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- MusyneNiveau 10
Je bosse dans le privé et je rejoins l'avis de Nell. Tout dépendra de ton chef d'établissement, on voit de tout chez nous aussi. En changeant d'établissement, ça pourrait résoudre ton problème.Nell a écrit:Cependant Justinien, je répondrai comme les autres, alors que je connais le privé de l'intérieur: le pb réside bien dans la façon dont est géré un établissement et privé/public ne changera pas la donne... Ce ne sera pas la solution à ton problème.
Change d'établissement, vois ce que ça donne.
- EU1Fidèle du forum
Je ne parlais pas forcément de boîtes à bac, je connais des élèves qui n'ont même pas été présentés au DNB !!! Donc ça paraît plus étendu que le bac seulement.
Quand je disais "systématiquement", c'est que l'établissement dans lequel je travaille depuis 4 ans, reçoit tous les ans en fin de premier trimestre ou en début de deuxième deux ou trois élèves venant du privé. Donc je le vois depuis 4 ans, mes collègues depuis plus longtemps. Je pense donc que le terme "systématiquement" n'est pas inapproprié.
Après, je sais que là où j'habite, le privé est très important donc je le vois à travers le prisme de ma réalité et de mes expériences. Je n'ai pas dit que c'était partout pareil...
Quand je disais "systématiquement", c'est que l'établissement dans lequel je travaille depuis 4 ans, reçoit tous les ans en fin de premier trimestre ou en début de deuxième deux ou trois élèves venant du privé. Donc je le vois depuis 4 ans, mes collègues depuis plus longtemps. Je pense donc que le terme "systématiquement" n'est pas inapproprié.
Après, je sais que là où j'habite, le privé est très important donc je le vois à travers le prisme de ma réalité et de mes expériences. Je n'ai pas dit que c'était partout pareil...
- HestiaNiveau 10
Nell a écrit:
EU1, je te trouve plein de préjugés bien sordides sur le privé. Nous accueillons TOUS les élèves, nous n'en sortons pas sous prétexte de préserver nos résultats, nous les présentons tous, même ceux dont on sait qu'ils se planteront (et vu nos petits effectis, ça plombe les fameuses stats dont tu parles!).
Donc il serait bon de revoir certaines idées, surtout quand on ne maîtrise pas le sujet. Des "boîtes à bac", il en existe partout et ce n'est pas propre au privé.
Est-ce que, parce que je connais UN établissement public qui pratique la sélection intensive, je fais un prix de gros? Est-ce que, parce que j'ai des élèves qui arrivent en 2de depuis le public sans avoir été orienté alors qu'ils n'ont pas le niveau, je fais un amalgame grossier public/abandon de l'élève? Non. je mets en marche mon esprit critique. En tant que professeur, ça me semble essentiel en prime.
+1000
Bref...
Pour la question de départ, je pense effectivement qu'il s'agit d'une question de personnes. Nous avons des adjoints très efficaces et à notre écoute. Les parents, présents, ne sont pas envahissants non plus. Je suis dans un lycée lambda au taux de réussite quasi identique à celui du public mais il est à taille humaine et ça joue aussi.
- HestiaNiveau 10
Ca se fait de moins en moins: le privé à un certain nombre de collègues sans contrat et qui ne sont pas payés, il faut les placer. Ce détachement est une aberration dans le sens où l'inverse n'est pas possible. Il se fait souvent dans des lycées très côtés: c'est injuste de voir des collègues du public en poste dans ces établissements alors qu'un certain nombre de collègues reste sur la carreau.Zébulonix a écrit:Tout à fait d'accord. public/privé n'a rien à voir, me semble-t-il, dans la résolution de tes problèmes.Nell a écrit:privé/public ne changera pas la donne... Ce ne sera pas la solution à ton problème.
Change d'établissement, vois ce que ça donne.
Change d'établissement, tu verras bien si ça continue.
Mais si tu veux vraiment aller dans le privé, tu peux être détaché par le rectorat, sans passer de concours. Renseigne toi sur cette piste.
- jilucorgNeoprof expérimenté
Ah ben non alors, pour sûr ! L'idée ce n'est pas de se ranger à telle ou telle opinion selon je ne sais quel principe d'autorité, mais de tenir compte de la description par autrui de tel ou tel fait ou expérience vécue, dans le but de se construire une opinion plus "objectivée". Le fait principal est que dans ce domaine ce n'est pas une question de système dont l'une serait par construction gentil et l'autre méchant, mais avant tout d'individualités.Justinien a écrit:mais que je sache, je ne suis pas obligée de me ranger à votre opinion à l'instant même où vous l'exprimez?
P.S. : et pour le "vous", je t'assure que je suis seul à taper sur mon clavier ! Sur les forums, ou, avant, sur les newsgroups Usenet, le tutoiement a toujours été une marque de distance, voire de rejet, et pour ma part je ne le pratique qu'à la demande, certains/es y tenant pour des motifs qui leur sont propres.
- EU1Fidèle du forum
Nell : je ne peux pas vous laisser dire que vous accueillez TOUS les élèves.
Dans le public, la scolarité est gratuite, dans le privé, la moyenne dans le secondaire serait d'environ 100 euros par mois.
A cela s'ajoute le prix de la cantine, bien différent entre le public et le privé car elle est souvent subventionnée dans le public. La différence peut être très importante.
Donc disons que vous accueillez tous les élèves (qui en ont les moyens)
Dans le public, la scolarité est gratuite, dans le privé, la moyenne dans le secondaire serait d'environ 100 euros par mois.
A cela s'ajoute le prix de la cantine, bien différent entre le public et le privé car elle est souvent subventionnée dans le public. La différence peut être très importante.
Donc disons que vous accueillez tous les élèves (qui en ont les moyens)
- totoroMonarque
Je rejoins les autres, je ne pense pas qu'aller dans le privé change beaucoup la donne.
J'ai eu la chance de tomber dans les établissements plutôt calmes, le seul dans lequel j'ai eu des problèmes de discipline, c'étati celui où le CDE ne faisait pas son boulot (mais il a fait la chenille dans la cour du collège avec les 3e, si ça c'est pas une marque d'autorité...)
J'ai eu la chance de tomber dans les établissements plutôt calmes, le seul dans lequel j'ai eu des problèmes de discipline, c'étati celui où le CDE ne faisait pas son boulot (mais il a fait la chenille dans la cour du collège avec les 3e, si ça c'est pas une marque d'autorité...)
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- RaizelNiveau 10
EU1 a écrit:Nell : je ne peux pas vous laisser dire que vous accueillez TOUS les élèves.
Dans le public, la scolarité est gratuite, dans le privé, la moyenne dans le secondaire serait d'environ 100 euros par mois.
A cela s'ajoute le prix de la cantine, bien différent entre le public et le privé car elle est souvent subventionnée dans le public. La différence peut être très importante.
Donc disons que vous accueillez tous les élèves (qui en ont les moyens)
Ce n'est pas vrai; nous accueillons aussi beaucoup d'élèves dont les parents n'ont pas beaucoup de moyens.
- sandmanNiveau 10
Cette phrase prouve ta méconnaissance du privé.EU1 a écrit:
Donc disons que vous accueillez tous les élèves (qui en ont les moyens)
Je crois qu'il existe deux sortes de "privé" :
- les boîtes à bac, les collèges-lycées élitistes, où les élèves sont triés sur le carreau et invités à quitter l'établissement si leur potentiel d'échec aux examens devient problématique pour les taux de réussite de l'établissement.
- les collèges "classiques", qui recrutent de manière très hétérogène et qui accueillent des familles souvent désœuvrées financièrement, des classes moyennes et des familles aisées.
J'expose des faits, je n'en cherche pas les raisons, car parfois je ne les comprends pas moi-même.
Ce qui est certain, c'est qu'il existe des collèges privés difficiles, avec des élèves en échec scolaire et des taux de réussite au DNB qui n'ont rien à envier aux établissements publics dits "en difficulté".
- EU1Fidèle du forum
Bien sûr que l'argent est un facteur de choix (subi plutôt que choisi) entre le public et le privé.
Je sais bien que certains établissements privés accueillent des familles qui n'ont pas beaucoup d'argent, notamment en prenant en considération le revenu des parents. Mais même si cela est louable, il n'en demeure pas moins que ça reste un facteur important dans la possibilité ou non d'inscrire son enfant dans le privé...
Je sais bien que certains établissements privés accueillent des familles qui n'ont pas beaucoup d'argent, notamment en prenant en considération le revenu des parents. Mais même si cela est louable, il n'en demeure pas moins que ça reste un facteur important dans la possibilité ou non d'inscrire son enfant dans le privé...
- NellGuide spirituel
EU1 a écrit:Nell : je ne peux pas vous laisser dire que vous accueillez TOUS les élèves.
Dans le public, la scolarité est gratuite, dans le privé, la moyenne dans le secondaire serait d'environ 100 euros par mois.
A cela s'ajoute le prix de la cantine, bien différent entre le public et le privé car elle est souvent subventionnée dans le public. La différence peut être très importante.
Donc disons que vous accueillez tous les élèves (qui en ont les moyens)
Non, dans votre post, vous laissez entendre que nous faisons un tri d'élèves par rapport au résultats comme au comportement (c'est que ça m'aurait arrangée de ne pas récupérer mes deux zozios de 2de cette année mais ce n'est pas la réalité des choses).
Quant aux tarifs, je suis certaine que mes gamins de classe plus que moyenne, façon moyenne basse, seraient heureux d'être considérés comme ayant les moyens. C'est encore une idée bien médiocre: nous avons des parents très en dificulté et, Ô étonnement, des élèves boursiers en certain nombre! Nous avons aussi un fond d'aide spéciale, montée par nos chefs, avec subvention de l'APEL, de la région et même de certains parents, pour que les élèves les plus en difficulté puissent accéder à la cantine à tarif dérisoire.
De plus, des élèves n'ont pas leur "note" soldée et pourtant, nous continuons à les accepter. Parce que nous sommes avant toute chose une école, grand bien vous fasse!
Honnêtement, mon cas n'est n'est pas une généralité. Veuillez considérer que vos cas ne le sont pas non plus. De la nuance et de la modération dans des sujets dont on ne connaît pas tout me semble la moindre des choses (un conditionnel plutôt qu'un présent de vérité générale quand on argue que le privé se débarasse de la "mauvaise graine" par exemple): ça ressemble parfois trop à un mauvais reportage d'M6 (redondance...).
Et tant qu'à y être, meri de ne pas laisser entendre que votre mission en tant qu'enseignant est nettement meilleure que la mienne parce que n'enseignons pas dans les mêmes établissements.
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Impose ta chance, sers ton bonheur et va vers ton risque. A te regarder, ils s'habitueront. (R. Char)
- EU1Fidèle du forum
C'est un débat sans fin, et sans sens, puisque chacun se bornera à défendre le système dans lequel il travaille et le système dans lequel il croit.
Malgré nos désaccords, l'essentiel est que nous aimions tous notre métier et l'exercions du mieux que nous le pouvons.
Bien à vous
EUI
Malgré nos désaccords, l'essentiel est que nous aimions tous notre métier et l'exercions du mieux que nous le pouvons.
Bien à vous
EUI
- sandmanNiveau 10
EU1 a écrit:C'est un débat sans fin, et sans sens, puisque chacun se bornera à défendre le système dans lequel il travaille et le système dans lequel il croit.
Malgré nos désaccords, l'essentiel est que nous aimions tous notre métier et l'exercions du mieux que nous le pouvons.
Bien à vous
EUI
Non, je bosse dans le privé mais je défends les valeurs du public. Parfois, on arrive dans le privé par nécessité...
- NellGuide spirituel
Je défends l'école dans son ensemble sans distinction (quand vous attaquez un système) et ne supporte pas les discours à l'emporte-pièces, j'aime les argumentations solides et fondées et votre discours me choque, non pas parce que j'enseigne dans le privé mais parce qu'il se veut la propagande d'idées fausses ou en tout cas partiellement justes seulement.
Je m'excuse auprès de Justinien pour le détournement de sujet.
Je m'excuse auprès de Justinien pour le détournement de sujet.
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- jilucorgNeoprof expérimenté
Il me semble qu'un débat idéologique public vs privé aurait sa place dans un sujet de discussion dédié à cette question, au lieu de prendre de l'ampleur dans celui de Justinien, non ?
- Anna de NoaillesHabitué du forum
Je suis en Eclair (collège public) - 85 % d'élèves boursiers et issus de milieux très défavorisés. Nos élèves sont difficiles et effectivement nous accueillons tout le monde. C'est indéniable (dont les demandes de dérogation du privé refusées par l'inspection). Nous devons même aller prospecter les écoles du coin pour éviter la fuite dans le privé des meilleurs élèves. Malgré tout, je pense qu'il y a des cas partout (public comme privé). Ce n'est pas forcément le même type de cas mais la pénibilité peut être similaire. Par exemple, nous avons recueilli cette année 2 élèves d'un collège privé - exclus par conseil de discipline - et bien ils étaient gratinés! Ils ont échoué chez nous (nous en avions bien besoin) et je me suis dit qu'ils avaient dû en faire baver leurs enseignants (comme nous désormais). Ils n'étaient pas meilleurs que les nôtres. Bref, pour résumer, je pense qu'à moins d'être dans un collège privé élitiste (j'ai eu un tel poste quand j'étais vacataire et je n'en garde pas forcément un bon souvenir car nous avions les parents sur le dos et les gamins que j'ai eus étaient pédants) , les ados se ressemblent plus ou moins quel que soit l'établissement. Ce qui fait qu'un établissement fonctionne(privé/public confondus), c'est surtout le mélange socio-culturel, qu'il n'y ait pas de sectarisme, de guettos. Depuis que nous avons redoré notre image, les bons élèves des écoles de proximité viennent au collège, ce qui est bénéfique car nous avons enfin des classes moyennes.
Ce n'est donc pas en passant du public au privé que tu trouveras une résolution à tes problèmes.
Ce n'est donc pas en passant du public au privé que tu trouveras une résolution à tes problèmes.
- Anna de NoaillesHabitué du forum
totoro a écrit:Je rejoins les autres, je ne pense pas qu'aller dans le privé change beaucoup la donne.
J'ai eu la chance de tomber dans les établissements plutôt calmes, le seul dans lequel j'ai eu des problèmes de discipline, c'étati celui où le CDE ne faisait pas son boulot (mais il a fait la chenille dans la cour du collège avec les 3e, si ça c'est pas une marque d'autorité...)
Je pense effectivement que la gestion de l'établissement par le CDE fait tout. Nous avons changé de principal et depuis c'est le jour et la nuit. Pourtant, les gamins sont les mêmes. Un bon CDE et l'herbe deviendra plus verte!
- ZébulonixNiveau 5
jilucorg a écrit:Sur les forums, ou, avant, sur les newsgroups Usenet, le tutoiement a toujours été une marque de distance, voire de rejet, et pour ma part je ne le pratique qu'à la demande, certains/es y tenant pour des motifs qui leur sont propres.
Contradictoire avec le début de ta phrase. Tu voulais parler du vouvoiement plutôt, non ?
- NellGuide spirituel
Zébulonix a écrit:jilucorg a écrit:Sur les forums, ou, avant, sur les newsgroups Usenet, le tutoiement a toujours été une marque de distance, voire de rejet, et pour ma part je ne le pratique qu'à la demande, certains/es y tenant pour des motifs qui leur sont propres.
Contradictoire avec le début de ta phrase. Tu voulais parler du vouvoiement plutôt, non ?
Le vouvoiement oui. Et je ne m'aligne aussi qu'à la demande (ou en réponse à un vouvoiement aussi).
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- MelanieSLBDoyen
EU1 a écrit:
Ne trouvez-vous pas choquant que certains élèves ne soient pas présentés aux examens, au prétexte que de toute façon ils ne l'auraient pas, mais en réalité c'est dans l'intérêt de l'établissement pour converser des taux de réussite intéressants ?
Ça existe aussi dans le public, EU1.
sandman a écrit:Cette phrase prouve ta méconnaissance du privé.EU1 a écrit:
Donc disons que vous accueillez tous les élèves (qui en ont les moyens)
Je crois qu'il existe deux sortes de "privé" :
- les boîtes à bac, les collèges-lycées élitistes, où les élèves sont triés sur le carreau et invités à quitter l'établissement si leur potentiel d'échec aux examens devient problématique pour les taux de réussite de l'établissement.
- les collèges "classiques", qui recrutent de manière très hétérogène et qui accueillent des familles souvent désœuvrées financièrement, des classes moyennes et des familles aisées.
J'expose des faits, je n'en cherche pas les raisons, car parfois je ne les comprends pas moi-même.
Ce qui est certain, c'est qu'il existe des collèges privés difficiles, avec des élèves en échec scolaire et des taux de réussite au DNB qui n'ont rien à envier aux établissements publics dits "en difficulté".
, Sandman.
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La réforme du collège en clair : www.reformeducollege.fr .
Et pour ceux qui voudraient en comprendre quelques fondements idéologiques:
De l’école, Jean-Claude Milner, visionnaire en 1984 (ça ne s'invente pas!) de ce qui nous arrive: "On ne dira pas que les enseignants sont l'appendice inutile d'une institution dangereuse et presque criminelle; on dira seulement qu'ils doivent devenir Autres: animateurs, éducateurs, grands frères, nourrices, etc. La liste est variable. Que, par là, les enseignants cessent d’être ce qu'ils doivent être, c'est encore une fois sortir de la question. On ne dira pas que les enseignants n'ont pas à exister, mais qu'ils ont à exister Autrement. Que cette Autre existence consiste à renoncer à soi-même pour disparaître dans la nuit éducative et s'y frotter, tous corps et tous esprits confondus, avec les partenaires de l'acte éducatif - manutentionnaires, parents, élèves, etc. -, seul un méchant pourrait en prendre ombrage." (page 24)
- lenidjiNiveau 8
J'ai un ami qui bosse dans le privé et c'est l'enfer. Un Cde lubrique qui harcèle des profs femmes et leur fait payer leurs refus, une ambiance infâme entre profs, des clans, de la délation...
Ca dépend vraiment des établissements, peut-être qu'il y a moins de "cas" parmi les élèves du privé, mais la direction et l'ambiance, ce n'est pas forcément mieux que dans le public.
Change d'établissement si tu peux, peut-être que tu auras un chef digne de ce nom. Bosser avec des incompétents, je te comprends, c'est l'horreur.
En fait, le problème ne vient que rarement des élèves. Tu peux avoir des élèves difficiles et passer une année super et des agneaux et passer un an en enfer. Ca dépend vraiment de la façon dont l'établissement est géré. Bon courage
Ca dépend vraiment des établissements, peut-être qu'il y a moins de "cas" parmi les élèves du privé, mais la direction et l'ambiance, ce n'est pas forcément mieux que dans le public.
Change d'établissement si tu peux, peut-être que tu auras un chef digne de ce nom. Bosser avec des incompétents, je te comprends, c'est l'horreur.
En fait, le problème ne vient que rarement des élèves. Tu peux avoir des élèves difficiles et passer une année super et des agneaux et passer un an en enfer. Ca dépend vraiment de la façon dont l'établissement est géré. Bon courage
- GotinNiveau 9
Pour en revenir au sujet, tout dépend du lycée dans lequel on est. La seule différence dans le privé est que l'on peut choisir son lycée.
Je viens d'intégrer un lycée privé (sous contrat !), je l'ai fait car je suis néo-tit et je voulais un environnement où je me sente soutenu dans mes débuts. Donc j'ai littéralement démarché ce lycée (CV + lettre de motivation), j'ai rencontré le CDE pour un entretien et le feeling est tout de suite passé. Il m'a même "pistonné" pour donner des cours privé à des amis à lui, à mon avis c'était une façon à lui de me tester. Mais ca ne me choque pas, je sais que ce n'est pas du tout dans la "culture" de l'EN, mais moi j'aime ca (je suis maso sûrement ). J'ai senti que le lycée était une immense famille et de ce que j'ai vu pour le moment je ne me suis pas trompé.
Je pense qu'il faut le savoir, c'est pas la même mentalité. Dans le privé, le CDE gère vraiment le lycée, et dans mon cas il enseigne encore (comme toute la direction) ce qui je trouve est très bien !
Je viens d'intégrer un lycée privé (sous contrat !), je l'ai fait car je suis néo-tit et je voulais un environnement où je me sente soutenu dans mes débuts. Donc j'ai littéralement démarché ce lycée (CV + lettre de motivation), j'ai rencontré le CDE pour un entretien et le feeling est tout de suite passé. Il m'a même "pistonné" pour donner des cours privé à des amis à lui, à mon avis c'était une façon à lui de me tester. Mais ca ne me choque pas, je sais que ce n'est pas du tout dans la "culture" de l'EN, mais moi j'aime ca (je suis maso sûrement ). J'ai senti que le lycée était une immense famille et de ce que j'ai vu pour le moment je ne me suis pas trompé.
Je pense qu'il faut le savoir, c'est pas la même mentalité. Dans le privé, le CDE gère vraiment le lycée, et dans mon cas il enseigne encore (comme toute la direction) ce qui je trouve est très bien !
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