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- meskiangasherNiveau 9
Le CAPES un concours difficile ? Dans plusieurs disciplines cela s'apparente plus à un examen facile (en gros on écrème les boulets).Dinaaa a écrit: un concours difficile
De toute façon on ne peut pas parler en même temps de concours difficile et de crise de recrutement.
- CelebornEsprit sacré
Le Conseil Supérieur de l'Éducation, réuni ce matin, a rendu un avis positif sur le projet de texte de loi concernant les emplois d'avenir enseignants.
On attend donc maintenant de pied ferme que tout le circuit législatif soit achevé afin de pouvoir discuter du décret d'application, qui rentrera dans les choses concrètes : horaires, priorités de recrutement, statut et rémunération des tuteurs, etc.
On attend donc maintenant de pied ferme que tout le circuit législatif soit achevé afin de pouvoir discuter du décret d'application, qui rentrera dans les choses concrètes : horaires, priorités de recrutement, statut et rémunération des tuteurs, etc.
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"On va bien lentement dans ton pays ! Ici, vois-tu, on est obligé de courir tant qu'on peut pour rester au même endroit. Si on veut aller ailleurs, il faut courir au moins deux fois plus vite que ça !" (Lewis Carroll)
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- CathEnchanteur
Ça me parait pas mal comme idée (pour une fois...).
Mais plutôt à partir de la 3° ou 4° année.
Ça permettrait de savoir à quoi on s'engage.
Mais plutôt à partir de la 3° ou 4° année.
Ça permettrait de savoir à quoi on s'engage.
- JohnMédiateur
L’UNSA Éducation s’inscrit dans l’appréciation positive mais exigeante qu’a portée son union interprofessionnelle, l’UNSA, sur le projet d’« emplois d’avenir ».
L’UNSA Éducation se félicite qu’un dispositif spécifique soit envisagé pour l’Éducation nationale. La présence, sur trois ans, de 18 000 adultes supplémentaires dans les écoles et établissements scolaires est une bonne nouvelle. L’UNSA Éducation considère d’autre part que ces emplois peuvent faciliter l’accès au professorat de jeunes étudiants issus de milieux modestes. Cela favorisera l’indispensable mixité sociale des enseignants et pourrait permettre de mettre un terme à l’inquiétante désaffection pour les concours.
Lors des discussions que doit ouvrir le ministre de l’Éducation nationale l’UNSA Éducation portera des exigences sur:
- les modalités de gestion de ces personnels (compte tenu en particulier des difficultés déjà dénoncées sur celle des « emplois aidés »);
- les tâches et les missions susceptibles d’être confiées à ces « emplois d’avenir »;
- les dispositifs d’accompagnement et de formation les concernant.
L’UNSA Éducation rappelle que la question des prérecrutements d’enseignants doit faire l’objet, dans le cadre de la « refondation de l’École », de discussions spécifiques.
L’UNSA Éducation agira pour que le déploiement de ces emplois d’avenir constitue un incontestable « plus » à la fois pour les jeunes concernés et pour le fonctionnement du service public laïque de l’Éducation nationale.
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- Hermione0908Modérateur
Le risque pervers ne serait-il pas que ces emplois avenir dans le système scolaire suppléent au manque de profs ? Peut-être pas au début, mais ensuite, il peut être tentant de se dire "ah bah tiens, il me manque un prof, le petit jeune peut bien faire quelques heures de rempla". Je ne sais pas si c'est mon optimisme naturel qui me fait peindre le diable au mur, mais j'ai un peu peur tout de même...
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Certaines rubriques de Neoprofs.org sont en accès restreint.
Pour en savoir plus, c'est par ici : https://www.neoprofs.org/t48247-topics-en-acces-restreint-forum-accessible-uniquement-sur-demande-edition-2021
- ysabelDevin
Hermione0908 a écrit:Le risque pervers ne serait-il pas que ces emplois avenir dans le système scolaire suppléent au manque de profs ? Peut-être pas au début, mais ensuite, il peut être tentant de se dire "ah bah tiens, il me manque un prof, le petit jeune peut bien faire quelques heures de rempla". Je ne sais pas si c'est mon optimisme naturel qui me fait peindre le diable au mur, mais j'ai un peu peur tout de même...
pourquoi tant de réalisme ?
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- CelebornEsprit sacré
Hermione0908 a écrit:Le risque pervers ne serait-il pas que ces emplois avenir dans le système scolaire suppléent au manque de profs ? Peut-être pas au début, mais ensuite, il peut être tentant de se dire "ah bah tiens, il me manque un prof, le petit jeune peut bien faire quelques heures de rempla". Je ne sais pas si c'est mon optimisme naturel qui me fait peindre le diable au mur, mais j'ai un peu peur tout de même...
C'est ce à quoi on va faire attention lors de l'examen du décret d'application. Mais on n'a pas un tel degré de précision dans la loi qui cadre l'ensemble. Donc il est possible par exemple qu'aporès avoir voté pour la loi, on vote contre le décret s'il laisse la porte ouverte à de telles choses.
Bref : la suite au prochain épisode !
Edit : à noter que le SNALC est, une fois n'est pas coutume, tout à fait d'accord avec l'UNSA
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- InvitéOHabitué du forum
Celeborn a écrit:Hermione0908 a écrit:Le risque pervers ne serait-il pas que ces emplois avenir dans le système scolaire suppléent au manque de profs ? Peut-être pas au début, mais ensuite, il peut être tentant de se dire "ah bah tiens, il me manque un prof, le petit jeune peut bien faire quelques heures de rempla". Je ne sais pas si c'est mon optimisme naturel qui me fait peindre le diable au mur, mais j'ai un peu peur tout de même...
C'est ce à quoi on va faire attention lors de l'examen du décret d'application. Mais on n'a pas un tel degré de précision dans la loi qui cadre l'ensemble. Donc il est possible par exemple qu'aporès avoir voté pour la loi, on vote contre le décret s'il laisse la porte ouverte à de telles choses.
Bref : la suite au prochain épisode !
Edit : à noter que le SNALC est, une fois n'est pas coutume, tout à fait d'accord avec l'UNSA
Celeborn: comment peut-on voter contre un décret?
Je crois qu'il faut au contraire être vigilant sur la rédaction de la loi.
- InvitéOHabitué du forum
Autre chose: si j'ai bien compris, on demande une contrepartie à ces étudiants"pré-recrutés". Mais alors: quelle est la différence avec les emplois actuels de surveillants ou de vacataires (sauf qu'ils s'engageraient en plus à passer le concours)? Est-ce qu'on ne va pas tout simplement remplacer un type d'emploi par un autre?
- CelebornEsprit sacré
Justinien a écrit:
Celeborn: comment peut-on voter contre un décret?
En levant la main quand le monsieur au centre de la table en face dit "qui vote contre" ?
Plus sérieusement, il va y avoir des groupes de travail concernant la rédaction du décret, la possibilité de proposer des amendements, etc. Bref : on peut faire évoluer le texte.
Justinien a écrit:Autre chose: si j'ai bien compris, on demande une contrepartie à ces étudiants"pré-recrutés". Mais alors: quelle est la différence avec les emplois actuels de surveillants ou de vacataires (sauf qu'ils s'engageraient en plus à passer le concours)? Est-ce qu'on ne va pas tout simplement remplacer un type d'emploi par un autre?
Cela ne concerne que les étudiants boursiers, c'est un nombre d'heures qui va être plafonné pour permettre aux étudiants d'étudier, il y aura un tuteur, et le nombre de ces contrats est de toute façon limité à la base. Ensuite, une fois encore, on ne peut pas anticiper à la virgule près ce qui figurera dans le décret d'application, d'autant qu'on n'a pas encore travaillé dessus. La loi fixe les orientations ; le décret les traduit dans les faits. Si le résultat final est cataclysmique, rassure-toi, la majorité des gens votera contre, ça descendra dans la rue, etc. Mais on n'en est pas là : je crois que l'idée de base est pas mal et qu'on peut quand même essayer de s'asseoir autour d'une table et en discuter pour la traduire sur le papier d'une façon intelligente et efficace.
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- DaphnéDemi-dieu
John a écrit:Au moins, les lauréats sauront exactement à quoi s'attendre, et s'y préparer. Choisir en connaissance de cause, ce n'est pas plus mal.Quand on a préparé, passé et réussi un concours difficile qui offre un statut rassurant, on hésite à 2 fois avant de démissionner. Mais quand on a subi les élèves pendant 3 ans, qu'on a enfin décroché son master de math ou de sciences physiques, qu'on est jeune et qu'on est encore dans une dynamique étudiante, il est possible qu'on hésite un peu entre persister dans le métier ou se réorienter vite fait.
Tout à fait !
Au moins ils sauront à quoi s'attendre et ne tomberont pas de haut.
- HannibalHabitué du forum
Question sans doute fort naïve, pardon...mais revenir à un capès qu'on peut passer licence en poche, au lieu de subventionner des études qui sont devenues plus longues (donc plus chères) mais n'ont pas forcément gagné grand chose en contenu disciplinaire, ce ne serait pas envisageable ?Celeborn a écrit:Il s'agit d'un pré-recrutement. Ce n'est pas un statut définitif : c'est un moyen pour des étudiants boursiers de gagner de l'argent en + leur permettant de poursuivre leur étude et de passer un concours de l'enseignement (engagement qu'ils doivent prendre pour bénéficier du dispositif). Il ne s'agit pas de prendre des postes à temps plein (a priori moins d'un mi-temps à travailler) ni de commencer devant une classe d'ailleurs, mais de faire des choses telles que du soutien, de l'aide, et vers la fin seulement des activités pédagogiques en classe sous le contrôle d'un tuteur.
Là je vois déjà, dans le meilleur des cas, le prérecruté en maths assailli de demandes de soutien, et l'étudiant en allemand ou en espagnol qu'on cherche vainement à occuper. Ca sent quand même l'usine à gaz dans le genre de l'"accompagnement personnalisé", je trouve.
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"Quand la pierre tombe sur l'oeuf, malheur à l'oeuf.
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- philannDoyen
Daphné a écrit:John a écrit:Au moins, les lauréats sauront exactement à quoi s'attendre, et s'y préparer. Choisir en connaissance de cause, ce n'est pas plus mal.Quand on a préparé, passé et réussi un concours difficile qui offre un statut rassurant, on hésite à 2 fois avant de démissionner. Mais quand on a subi les élèves pendant 3 ans, qu'on a enfin décroché son master de math ou de sciences physiques, qu'on est jeune et qu'on est encore dans une dynamique étudiante, il est possible qu'on hésite un peu entre persister dans le métier ou se réorienter vite fait.
Tout à fait !
Au moins ils sauront à quoi s'attendre et ne tomberont pas de haut.
J'aurais aussi cette crainte à la place de Peillon. Si les étudiants qui hésitent voient réellement quelles seront leurs futures conditions de travail, il y a de grandes chances pour que certains se réorientent dans une autre voie fissa.
- CondorcetOracle
+ 1000. Avec possibilité d'un stage en L3.Hannibal a écrit:Question sans doute fort naïve, pardon...mais revenir à un capès qu'on peut passer licence en poche, au lieu de subventionner des études qui sont devenues plus longues (donc plus chères) mais n'ont pas forcément gagné grand chose en contenu disciplinaire, ce ne serait pas envisageable ?Celeborn a écrit:Il s'agit d'un pré-recrutement. Ce n'est pas un statut définitif : c'est un moyen pour des étudiants boursiers de gagner de l'argent en + leur permettant de poursuivre leur étude et de passer un concours de l'enseignement (engagement qu'ils doivent prendre pour bénéficier du dispositif). Il ne s'agit pas de prendre des postes à temps plein (a priori moins d'un mi-temps à travailler) ni de commencer devant une classe d'ailleurs, mais de faire des choses telles que du soutien, de l'aide, et vers la fin seulement des activités pédagogiques en classe sous le contrôle d'un tuteur.
Là je vois déjà, dans le meilleur des cas, le prérecruté en maths assailli de demandes de soutien, et l'étudiant en allemand ou en espagnol qu'on cherche vainement à occuper. Ca sent quand même l'usine à gaz dans le genre de l'"accompagnement personnalisé", je trouve.
- CelebornEsprit sacré
La discussion sur l'organisation du concours et la mastérisation est en cours. Je doute qu'on revienne à ce point dessus néanmoins, mais wait & see.Hannibal a écrit:
Question sans doute fort naïve, pardon...mais revenir à un capès qu'on peut passer licence en poche, au lieu de subventionner des études qui sont devenues plus longues (donc plus chères) mais n'ont pas forcément gagné grand chose en contenu disciplinaire, ce ne serait pas envisageable ?
Pour le coup, si ça se met en place, on jugera sur pièces. C'est néanmoins censé concerner en priorité les matières où l'on a du mal à recruter, donc il n'est pas garanti que l'allemand soit en tête de gondole (les maths, en revanche, c'est nettement plus probable).Là je vois déjà, dans le meilleur des cas, le prérecruté en maths assailli de demandes de soutien, et l'étudiant en allemand ou en espagnol qu'on cherche vainement à occuper. Ca sent quand même l'usine à gaz dans le genre de l'"accompagnement personnalisé", je trouve.
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- AuroreEsprit éclairé
Et par conséquent, je crains fort que cette réforme ne constitue une énième occasion pour le gouvernement de se dispenser de remédier aux raisons profondes de cette réorientation, qui sont étroitement liées aux atteintes portées au métier, à sa nature et à ses conditions d'exercice.philann a écrit:Daphné a écrit:John a écrit:Au moins, les lauréats sauront exactement à quoi s'attendre, et s'y préparer. Choisir en connaissance de cause, ce n'est pas plus mal.Quand on a préparé, passé et réussi un concours difficile qui offre un statut rassurant, on hésite à 2 fois avant de démissionner. Mais quand on a subi les élèves pendant 3 ans, qu'on a enfin décroché son master de math ou de sciences physiques, qu'on est jeune et qu'on est encore dans une dynamique étudiante, il est possible qu'on hésite un peu entre persister dans le métier ou se réorienter vite fait.
Tout à fait !
Au moins ils sauront à quoi s'attendre et ne tomberont pas de haut.
J'aurais aussi cette crainte à la place de Peillon. Si les étudiants qui hésitent voient réellement quelles seront leurs futures conditions de travail, il y a de grandes chances pour que certains se réorientent dans une autre voie fissa.
En clair - et je force à peine le trait - on n'attirera pas les meilleurs éléments d'une génération avec une aumône et une fonction de bouche-trou dans un cadre hostile et nerveusement éreintant.
- philannDoyen
Aurore a écrit:
Et par conséquent, je crains fort que cette réforme ne constitue une énième occasion pour le gouvernement de se dispenser de remédier aux raisons profondes de cette réorientation, qui sont étroitement liées aux atteintes portées au métier, à sa nature et à ses conditions d'exercice.
En clair - et je force à peine le trait - on n'attirera pas les meilleurs éléments d'une génération avec une aumône et une fonction de bouche-trou dans un cadre hostile et nerveusement éreintant.
+ 1000
Pour que être prof soit intéressant, hormis la vocation et l'intérêt pour la matière, il faudrait une revalorisation des salaires, mais aussi améliorer les conditions de travail. Ne pas donner d'autonomie à tout le monde...sauf aux profs eux-mêmes, et définir leur métier autrement qu'en terme de GO.
Dans le cas contraire, on va effectivement avoir des gens là par défaut, dépit...qui seront pas forcément bons et ne seront vraisemblablement pas heureux. (ça fait long toute une carrière...)
- JohnMédiateur
Sous l'insistance de l'UMP, un certain nombre d'emplois d'avenir enseignants seront attribués aux établissements d'enseignement privé sous contrat.
L'information est toute fraîche...
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"Qui a construit Thèbes aux sept portes ? Dans les livres, on donne les noms des Rois. Les Rois ont-ils traîné les blocs de pierre ? [...] Quand la Muraille de Chine fut terminée, Où allèrent ce soir-là les maçons ?" (Brecht)
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- ErgoDevin
Je remonte. Avez-vous entendu parler de ça dans vos établissements ?
C'était à l'ordre du jour du CA ce soiret j'ai encore réussi à me mettre mon adjointe à dos sur ce sujet et nous avons décidé de reporter notre vote mais l'établissement voudrait un accord de principe pour un recrutement en maths et en anglais.
C'était à l'ordre du jour du CA ce soir
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"You went to a long-dead octopus for advice, and you're going to blame *me* for your problems?" -- Once Upon a Time
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« Cède, cède, cède, je le veux ! » écrivait Ronin, le samouraï. (Si vous cherchez un stulo-plyme, de l'encre, récap de juillet 2024)
- Presse-puréeGrand sage
Idem chez nous, en lettres, anglais, allemand, HG et maths.
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Homines, dum docent, discunt.Sénèque, Epistulae Morales ad Lucilium VII, 8
"La culture est aussi une question de fierté, de rapport de soi à soi, d’esthétique, si l’on veut, en un mot de constitution du sujet humain." (Paul Veyne, La société romaine)
"Soyez résolus de ne servir plus, et vous voilà libres". La Boétie
"Confondre la culture et son appropriation inégalitaire du fait des conditions sociales : quelle erreur !" H. Pena-Ruiz
"Il vaut mieux qu'un élève sache tenir un balai plutôt qu'il ait été initié à la philosophie: c'est ça le socle commun" un IPR
- alanneFidèle du forum
bah oui mais si tu es "riche" ??? jamais tu ne pourras approcher une classe pareil si tu as plus de 25 ans (ou 30 pour lespersonnes handicapés).
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