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- SowandiNiveau 10
Voici, pour alimenter la réflexion des personnes intéressées par ce sujet, un article du BBF (Bulletin des bibliothèques de France) intitulé "De la littérature de jeunesse considérée comme objet patrimonial" :
http://bbf.enssib.fr/consulter/bbf-2004-05-0065-011
Hors sujet - Un point, auquel m'a fait songer la conservation des livres, est la reprise des livres d'occasion.
Pour exemple, le site de Gibert permet de savoir si un livre est repris ou non (selon son édition), et si oui à quel prix : http://www.gibertjoseph.com/sao/sao/quoteRequest/.
Avoir fait le vide de quasiment tous mes livres à Paris avant mon départ en Indonésie m'a fait connaitre le système suivant :
- une partie des livres a été rachetée par Gibert ;
- une toute petite partie du reste a été vendue à des bouquinistes du quartier ;
- le reste a été donné à des personnes qui attendaient patiemment que les gens comme moi aient fini le parcours "officiel". Je ne sais pas ce qu'ils en font après, peut-être tentent-ils de les vendre par lot ou en vide-grenier.
http://bbf.enssib.fr/consulter/bbf-2004-05-0065-011
Hors sujet - Un point, auquel m'a fait songer la conservation des livres, est la reprise des livres d'occasion.
Pour exemple, le site de Gibert permet de savoir si un livre est repris ou non (selon son édition), et si oui à quel prix : http://www.gibertjoseph.com/sao/sao/quoteRequest/.
Avoir fait le vide de quasiment tous mes livres à Paris avant mon départ en Indonésie m'a fait connaitre le système suivant :
- une partie des livres a été rachetée par Gibert ;
- une toute petite partie du reste a été vendue à des bouquinistes du quartier ;
- le reste a été donné à des personnes qui attendaient patiemment que les gens comme moi aient fini le parcours "officiel". Je ne sais pas ce qu'ils en font après, peut-être tentent-ils de les vendre par lot ou en vide-grenier.
- MufabGrand Maître
Mareuil a écrit:Mufab a écrit:Mareuil a écrit:Mufab a écrit:Ce qui vous évitera de donner votre avis, ou de proposer une alternative.
Se draper dans une belle indifférence, et s'en aller fièrement, tête haute, incompris...
Belle attitude de dialogue. Bravo.
C'est ça, je me drape.
Bon vent !
Comptez là-dessus, ma jolie.
2 fois dans la même journée... Vous avez dû regarder tous les trombis de Néo, Mareuil, pour être ainsi omnubilé par mon apparence.
Mais cessez, à présent ! Vous allez me faire rougir.
- MareuilNeoprof expérimenté
Sowandi a écrit:Voici, pour alimenter la réflexion des personnes intéressées par ce sujet, un article du BBF (Bulletin des bibliothèques de France) intitulé "De la littérature de jeunesse considérée comme objet patrimonial" :
http://bbf.enssib.fr/consulter/bbf-2004-05-0065-011
Merci pour ce document très utile.
- grandesvacancesNeoprof expérimenté
Mufab a écrit:Mareuil a écrit:
Comptez là-dessus, ma jolie.
2 fois dans la même journée... Vous avez dû regarder tous les trombis de néos, Mareuil, pour être ainsi omnubilé par mon apparence.
Mais cessez, à présent ! Vous allez me faire rougir.
En même temps, c'est le printemps ! :flower:
- SapotilleEmpereur
Mareuil a écrit:Sowandi a écrit:Voici, pour alimenter la réflexion des personnes intéressées par ce sujet, un article du BBF (Bulletin des bibliothèques de France) intitulé "De la littérature de jeunesse considérée comme objet patrimonial" :
http://bbf.enssib.fr/consulter/bbf-2004-05-0065-011
Merci pour ce document très utile.
Très long, aussi, mais vraiment très intéressant et éclairant !
Merci aussi .
- MufabGrand Maître
grandesvacances a écrit:Mufab a écrit:Mareuil a écrit:
Comptez là-dessus, ma jolie.
2 fois dans la même journée... Vous avez dû regarder tous les trombis de Néo, Mareuil, pour être ainsi omnubilé par mon apparence.
Mais cessez, à présent ! Vous allez me faire rougir.
En même temps, c'est le printemps ! :flower:
C'est vrai... Et ces quelques compliments ne sont pas pour me déplaire.
Mais, aussi admiratif soit-il, il siérait à ce fil, dont le sérieux n'est plus à démontrer, un peu plus de retenue !
:lol!:
- MufabGrand Maître
Je cite une partie du document proposé par Sowandi, et la réponse que j'avais faite à la question de Mareuil vers la page 40, et dont il n'a pas souhaité tenir compte, puisqu'il me demandait plus bas où j'avais répondu. Où l'on voit à quel point l'objectivité règne sur ce fil...
"Jolie", mais pas complètement à l'ouest pour autant !
"Jolie", mais pas complètement à l'ouest pour autant !
Cette reconnaissance récente, quoique parfois controversée, d’une place de la littérature pour la jeunesse dans des fonds patrimoniaux est parallèle à l’évolution de la légitimité de son statut en France dans les vingt dernières années.
La littérature de jeunesse est devenue un objet d’études et de recherches universitaires. Un nombre croissant de mémoires et de thèses est soutenu et publié chaque année. Ici ou là, Jean Perrot, Isabelle Nières-Chevrel, Francis Marcoin, Michel Defourny, Annie Renonciat, Michel Manson, Jean-Yves Mollier et bien d’autres encore 6 suscitent des vocations parmi les jeunes étudiants ou chercheurs en les orientant vers ces terres encore insuffisamment explorées.
L’école elle-même, longtemps réticente à cette littérature pour la jeunesse, destinée selon elle aux lectures personnelles, donc extérieures au champ scolaire, vient, avec l’entrée d’une liste de livres pour la jeunesse dans les programmes du « cycle 3 » (c’est-à-dire, pour les non-initiés, les classes de CE2, CM1 et CM2), de reconnaître la place de cette production dans l’acquisition par les enfants et les jeunes d’une « culture littéraire ». Beaucoup de débats et de polémiques ont eu lieu autour de cette fameuse liste dite des « 180 titres » et de son caractère fugitivement obligatoire 7. Il faut rappeler qu’une de ses qualités, et non la moindre, est de sensibiliser des enseignants qui, pour la plupart d’entre eux, n’ont reçu aucune formation en littérature de jeunesse, à des ouvrages qu’ils n’auraient pas choisis spontanément. Par ailleurs, cette liste n’est que l’aboutissement d’un long processus. Les listes de « lectures conseillées » pour le collège intègrent des titres de littérature de jeunesse depuis longtemps 8. Et l’école, on le sait, est un prescripteur essentiel de lectures enfantines et l’instrument par excellence de la « classicisation » pour reprendre le terme d’Alain Viala, de certains titres. Que ceux-ci aient été directement écrits à l’intention des enfants, ou même avec le « roman scolaire », des écoliers, comme le célèbre Tour de la France par deux enfants de G. Bruno ou, plus tard, les romans d’Édouard Peisson 9 ou de Charles Vildrac 10. Ou que l’école se soit emparée de livres « populaires » pour les étudier en classe : voir, par exemple, le destin des trois tomes de l’autobiographie de Marcel Pagnol.
Enfin, le statut actuel de la littérature de jeunesse doit beaucoup à l’essor extraordinaire de ce secteur éditorial depuis la fin des années 1970. L’importance croissante accordée par les adultes aux activités culturelles des enfants, la mise en avant des apprentissages fondamentaux, particulièrement la lecture, dans la réussite scolaire et donc sociale, les inquiétudes suscitées par la mise en évidence de phénomènes d’illettrisme, la « découverte » des compétences des bébés et les actions de promotion de la lecture envers les tout-petits, tout a concouru à favoriser la santé insolente de l’édition pour la jeunesse.
La surproduction actuelle (plus de 9 000 titres en 2002 !) inquiète les médiateurs, mais elle est, en soi, le signe le plus parlant de l’existence d’un marché « porteur ». Depuis une petite trentaine d’années, on a vu, avec des éditeurs comme l’École des loisirs ou Gallimard-Jeunesse, mais aussi avec des maisons d’édition plus récemment arrivées sur le marché comme Rue du Monde, le Rouergue, Thierry Magnier 11, se développer une production extraordinaire d’invention et de créativité tant sur le plan de l’illustration que des textes.
Mufab a écrit:1) Pour permettre l'accès d'un maximum d'élèves à la lecture longue, et donc au livre;
2) Parce qu'il y a eu, à la même époque, un prodigieux essor de la littérature de jeunesse : on est passé, côté albums, des Martine de mon enfance à Ponti ou à Pommaux... Côté romans, d'Enid Blyton à Mourlevat... (Pour les seconds, ce ne sont que des exemples : il serait difficile de citer tous les auteurs contemporains de qualité lus actuellement).
Et j'avoue qu'on y a gagné au change, les premiers pouvant être effectivement, difficilement considérés comme littéraires et dignes d'intérêt scolaire.
D'autre part, il a fallu faire un tri dans cette publication foisonnante - afin de donner des pistes aux enseignants, qui ne peuvent tout lire ce qui est publié.
Et comme tout tri, c'est évidemment subjectif. Mais je crois que cette liste est révisée régulièrement, et qu'elle ne donne, je le répète, que des indications, à confronter aux réalités matérielles du terrain, souvent.(possibilité d'achats de nouvelles séries, ou utilisation de ce qu'il y a déjà dans l'école.)
- SapotilleEmpereur
Mufab a écrit:
1) Pour permettre l'accès d'un maximum d'élèves à la lecture longue, et donc au livre;
2) Parce qu'il y a eu, à la même époque, un prodigieux essor de la littérature de jeunesse : on est passé, côté albums, des Martine de mon enfance à Ponti ou à Pommaux... Côté romans, d'Enid Blyton à Mourlevat... (Pour les seconds, ce ne sont que des exemples : il serait difficile de citer tous les auteurs contemporains de qualité lus actuellement).
Et j'avoue qu'on y a gagné au change, les premiers pouvant être effectivement, difficilement considérés comme littéraires et dignes d'intérêt scolaire.
Comme toi, ce passage m'a spécialement inter-pelée !!!
Je vais essayer de lire du Mourlevat !
Mufab, tu as des titres à me proposer ?
- MufabGrand Maître
Là, il y en a déjà plein :
http://media.eduscol.education.fr/file/Litterature/58/2/La_litterature_a_l_ecole_liste_de_reference_C3_110323_171582.pdf
http://media.eduscol.education.fr/file/Litterature/58/2/La_litterature_a_l_ecole_liste_de_reference_C3_110323_171582.pdf
- SowandiNiveau 10
Sapotille, si tu cherches des références, notamment pour une utilisation dans un cadre scolaire, je trouve ce livre sur la mythologie grecque très bien : Le feuilleton d'Hermès, de Murielle Szac.
- MareuilNeoprof expérimenté
Mareuil a écrit:Sowandi a écrit:Voici, pour alimenter la réflexion des personnes intéressées par ce sujet, un article du BBF (Bulletin des bibliothèques de France) intitulé "De la littérature de jeunesse considérée comme objet patrimonial" :
http://bbf.enssib.fr/consulter/bbf-2004-05-0065-011
Merci pour ce document très utile.
Je mets en gras quelques assertions sur lesquelles je compte revenir ensuite.
"Cette reconnaissance récente, quoique parfois controversée, d’une place de la littérature pour la jeunesse dans des fonds patrimoniaux est parallèle à l’évolution de la légitimité de son statut en France dans les vingt dernières années.
La littérature de jeunesse est devenue un objet d’études et de recherches universitaires. Un nombre croissant de mémoires et de thèses est soutenu et publié chaque année. Ici ou là, Jean Perrot, Isabelle Nières-Chevrel, Francis Marcoin, Michel Defourny, Annie Renonciat, Michel Manson, Jean-Yves Mollier et bien d’autres encore 6 suscitent des vocations parmi les jeunes étudiants ou chercheurs en les orientant vers ces terres encore insuffisamment explorées.
L’école elle-même, longtemps réticente à cette littérature pour la jeunesse, destinée selon elle aux lectures personnelles, donc extérieures au champ scolaire, vient, avec l’entrée d’une liste de livres pour la jeunesse dans les programmes du « cycle 3 » (c’est-à-dire, pour les non-initiés, les classes de CE2, CM1 et CM2), de reconnaître la place de cette production dans l’acquisition par les enfants et les jeunes d’une « culture littéraire ». Beaucoup de débats et de polémiques ont eu lieu autour de cette fameuse liste dite des « 180 titres » et de son caractère fugitivement obligatoire 7. Il faut rappeler qu’une de ses qualités, et non la moindre, est de sensibiliser des enseignants qui, pour la plupart d’entre eux, n’ont reçu aucune formation en littérature de jeunesse, à des ouvrages qu’ils n’auraient pas choisis spontanément. Par ailleurs, cette liste n’est que l’aboutissement d’un long processus. Les listes de « lectures conseillées » pour le collège intègrent des titres de littérature de jeunesse depuis longtemps 8. Et l’école, on le sait, est un prescripteur essentiel de lectures enfantines et l’instrument par excellence de la « classicisation » pour reprendre le terme d’Alain Viala, de certains titres. Que ceux-ci aient été directement écrits à l’intention des enfants, ou même avec le « roman scolaire », des écoliers, comme le célèbre Tour de la France par deux enfants de G. Bruno ou, plus tard, les romans d’Édouard Peisson 9 ou de Charles Vildrac 10. Ou que l’école se soit emparée de livres « populaires » pour les étudier en classe : voir, par exemple, le destin des trois tomes de l’autobiographie de Marcel Pagnol.
Enfin, le statut actuel de la littérature de jeunesse doit beaucoup à l’essor extraordinaire de ce secteur éditorial depuis la fin des années 1970. L’importance croissante accordée par les adultes aux activités culturelles des enfants, la mise en avant des apprentissages fondamentaux, particulièrement la lecture, dans la réussite scolaire et donc sociale, les inquiétudes suscitées par la mise en évidence de phénomènes d’illettrisme, la « découverte » des compétences des bébés et les actions de promotion de la lecture envers les tout-petits, tout a concouru à favoriser la santé insolente de l’édition pour la jeunesse.
La surproduction actuelle (plus de 9 000 titres en 2002 !) inquiète les médiateurs, mais elle est, en soi, le signe le plus parlant de l’existence d’un marché « porteur ». Depuis une petite trentaine d’années, on a vu, avec des éditeurs comme l’École des loisirs ou Gallimard-Jeunesse, mais aussi avec des maisons d’édition plus récemment arrivées sur le marché comme Rue du Monde, le Rouergue, Thierry Magnier 11, se développer une production extraordinaire d’invention et de créativité tant sur le plan de l’illustration que des textes."
- SapotilleEmpereur
Mareuil a écrit:
La surproduction actuelle (plus de 9 000 titres en 2002 !) inquiète les médiateurs, mais elle est, en soi, le signe le plus parlant de l’existence d’un marché « porteur ».
Et cela ne facilite pas le choix !!!
Parce qu'il y a inévitablement des ouvrages de qualité parmi ces 9 000 titres !
- MareuilNeoprof expérimenté
Sapotille a écrit:Mareuil a écrit:
La surproduction actuelle (plus de 9 000 titres en 2002 !) inquiète les médiateurs, mais elle est, en soi, le signe le plus parlant de l’existence d’un marché « porteur ».
Et cela ne facilite pas le choix !!!
Parce qu'il y a inévitablement des ouvrages de qualité parmi ces 9 000 titres !
Pourquoi pas ? La question étant de savoir ce qu'on en fait à l'école.
- SapotilleEmpereur
Mareuil a écrit:
Pourquoi pas ? La question étant de savoir ce qu'on en fait à l'école.
Je ne cherche plus des ouvrages pour l'école !!!
Mais de bons livres à offrir à des enfants qui vont à l'école !
Et j'ai envie d'offrir de la littérature de jeunesse de qualité !
- SapotilleEmpereur
Sowandi a écrit:Sapotille, si tu cherches des références, notamment pour une utilisation dans un cadre scolaire, je trouve ce livre sur la mythologie grecque très bien : Le feuilleton d'Hermès, de Murielle Szac.
Sowandi, tu es une vile tentatrice !!!
Tu as des actions chez Amazon ,,,
- MareuilNeoprof expérimenté
Sapotille a écrit:Mareuil a écrit:
Pourquoi pas ? La question étant de savoir ce qu'on en fait à l'école.
Je ne cherche plus des ouvrages pour l'école !!!
Mais de bons livres à offrir à des enfants qui vont à l'école !
Et j'ai envie d'offrir de la littérature de jeunesse de qualité !
Un seul moyen : les lire d'abord.
- MufabGrand Maître
Sowandi a écrit:Sapotille, si tu cherches des références, notamment pour une utilisation dans un cadre scolaire, je trouve ce livre sur la mythologie grecque très bien : Le feuilleton d'Hermès, de Murielle Szac.
Tu le fais lire en quelle classe ?
- MufabGrand Maître
Mareuil a écrit:Sapotille a écrit:Mareuil a écrit:
Pourquoi pas ? La question étant de savoir ce qu'on en fait à l'école.
Je ne cherche plus des ouvrages pour l'école !!!
Mais de bons livres à offrir à des enfants qui vont à l'école !
Et j'ai envie d'offrir de la littérature de jeunesse de qualité !
Un seul moyen : les lire d'abord.
+1.
- Spinoza1670Esprit éclairé
Mufab a écrit:Sowandi a écrit:Sapotille, si tu cherches des références, notamment pour une utilisation dans un cadre scolaire, je trouve ce livre sur la mythologie grecque très bien : Le feuilleton d'Hermès, de Murielle Szac.
Tu le fais lire en quelle classe ?
C'est utilisé en cp par jean-pierre picandet -->
http://hermes100.blogspot.com/
_________________
« Let not any one pacify his conscience by the delusion that he can do no harm if he takes no part, and forms no opinion. Bad men need nothing more to compass their ends, than that good men should look on and do nothing. » (John Stuart Mill)
Littérature au primaire - Rédaction au primaire - Manuels anciens - Dessin au primaire - Apprendre à lire et à écrire - Maths au primaire - école : références - Leçons de choses.
- MareuilNeoprof expérimenté
Spinoza1670 a écrit:Mufab a écrit:Sowandi a écrit:Sapotille, si tu cherches des références, notamment pour une utilisation dans un cadre scolaire, je trouve ce livre sur la mythologie grecque très bien : Le feuilleton d'Hermès, de Murielle Szac.
Tu le fais lire en quelle classe ?
C'est utilisé en cp par jean-pierre picandet -->
http://hermes100.blogspot.com/
Excellente chose. Mais quel rapport avec la LDJC ?
- SapotilleEmpereur
Mufab a écrit:Mareuil a écrit:Sapotille a écrit:Mareuil a écrit:
Pourquoi pas ? La question étant de savoir ce qu'on en fait à l'école.
Je ne cherche plus des ouvrages pour l'école !!!
Mais de bons livres à offrir à des enfants qui vont à l'école !
Et j'ai envie d'offrir de la littérature de jeunesse de qualité !
Un seul moyen : les lire d'abord.
+1.
Pourquoi pas ???
Je viens de lire "Mon petit coeur imbécile" avant de l'offrir !
http://www.amazon.fr/petit-coeur-imb%C3%A9cile-Xavier-Laurent-Petit/dp/2211097448/ref=sr_1_1?s=books&ie=UTF8&qid=1332423501&sr=1-1
Mais il y a du pain sur la planche s'il y en a 9 000 !!!!!!
- SapotilleEmpereur
Mareuil a écrit:Spinoza1670 a écrit:Mufab a écrit:Sowandi a écrit:Sapotille, si tu cherches des références, notamment pour une utilisation dans un cadre scolaire, je trouve ce livre sur la mythologie grecque très bien : Le feuilleton d'Hermès, de Murielle Szac.
Tu le fais lire en quelle classe ?
C'est utilisé en cp par jean-pierre picandet -->
http://hermes100.blogspot.com/
Excellente chose. Mais quel rapport avec la LDJC ?
C'est un livre intelligent (les commentaires sur Amazon le disent !) et c'est pour enfants !
- MareuilNeoprof expérimenté
Sapotille a écrit:Mareuil a écrit:Spinoza1670 a écrit:Mufab a écrit:Sowandi a écrit:Sapotille, si tu cherches des références, notamment pour une utilisation dans un cadre scolaire, je trouve ce livre sur la mythologie grecque très bien : Le feuilleton d'Hermès, de Murielle Szac.
Tu le fais lire en quelle classe ?
C'est utilisé en cp par jean-pierre picandet -->
http://hermes100.blogspot.com/
Excellente chose. Mais quel rapport avec la LDJC ?
C'est un livre intelligent (les commentaires sur Amazon le disent !) et c'est pour enfants !
Je n'en doute pas. Et il y a eu par le passé des livres comparables excellents. Mais ce n'est pas de la LDJC.
- SapotilleEmpereur
Mareuil a écrit:
Je n'en doute pas. Et il y a eu par le passé des livres comparables excellents. Mais ce n'est pas de la LDJC.
Un doute m'assaille :
il ne peut pas être possible que parmi tout ce qui est édité dans la ldj, il n'y ait pas quelques titres à recommander chaudement.
Ces livres prétendent être des amorces qui doivent susciter l'envie de lire...
Il doit bien y en avoir un certain nombre recommandables !!!
Par exemple, "mon petit coeur imbécile" ne cassait pas 4 pattes à un canard, mais il fera plaisir à des petits africains à qui je l'ai envoyé parce que l'histoire se passe en Afrique, justement!
- Spinoza1670Esprit éclairé
LDJC ? ça a un rapport avec Jésus-Christ ?
_________________
« Let not any one pacify his conscience by the delusion that he can do no harm if he takes no part, and forms no opinion. Bad men need nothing more to compass their ends, than that good men should look on and do nothing. » (John Stuart Mill)
Littérature au primaire - Rédaction au primaire - Manuels anciens - Dessin au primaire - Apprendre à lire et à écrire - Maths au primaire - école : références - Leçons de choses.
- MareuilNeoprof expérimenté
Sapotille a écrit:Mareuil a écrit:
Je n'en doute pas. Et il y a eu par le passé des livres comparables excellents. Mais ce n'est pas de la LDJC.
Un doute m'assaille :
il ne peut pas être possible que parmi tout ce qui est édité dans la ldj, il n'y ait pas quelques titres à recommander chaudement.
Ces livres prétendent être des amorces qui doivent susciter l'envie de lire...
Il doit bien y en avoir un certain nombre recommandables !!!
Par exemple, "mon petit coeur imbécile" ne cassait pas 4 pattes à un canard, mais il fera plaisir à des petits africains à qui je l'ai envoyé parce que l'histoire se passe en Afrique, justement!
Bien sûr. Mais le problème n'est pas là. Il est dans l'exploitation pédagogique en classe de type de livres, exploitation dont on attend officiellement qu'elle fasse reculer l'illettrisme et qu'elle abatte les barrières sociales.
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