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- Libé-RationGuide spirituel
J'ai eu une classe de ST complètement immatures, les mêmes que tu décris, jusqu'au crayon de papier pour le bac blanc !
Alors ce que j'ai fait (et j'avoue j'étais fière de mon invention) :
Lorsqu'ils sont entrés, d'un ton glacial je les ai sommés de se placer le long du mur du fond de la salle. Une fois alignés au fond l'un d'eux a murmuré : "P***in, elle va nous fusiller" et j'ai eu toutes les peines du monde à ne pas éclater de rire, parce qu'en effet, c'était exactement ça.
Bref, je leur intime de sortir leurs affaires de français et leur carnet de correspondance. Ils sont toujours alignés, debout, leurs affaires à la main. Et là, je leur donne les nouvelles règles du jeu, non sans leur faire honte en leur disant que leurs petites soeurs de 3e n'avaient pas besoin que je fasse un pareil cirque avec leur classe (j'avais plusieurs paires de petite soeur en 3e et grand frère en 1è) ; plan de classe, un par table, carnet sur la table. Premier problème, je ramasse le carnet sans rien dire, deuxième, c'est exclusion définitive du cours de français et ILS SE DEM***ENT pour leur bac de français.
Le tout avec beaucoup de solennité, un ton glacial, sans lever la voix, visage fermé (et je me félicitais aussi d'avoir fait du théâtre).
Et puis lentement, je les ai appelés, un par un : "toi, ici, toi, là".
Je dois quand même avouer que j'étais intérieurement surprise que ça marche si bien, connaissant mes grands gaillards, capables de se f**tre sur la gu**le en pleine classe pour une histoire de gomme pas rendue.
Mais grand silence, ils vont à la place attitrée, avec affaires et carnet.
Ce jour-là, je leur rends des devoirs, lamentables. L'un proteste, délégué, "mais mdame..." Je n'admets pas la contradiction, lui rappelle les circonstances du devoir. L'élève ose "vous êtes une menteuse !"
:shock: :boum:
"Ah, je suis une menteuse ? Et bien jeune homme, vous ne voudriez pas apprendre des mensonges pour votre examen dans mon cours ? Parfait, vous pouvez sortir, et ne plus revenir jusqu'à la fin de l'année."
Je fais reconduire le gamin, presque 20 ans, directement chez la PA, avec mot explicatif dans le carnet, et j'ai continué mon cours, toujours le plus froidement du monde.
Ils N'ONT PAS MOUFTE des deux heures de cours ce jour-là, et je peux dire que j'ai eu une paix royale jusqu'à mon congé mater"... En revanche, je n'ai pas cherché à connaître leurs résultats à l'EAF, alors que les 3e justement ont quasiment tous eu leur brevet, et c'était loin d'être gagné.
La grande chance que j'ai eue, c'est que la direction m'a soutenue, et d'ailleurs, cet élève a eu un conseil de discipline peu de temps près, parce qu'il a quand même répondu "lâche-moi, faich...!" à la proviseur qui lui demandit de retirer sa casquette dans les couloirs. Evidemment, je fournissais les cours à la vie scolaire pour que l'élève "travaille" seul...ou pas, mais c'était son problème.
Bref, je te souhaite du courage, parce que c'est lourd, pénible et usant. Frappe un grand coup sur la table, mais froidement, sans trop parler, et en faisant beaucoup d'effets. Exclus si tu peux les perturbateurs, voire demande à la vie sco en avance de les "récupérer" juste avant ton inspection si tu as peur qu'ils ne te la pourrissent.
Alors ce que j'ai fait (et j'avoue j'étais fière de mon invention) :
Lorsqu'ils sont entrés, d'un ton glacial je les ai sommés de se placer le long du mur du fond de la salle. Une fois alignés au fond l'un d'eux a murmuré : "P***in, elle va nous fusiller" et j'ai eu toutes les peines du monde à ne pas éclater de rire, parce qu'en effet, c'était exactement ça.
Bref, je leur intime de sortir leurs affaires de français et leur carnet de correspondance. Ils sont toujours alignés, debout, leurs affaires à la main. Et là, je leur donne les nouvelles règles du jeu, non sans leur faire honte en leur disant que leurs petites soeurs de 3e n'avaient pas besoin que je fasse un pareil cirque avec leur classe (j'avais plusieurs paires de petite soeur en 3e et grand frère en 1è) ; plan de classe, un par table, carnet sur la table. Premier problème, je ramasse le carnet sans rien dire, deuxième, c'est exclusion définitive du cours de français et ILS SE DEM***ENT pour leur bac de français.
Le tout avec beaucoup de solennité, un ton glacial, sans lever la voix, visage fermé (et je me félicitais aussi d'avoir fait du théâtre).
Et puis lentement, je les ai appelés, un par un : "toi, ici, toi, là".
Je dois quand même avouer que j'étais intérieurement surprise que ça marche si bien, connaissant mes grands gaillards, capables de se f**tre sur la gu**le en pleine classe pour une histoire de gomme pas rendue.
Mais grand silence, ils vont à la place attitrée, avec affaires et carnet.
Ce jour-là, je leur rends des devoirs, lamentables. L'un proteste, délégué, "mais mdame..." Je n'admets pas la contradiction, lui rappelle les circonstances du devoir. L'élève ose "vous êtes une menteuse !"
:shock: :boum:
"Ah, je suis une menteuse ? Et bien jeune homme, vous ne voudriez pas apprendre des mensonges pour votre examen dans mon cours ? Parfait, vous pouvez sortir, et ne plus revenir jusqu'à la fin de l'année."
Je fais reconduire le gamin, presque 20 ans, directement chez la PA, avec mot explicatif dans le carnet, et j'ai continué mon cours, toujours le plus froidement du monde.
Ils N'ONT PAS MOUFTE des deux heures de cours ce jour-là, et je peux dire que j'ai eu une paix royale jusqu'à mon congé mater"... En revanche, je n'ai pas cherché à connaître leurs résultats à l'EAF, alors que les 3e justement ont quasiment tous eu leur brevet, et c'était loin d'être gagné.
La grande chance que j'ai eue, c'est que la direction m'a soutenue, et d'ailleurs, cet élève a eu un conseil de discipline peu de temps près, parce qu'il a quand même répondu "lâche-moi, faich...!" à la proviseur qui lui demandit de retirer sa casquette dans les couloirs. Evidemment, je fournissais les cours à la vie scolaire pour que l'élève "travaille" seul...ou pas, mais c'était son problème.
Bref, je te souhaite du courage, parce que c'est lourd, pénible et usant. Frappe un grand coup sur la table, mais froidement, sans trop parler, et en faisant beaucoup d'effets. Exclus si tu peux les perturbateurs, voire demande à la vie sco en avance de les "récupérer" juste avant ton inspection si tu as peur qu'ils ne te la pourrissent.
- Invité21Fidèle du forum
Merci Libellune! Effectivement, les mêmes! Je vais préparer quelque chose de grandiose. Autant s'amuser un peu!
- piescoModérateur
Bon courage en tout cas!
_________________
Nos han quitado tanto, nos quitaron el miedo.
https://www.youtube.com/watch?v=oeU7rb-dBow&t=277s
- Invité21Fidèle du forum
Heureusement que nous ne sommes pas - encore- payé aux résultats de nos élèves! Je serais pauvre cette année. :lol:
- CeladonDemi-dieu
"Je confirme pour avoir été PP de 3e que ce passage en 2nde est devenu une véritable mascarade."
Allons, allons, Thalia ! Ce n'est pas une mascarade mais une lutte contre la discrimination.
Allons, allons, Thalia ! Ce n'est pas une mascarade mais une lutte contre la discrimination.
- HérodouteGrand sage
Ben moi qui venait de faire une réponse longue et puis au moment de cliquer... plantage
Bon, je vais résumer ma pensée :
- Ne jamais dire aux élèves que "tu es payée quand même"... => provoque de possibles réactions et commentaires qui vont alourdir l'ambiance de la classe.
- Ne préviens pas les élèves de ton inspection car :
* La surprise en canalisera plus d'un notamment avec la présence d'un membre de la direction en plus de l'inspecteur lors de l'inspection. Tu éviteras aussi tout mauvais coup préparé par les plus énervés...
* L'inspecteur verra vite que tu joues le jeu de l'inspection malgré une classe difficile.
* Lors de l'entretien avec lui : souligne que c'est effectivement une classe difficile mais sans trop en faire => Une fois le fait souligné, montre-lui les solutions que tu as mises en place pour tenter des les pousser au travail. Si tu ne fais que des reproches sur les élèves, l'inspecteur risque de te reprocher ton inefficacité (y a parfois des boulets chez les inspecteurs...) et le fait que tu n'as pas réellement adapté ton enseignement à cette classe particulière (faire le clown, jouer à la marelle...).
* Pendant l'inspection : reste naturelle !! Sois ferme mais sans en faire trop (ne pas crier, attention à ta gestuelle...) => parle et répète calmement => un élève bavarde ? reprends-le en lui disant de suivre le cours. Il persiste ? A ce moment là, tu peux envisager une sanction adaptée (3 jours de bagne :lol: ).
* Afin de canaliser tes élèves : mets-les en activité. Si durant le moment de pause (correction / participation orale) tu constates que le bavardage reprends alors fais-les écrire (sans leur dire que c'est en réaction à leur manque de bonne volonté). En fait, alterne activités, échanges oraux, mise à l'écrit => ça passe vite une heure de cours donc attention à ce que cela ne devienne pas lourd (comme un temps trop long pour écrire).
* Quand ils sont en activité, passe dans les rangs comme d'habitude.
* Valorise la participation (sans non plus que ce soit une remise de médailles lol)...
=> De ton attitude va dépendre en bonne partie les réactions des élèves alors sois calme et ferme à la fois.
Bon, ok c'est facile à dire et à écrire et je te souhaite beaucoup de courage !!
(et cette fois je me fais un copié/collé lol)
Bon, je vais résumer ma pensée :
- Ne jamais dire aux élèves que "tu es payée quand même"... => provoque de possibles réactions et commentaires qui vont alourdir l'ambiance de la classe.
- Ne préviens pas les élèves de ton inspection car :
* La surprise en canalisera plus d'un notamment avec la présence d'un membre de la direction en plus de l'inspecteur lors de l'inspection. Tu éviteras aussi tout mauvais coup préparé par les plus énervés...
* L'inspecteur verra vite que tu joues le jeu de l'inspection malgré une classe difficile.
* Lors de l'entretien avec lui : souligne que c'est effectivement une classe difficile mais sans trop en faire => Une fois le fait souligné, montre-lui les solutions que tu as mises en place pour tenter des les pousser au travail. Si tu ne fais que des reproches sur les élèves, l'inspecteur risque de te reprocher ton inefficacité (y a parfois des boulets chez les inspecteurs...) et le fait que tu n'as pas réellement adapté ton enseignement à cette classe particulière (faire le clown, jouer à la marelle...).
* Pendant l'inspection : reste naturelle !! Sois ferme mais sans en faire trop (ne pas crier, attention à ta gestuelle...) => parle et répète calmement => un élève bavarde ? reprends-le en lui disant de suivre le cours. Il persiste ? A ce moment là, tu peux envisager une sanction adaptée (3 jours de bagne :lol: ).
* Afin de canaliser tes élèves : mets-les en activité. Si durant le moment de pause (correction / participation orale) tu constates que le bavardage reprends alors fais-les écrire (sans leur dire que c'est en réaction à leur manque de bonne volonté). En fait, alterne activités, échanges oraux, mise à l'écrit => ça passe vite une heure de cours donc attention à ce que cela ne devienne pas lourd (comme un temps trop long pour écrire).
* Quand ils sont en activité, passe dans les rangs comme d'habitude.
* Valorise la participation (sans non plus que ce soit une remise de médailles lol)...
=> De ton attitude va dépendre en bonne partie les réactions des élèves alors sois calme et ferme à la fois.
Bon, ok c'est facile à dire et à écrire et je te souhaite beaucoup de courage !!
(et cette fois je me fais un copié/collé lol)
- starstruckNiveau 2
Oh oui! Courage!
Je compatis puissance mille puisque:
- je suis pp et enseignante dans la matière principale d'une classe de STG qui ne travaille pas et qui excelle dans l'art de l'immaturité et de la mauvaise foi.
- j'ai 7 heures de cours par semaine en bts dont 5 dans une classe dont les élèves viennent quasiment tous de bac pro. Quoique je fasse, il est difficile de les faire vraiment bosser.
- je suis inspectée avec mes bts infernaux mercredi....
De nouveau, donc: bon courage!
Je compatis puissance mille puisque:
- je suis pp et enseignante dans la matière principale d'une classe de STG qui ne travaille pas et qui excelle dans l'art de l'immaturité et de la mauvaise foi.
- j'ai 7 heures de cours par semaine en bts dont 5 dans une classe dont les élèves viennent quasiment tous de bac pro. Quoique je fasse, il est difficile de les faire vraiment bosser.
- je suis inspectée avec mes bts infernaux mercredi....
De nouveau, donc: bon courage!
- Invité21Fidèle du forum
Bon, j'ai vu mes fumistes.
Première heure, parfait: je réussi à les faire travailler sur une activité niveau CE1. Il faut que j'en passe par là, pédagogie adaptée, mais c'est ce n'est pas comme si je devais les préparer au bac!
Deuxième heure, ca dégénère, je leur dit qu'on corrige le bac blanc, qu'il est raté. Sermon. Là, ils ont offert le meilleur d'eux-mêmes: le texte de bac blanc était "incompréhensible" (Alphonse Daudet, en première?). Je suis très sévère avec eux, pas "cool". Celui qui écrit au crayon de bois trouve inadmissible que le correcteur lui ait dit que c'était inadmissible, il veut le rencontrer, il a des choses à lui dire. Un 3,5 en dissert. me lance: "Ils ont pas tenu compte de ma main, qui était blessée [sic], je l'avais dit au surveillant". ( "J'peux pas j'ai pas de main!!! :lol: "). J'envoie balader les geignards, ils tapent dans les murs avec le poing: ca vient de là, les mains blessées? Un veut aller aux toilettes, je dis non, il y va. Il revient, je l'exclus, il répond: "Mais j'ai cru que votre "non" c'était pas un "non". Un allumé noyé dans ses hormones printanières me dit: "Madame, je pourrai avoir une photo de vous?", en plein milieu de mon cours.
Ils sont 33 de cette farine.
Bref, mon diagnostic: personne n'a jamais dit à ses gamins que l'on devait fournir un effort pour obtenir quelque chose. Ils n'ont aucune idée de ce qu'est le travail attendu au lycée, mais veulent des bonnes notes. Je les déteste, ils sont intellectuellement limités ( ne me dites pas que j'exagère, je sais reconnaître l'absence de flamme dans un oeil ) pour la plupart, mais ça ce n'est pas grave. Ce qui l'est, c'est qu'ils en sont fiers, sont insolents, scatophiles.
Et personne n'a rien fait! Car dans ce lycée, tout le monde le prend cette classe avec fatalisme. Mais eux ne sont pas stagiaires!
Je vais passer me matinée à faire des rapports. Et finalement, n'étant plus inspectée avec eux - coup de chance, l'inspecteur vient le lendemain, en seconde- , je ne vais plus du tout m'investir dans cette classe, mais pleuvoir en sévissant sur eux jusqu'à la fin de l'année.
En seconde, heureusement, l'heure d'après, j'ai eu pour mon retour: des cadeaux, des "Vous nous avez manqué" et même: "Madame, vous penez les premières S l'année prochaine, hein, on vous veut pour notre bac!!":
Première heure, parfait: je réussi à les faire travailler sur une activité niveau CE1. Il faut que j'en passe par là, pédagogie adaptée, mais c'est ce n'est pas comme si je devais les préparer au bac!
Deuxième heure, ca dégénère, je leur dit qu'on corrige le bac blanc, qu'il est raté. Sermon. Là, ils ont offert le meilleur d'eux-mêmes: le texte de bac blanc était "incompréhensible" (Alphonse Daudet, en première?). Je suis très sévère avec eux, pas "cool". Celui qui écrit au crayon de bois trouve inadmissible que le correcteur lui ait dit que c'était inadmissible, il veut le rencontrer, il a des choses à lui dire. Un 3,5 en dissert. me lance: "Ils ont pas tenu compte de ma main, qui était blessée [sic], je l'avais dit au surveillant". ( "J'peux pas j'ai pas de main!!! :lol: "). J'envoie balader les geignards, ils tapent dans les murs avec le poing: ca vient de là, les mains blessées? Un veut aller aux toilettes, je dis non, il y va. Il revient, je l'exclus, il répond: "Mais j'ai cru que votre "non" c'était pas un "non". Un allumé noyé dans ses hormones printanières me dit: "Madame, je pourrai avoir une photo de vous?", en plein milieu de mon cours.
Ils sont 33 de cette farine.
Bref, mon diagnostic: personne n'a jamais dit à ses gamins que l'on devait fournir un effort pour obtenir quelque chose. Ils n'ont aucune idée de ce qu'est le travail attendu au lycée, mais veulent des bonnes notes. Je les déteste, ils sont intellectuellement limités ( ne me dites pas que j'exagère, je sais reconnaître l'absence de flamme dans un oeil ) pour la plupart, mais ça ce n'est pas grave. Ce qui l'est, c'est qu'ils en sont fiers, sont insolents, scatophiles.
Et personne n'a rien fait! Car dans ce lycée, tout le monde le prend cette classe avec fatalisme. Mais eux ne sont pas stagiaires!
Je vais passer me matinée à faire des rapports. Et finalement, n'étant plus inspectée avec eux - coup de chance, l'inspecteur vient le lendemain, en seconde- , je ne vais plus du tout m'investir dans cette classe, mais pleuvoir en sévissant sur eux jusqu'à la fin de l'année.
En seconde, heureusement, l'heure d'après, j'ai eu pour mon retour: des cadeaux, des "Vous nous avez manqué" et même: "Madame, vous penez les premières S l'année prochaine, hein, on vous veut pour notre bac!!":
- La JabotteNeoprof expérimenté
"Mais j'ai cru que votre "non" c'était pas un "non".
Ben pour le coup, celle-là, si c'est pas une allusion au viol qui n'en serait pas, je mange ma main (que j'ai toujours bien entière pour l'instant). Pour lui rappeler les limites, non seulement exclusion, mais rv avec CDE, puis CPE, puis AS, puis médecin scolaire, et annonce à la famille qu'il ferait mieux d'être suivi par un psy.
Le tout n'étant pas qu'on croit qu'il y a un problème, mais de le faire suer un maximum pour l'inconséquence de ses paroles. Il veut jouer au mariole ? Il en récolte la gloire.
- La JabotteNeoprof expérimenté
PS : et je suis bien contente que toutes tes classes ne soient pas de cette farine, ça fait du bien !
- Invité21Fidèle du forum
Oui, ça fait du bien, et ça me rappelle surtout que cette classe n'est pas la norme. Ce sont les seuls moments où je ne regrette pas ce stage à plein temps! Je n'aurais eu que mes fumistes, je démissionnais à la fin de l'année, trop blasée!
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