- frankensteinVénérable
Depuis 2007, s'est installée une gestion très individuelle des carrières. Grâce au ministre de l'éducation, Luc Chatel, et sa culture de management du privé, sans doute ; grâce à Josette Théophile la DRH qu'il a fait venir, aussi. Mais surtout grâce à quelques centaines de millions d'euros distribués au cas par cas, au coup par coup. Pas de revalorisation générale (hormis pour les jeunes enseignants), mais une politique massive de primes et d'heures supplémentaires qui individualisent largement les rémunérations.
Résultat : le seul second degré va absorber 1,3 milliards d'euros d'"indemnités" en 2012. La liste et les montants de ces indemnités ont cru sous la mandature : une indemnité "Eclair" de 24 millions d'euros a été créée, une prime d'entrée dans le métier de 12 millions, une indemnité de tutorat des stagiaires, 30 millions d'euros. Pendant ce temps aussi, les primes de chefs d'établissement sont passées à 69 millions d'euros. Celle-ci incluent une partie fixe et une partie aux résultats. Comme les primes des recteurs d'ailleurs.
A cela s'ajoute la masse des heures supplémentaires. Un autre moyen d'individualiser le traitement. Il y a ceux à qui elles sont proposées et ceux à qui elles ne le sont pas. Plus de la moitié des enseignants du second degré y ont eu droit depuis 2007.
Il est donc temps de se venger ! :marteau: :diable:
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- Karine B.Guide spirituel
ysabel a écrit:500€ net que j'ai entendu...
Il a dit 25 % puis 500 euros
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Le SNES, what else ?
Stagiaire agrégée à la rentrée 2015
Blog Maison Avant / Après Mise à jour en août 2013
- frankensteinVénérable
Au fait, il n'a pas tout dit ... :diable:
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• Quid des professeurs des écoles ?
Les enseignants d'écoles primaires travaillent déjà 26 heures par semaine au sein de leur établissement. Le "travailler plus pour gagner plus" annoncé par Nicolas Sarkozy mardi soir ne les concerne donc pas. Mais au cours du chat, interrogée par un professeur des écoles mercredi, Nathalie Kosciusko-Morizet a glissé : "Nicolas Sarkozy propose que vous puissiez enseigner en sixième et en cinquième. Et que vous puissiez passer des certifications complémentaires. Celles-ci permettront des revalorisations." Bizarrement, cette annonce inédite et lourde de symbole ne figurait pas dans le discours de mardi du candidat.
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- Hermione0908Modérateur
Entendu ce soir sur RTL alors que j'étais au volant. j'ai failli aller au tas d'énervement.
Clic !
(et pourquoi j'ai lu les commentaires moi ? )
Clic !
(et pourquoi j'ai lu les commentaires moi ? )
- DaphnéDemi-dieu
alazare a écrit:1100e annuel contre moins mensuel pour un smic. Est-ce que la quantité de réunion et de bulletins à remplir annuels méritent franchement beaucoup plus ?thrasybule a écrit:Un Smic, l'ISO?
Si on fait le décompte du tarif horaire que ça représente c'est moins que le Smic.
Et on n'est pas recrutés comme smicards mais comme fonctionnaires de catégorie A tout de même.
Il ne faut pas tout mélanger.
Et quitte à faire des heures au tarif du smic je préfère rester chez moi et faire mon repassage plutôt que de payer une femme de ménage.
- Spoiler:
- Ceci dit sans aucun mépris vis à vis des smicards hein.
- JPhMMDemi-dieu
Et encore, ça dépend des disciplines. Certain(e)s collègues assistent aux conseils de toutes les classes...
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Labyrinthe où l'admiration des ignorants et des idiots qui prennent pour savoir profond tout ce qu'ils n'entendent pas, les a retenus, bon gré malgré qu'ils en eussent. — John Locke
Je crois que je ne crois en rien. Mais j'ai des doutes. — Jacques Goimard
- DaphnéDemi-dieu
Ce n'est pas le terme que j'aurais utilisé !frankenstein a écrit:alazare a écrit:Il ne s'agit là que de supputations et rien n'empêchera a priori de refuser, si ce n'est à être payé en HSE. Et les missions obligatoires de ces "8 heures" devraient être clairement indiquées et donc la signature du contrat se ferait en connaissance de cause.ysabel a écrit:alazare a écrit:Je vais me faire huer mais s'il ne s'agit pas de 8 heures devant des classes, ce n'est pas trop mal payé, à condition que cela reste sur la base du volontariat.
sauf que comme tu seras là, on te demandera de remplacer un collègue à pied levé... ben oui, tu est payé pour être là, autant servir à qqch plutôt que de surveiller le couloir...
T'es marrant toi ! :lol!:
- CathEnchanteur
Ah bon, on a signé un contrat en devenant enseignant?
- DaphnéDemi-dieu
Schéhérazade a écrit:grego a écrit:Thalia, honnêtement, je ne pense pas que cela devienne obligatoire pour ceux qui sont déja profs pour deux raisons :
- Pour régler un problème, dans l'éducation nationale, on crée un nouveau truc (un nouveau statut en l'occurence). Je ne sais pas si tu as connu des PEGC ? C'est un peu la même logique.
- Imposer le nouveau statut aux nouveaux suffit : ça fait 30 000 personnes par an quasiment. Et on ne fache pas les anciens qui pourraient ruer dans les brancards.
Il faut voir que cette proposition s'accompagne d'autres joyeusetés: profilage généralisé des postes, recrutement par le CDE, fin du système actuel de mutation. Alors? Ben c'est simple: tous les nouveaux "profils" sont des postes à 26 heures. Ils incluent des "missions" nouvelles: accompagnement, TICE, référent PAI, balayage des classes, aussi. Tu veux muter? Tu postules sur le "poste à profil". Tu expliques au CDE, ton nouvel évaluateur, et ton nouveau recruteur, que tu es disposé à prendre le poste tel qu'il est décrit. Tu renâcles? Par pôle emploi il trouvera bien quelqu'un. De moins cher car non titulaire. Et le CDE sera content: moins cher pour l'établissement, déjà exsangue, de toute façon.
Il y en a qui ont compris, heureusement
- Luigi_BGrand Maître
Nouvel article dans "Le Monde" aujourd'hui :
Le "travailler plus pour gagner plus" dans l'éducation est peu concluant
LEMONDE.FR | 29.02.12 | 18h09 • Mis à jour le 01.03.12 | 09h41
Des enseignants "plus présents" dans les établissements scolaires ; l'idée, vantée par le candidat Nicolas Sarkozy de 2007 vient d'être reprise par le président-candidat de 2012, qui a proposé aux enseignants de travailler plus pour gagner plus, lors d'un meeting à Montpellier, mardi 28 février.
La veille, il en avait vanté les mérites au micro de RTL : "Certains enfants ont besoin à la sortie de classe d'avoir des adultes qui les accompagnent, qui les aident. Nous avons commencé à faire avec le primaire en mettant fin aux "orphelins de 16 heures". Il y a plus d'un million d'enfants qui bénéficie d'études dirigées depuis que je suis président de la République".
Mais ce principe du renforcement de la présence enseignante pour améliorer les accompagnements individuels qui est déjà au cœur de la politique éducative du gouvernement depuis 2007 n'a fait la preuve ni de son efficacité auprès des élèves ni de sa popularité chez les enseignants.
MULTIPLICATION DES AIDES SCOLAIRES
"Etudes dirigées", "aide personnalisée" ou "accompagnement éducatif" ? Lorsque nous avons sollicité sur la participation des lecteurs du Monde.fr via Les Décodeurs, beaucoup ont noté la confusion de langage du président qui mêle les "études dirigées", créees en 1995 par François Bayrou, alors ministre de l'éducation, pour décharger les élèves des devoirs à la maison et l'"accompagnement éducatif", lancé à la rentrée 2007.
Les études dirigées, comprises dans le temps scolaire, n'existent aujourd'hui plus mais, par abus de langage, c'est encore ainsi qu'on appelle les heures consacrées, après l'école, à l'aide aux devoirs, dans le cadre de l'"accompagnement éducatif". A ne pas confondre non plus avec l'"aide personnalisée", dispositif mis en place en 2009 pour compenser la suppression du temps scolaire du samedi matin et qui impose à tous les enseignants du primaire de consacrer 60 heures par an aux élèves en difficulté, après les cours ou à la pause déjeuner.
UN MILLION D'ÉLÈVES BÉNÉFICIAIRES, DONT 80 % AU COLLÈGE
Un accompagnement "fourre-tout". Ce dont s'est vanté Nicolas Sarkozy, lundi, c'est bien de l'accompagnement éducatif, qui offre deux heures d'encadrement supplémentaire par jour aux élèves qui le souhaitent. Il peut prendre la forme d'une aide aux devoirs (dans 60 % des cas), d'une pratique artistique ou culturelle (environ 20 %) ou sportive (environ 12 %), un "fourre-tout selon les établissements, où on trouve le pire (bricolage, football) comme le meilleur (aide aux devoirs)", d'après un proviseur de lycée soumis au devoir de réserve en période électorale.
Instauré à la rentrée 2007 pour les élèves des collèges en zone prioritaire, ce dispositif a depuis été étendu à tous les collèges et aux écoles de l'enseignement prioritaire. Selon les chiffres du ministère de l'éducation, il y a bien près d'un million d'élèves (943 683) qui ont bénéficié en 2011 de cet accompagnement mais dans le premier et le second degré réunis (165 000 élèves dans le seul primaire).
Beaucoup de témoignages envoyés au Monde.fr font état d'une mauvaise organisation, tel le proviseur anonyme qui raconte que "les questions de transport scolaire n'ayant jamais trouvé de solutions (il aurait fallu mettre en place un deuxième circuit de ramassage à 18 heures ou 19 heures pour les élèves participants à l'accompagnement éducatif), la plupart des établissements ont intégré l'accompagnement éducatif dans l'horaire normal des cours".
"SAUPOUDRAGE" DE "MESURES ÉPARSES"
"Le dispositif est très discriminant à la campagne où les "orphelins de 16 heures" qui le sont vraiment n'en bénéficient pas si ils n'habitent pas le bourg du collège", raconte également Simon Millet, professeur d'arts plastiques au collège de Vittel (Vosges) qui regrette qu'il n'y ait "aucune réunion d'harmonisation, d'explication ou de suivi".
Même ressenti pour Roland Hubert, co-secrétaire général du SNES (syndicat majoritaire dans le secondaire), qui estime qu'il est très difficile de tirer un bilan global, qu'il ne s'agit que de "mesures éparses", qui "existent dans leur coin" ou pour Sébastien Sihr, secrétaire général du Snuipp (majoritaire dans le primaire) qui parle de "saupoudrages".
Cet accompagnement est censé être assuré par des professeurs volontaires (et dépend donc des compétences des enseignants présents) qui sont rémunérés à l'heure supplémentaire effective (HSE), majorée de 25 % de plus que les heures supplémentaires annuelles (attribuées pour la totalité de l'année scolaire et limitées à 36 heures), soit 37,36 euros l'heure pour un enseignant certifié.
Dans le cadre de la loi TEPA (travail, emploi, pouvoir d'achat), ces heures sont exonérées d'impôt et de cotisation sociale et, selon le ministère de l'éducation, cette double exonération se traduit par un gain de revenu moyen supplémentaire équivalent à 28 % de la rémunération perçue.
D'où sort ce chiffre ?
Soit un gain plus avantageux que celui de 25 % proposé mardi 28 février par Nicolas Sarkozy. Sans compter que, depuis 2008, une prime annuelle de 500 euros est accordée aux enseignants qui font au moins trois heures supplémentaires chaque semaine toute l'année (soit 21 heures par semaine).
PEU POPULAIRE, PEU EFFICACE
Malgré cela, MM. Hubert et Sihr assurent que le dispositif reste peu populaire chez les enseignants et, à titre de preuve, le ministère précise que "l'essentiel de la dépense de l'accompagnement éducatif [283 million d'euros] ne provient pas des heures supplémentaires mais de la rémunération de 6 000 assistants d'éducation".
Enfin, il existe un dernier dispositif de rattrapage scolaire, organisé hors du temps de l'école et basé sur le même principe : les stages de remises à niveau. Mis en œuvre à la rentrée 2008, ils sont proposés aux élèves volontaires de CM1 et de CM2 pendant les vacances de printemps et d'été et assurés par des professeurs eux aussi volontaires, également rémunérés en HSE.
Quel bilan ? De tous ces dispositifs, M. Sihr tire la même leçon : "Ce n'est pas la solution pour les élèves en grande difficulté. Les résultats des évaluations de primaire le montrent : les élèves moyens progressent mais ceux qui sont en lourd échec scolaire le restent", explique-t-il. Quant au concept d'"acadomia" public" que le ministère de l'éducation nationale dit vouloir installer, il juge qu'il "entre dans un fantasme de l'individualisation dans lequel on abandonne le temps scolaire et la classe pour créer une usine à individualisation en dehors".
"C'est comme si l'on créait un deuxième hôpital pour accueillir les patients qui auraient été mal soignés dans le premier", ajoute-t-il. "Nous préférerions que l'argent dépensé dans ces dispositifs le soit pour améliorer en profondeur les conditions de travail dans l'éducation", renchérit M. Hubert. "Un gadget de plus dans un quinquennat qui a passé plus de temps à organiser le hors temps scolaire qu'à rénover l'enseignement au quotidien", conclut pour sa part le proviseur de lycée soumis à l'anonymat.
Hélène Bekmezian
- DaphnéDemi-dieu
Tu as été recrutée par un concours national pour effectuer une mission d'instruction publique sur la base d'un régime statutaire : certifié tu fais 18 h de cours maxi le reste est en HS, agrégé tu dois 15 h de cours maxi, il faut ajouter à ça les différentes heures de décharge statutaires aussi. Point.cath5660 a écrit:Ah bon, on a signé un contrat en devenant enseignant?
- alazareNiveau 5
J'ai demandé combien d'heures pouvaient représenter les diverses réunions (côté admin,côté parents) et les conseils de classe parce que c'est bien de cela dont il s'agit. Je n'ai pas eu de réponse.Daphné a écrit:alazare a écrit:1100e annuel contre moins mensuel pour un smic. Est-ce que la quantité de réunion et de bulletins à remplir annuels méritent franchement beaucoup plus ?thrasybule a écrit:Un Smic, l'ISO?
Si on fait le décompte du tarif horaire que ça représente c'est moins que le Smic.
Et on n'est pas recrutés comme smicards mais comme fonctionnaires de catégorie A tout de même.
Il ne faut pas tout mélanger.
Et quitte à faire des heures au tarif du smic je préfère rester chez moi et faire mon repassage plutôt que de payer une femme de ménage.
- Spoiler:
Ceci dit sans aucun mépris vis à vis des smicards hein.
- JPhMMDemi-dieu
@cath5660 : ça veut dire "non".Daphné a écrit:Tu as été recrutée par un concours national pour effectuer une mission d'instruction publique sur la base d'un régime statutaire : certifié tu fais 18 h de cours maxi le reste est en HS, agrégé tu dois 15 h de cours maxi, il faut ajouter à ça les différentes heures de décharge statutaires aussi. Point.cath5660 a écrit:Ah bon, on a signé un contrat en devenant enseignant?
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Labyrinthe où l'admiration des ignorants et des idiots qui prennent pour savoir profond tout ce qu'ils n'entendent pas, les a retenus, bon gré malgré qu'ils en eussent. — John Locke
Je crois que je ne crois en rien. Mais j'ai des doutes. — Jacques Goimard
- DaphnéDemi-dieu
500 euros c'est sur la base du salaire moyen de 2000 euros (25%) si j'ai bien compris.ysabel a écrit:Au fait, et ces 500€ ce sera de octobre à juin comme les HSA ou sur 12 mois ?
Mais selon les grades et les échelons on gagne plus ou moins.
Ce sarait une augmentation de salaire, pas des HS.
- DaphnéDemi-dieu
alazare a écrit:J'ai demandé combien d'heures pouvaient représenter les diverses réunions (côté admin,côté parents) et les conseils de classe parce que c'est bien de cela dont il s'agit. Je n'ai pas eu de réponse.Daphné a écrit:alazare a écrit:1100e annuel contre moins mensuel pour un smic. Est-ce que la quantité de réunion et de bulletins à remplir annuels méritent franchement beaucoup plus ?thrasybule a écrit:Un Smic, l'ISO?
Si on fait le décompte du tarif horaire que ça représente c'est moins que le Smic.
Et on n'est pas recrutés comme smicards mais comme fonctionnaires de catégorie A tout de même.
Il ne faut pas tout mélanger.
Et quitte à faire des heures au tarif du smic je préfère rester chez moi et faire mon repassage plutôt que de payer une femme de ménage.
- Spoiler:
Ceci dit sans aucun mépris vis à vis des smicards hein.
Tu en fais combien toi ??
Ça dépend des disciplines, du nombre de classes que tu as, du nombre d'élèves par classe, de la durée de certains conseils qui peuvent s'étaler sur deux voire trois heures - c'est du vécu - sans parler des soirées rencontres parents...........
- Luigi_BGrand Maître
Encore une fois, soyons précis : de revenu, pas de salaire. Une augmentation de salaire, c'est quand on est mieux payé en faisant le même travail.Daphné a écrit:Ce sarait une augmentation de salaire, pas des HS.
- DaphnéDemi-dieu
Luigi_B a écrit:Encore une fois, soyons précis : de revenu, pas de salaire. Une augmentation de salaire, c'est on est mieux payé en faisant le même travail.Daphné a écrit:Ce sarait une augmentation de salaire, pas des HS.
Oui OK :lol:
- Luigi_BGrand Maître
La désinformation ou l'ignorance des journalistes suffit bien.
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LVM Dernier billet : "Une École si distante"
- DaphnéDemi-dieu
Luigi_B a écrit:La désinformation ou l'ignorance des journalistes suffit bien.
Oh oui
- micaschisteMonarque
fait!
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"Il ne sert à rien à l'homme de gagner la Lune s'il vient à perdre la Terre". François Mauriac
"Pick a star in the dark horizon and follow the light "
- EmeraldiaÉrudit
RTL : "1ère radio de France" en faisant de la discussion de pilier de bars ! Ils ratissent large à RTL !
- FrisouilleEnchanteur
Han ! Ça fait peur 73% pour ?!
- thrasybuleDevin
Ca t'étonne? Des veaux, je te dis, des veaux, des moutons, et j'arrête là le bestiaire...Frisouille a écrit:Han ! Ça fait peur 73% pour ?!
- InvitéMAFidèle du forum
Hermione0908 a écrit:Entendu ce soir sur RTL alors que j'étais au volant. j'ai failli aller au tas d'énervement.
Clic !
Votons tous "non" pour renverser la tendance!
- InvitéMAFidèle du forum
Sérieusement, on devrait créer un fil avec les liens vers ce genre de sondages et tous aller voter! Qu'en pensez-vous? On est quand même nombreux, sur neo!
- EmeraldiaÉrudit
C'est fait, j'ai voté mais tu crois que bcp de clics vont vraiment renverser la tendance qui est à la beaufisation ?MarieAnne a écrit:Hermione0908 a écrit:Entendu ce soir sur RTL alors que j'étais au volant. j'ai failli aller au tas d'énervement.
Clic !
Votons tous "non" pour renverser la tendance!
- Les profs travaillent six mois par an : l'affirmation grotesque de Sarkozy pour augmenter leur temps de travail
- Les profs travaillent deux jours par semaine : l'affirmation de Sarkozy au meeting de Bordeaux
- Comment l’Education nationale veut améliorer le remplacement des profs
- Le "salon professionnel de l'éducation" aura lieu, comme tous les ans, pendant que les professionnels de l'éducation travaillent.
- Martine Aubry veut augmenter le salaire des enseignants.
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