- BientôtlesudFidèle du forum
JPhMM a écrit:Ce n'était pas une critique, simplement une incompréhension.
Pas même les médias ni les blogs, ni les forums (sauf deux donc), etc n'en parlent, ne serait-ce qu'en citant la décision du Conseil d’État. Je trouve cela étonnant, et réellement je ne me l'explique pas, au tout premier sens de l'expression, donc.
Je ne sais pas, je ne suis pas surpris. Le simple fait que la lecture de l'arrêt soit ardue pour les néophytes explique aisément la chose selon moi.
- Fleur16Habitué du forum
JPhMM, je vais encore faire ma pessimiste, mais les médias ne relaieront pas sous cette forme, c'est trop abstrait. Ils le feront seulement après les communiqués des syndicats.
- JPhMMDemi-dieu
Vous avez sans nul doute raison.
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Labyrinthe où l'admiration des ignorants et des idiots qui prennent pour savoir profond tout ce qu'ils n'entendent pas, les a retenus, bon gré malgré qu'ils en eussent. — John Locke
Je crois que je ne crois en rien. Mais j'ai des doutes. — Jacques Goimard
- CelebornEsprit sacré
JPhMM a écrit:Vous avez sans nul doute raison.
Et mon article, alors ? J'étais sérieux, moi !
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- LefterisEsprit sacré
En droit administratif, pour obtenir réparation individuelle, il y a , outre l'illégalité de la mesure dénoncée , deux conditions essentielles :
- avoir subi un préjudice (on ne peut recourir contre une mesure qui ne fait pas grief, sauf les personnes morales, associations, syndicats..)
- avoir intérêt personnel à agir (on ne peut pas recourir contre la nomination abusive de quelqu'un d'autre par exemple)
Donc, si recours il y a , ils devront être individuels, ce qui n'empêche pas de les présenter collectivement, selon un argumentaire juridique préparé par les syndicats. (c'est ce qui se passe pour les annulations de tableaux d'avancement, c'est ce qui s'est passé pour les bonifications retraites pour causse d'enfants... )
Pour obtenir une nouvelle décision, et pouvoir la contester il faut créer une nouvelle décision -on dit "provoquer" , par une demande, qui sera notifié par un acte administratif (un arrêté au moins) , susceptible de recours .
Cela me semble intéressant pour tous les stagiaires victimes du Marchand de Shampoing de l'Oréal , mais plus particulièrement pour ceux qui n'ont pas été titularisés , s'il peuvent démontrer que cela est dû à l'application d'une mesure illégale leur ayant fait grief.
erreur légale => erreur de fait => erreur matérielle d'appréciation ayant fait grief => annulation du licenciement
Voilà du boulot pour les syndicats, car ça fait de la paperasse et des frais de contentieux.
- avoir subi un préjudice (on ne peut recourir contre une mesure qui ne fait pas grief, sauf les personnes morales, associations, syndicats..)
- avoir intérêt personnel à agir (on ne peut pas recourir contre la nomination abusive de quelqu'un d'autre par exemple)
Donc, si recours il y a , ils devront être individuels, ce qui n'empêche pas de les présenter collectivement, selon un argumentaire juridique préparé par les syndicats. (c'est ce qui se passe pour les annulations de tableaux d'avancement, c'est ce qui s'est passé pour les bonifications retraites pour causse d'enfants... )
Pour obtenir une nouvelle décision, et pouvoir la contester il faut créer une nouvelle décision -on dit "provoquer" , par une demande, qui sera notifié par un acte administratif (un arrêté au moins) , susceptible de recours .
Cela me semble intéressant pour tous les stagiaires victimes du Marchand de Shampoing de l'Oréal , mais plus particulièrement pour ceux qui n'ont pas été titularisés , s'il peuvent démontrer que cela est dû à l'application d'une mesure illégale leur ayant fait grief.
erreur légale => erreur de fait => erreur matérielle d'appréciation ayant fait grief => annulation du licenciement
Voilà du boulot pour les syndicats, car ça fait de la paperasse et des frais de contentieux.
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"La réforme [...] c'est un ensemble de décrets qui s'emboîtent les uns dans les autres, qui ne prennent leur sens que quand on les voit tous ensemble"(F. Robine , expliquant sans fard la stratégie du puzzle)
Gallica Musa mihi est, fateor, quod nupta marito. Pro domina colitur Musa latina mihi.
Δεν ελπίζω τίποτα, δεν φοβούμαι τίποτα, είμαι λεύτερος (Kazantzakis).
- JPhMMDemi-dieu
Ben...Celeborn a écrit:JPhMM a écrit:Vous avez sans nul doute raison.
Et mon article, alors ? J'étais sérieux, moi !
Je risque d'écrire pas mal d’âneries. Non seulement ce m'est un travers fréquent, mais en plus je n'y connais rien en droit.
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- BientôtlesudFidèle du forum
Lefteris a écrit:
Donc, si recours il y a , ils devront être individuels, ce qui n'empêche pas de les présenter collectivement, selon un argumentaire juridique préparé par les syndicats. (c'est ce qui se passe pour les annulations de tableaux d'avancement, c'est ce qui s'est passé pour les bonifications retraites pour causse d'enfants... )
C'est ce que j'ai tenté d'expliquer (avec moins adresse certainement) plus haut. Et c'est ce qu'a fait le SNES depuis le début de l'année (au moins) :
http://www.versailles.snes.edu/spip.php?article2515
- CelebornEsprit sacré
JPhMM a écrit:
Ben...
Je risque d'écrire pas mal d’âneries. Non seulement ce m'est un travers fréquent, mais en plus je n'y connais rien en droit.
D'où peut-être le fait que personne ne s'y soit risqué .
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- JPhMMDemi-dieu
Oui et c'est pour cela que j'ai dit que vous avez sans doute raison.Celeborn a écrit:JPhMM a écrit:
Ben...
Je risque d'écrire pas mal d’âneries. Non seulement ce m'est un travers fréquent, mais en plus je n'y connais rien en droit.
D'où peut-être le fait que personne ne s'y soit risqué .
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- JohnMédiateur
J'espère que, quand vous relayez cette info à d'autres personnes, les uns et les autres, vous dites de quel forum génial et bien informé elle vient :acf:Mais de mon côté, j'ai fait remonter l'info.
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"Qui a construit Thèbes aux sept portes ? Dans les livres, on donne les noms des Rois. Les Rois ont-ils traîné les blocs de pierre ? [...] Quand la Muraille de Chine fut terminée, Où allèrent ce soir-là les maçons ?" (Brecht)
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- HéliandreExpert
Il y a aussi eu des suicides... Au moins un, en tous cas, je me rappelle avoir lu un article.Lefteris a écrit:
Cela me semble intéressant pour tous les stagiaires victimes du Marchand de Shampoing de l'Oréal , mais plus particulièrement pour ceux qui n'ont pas été titularisés , s'il peuvent démontrer que cela est dû à l'application d'une mesure illégale leur ayant fait grief.
erreur légale => erreur de fait => erreur matérielle d'appréciation ayant fait grief => annulation du licenciement
Dans mon établissement, au moment de faire la répartition le CDE a juré dur comme fer que les stagiaires restaient à 18h, car c'était le discours du rectorat. On n'a pas cru à mes infos néo. Vendredi, ça y est on était sur 15h stagiaires, peut-être. J'imagine le bazar, effectivement, si ça descend encore. Déjà qu'on veut faire accepter plus de 2h supp par collègue.
- suzonNiveau 2
Et bien, ça promet un sacré bord*l pour cet été, et la rentrée prochaine.
On sera nombreux à espérer, et à attendre de voir se qui va se mettre en place!
On sera nombreux à espérer, et à attendre de voir se qui va se mettre en place!
- JohnMédiateur
Grave erreur !Dans mon établissement, au moment de faire la répartition le CDE a juré dur comme fer que les stagiaires restaient à 18h, car c'était le discours du rectorat. On n'a pas cru à mes infos néo.
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- RagnetrudeExpert spécialisé
Lefteris a écrit:Cela me semble intéressant pour tous les stagiaires victimes du Marchand de Shampoing de l'Oréal , mais plus particulièrement pour ceux qui n'ont pas été titularisés , s'il peuvent démontrer que cela est dû à l'application d'une mesure illégale leur ayant fait grief.
erreur légale => erreur de fait => erreur matérielle d'appréciation ayant fait grief => annulation du licenciement
et cela pourrait-il fonctionner pour ceux qui ont été renouvelés ? (annulation du renouvellement, titularisation sur la 2e année de stage et donc rattrapage sur la carrière ?).
C'est que je l'ai vraiment mauvaise donc s'il y a moyen de faire une quelconque procédure ça me ferait vraiment plaisir
- PryneiaNiveau 9
Waouw, merci de ces informations ! Ça bouge, dis donc !
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- Invité31Sage
Vous voulez que je demande à un copain qui siège au Conseil d'Etat justement (et qui était prof avant ça) ou quelqu'un a-t-il eu déjà confirmation de cette heureuse interprétation (ce serait vraiment génial) ?
- JohnMédiateur
Melody Nelson, ce serait une démarche formidable de ta part
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- Invité31Sage
Bon alors je le maile cet après-midi et je vous tiens au courant
- JPhMMDemi-dieu
Et bien... mille fois oui, bien sûr, avec un immense plaisir.Melody Nelson a écrit:Vous voulez que je demande à un copain qui siège au Conseil d'Etat justement (et qui était prof avant ça) ou quelqu'un a-t-il eu déjà confirmation de cette heureuse interprétation (ce serait vraiment génial) ?
Et merci pour proposition. :flower:
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- LefterisEsprit sacré
Oui, je pense que dans l'absolu tout est possible. Le principe du droit administratif ,c'est d'invalider toutes les conséquences qui découlent en cascade d'une première illégalité ou erreur. J'en ai un peu tâté dans une précédente vie et une précédente administration, et par exemple, j'avais obtenu l'invalidation du licenciement d'un stagiaire reconduit parce que les conditions de prolongation de stage étaient assorties d'erreurs de droit et de fait (non changement de service, matérialité des faits insuffisamment établie) et d'erreur d'appréciations qui en découlaient (même notateur) .Haldetrude a écrit:Lefteris a écrit:Cela me semble intéressant pour tous les stagiaires victimes du Marchand de Shampoing de l'Oréal , mais plus particulièrement pour ceux qui n'ont pas été titularisés , s'il peuvent démontrer que cela est dû à l'application d'une mesure illégale leur ayant fait grief.
erreur légale => erreur de fait => erreur matérielle d'appréciation ayant fait grief => annulation du licenciement
et cela pourrait-il fonctionner pour ceux qui ont été renouvelés ? (annulation du renouvellement, titularisation sur la 2e année de stage et donc rattrapage sur la carrière ?).
C'est que je l'ai vraiment mauvaise donc s'il y a moyen de faire une quelconque procédure ça me ferait vraiment plaisir
Cela dit, c'est difficile, il faut vraiment une infrastructure solide (syndicat, association...) , car c'est épuisant et long, sans compter les frais qu'il vaut mieux mutualiser. S'il n'y a pas possibilité d'obtenir un référé en urgence/injonction car le grief n'est plus actuel, cela peut prendre du temps, des années . De plus, l'administration a l'habitude de jouer la montre, pour gagner du temps et "user" les requérants.
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- RagnetrudeExpert spécialisé
merci de ta réponse Lefteris. J'ai l'intention de faire le recours proposé par le snes mais pour le moment je n'ai rien lancé d'officiel, on verra ce qu'ils en disent.
- LefterisEsprit sacré
Erratum : dans la vitesse, j'ai écrit "le principe du droit administratif". Tu as compris que j'ai voulu écrire "... du contentieux administratif..."Haldetrude a écrit:merci de ta réponse Lefteris. J'ai l'intention de faire le recours proposé par le snes mais pour le moment je n'ai rien lancé d'officiel, on verra ce qu'ils en disent.
A mon sens , une reconstitution de carrière qui se répercute sur toute une vie professionnelle, ça vaut la peine. Là où je ne te cache pas qu'il va falloir fourbir tes arguments, dans la partie qu'on appelle généralement la "discussion", après l'exposé des motifs, c'est pour démontrer le lien exact entre le report de titularisation et les conditions d'exercice liées à la réforme.
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- CondorcetOracle
JPhMM a écrit:Peillon doit être furieux contre le Conseil d’État.Cripure a écrit:Un sacré cadavre dans le placard que ces cador leur ont laissé...John a écrit:Mais enfin, si la décision est cassée et qu'on en revient à la situation de 2006 (c'est-à-dire 8h max/sem. pour les stagiaires), ce serait fou que Peillon fasse à son tour, quinze jours après avoir été nommé, la même réforme que Darcos et Chatel :shock:condorcet a écrit:Si j'ai bien compris la décision du Conseil d'Etat, le ministre de l'Education nationale a commis une erreur en abrogeant seul l'arrêté interministériel de 2006 concernant les stagiaires. Il suffirait que les ministres concernés l'abrogent conjointement pour que l'abrogation de cet arrêté soit possible et donc que le service hebdomadaire des enseignants stagiaires passe de 6/8 h à bien plus.
Ceci dit, je ne le souhaite pas, bien au contraire.
Les stagiaires de ces deux années se sont montrés héroïques.
Vous imaginez le symbole ?
Au lieu d'apparaitre comme un héros en tuant le décret abhorré, non seulement il ne sera pas ce héros, mais en plus il va peut-être en partie devoir le "ressusciter".
Il y aura deux arbitres : Matignon et Bercy qui s'efforceront de réduire les déficits publics (aidés en cela par les remontrances de la Commission Européenne), or la diminution de la quotité de service des stagiaires entraînerait un surcoût que l'équipe de campagne de F. Hollande n'a pas, je le crois, entièrement chiffrée.
- pitchounetteExpert
j'avoue ne pas comprendre comment peillon pourrait refaire la meme chose que chatel ??
_________________
Le bonheur est dans le pré après 7 ans de région parisienne
- pitchounetteExpert
ca par contre, j'ai bien compriscondorcet a écrit:
Il y aura deux arbitres : Matignon et Bercy qui s'efforceront de réduire les déficits publics (aidés en cela par les remontrances de la Commission Européenne), or la diminution de la quotité de service des stagiaires entraîneraient un surcoût que l'équipe de campagne de F. Hollande n'a pas, je le crois, entièrement chiffrée.
- yphrogEsprit éclairé
Lefteris a écrit:Cela me semble intéressant pour tous les stagiaires [...] mais plus particulièrement pour ceux qui n'ont pas été titularisés , s'il peuvent démontrer que cela est dû à l'application d'une mesure illégale leur ayant fait grief.
erreur légale => erreur de fait => erreur matérielle d'appréciation ayant fait grief => annulation du licenciement
tentant. En effet, j'avais entendu parler de cette décision avant d'être inspecté en janvier 2012. J'étais donc très, très surpris par la suite, surtout par le syndicat qui m'a encouragé de baisser les bras. Mais pour avoir "annulation du licenciement" il faut passer par la case licenciement, ce qui veut dire concrètement 3 mois sans aucun revenu de la part du rectorat qui gère (bien sur) le chomage puisqu'il ne cotise pas ailleurs. Il n'y a pas d'indemnisation de licenciement, non plus, contrairement à ce que d'autres ont pu vivre dans le passé. Je ne sais pas quand cela aurait changé? Cf. http://fr.wikipedia.org/wiki/Fonction_publique_fran%C3%A7aise#Stage_et_formation_initiale
Embaucher un avocat dans ces conditions -->
(mais là, c'est toujours la même historie, il faut avoir de l'argent pour faire respecter ces droits, peu importe qui les aurait enfreint...)
Puisque le rectorat ne m'a pas envoyé l'arrêté de licenciement que deux mois après notification orale, j'ai toujours la possibilité d'un recours contentieux. (selon un mot écrit par le rectorat, jusqu'au debut juillet... je peux ajouter 2 mois à cela en formulant un recours gracieux / hierarchique...)
tentant... comme l'idée de passer à autre chose vu l'opacité de ce montage qui est un "jury souverain de :censure: "
Que faire? Maintenant que j'ai trouvé du travail ailleurs (très mal remunéré tout de même, mais beaucoup plus facile ), je me demande toujours si je ne fais pas une erreur très très bête en laissant passer...
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