courageux! Question de point de vue ...
- BalthazaardVénérable
thrasybule a écrit:On se croirait à un compte-rendu de commissaire du peuple.Canardo a écrit:Pour ceux qui glosent sur les bienfaits de la fainéantise, arrêtez, les gars : "fainéant" est un mot péjoratif et être fainéant, ça ne signifie pas être efficace mais en avoir rien à foutre et donc préparer ses cours à l'arrache et donner le moins de devoirs possible pour éviter les corrections. Quand on sait que les élèves marchent à la carotte, c'est tout de même un peu dommage.
Maintenant, il est évident qu'un fainéant avec un charisme incroyable et une intelligence lumineuse sera meilleur prof qu'un collègue consciencieux qui explique mal et possède le charisme d'une huître. Mais là n'est pas le sujet, vous le savez bien...
C'est tout à fait vrai et pour ceux qui comme moi ont vécu une époque ou dans les lycées les mini-commissaires du peuple existaient on retrouve un parfum d'analyse trotskyste dans ces digressions sur le rapport au travail....je crois qu'il y a des M Jourdains ici
- thrasybuleDevin
Le troll est en grande forme ce soir, il faut l'avouer. Toujours balourd mais en progrès.
- User5899Demi-dieu
thrasybule a écrit:J'exige qu'on bécote Cripure sur un ban public!
Grand fou
- InvitéCaNiveau 2
JaneB, la différence entre une caissière, par exemple, et un prof, c'est que le métier d'une caissière est beaucoup plus fléché. Le prof qui n'aime pas son boulot, il a la possibilité de mal préparer ses cours, de mal corriger ses contrôles et d'en donner le moins possible. Ce sera la même quantité de tune qui sera virée sur son compte à la fin du mois. Y a donc cette liberté qui peut être une sorte de poison et, à mon sens, conduit à la fainéantise des moins motivés. Et les caissiers, et les ouvriers et les éboueurs, moi aussi je les trouve courageux, je les trouve super, ce sont mes amis. Comme ça, on a le même point du vue !
- User5899Demi-dieu
Moi aussi.Canardo a écrit:Les caissiers, et les ouvriers et les éboueurs, moi aussi je les trouve courageux, je les trouve super, ce sont mes amis.
- Spoiler:
- Mais ils sentent
- InvitéCaNiveau 2
Balthasaard, ton truc de trostkyste, c'est du grand délire. Allez hop, deux cachets et au lit !
- thrasybuleDevin
Envole-moi encore, Jean-Jacques.
- User5899Demi-dieu
Voilà, bien dit.Canardo a écrit:Pour moi, le prof qui considère ce métier comme purement alimentaire est voué soit à la fainéantise, soit à la dépression. Dans les deux cas, il deviendra un boulet pour l'Education Nationale.
Et pour la météo, vous avez des prévisions ? Parce qu'il fait quand même froid, je trouve, pour une fin avril. Bon, il faut croire qu'on a déjà vu ça, que n'a-t-on vu - le vieux style !
- RendashBon génie
Ces missionnaires auto-proclamés m'emmerdent, décidément
Parce que "en faire des caisses" = "bien faire son boulot", maintenant? :lol:
Bon, ça a au moins le mérite d'être clair..
Le type très investi et très épanoui dans son boulot vivra beaucoup plus mal la disparition de son feu sacré, qu'elle soit due à la simple lassitude ou à des réformes débiles (tournées vers le "en faire des caisses" plutôt que vers le sérieux, par exemple? ) qui en détruisent la substantifique moëlle. Là où d'autres prendront un sain et salutaire recul, lui va prendre une baffe, se rouler en boule sous sa couette et regarder Gossip Girl en mangeant du pop-corn. Salé, pour rester dans le mauvais goût.
Canardo a écrit:le type qui ne s'épanouit pas dans son boulot ne va pas en faire des caisses et il y a toutes les chances qu'il le fasse moins bien que celui qui se sent investi. Et ce type sera plus sujet à la déprime que celui qui ne va pas au travail à reculons, motivé seulement par le chèque du fin de mois. Je ne crois pas lâcher une absurdité en affirmant cela.
Parce que "en faire des caisses" = "bien faire son boulot", maintenant? :lol:
Bon, ça a au moins le mérite d'être clair..
Le type très investi et très épanoui dans son boulot vivra beaucoup plus mal la disparition de son feu sacré, qu'elle soit due à la simple lassitude ou à des réformes débiles (tournées vers le "en faire des caisses" plutôt que vers le sérieux, par exemple? ) qui en détruisent la substantifique moëlle. Là où d'autres prendront un sain et salutaire recul, lui va prendre une baffe, se rouler en boule sous sa couette et regarder Gossip Girl en mangeant du pop-corn. Salé, pour rester dans le mauvais goût.
- User5899Demi-dieu
Bah, souvent, ils ne se sentent plus péter, faut bien dire...Rendash a écrit:"en faire des caisses" = "bien faire son boulot", maintenant?
- MurrNiveau 9
Lefteris a écrit:C'est évident mais ça mérite d'être rappelé. Je l'ai d'ailleurs écrit dans la fiche de voeux de fin d'année, il y a quelque temps, dans la rubrique "projets": " enseigner et essayer d'aller le plus loin possible dans le programme".Murr a écrit:Comme si enseigner le français et les mathématiques n'était pas un projet suffisamment ambitieux...
Nous sommes dans une sorte de réserve d'illettrés mal élevés, on ne peut entrer dans l’établissement sans bouchons de protection auriculaires, nous faisons 60% au simulacre qu'est le brevet, mais au lieu d'étudier on nous propose de proposer des "projets".
Il est vrai que parfois c'est moins fatiguant que faire cours, tout en permettant d'être bien vu...
Oh, pas sûr... Faut voir l'épaisseur du dossier à constituer pour obtenir l'autorisation de se couvrir de plumes et de fumer le e-calumet de la paix ! Ça va quand on se sent l'âme d'un animateur car, personnellement, j'en ai des sueurs froides rien que d'y penser (tant d'énergie déployée en pure perte, tsss...)...
PS : Notez que je n'ai rien contre les Apaches, les Cheyennes et autres Comanches, du moment que ce sont les enfants - et non les élèves - qui vont à leur rencontre en dehors du temps scolaire.
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Ich bin der Geist, der stets verneint! (Goethe)
- fifi51Fidèle du forum
ça marche aussi pour les couples cette remarque .Rendash a écrit:
Le type très investi et très épanoui dans son boulot vivra beaucoup plus mal la disparition de son feu sacré, qu'elle soit due à la simple lassitude ou à des réformes débiles (tournées vers le "en faire des caisses" plutôt que vers le sérieux, par exemple? ) qui en détruisent la substantifique moëlle. Là où d'autres prendront un sain et salutaire recul, lui va prendre une baffe, se rouler en boule sous sa couette et regarder Gossip Girl en mangeant du pop-corn. Salé, pour rester dans le mauvais goût.
- DimkaVénérable
On s’en fout. Ce qui compte, c’est le résultat, et tout le reste, c’est du pur procès d’intention. N’importe quelle situation ouvre des tas de possibilités, et en général, on évalue les gens sur la réalité, pas sur les possibilités. Et ceci pour le caissier, le prof, le médecin ou le pompier.Canardo a écrit:Le prof qui n'aime pas son boulot, il a la possibilité de…
Et je trouve qu’il y a un aspect extrêmement totalitaire à vouloir normaliser ou juger les humeurs, les états d’âme et les motivations des gens (dans le sens où le totalitarisme se définit non seulement comme la volonté de contrôle des actes, mais aussi des pensées de l’individu). L’injonction permanente au bonheur, à la motivation, et aux sautillements de cabris me pèse infiniment plus que tout le reste, et je revendique le droit à l’ennui, à la mélancolie, à la fainéantise, du moment que je fais le taf pour lequel on me paie. La question de savoir si c’est viable, sain, pertinent, traumatisant…de faire tel truc avec telles motivations ne regarde que moi. On pourrait ajouter que la vie ou l’équilibre d’un individu ne se limite pas à son taf : je fais un boulot qui me saoule vaguement sans être complètement insupportable, et qui me donne le temps et les moyens de m’épanouir dans tel hobby, dans ma famille, dans une asso, dans le zonage sur internet… pourquoi pas ?
Pour la dépression, on tombe vraiment dans la grosse blague. On parle d’un trouble mental pathologique, pas du « moi qui n’y connais rien, j’en pense au doigt mouillé que c’est dû à ceci ou cela, et ressers-moi donc un verre, barman… », et encore moins du « il a vaguement pas le moral en se sortant de la couverture pour aller bosser le matin en hiver, c’est de la déprime ».
Après, chacun sa vision du monde… mais voir quelqu’un atteint d’une pathologie, comme un « boulet », euh… comment dire… Pour moi, l’éducation nationale a le droit (le devoir ?) de se préoccuper de deux choses, à propos de la dépression de ses personnels : d’abord, qu’elle n’en soit pas responsable par les conditions de travail qu’elle offre, ensuite d’offrir des conditions de travail ou de reconversion adaptées aux personnels qui en souffrent. Je veux dire, c’est comme n’importe quel problème de santé : un ouvrier qui se fait broyer la main n’est pas un boulet pour l’usine et se serait bizarre d’aller lui coller un procès d’intention, par contre, si le patron ne lui a pas offert les conditions de sécurité nécessaires, il est responsable, et par ailleurs, c’est normal qu’un ouvrier à la main broyée ait la possibilité d’avoir des congés maladie, un poste adapté, ou la possibilité de se reconvertir.
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- Spoiler:
- ysabelDevin
Il est drôle le nouveau...
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« vous qui entrez, laissez toute espérance ». Dante
« Il vaut mieux n’avoir rien promis que promettre sans accomplir » (L’Ecclésiaste)
- Thalia de GMédiateur
On évite les jugements personnels et on discute sur le fond.
Thalia pour la modération.
Thalia pour la modération.
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Le printemps a le parfum poignant de la nostalgie, et l'été un goût de cendres.
Soleil noir de mes mélancolies.
- IphigénieProphète
Bon un métier alimentaire n'empêche pas de trouver des aliments plus sympas que d'autres. On n'est pas obligés pour autant de se taper de la m***, comme dirait le défunt chauve dont j'ai oublié le nom, ni dans l'interdiction d'essayer d'améliorer l'ordinaire.
Bref, comme dans à peu près tous les métiers, on fait ce qu'on peut comme on peut en essayant de s'en sortir le moins mal.
Et le premier qui trouve la méthode du bonheur absolu et de la perfection charismatique universelle est dans l'obligation de la passer aux autres; et en attendant, système D pour chacun.
Est-ce une définition assez large pour un consensus?
Bref, comme dans à peu près tous les métiers, on fait ce qu'on peut comme on peut en essayant de s'en sortir le moins mal.
Et le premier qui trouve la méthode du bonheur absolu et de la perfection charismatique universelle est dans l'obligation de la passer aux autres; et en attendant, système D pour chacun.
Est-ce une définition assez large pour un consensus?
- mistougriNiveau 3
Bien sur que c'est un métier alimentaire comme quelqu’un l'a dit plus haut.
Je bosse pour gagner de l'argent pour manger, payer mes factures et crédits et éventuellement me faire des petits plaisirs ( ciné, voyage...)
Voilà ce pourquoi je bosse.
Je ne travaille pas parce que j'aime " transmettre un savoir, éduquer ,voir les élèves grandir " ..(bref tout le discours flonflon qu'on entend les bons livres de pédagogie).
Je bosse pour gagner de l'argent pour manger, payer mes factures et crédits et éventuellement me faire des petits plaisirs ( ciné, voyage...)
Voilà ce pourquoi je bosse.
Je ne travaille pas parce que j'aime " transmettre un savoir, éduquer ,voir les élèves grandir " ..(bref tout le discours flonflon qu'on entend les bons livres de pédagogie).
- InvitéCaNiveau 2
Hier, j'ai lâché une bombe dans ce forum :
"Pour moi, le prof qui considère ce métier comme purement alimentaire est voué soit à la fainéantise, soit à la dépression. Dans les deux cas, il deviendra un boulet pour l'Education Nationale."
Le nombre de messages offusqués qu'elle a généré est impressionnant ! ! ! En écrivant cela, je deviens un missionnaire autoproclamé et même un dangereux trotskiste aux penchants totalitaires. On n'est plus très loin du point godwin, allez encore un petit effort !
Certains internautes sont très doués pour l'étude de texte : pour eux, je me représente le métier de prof comme une passion, un sacerdoce, une vocation, une mission divine. Bien joué, c'est tout à fait ce que j'ai écrit ! ! !
D'autres pensent qu'un métier "purement alimentaire", c'est pour se nourrir mais ça n'empêche pas d'apprécier ce métier et de le faire avec intérêt. Ben non, dans ce cas, ce n'est plus "purement alimentaire".
Alors maintenant, je lâche une deuxième bombe :
Les profs qui défendent l'idée âprement l'idée qu'un prof fainéant n'est pas forcément un boulet sont vraisemblablement eux-mêmes de gros fainéants...
"Pour moi, le prof qui considère ce métier comme purement alimentaire est voué soit à la fainéantise, soit à la dépression. Dans les deux cas, il deviendra un boulet pour l'Education Nationale."
Le nombre de messages offusqués qu'elle a généré est impressionnant ! ! ! En écrivant cela, je deviens un missionnaire autoproclamé et même un dangereux trotskiste aux penchants totalitaires. On n'est plus très loin du point godwin, allez encore un petit effort !
Certains internautes sont très doués pour l'étude de texte : pour eux, je me représente le métier de prof comme une passion, un sacerdoce, une vocation, une mission divine. Bien joué, c'est tout à fait ce que j'ai écrit ! ! !
D'autres pensent qu'un métier "purement alimentaire", c'est pour se nourrir mais ça n'empêche pas d'apprécier ce métier et de le faire avec intérêt. Ben non, dans ce cas, ce n'est plus "purement alimentaire".
Alors maintenant, je lâche une deuxième bombe :
Les profs qui défendent l'idée âprement l'idée qu'un prof fainéant n'est pas forcément un boulet sont vraisemblablement eux-mêmes de gros fainéants...
- HocamSage
Dites, vous vous proclamiez gentil dans votre présentation : inutile de continuer à provoquer sur ce sujet, je pense.
- florestanGrand sage
Canardo a écrit:Hier, j'ai lâché une bombe dans ce forum :
"Pour moi, le prof qui considère ce métier comme purement alimentaire est voué soit à la fainéantise, soit à la dépression. Dans les deux cas, il deviendra un boulet pour l'Education Nationale."
Le nombre de messages offusqués qu'elle a généré est impressionnant ! ! ! En écrivant cela, je deviens un missionnaire autoproclamé et même un dangereux trotskiste aux penchants totalitaires. On n'est plus très loin du point godwin, allez encore un petit effort !
Certains internautes sont très doués pour l'étude de texte : pour eux, je me représente le métier de prof comme une passion, un sacerdoce, une vocation, une mission divine. Bien joué, c'est tout à fait ce que j'ai écrit ! ! !
D'autres pensent qu'un métier "purement alimentaire", c'est pour se nourrir mais ça n'empêche pas d'apprécier ce métier et de le faire avec intérêt. Ben non, dans ce cas, ce n'est plus "purement alimentaire".
Alors maintenant, je lâche une deuxième bombe :
Les profs qui défendent l'idée âprement l'idée qu'un prof fainéant n'est pas forcément un boulet sont vraisemblablement eux-mêmes de gros fainéants...
Mais c'est cool d'être fainéant, je revendique ma fainéantise ! Le travail, quelle valeur pourrie.
Moins je bosse mieux je me porte personnellement et comme je suis très charismatique et brillante, tout va bien (surtout mes chevilles ), mes cours improvisés sont passionnants, mes élèves m'adorent
Et j'ai plein de temps pour faire des choses beaucoup plus intéressantes que travailler pour le lycée.
- thrasybuleDevin
Non, pas gros, ma taille de guêpe fait l'admiration de tous!Canardo a écrit:Hier, j'ai lâché une bombe dans ce forum :
"Pour moi, le prof qui considère ce métier comme purement alimentaire est voué soit à la fainéantise, soit à la dépression. Dans les deux cas, il deviendra un boulet pour l'Education Nationale."
Le nombre de messages offusqués qu'elle a généré est impressionnant ! ! ! En écrivant cela, je deviens un missionnaire autoproclamé et même un dangereux trotskiste aux penchants totalitaires. On n'est plus très loin du point godwin, allez encore un petit effort !
Certains internautes sont très doués pour l'étude de texte : pour eux, je me représente le métier de prof comme une passion, un sacerdoce, une vocation, une mission divine. Bien joué, c'est tout à fait ce que j'ai écrit ! ! !
D'autres pensent qu'un métier "purement alimentaire", c'est pour se nourrir mais ça n'empêche pas d'apprécier ce métier et de le faire avec intérêt. Ben non, dans ce cas, ce n'est plus "purement alimentaire".
Alors maintenant, je lâche une deuxième bombe :
Les profs qui défendent l'idée âprement l'idée qu'un prof fainéant n'est pas forcément un boulet sont vraisemblablement eux-mêmes de gros fainéants...
- CondorcetOracle
On peut fort bien considérer son métier comme purement alimentaire (n'y trouver qu'un intérêt restreint) et le faire correctement.
- RendashBon génie
Canardo a écrit:Hier, j'ai lâché une bombe [...] maintenant, je lâche une deuxième bombe
Tâche d'éviter de faire ça en public à l'avenir, grossier merle.
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