refus d'augmentation de la note - voir p. 14

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C'est bizarre comme réaction. Je crois que je me méfierais aussi.
Nous avons (et avons eu) des collègues qui sont pas mal absents pour problèmes de santé, ils finissent toujours par dire ce dont ils souffrent. Mais notre administration est plutôt compatissante.

Pour lire aussi. Mais je m'attends à des choses pas chouettes.
D'avance

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Qui ta chef protège-t-elle au juste?
Ne t'inquiète pas outre mesure: tous tes arrêts sont justifiés, ton travail est fait. Que les élèves n'aient pas le niveau ni la volonté, tu n'en es pas responsable. Que le père écrive au rectorat, ça ne fera rien.

Nell a écrit:Qui ta chef protège-t-elle au juste?
Ne t'inquiète pas outre mesure: tous tes arrêts sont justifiés, ton travail est fait. Que les élèves n'aient pas le niveau ni la volonté, tu n'en es pas responsable. Que le père écrive au rectorat, ça ne fera rien.

Tout à fait d'accord.
Mais ce doit être pénible pour toi qu'on te mette ainsi la pression.

Je me permets de poster pour lire. Je répondrai ensuite.

Edit: le comportement de ta CDE est en effet peu clair. Tes absences sont justifiées et elle devrait te défendre auprès de ce parent d'élève. Là, on dirait qu'elle cherche à se protéger elle mais pas à te protéger toi.

Quant à ce parent d'élève, c'est probablement un parent stressé qui préfère mettre sur le dos des enseignants les éventuels "défaillances" de son enfant plutôt que de s'interroger lui-même.

Courage en tout cas.

Un de mes collègues a été dans ton cas il y a quelques années: plusieurs absences perlées en raison de problèmes de santé grave dont il ne voulait pas parler( je rappelle, à ce sujet, que la santé est du domaine de l intime et que personne n est tenu d en parler dans l espace public): il y a eu des lettres de parents( c était au lycée, donc plus de pression), et je ne parle pas des insinuations de c... grandes gueules de collegues qui insinuaient qu il bénéficiait d arrêts de complaisance( ce qui est une accusation gravissimiz, proche de la diffamation, et en cela, répréhensible, mais ces cretins ne s en rendaient pas compte): le cde était une chiffe molle qui a demande une visite médicale: aucun problème! Il a néanmoins demande sa mur. ces pratiques sont inquiétantes
Je te souhaite, surtout Clarianz, une meilleure santé et envoie ch... tous les abrutis qui croient tout savoir et ecrase ces homoncules de ton mepris

A partir du moment où tes arrêts sont justifiés par le médecin, tu n'as rien à craindre. Le seul problème c'est que le CDE n'ose pas remettre ces parents à leur place, et éventuellement ne trouve pas de remplaçant..

Rapproche-toi d'un syndicat, c'est toujours bon de se renseigner.

Quand j'ai été arretée en début de grossesse l'an dernier, comme je ne voulais pas dire pourquoi j'étais arretée au début, ma chef a dit à beaucoup de collègues qu'elle pensait à un arret de complaisance...

Quels que soient tes problèmes de santé, Clarianz.

pandorafanny a écrit:Quand j'ai été arretée en début de grossesse l'an dernier, comme je ne voulais pas dire pourquoi j'étais arretée au début, ma chef a dit à beaucoup de collègues qu'elle pensait à un arret de complaisance...

Quels que soient tes problèmes de santé, Clarianz.

Ce sont des propos graves qui constituent une accusation de fraude à la sécu: j hallucine

+ 1000 Malaga, Thrasy et Reine Margot.

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thrasybule a écrit:

pandorafanny a écrit:Quand j'ai été arretée en début de grossesse l'an dernier, comme je ne voulais pas dire pourquoi j'étais arretée au début, ma chef a dit à beaucoup de collègues qu'elle pensait à un arret de complaisance...

Quels que soient tes problèmes de santé, Clarianz.

Ce sont des propos graves qui constituent une accusation de fraude à la sécu: j hallucine

En effet, c'est ce que j'ai dit à son adjointe quand j'ai appelé pour le renouveler l'arret. J'avais à l'époque un décollement placentaire, je n'étais pas sure que ma grossesse se poursuivrait, donc je n'avais aucune envie d'annoncer au gens que j'étais enceinte. C'est seulement quand je l'ai dit à des collègues de confiance, qui ont relayé l'info, que j'ai reçu quelques messages de sympathie.

Désolée pour le HS Clarianz.

Les gens sont cons, et égoistes. Je ne sais pas de quoi tu souffre, mais le fait de l'avoir dit à ton chef devrait le rendre plus compréhensif normalement. Quant aux parents mécontents, qu'ils aillent donc mettre leurs gosses ailleurs, dans un établissement où les profs ne sont jamais malades

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Si le parent soupçonne des AM de complaisance, c'est ton médecin qui est directement mis en cause. Et manifestement, il existe des preuves physiques de ta pathologie, des résultats d'examen... Cette accusation ne peut pas tenir la route.
Bon courage pour démêler tout ce marasme.

Oh

Je fais ma curieuse, en espérant pouvoir t'apporter des idées...

, Clarianz. Et tiens bon!

Merci à tous!


pandorafanny, je compatis, j'ai vécu le même début de grossesse, et ai perdu mon rempla en lycée suite à un arrêt de 15 jours!
D'où ma détermination aujourd'hui à ne pas me laisser faire.

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Je n'avais pas vu, je lis!

Clarianz, tu es actuellement TZR ? C'est pour cela que tu rattrapes tes cours même si tu ne le dois pas ?

Je voulais aussi apporter un point de vue différent quant au fait de ne pas dire de quoi on souffre aux collègues et aux supérieurs. Il m'est arrivé de constater l'absence de collègues pendant plusieurs semaines d'affilée. Quand ils en parlent à des collègues dont ils sont plus proches, même si tout le monde n'a pas les détails, cela nous permet d'envoyer un mot de soutien en sachant quoi écrire. Quand nous n'avons aucune nouvelle, la conséquence est que nous nous inquiétons beaucoup, parfois trop. Quand on travaille quotidiennement avec des gens, on devient plus ou moins proche, je ne trouve pas choquant de partager (sans entrer dans les détails) un petit peu de ses souffrances ou maladies, qu'elles soient physiques ou morales.
C'est ma façon de voir les choses. Il est certain que, d'un autre côté, je n'ai pas forcément envie de dire à mon CdE pour quelle raison j'ai été absente, surtout quand c'est localisé dans des parties gênantes de mon anatomies...

Bon courage à toi quoi qu'il en soit, Clarianz.

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La Jabotte, quel rapport fais-tu entre être TZR et s'auto-remplacer?
J'ai toujours été TZR (et vu ma situation, ça risque de durer)

Je ne connais pas mes collègues cette année, je suis sur 2 étab' (un le matin, l'autre l'apres-midi, je ne mange jamais avec eux) ils n'ont même pas dû remarquer mes quelques absences, étalées sur toute l'année.

Il faut seulement respecter le droit à la confidentialité du malade: ça a un nom très simple, juridiquement établi , le secret médical. Et personne n est obligé de copiner avec les collègues. Ca ne fait pas parti des obligations de service. Point.