- LovizôleNiveau 8
Clarinette a écrit:Exactement, c'est d'ailleurs ce que j'ai écrit supra. Je me souviens du Parfum, qui m'a fait le même effet. (d'ailleurs, Fifille a dû le lire vers 12-13 ans... :lol:)LadyC a écrit:Je ne connais pas ce titre, mais vous me donnez (à moitié) envie.
C'est vrai qu'à 17 ans on lit plus facilement, j'ai l'impression, certaines horreurs, qu'on ne le fait 10 ans plus tard. Ado j'ai lu Si c'est un homme et j'ai évidemment trouvé cela émouvant, mais ça ne m'a pas rendue malade comme je pense que ce serait le cas aujourd'hui. Adulte on a une sorte de conscience plus vive, me semble-t-il, moins mise à distance.
Le parfum, c'est un peu roman à l'eau de rose à côté.
Bon, bref. Lisez-le si vous voulez.
- ClarinetteGrand Maître
Même pas, juste les policiers habituels avec leur lot de crimes, viols et turpitudes diverses. De mon point de vue, la télé et le cinéma sont d'une violence inouïe pour un enfant, comparés à n'importe quel livre.Lovizôle a écrit:Oui, d'un autre côté, c'est vrai... Les films d'horreur par exemple.
- ClarinetteGrand Maître
:lol: I will !Lovizôle a écrit:Clarinette a écrit:Exactement, c'est d'ailleurs ce que j'ai écrit supra. Je me souviens du Parfum, qui m'a fait le même effet. (d'ailleurs, Fifille a dû le lire vers 12-13 ans... :lol:)LadyC a écrit:Je ne connais pas ce titre, mais vous me donnez (à moitié) envie.
C'est vrai qu'à 17 ans on lit plus facilement, j'ai l'impression, certaines horreurs, qu'on ne le fait 10 ans plus tard. Ado j'ai lu Si c'est un homme et j'ai évidemment trouvé cela émouvant, mais ça ne m'a pas rendue malade comme je pense que ce serait le cas aujourd'hui. Adulte on a une sorte de conscience plus vive, me semble-t-il, moins mise à distance.
Le parfum, c'est un peu roman à l'eau de rose à côté.
Bon, bref. Lisez-le si vous voulez.
- LeilEsprit éclairé
Un coup de coeur en littérature jeunesse ! Assez éloigné des parutions guimauvesques habituelles !
La critique britannique compare l'auteur à DH Lawrence ou Hardy ...
Clic !
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- LeilEsprit éclairé
En livre audio.
Sublime. ♥
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- LeilEsprit éclairé
Bon, pas le coup de coeur attendu, mais une histoire optimiste pleine de vie.
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- Hermione0908Modérateur
Je viens de finir
J'ai été transportée par certains passages, qui parlent de la relation du cavalier à son cheval, j'ai eu l'impression qu'il mettait des mots sur des sentiments confus que j'ai pu ressentir.
J'ai été transportée par certains passages, qui parlent de la relation du cavalier à son cheval, j'ai eu l'impression qu'il mettait des mots sur des sentiments confus que j'ai pu ressentir.
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Certaines rubriques de Neoprofs.org sont en accès restreint.
Pour en savoir plus, c'est par ici : https://www.neoprofs.org/t48247-topics-en-acces-restreint-forum-accessible-uniquement-sur-demande-edition-2021
- zolienneNiveau 9
Hermione0908 a écrit:Je viens de finir
J'ai été transportée par certains passages, qui parlent de la relation du cavalier à son cheval, j'ai eu l'impression qu'il mettait des mots sur des sentiments confus que j'ai pu ressentir.
Je l'ai lu l'année dernière et j'ai beaucoup aimé aussi! C'est la première fois que je trouve associées ainsi mes deux passions, le cheval et la littérature. Je te conseille du même auteur Bartabas, roman , une biographie que j'ai trouvée fascinante. Du coup j'ai acheté Cavalier seul qui m'attend dans ma PAL!
- Hermione0908Modérateur
J'ai Cavalier seul dans ma PAL.
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- FrisouilleEnchanteur
Excellent souvenir des romans de Garcin, notamment de Bartabas.
Mais bizarrement, depuis que j'écoute son émission sur France Inter, impossible de lire une ligne de lui... Comme si le savoir vivant m'interdisait la lecture de son oeuvre...
Mais bizarrement, depuis que j'écoute son émission sur France Inter, impossible de lire une ligne de lui... Comme si le savoir vivant m'interdisait la lecture de son oeuvre...
- FrisouilleEnchanteur
Sinon je relis la saga Malaussène, de Pennac. Les romans ont beaucoup vieilli je trouve, moins de fraîcheur, dans le ton, les personnages... Les enquêtes policières n'ont en revanche rien perdu de leur glauque...
J'en suis à la moitié de Monsieur Malaussène : je m’arrêterai là, j'ai un souvenir laborieux des deux romans qui closent la saga.
J'en suis à la moitié de Monsieur Malaussène : je m’arrêterai là, j'ai un souvenir laborieux des deux romans qui closent la saga.
- ysabelDevin
Hermione0908 a écrit:Je viens de finir
J'ai été transportée par certains passages, qui parlent de la relation du cavalier à son cheval, j'ai eu l'impression qu'il mettait des mots sur des sentiments confus que j'ai pu ressentir.
il faut lire Milady de Paul Morand, c'est exceptionnel pour un cavalier.
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« vous qui entrez, laissez toute espérance ». Dante
« Il vaut mieux n’avoir rien promis que promettre sans accomplir » (L’Ecclésiaste)
- Invité21Fidèle du forum
ysabel a écrit:Hermione0908 a écrit:Je viens de finir
J'ai été transportée par certains passages, qui parlent de la relation du cavalier à son cheval, j'ai eu l'impression qu'il mettait des mots sur des sentiments confus que j'ai pu ressentir.
il faut lire Milady de Paul Morand, c'est exceptionnel pour un cavalier.
Je confirme! La fin est sublime...
- FrisouilleEnchanteur
Merci du conseil Ysabel. (Je me mets dans le lot des cavalières même si monte une fois par an, au mieux )
- FrisouilleEnchanteur
Et les Cavaliers de Kessel, vous avez lu ? Il m'avait totalement fasciné...
- ysabelDevin
Frisouille a écrit:Et les Cavaliers de Kessel, vous avez lu ? Il m'avait totalement fasciné...
Très bien aussi.
une nouvelle à découvrir de Tolstoï, Le Cheval
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- LeilEsprit éclairé
Une jolie découverte !
Clic pour la chronique.
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- FrisouilleEnchanteur
J'ai craqué... Pour utiliser un bon FNAC offert pour mon anniv', j'ai acheté les deux premiers tomes de l'intégrale de Trône de fer...
Inutile de dire que je n'ai guère attendu avant de lâcher le Pennac pour me plonger dans le premier livre.
Inutile de dire que je n'ai guère attendu avant de lâcher le Pennac pour me plonger dans le premier livre.
- JPhMMDemi-dieu
Tragiques grecs : Eschyle - Sophocle, Œuvres complètes, tragédies traduites par J. Grosjean, fragments traduits par R. Dreyfus.
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Labyrinthe où l'admiration des ignorants et des idiots qui prennent pour savoir profond tout ce qu'ils n'entendent pas, les a retenus, bon gré malgré qu'ils en eussent. — John Locke
Je crois que je ne crois en rien. Mais j'ai des doutes. — Jacques Goimard
- AlcyoneFidèle du forum
Une lecture un peu difficile mais un très beau livre.
- Invité21Fidèle du forum
Remo Bodei, Le sensation de déjà vu. Approche cultivée d'un philosophe de ce phénomène inclassable. J'ai emprunté ce livre car cette sensation me prend souvent en ce moment.
Et puis, Oliver Sacks, L'homme qui prenait sa femme pour un chapeau et autres récits. Passionnant, forcément.
Je suis donc très neurologie en ce moment...
Et puis, Oliver Sacks, L'homme qui prenait sa femme pour un chapeau et autres récits. Passionnant, forcément.
Je suis donc très neurologie en ce moment...
- toubyExpert
Alcyone a écrit:Une lecture un peu difficile mais un très beau livre.
Je l'ai découvert à la fac et effectivemment, c'est un très beau livre. Le récit est poignant.
- NadejdaGrand sage
J'ai lu récemment un très beau roman, La Vieille au buisson de roses, de Lionel-Edouard Martin aux éditions du Vampire Actif. Comme j'aime partager mon enthousiasme et espère que d'autres découvriront ce poète, une petite critique ici
Et là je me plonge dans Jakob le menteur de Jurek Becker qui nous parle d'un ghetto polonais avec beaucoup d'humour (juif).
La vie de Jurek Becker est elle-même bouleversante. Né en 1937 en Pologne, il a passé son enfance dans le ghetto de Lodz puis, une fois séparé de ses parents, dans les camps de Ravensbrück et de Sachsenhausen. Retrouvé par son père en 1945, parmi des enfants rescapés soignés dans un hôpital de Munich, il s'installa avec lui à Berlin-Est. Il ne gardera absolument aucun souvenir de son enfance malgré toutes les discussions possibles avec son père. Trou noir total de la mémoire. Il tentera de faire émerger des souvenirs imaginaires en transposant en fiction l'histoire d'un héros du ghetto assassiné par les Allemands pour avoir caché une radio et propagé des nouvelles du front diffusées par les Alliés : Jakob der Lügner (Jakok le menteur, 1969). Son père lui en voudra d'avoir transformé en fable une histoire réelle dont l'enfant devenu adulte n'a gardé aucun souvenir. L'incompréhension demeurera jusqu'à la mort du père en 1972. Par la suite, Jurek Becker tentera d'écrire cette relation douloureuse dans Der Boxer (Le Boxeur, 1972). Mais une part de lui-même, son enfance, est définitivement perdue. Ce vide, il tentera encore une fois de le combler en recevant en 1989, à Berlin-Ouest cette fois, les photos de l'exposition « « Notre seule voie est le travail » Le ghetto de Lodz 1940-1944 ». Il y cherchera sans doute le visage de sa mère disparue, des jeux d'enfants, des amis peut-être, des lieux arpentés avec toute l'insouciance de l'enfance. Les photos ne parleront pas pour lui. Il écrivit ces phrases, que je trouve bouleversantes, dans un texte intitulé « La ville invisible » :
« J'avais le sentiment de devoir les trier dans un ordre différent. Mais dans quel ordre ? Qu'est-ce qui allait ensemble, et qu'est-ce qui devait être séparé ? Est-ce que les enfants doivent être mis avec les enfants, les barbus avec les barbus, et les marchands avec les marchands ? Et les policiers avec les policiers et les blonds avec les blonds ? En tout cas, l'ordre tel qu'il est n'est pas le bon, il est comme un saut sur un disque qui gâcherait la plus belle interprétation. Je range les images dans un ordre toujours nouveau, je veux absolument percer le mystère. Je place la garde vers l'extérieur, le cimetière aussi, les rues au milieu, je rassemble les baraques en bois d'un côté, les bâtiments en pierre de l'autre, les ateliers entre les deux, je mets la frontière du ghetto à la frontière. Mais tout est toujours faux, la petite loupiote du souvenir ne s'allume pas.
Je fixe les images et scrute du regard cette période la plus décisive de ma vie jusqu'à m'en faire sortir les yeux de la tête. Mais seules les vies des autres, en passe de s'éteindre, sont reconnaissables. A quoi bon parler de révolte ou de compassion ? Je veux descendre vers elles pour les rejoindre et ne trouve pas le chemin. »
Enfin, je découvre l'oeuvre poétique de Jean-Pierre Duprey (1930-1959), un "surréaliste" solitaire qu'admirait beaucoup André Breton :
NAUFRAGE
Sans doute la montagne a-t-elle
Elle-même son silence ! les mots
Sont des fleurs tombées dans un bain de sable ―
Décombres sous les pieds ! ― la mer,
Son éperon délivre le vaisseau de sa voile,
Et la dune est soudain vidée de ses rayons.
C’est un son de pipeau que promène le vent.
Et là, encore la barque dort
Le mât se brise ? La terre au loin
Ne chante plus
Que des refrains de mort. La cigarette du phare
S’éteint
Et les berceuses
Des villes se perdent dans la mémoire.
L’ange écoute son nom prononcé
Dans l’Orage. La maison secrète
De ta vie,
Tu l’oublies ?
C’est le bagage qui encombre les bras !
Et le flot
Délivre les noyés de leur bouche tordue.
Et là je me plonge dans Jakob le menteur de Jurek Becker qui nous parle d'un ghetto polonais avec beaucoup d'humour (juif).
La vie de Jurek Becker est elle-même bouleversante. Né en 1937 en Pologne, il a passé son enfance dans le ghetto de Lodz puis, une fois séparé de ses parents, dans les camps de Ravensbrück et de Sachsenhausen. Retrouvé par son père en 1945, parmi des enfants rescapés soignés dans un hôpital de Munich, il s'installa avec lui à Berlin-Est. Il ne gardera absolument aucun souvenir de son enfance malgré toutes les discussions possibles avec son père. Trou noir total de la mémoire. Il tentera de faire émerger des souvenirs imaginaires en transposant en fiction l'histoire d'un héros du ghetto assassiné par les Allemands pour avoir caché une radio et propagé des nouvelles du front diffusées par les Alliés : Jakob der Lügner (Jakok le menteur, 1969). Son père lui en voudra d'avoir transformé en fable une histoire réelle dont l'enfant devenu adulte n'a gardé aucun souvenir. L'incompréhension demeurera jusqu'à la mort du père en 1972. Par la suite, Jurek Becker tentera d'écrire cette relation douloureuse dans Der Boxer (Le Boxeur, 1972). Mais une part de lui-même, son enfance, est définitivement perdue. Ce vide, il tentera encore une fois de le combler en recevant en 1989, à Berlin-Ouest cette fois, les photos de l'exposition « « Notre seule voie est le travail » Le ghetto de Lodz 1940-1944 ». Il y cherchera sans doute le visage de sa mère disparue, des jeux d'enfants, des amis peut-être, des lieux arpentés avec toute l'insouciance de l'enfance. Les photos ne parleront pas pour lui. Il écrivit ces phrases, que je trouve bouleversantes, dans un texte intitulé « La ville invisible » :
« J'avais le sentiment de devoir les trier
Je fixe les images et scrute du regard cette période la plus décisive de ma vie jusqu'à m'en faire sortir les yeux de la tête. Mais seules les vies des autres, en passe de s'éteindre, sont reconnaissables. A quoi bon parler de révolte ou de compassion ? Je veux descendre vers elles pour les rejoindre et ne trouve pas le chemin. »
Enfin, je découvre l'oeuvre poétique de Jean-Pierre Duprey (1930-1959), un "surréaliste" solitaire qu'admirait beaucoup André Breton :
NAUFRAGE
Sans doute la montagne a-t-elle
Elle-même son silence ! les mots
Sont des fleurs tombées dans un bain de sable ―
Décombres sous les pieds ! ― la mer,
Son éperon délivre le vaisseau de sa voile,
Et la dune est soudain vidée de ses rayons.
C’est un son de pipeau que promène le vent.
Et là, encore la barque dort
Le mât se brise ? La terre au loin
Ne chante plus
Que des refrains de mort. La cigarette du phare
S’éteint
Et les berceuses
Des villes se perdent dans la mémoire.
L’ange écoute son nom prononcé
Dans l’Orage. La maison secrète
De ta vie,
Tu l’oublies ?
C’est le bagage qui encombre les bras !
Et le flot
Délivre les noyés de leur bouche tordue.
- JPhMMDemi-dieu
JPhMM a écrit:Tragiques grecs : Eschyle - Sophocle, Œuvres complètes, tragédies traduites par J. Grosjean, fragments traduits par R. Dreyfus.
Extrait (Prométhée enchaîné, Eschyle) :
PROMETHEE
Grandiloquent et plein de superbe
est ce langage d'un valet des dieux.
Jeunes, vous gouvernez en jeunes, vous croyez
habiter une citadelle impassible. Moi,
n'en ai-je pas vu tomber deux souverains ?
Je verrai le troisième, l'actuel régnant,
très vite et vilement. Te semblé-je craindre
et trembler devant les jeunes dieux ?
Il s'en faut de beaucoup, même de tout. Toi,
retourne-t'en par la route par où tu vins.
Tu n'apprendras rien de ce que tu me demandes.
HERMES
Par de pareils entêtements, une fois déjà,
tu t'es ancré toi-même dans ces souffrances.
PROMETHEE
Je ne changerais pas mon malheur,
le sais-tu bien, contre ta servitude.
Je crois qu'il vaut mieux être asservi à la roche
que messager fidèle du père Zeus.
Voilà comme on doit outrager les outrageurs.
Les grandes œuvres ne vieillissent jamais, questions posées à jamais irrésolues malgré leur urgence première.
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Labyrinthe où l'admiration des ignorants et des idiots qui prennent pour savoir profond tout ce qu'ils n'entendent pas, les a retenus, bon gré malgré qu'ils en eussent. — John Locke
Je crois que je ne crois en rien. Mais j'ai des doutes. — Jacques Goimard
- LeilEsprit éclairé
Super emballée jusqu'aux deux tiers ...
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- zizzaNiveau 10
[img][/img]
Je ne sais pas s'il existe une traduction en français.
C'est loin d'être un chef-d'oeuvre, mais c'est une très jolie histoire.
Il s'agit d'un adolescent qui ne veut pas grandir et se cherche. Il préfère s'enfermer dans la cave de son immeuble pour faire croire à ses parents qu'il part en vacances au ski avec ses amis plutôt que d'avouer qu'il n'a pas d'amis. Sauf qu'un jour il voit débarquer sa demi-soeur, toxico et complètement démunie, qui vient lui demander de l'aide. Et alors il est bien obligé de grandir.
Je ne sais pas s'il existe une traduction en français.
C'est loin d'être un chef-d'oeuvre, mais c'est une très jolie histoire.
Il s'agit d'un adolescent qui ne veut pas grandir et se cherche. Il préfère s'enfermer dans la cave de son immeuble pour faire croire à ses parents qu'il part en vacances au ski avec ses amis plutôt que d'avouer qu'il n'a pas d'amis. Sauf qu'un jour il voit débarquer sa demi-soeur, toxico et complètement démunie, qui vient lui demander de l'aide. Et alors il est bien obligé de grandir.
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