Page 1 sur 2 • 1, 2
- Thalia de GMédiateur
topic issu d'une division à partir d'un sujet sur le Datif COS / COI ; message initial = remarque de Thalia sur un document présentant les cas et leurs fonctions avec exemples, dont Tu quoque, mi fili pour le Vocatif
Petit détail : César mourant aurait causé à Brutus en grec et non en latin. Donc, exit le "Tu quoque..."
Petit détail : César mourant aurait causé à Brutus en grec et non en latin. Donc, exit le "Tu quoque..."
_________________
Le printemps a le parfum poignant de la nostalgie, et l'été un goût de cendres.
Soleil noir de mes mélancolies.
- LédisséEsprit sacré
Voui, je sais, mais ça reste une formule célèbre, et j'avais la flemme de chercher autre chose...
- Spoiler:
- Enfin j'ai bien le "miserere nobis domine", mais je doute que ça fasse très laïc
_________________
Life is what happens to you while you're making other plans. John Lennon
Life is not governed by will or intention. Life is a question of nerves, and fibres, and slowly built-up cells in which thought hides itself and passion has its dreams. Oscar Wilde
Bien que femme, je me suis permis_ / demandé_ / rendu_ compte / fait_ désirer... etc._
- LefterisEsprit sacré
Il ne l'a pas dit qu'en mourant, j'en ai la preuve à conviction, comme disait un regretté humoriste...Thalia de G a écrit:Petit détail : César mourant aurait causé à Brutus en grec et non en latin. Donc, exit le "Tu quoque..."
- Spoiler:
_________________
"La réforme [...] c'est un ensemble de décrets qui s'emboîtent les uns dans les autres, qui ne prennent leur sens que quand on les voit tous ensemble"(F. Robine , expliquant sans fard la stratégie du puzzle)
Gallica Musa mihi est, fateor, quod nupta marito. Pro domina colitur Musa latina mihi.
Δεν ελπίζω τίποτα, δεν φοβούμαι τίποτα, είμαι λεύτερος (Kazantzakis).
- Thalia de GMédiateur
Oh, pardon, j'ai tendance à oublier mes classiquesLefteris a écrit:Il ne l'a pas dit qu'en mourant, j'en ai la preuve à conviction, comme disait un regretté humoriste...Thalia de G a écrit:Petit détail : César mourant aurait causé à Brutus en grec et non en latin. Donc, exit le "Tu quoque..."
- Spoiler:
_________________
Le printemps a le parfum poignant de la nostalgie, et l'été un goût de cendres.
Soleil noir de mes mélancolies.
- User5899Demi-dieu
Kai sy, téknè !Thalia de G a écrit:Petit détail : César mourant aurait causé à Brutus en grec et non en latin. Donc, exit le "Tu quoque..."
- Thalia de GMédiateur
Ne serait-ce pas plutôt : "Καὶ σὺ τέκνον" ?Cripure a écrit:Kai sy, téknè !Thalia de G a écrit:Petit détail : César mourant aurait causé à Brutus en grec et non en latin. Donc, exit le "Tu quoque..."
_________________
Le printemps a le parfum poignant de la nostalgie, et l'été un goût de cendres.
Soleil noir de mes mélancolies.
- User5899Demi-dieu
Si, of course... Et pourtant, c'est pas faute de rapprocher le neutre du grec et celui de l'allemand... Ou comment perdre son peu de savoir en ne l'utilisant jamais...Thalia de G a écrit:Ne serait-ce pas plutôt : "Καὶ σὺ τέκνον" ?Cripure a écrit:Kai sy, téknè !Thalia de G a écrit:Petit détail : César mourant aurait causé à Brutus en grec et non en latin. Donc, exit le "Tu quoque..."
- IphigénieProphète
Et à ce propos j'ai lu quelque part (mais où? si je le retrouve, je vous le poste) une récente et très intéressante interprétation de ce "kai su, mon gars" à la lumière de l'examen des formules d'imprécations grecques: ce ne serait pas un soupir de déception, mais bien une formule d'imprécation équivalent à: "je t'en souhaite autant", ce en quoi elle serait efficace, puisqu'on sait la fin de Brutus.Cripure a écrit:Si, of course... Et pourtant, c'est pas faute de rapprocher le neutre du grec et celui de l'allemand... Ou comment perdre son peu de savoir en ne l'utilisant jamais...Thalia de G a écrit:Ne serait-ce pas plutôt : "Καὶ σὺ τέκνον" ?Cripure a écrit:Kai sy, téknè !Thalia de G a écrit:Petit détail : César mourant aurait causé à Brutus en grec et non en latin. Donc, exit le "Tu quoque..."
- LefterisEsprit sacré
J'ai effectivement lu la même chose, j'aurais dû relever où ...Une des interprétations possible aussi " ça t'arrivera aussi". En tout cas ne pas traduire "teknon" par fils , car Brutus était le fils d'une maîtresse très aimée de César (Suétone le dit en tout cas) , mais pas le sien.iphigénie a écrit:Et à ce propos j'ai lu quelque part (mais où? si je le retrouve, je vous le poste) une récente et très intéressante interprétation de ce "kai su, mon gars" à la lumière de l'examen des formules d'imprécations grecques: ce ne serait pas un soupir de déception, mais bien une formule d'imprécation équivalent à: "je t'en souhaite autant", ce en quoi elle serait efficace, puisqu'on sait la fin de Brutus.Cripure a écrit:Si, of course... Et pourtant, c'est pas faute de rapprocher le neutre du grec et celui de l'allemand... Ou comment perdre son peu de savoir en ne l'utilisant jamais...Thalia de G a écrit:Ne serait-ce pas plutôt : "Καὶ σὺ τέκνον" ?Cripure a écrit:Kai sy, téknè !Thalia de G a écrit:Petit détail : César mourant aurait causé à Brutus en grec et non en latin. Donc, exit le "Tu quoque..."
_________________
"La réforme [...] c'est un ensemble de décrets qui s'emboîtent les uns dans les autres, qui ne prennent leur sens que quand on les voit tous ensemble"(F. Robine , expliquant sans fard la stratégie du puzzle)
Gallica Musa mihi est, fateor, quod nupta marito. Pro domina colitur Musa latina mihi.
Δεν ελπίζω τίποτα, δεν φοβούμαι τίποτα, είμαι λεύτερος (Kazantzakis).
- User5899Demi-dieu
Une sorte de "Autant pour toi", alors ?iphigénie a écrit:Et à ce propos j'ai lu quelque part (mais où? si je le retrouve, je vous le poste) une récente et très intéressante interprétation de ce "kai su, mon gars" à la lumière de l'examen des formules d'imprécations grecques: ce ne serait pas un soupir de déception, mais bien une formule d'imprécation équivalent à: "je t'en souhaite autant", ce en quoi elle serait efficace, puisqu'on sait la fin de Brutus.Cripure a écrit:Si, of course... Et pourtant, c'est pas faute de rapprocher le neutre du grec et celui de l'allemand... Ou comment perdre son peu de savoir en ne l'utilisant jamais...Thalia de G a écrit:Ne serait-ce pas plutôt : "Καὶ σὺ τέκνον" ?Cripure a écrit:Kai sy, téknè !Thalia de G a écrit:Petit détail : César mourant aurait causé à Brutus en grec et non en latin. Donc, exit le "Tu quoque..."
Ou de "A la tienne, Etienne" ?
- Thalia de GMédiateur
Nous sommes sur la même longueur d'onde, ô douce Iphigénie *, j'ai aussi eu connaissance de cette interprétation, beaucoup moins mièvre que celle communément acceptée.iphigénie a écrit:Et à ce propos j'ai lu quelque part (mais où? si je le retrouve, je vous le poste) une récente et très intéressante interprétation de ce "kai su, mon gars" à la lumière de l'examen des formules d'imprécations grecques: ce ne serait pas un soupir de déception, mais bien une formule d'imprécation équivalent à: "je t'en souhaite autant", ce en quoi elle serait efficace, puisqu'on sait la fin de Brutus.Cripure a écrit:Si, of course... Et pourtant, c'est pas faute de rapprocher le neutre du grec et celui de l'allemand... Ou comment perdre son peu de savoir en ne l'utilisant jamais...Thalia de G a écrit:Ne serait-ce pas plutôt : "Καὶ σὺ τέκνον" ?Cripure a écrit:Kai sy, téknè !Thalia de G a écrit:Petit détail : César mourant aurait causé à Brutus en grec et non en latin. Donc, exit le "Tu quoque..."
* ô douce Iphigénie : c'est ton pseudo et la personnalité de la jeune sacrifiée qui m'inspirent ce qualificatif
C'était quoi le sujet, déjà ?
_________________
Le printemps a le parfum poignant de la nostalgie, et l'été un goût de cendres.
Soleil noir de mes mélancolies.
- Thalia de GMédiateur
Certes, nous le savons. Mais l'adoption dans la Rome antique ne valait-elle pas filiation. Me trompé-je ?Lefteris a écrit:J'ai effectivement lu la même chose, j'aurais dû relever où ...Une des interprétations possible aussi " ça t'arrivera aussi". En tout cas ne pas traduire "teknon" par fils , car Brutus était le fils d'une maîtresse très aimée de César (Suétone le dit en tout cas) , mais pas le sien.iphigénie a écrit:Et à ce propos j'ai lu quelque part (mais où? si je le retrouve, je vous le poste) une récente et très intéressante interprétation de ce "kai su, mon gars" à la lumière de l'examen des formules d'imprécations grecques: ce ne serait pas un soupir de déception, mais bien une formule d'imprécation équivalent à: "je t'en souhaite autant", ce en quoi elle serait efficace, puisqu'on sait la fin de Brutus.Cripure a écrit:Si, of course... Et pourtant, c'est pas faute de rapprocher le neutre du grec et celui de l'allemand... Ou comment perdre son peu de savoir en ne l'utilisant jamais...Thalia de G a écrit:Ne serait-ce pas plutôt : "Καὶ σὺ τέκνον" ?Cripure a écrit:Kai sy, téknè !
_________________
Le printemps a le parfum poignant de la nostalgie, et l'été un goût de cendres.
Soleil noir de mes mélancolies.
- Thalia de GMédiateur
Moui, on dira ça comme ça.Cripure a écrit:Une sorte de "Autant pour toi", alors ?iphigénie a écrit:Et à ce propos j'ai lu quelque part (mais où? si je le retrouve, je vous le poste) une récente et très intéressante interprétation de ce "kai su, mon gars" à la lumière de l'examen des formules d'imprécations grecques: ce ne serait pas un soupir de déception, mais bien une formule d'imprécation équivalent à: "je t'en souhaite autant", ce en quoi elle serait efficace, puisqu'on sait la fin de Brutus.Cripure a écrit:Si, of course... Et pourtant, c'est pas faute de rapprocher le neutre du grec et celui de l'allemand... Ou comment perdre son peu de savoir en ne l'utilisant jamais...Thalia de G a écrit:Ne serait-ce pas plutôt : "Καὶ σὺ τέκνον" ?Cripure a écrit:Kai sy, téknè !
Ou de "A la tienne, Etienne" ?
_________________
Le printemps a le parfum poignant de la nostalgie, et l'été un goût de cendres.
Soleil noir de mes mélancolies.
- LefterisEsprit sacré
Il n'était pas adopté ...Thalia de G a écrit:Certes, nous le savons. Mais l'adoption dans la Rome antique ne valait-elle pas filiation. Me trompé-je ?Lefteris a écrit:J'ai effectivement lu la même chose, j'aurais dû relever où ...Une des interprétations possible aussi " ça t'arrivera aussi". En tout cas ne pas traduire "teknon" par fils , car Brutus était le fils d'une maîtresse très aimée de César (Suétone le dit en tout cas) , mais pas le sien.iphigénie a écrit:Et à ce propos j'ai lu quelque part (mais où? si je le retrouve, je vous le poste) une récente et très intéressante interprétation de ce "kai su, mon gars" à la lumière de l'examen des formules d'imprécations grecques: ce ne serait pas un soupir de déception, mais bien une formule d'imprécation équivalent à: "je t'en souhaite autant", ce en quoi elle serait efficace, puisqu'on sait la fin de Brutus.Cripure a écrit:Si, of course... Et pourtant, c'est pas faute de rapprocher le neutre du grec et celui de l'allemand... Ou comment perdre son peu de savoir en ne l'utilisant jamais...Thalia de G a écrit:
Ne serait-ce pas plutôt : "Καὶ σὺ τέκνον" ?
_________________
"La réforme [...] c'est un ensemble de décrets qui s'emboîtent les uns dans les autres, qui ne prennent leur sens que quand on les voit tous ensemble"(F. Robine , expliquant sans fard la stratégie du puzzle)
Gallica Musa mihi est, fateor, quod nupta marito. Pro domina colitur Musa latina mihi.
Δεν ελπίζω τίποτα, δεν φοβούμαι τίποτα, είμαι λεύτερος (Kazantzakis).
- Thalia de GMédiateur
On m'aurait menti ? (errare ...)Lefteris a écrit:Il n'était pas adopté ...Thalia de G a écrit:Certes, nous le savons. Mais l'adoption dans la Rome antique ne valait-elle pas filiation. Me trompé-je ?Lefteris a écrit:J'ai effectivement lu la même chose, j'aurais dû relever où ...Une des interprétations possible aussi " ça t'arrivera aussi". En tout cas ne pas traduire "teknon" par fils , car Brutus était le fils d'une maîtresse très aimée de César (Suétone le dit en tout cas) , mais pas le sien.iphigénie a écrit:Et à ce propos j'ai lu quelque part (mais où? si je le retrouve, je vous le poste) une récente et très intéressante interprétation de ce "kai su, mon gars" à la lumière de l'examen des formules d'imprécations grecques: ce ne serait pas un soupir de déception, mais bien une formule d'imprécation équivalent à: "je t'en souhaite autant", ce en quoi elle serait efficace, puisqu'on sait la fin de Brutus.Cripure a écrit:Si, of course... Et pourtant, c'est pas faute de rapprocher le neutre du grec et celui de l'allemand... Ou comment perdre son peu de savoir en ne l'utilisant jamais...
_________________
Le printemps a le parfum poignant de la nostalgie, et l'été un goût de cendres.
Soleil noir de mes mélancolies.
- LefterisEsprit sacré
Il l'aimait bien, mais il n'était pas son fils par "agnation". L'héritier testamentaire, c'est Octave...Thalia de G a écrit:On m'aurait menti ? (errare ...)Lefteris a écrit:Il n'était pas adopté ...Thalia de G a écrit:Certes, nous le savons. Mais l'adoption dans la Rome antique ne valait-elle pas filiation. Me trompé-je ?Lefteris a écrit:J'ai effectivement lu la même chose, j'aurais dû relever où ...Une des interprétations possible aussi " ça t'arrivera aussi". En tout cas ne pas traduire "teknon" par fils , car Brutus était le fils d'une maîtresse très aimée de César (Suétone le dit en tout cas) , mais pas le sien.iphigénie a écrit:
Et à ce propos j'ai lu quelque part (mais où? si je le retrouve, je vous le poste) une récente et très intéressante interprétation de ce "kai su, mon gars" à la lumière de l'examen des formules d'imprécations grecques: ce ne serait pas un soupir de déception, mais bien une formule d'imprécation équivalent à: "je t'en souhaite autant", ce en quoi elle serait efficace, puisqu'on sait la fin de Brutus.
_________________
"La réforme [...] c'est un ensemble de décrets qui s'emboîtent les uns dans les autres, qui ne prennent leur sens que quand on les voit tous ensemble"(F. Robine , expliquant sans fard la stratégie du puzzle)
Gallica Musa mihi est, fateor, quod nupta marito. Pro domina colitur Musa latina mihi.
Δεν ελπίζω τίποτα, δεν φοβούμαι τίποτα, είμαι λεύτερος (Kazantzakis).
- Presse-puréeGrand sage
Thalia de G a écrit:On m'aurait menti ? (errare ...)
Eh oui, la rumeur a couru qu'il était son fils adultérin, mais rien ne peut permettre de l'affirmer, voire tout indique que non.
C'est juste un mec qui a trahi celui qui avait fait sa carrière en sous-estimant les réactions populaires à la suite de ce meurtre, et qui a fini éventré dans une bataille.
_________________
Homines, dum docent, discunt.Sénèque, Epistulae Morales ad Lucilium VII, 8
"La culture est aussi une question de fierté, de rapport de soi à soi, d’esthétique, si l’on veut, en un mot de constitution du sujet humain." (Paul Veyne, La société romaine)
"Soyez résolus de ne servir plus, et vous voilà libres". La Boétie
"Confondre la culture et son appropriation inégalitaire du fait des conditions sociales : quelle erreur !" H. Pena-Ruiz
"Il vaut mieux qu'un élève sache tenir un balai plutôt qu'il ait été initié à la philosophie: c'est ça le socle commun" un IPR
- User5899Demi-dieu
Les curés d'aujourd'hui aussi disent "mon fils"Thalia de G a écrit:Certes, nous le savons. Mais l'adoption dans la Rome antique ne valait-elle pas filiation. Me trompé-je ?Lefteris a écrit:J'ai effectivement lu la même chose, j'aurais dû relever où ...Une des interprétations possible aussi " ça t'arrivera aussi". En tout cas ne pas traduire "teknon" par fils , car Brutus était le fils d'une maîtresse très aimée de César (Suétone le dit en tout cas) , mais pas le sien.iphigénie a écrit:Et à ce propos j'ai lu quelque part (mais où? si je le retrouve, je vous le poste) une récente et très intéressante interprétation de ce "kai su, mon gars" à la lumière de l'examen des formules d'imprécations grecques: ce ne serait pas un soupir de déception, mais bien une formule d'imprécation équivalent à: "je t'en souhaite autant", ce en quoi elle serait efficace, puisqu'on sait la fin de Brutus.Cripure a écrit:Si, of course... Et pourtant, c'est pas faute de rapprocher le neutre du grec et celui de l'allemand... Ou comment perdre son peu de savoir en ne l'utilisant jamais...Thalia de G a écrit:
Ne serait-ce pas plutôt : "Καὶ σὺ τέκνον" ?
- OudemiaBon génie
Thalia: Brutus adopté par César, je l'ai vu dans un manuel, et là j'avais halluciné! Je me demande pourquoi je n'avais pas écrit à l'auteur (non, je le sais: procrastination+flemme)
Je ne m'en suis pas remise d'ailleurs...
Qu'un prof de LC ait écrit cette ânerie et l'ait propagée (subjonctif d'indignation...).
Fils adultérin, bien malin qui le prouvera; mais l'adoption, tellement formelle et encadrée, c'est celle du petit-neveu bien sûr, et de lui seul!
L'hypothèse "ton tour viendra" est séduisante, quelqu'un retrouverait-il la référence?
Je ne m'en suis pas remise d'ailleurs...
Qu'un prof de LC ait écrit cette ânerie et l'ait propagée (subjonctif d'indignation...).
Fils adultérin, bien malin qui le prouvera; mais l'adoption, tellement formelle et encadrée, c'est celle du petit-neveu bien sûr, et de lui seul!
L'hypothèse "ton tour viendra" est séduisante, quelqu'un retrouverait-il la référence?
- IphigénieProphète
Voilà j'ai retrouvé l'article, il vient de l'Université de Liège, avec un lien qui est sans doute apparu dans Fabula il y a deux ou trois ans:
http://www.class.ulg.ac.be/ressources/dossiers.html
http://www.class.ulg.ac.be/ressources/dossiers.html
- LefterisEsprit sacré
Je me creuse la mémoire, mais je lis tellement d'articles, d'essais sur la civilisation romaine ( presque que ça , historien refoulé je crois ...) que je suis bien en peine de retrouver le passage. Paul Veyne peut-être ? De toute manière, un bon mot historique se doit d'être chargé d'ambiguïté, de sens multiples.Oudemia a écrit:Thalia: Brutus adopté par César, je l'ai vu dans un manuel, et là j'avais halluciné! Je me demande pourquoi je n'avais pas écrit à l'auteur (non, je le sais: procrastination+flemme)
Je ne m'en suis pas remise d'ailleurs...
Qu'un prof de LC ait écrit cette ânerie et l'ait propagée (subjonctif d'indignation...).
Fils adultérin, bien malin qui le prouvera; mais l'adoption, tellement formelle et encadrée, c'est celle du petit-neveu bien sûr, et de lui seul!
L'hypothèse "ton tour viendra" est séduisante, quelqu'un retrouverait-il la référence?
Quant aux manuels , on trouve parfois des erreurs, effectivement. Je ne sais plus trop où non plus , en feuilletant un livre scolaire, j'ai lu que Rome était une "démocratie" :shock: . Sur la gladiature, les poncifs dignes du XIXème et du tableau de Gérôme sont courants, malgré les découvertes de ces 20-30 dernières années.
_________________
"La réforme [...] c'est un ensemble de décrets qui s'emboîtent les uns dans les autres, qui ne prennent leur sens que quand on les voit tous ensemble"(F. Robine , expliquant sans fard la stratégie du puzzle)
Gallica Musa mihi est, fateor, quod nupta marito. Pro domina colitur Musa latina mihi.
Δεν ελπίζω τίποτα, δεν φοβούμαι τίποτα, είμαι λεύτερος (Kazantzakis).
- LédisséEsprit sacré
Oui, c'est une excellente page !
_________________
Life is what happens to you while you're making other plans. John Lennon
Life is not governed by will or intention. Life is a question of nerves, and fibres, and slowly built-up cells in which thought hides itself and passion has its dreams. Oscar Wilde
Bien que femme, je me suis permis_ / demandé_ / rendu_ compte / fait_ désirer... etc._
- Thalia de GMédiateur
Très intéressant. Merci.iphigénie a écrit:Voilà j'ai retrouvé l'article, il vient de l'Université de Liège, avec un lien qui est sans doute apparu dans Fabula il y a deux ou trois ans:
http://www.class.ulg.ac.be/ressources/dossiers.html
_________________
Le printemps a le parfum poignant de la nostalgie, et l'été un goût de cendres.
Soleil noir de mes mélancolies.
Page 1 sur 2 • 1, 2
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum