- JohnMédiateur
Pour Jean-Michel Fourgous, la France est comparable, du point de vue des TICE... à la Corée du Nord.
Le parlementaire Jean-Michel Fourgous vient de déclarer :
«La France est le dernier pays du monde avec la Corée du Nord à se poser la question du numérique à l'école !»
«La France est le dernier pays du monde avec la Corée du Nord à se poser la question du numérique à l'école !»
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"Qui a construit Thèbes aux sept portes ? Dans les livres, on donne les noms des Rois. Les Rois ont-ils traîné les blocs de pierre ? [...] Quand la Muraille de Chine fut terminée, Où allèrent ce soir-là les maçons ?" (Brecht)
"La nostalgie, c'est plus ce que c'était" (Simone Signoret)
- JohnMédiateur
Autre déclaration à l'instant de M. Fourgous :
"Au lycée Hoche on n'a pas besoin du numérique et les profs n'en veulent pas, à Trappes c'est différent".
Apparemment, il aurait déclaré, il y a un ou deux jours, qu'il n'y a plus de pauvres en France (reprenant en cela une idée chère à Patrice Balkany). Si quelqu'un peut trouver trace de cette déclaration sur le net, qu'il n'hésite pas à l'indiquer ici !
"Au lycée Hoche on n'a pas besoin du numérique et les profs n'en veulent pas, à Trappes c'est différent".
Apparemment, il aurait déclaré, il y a un ou deux jours, qu'il n'y a plus de pauvres en France (reprenant en cela une idée chère à Patrice Balkany). Si quelqu'un peut trouver trace de cette déclaration sur le net, qu'il n'hésite pas à l'indiquer ici !
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"Qui a construit Thèbes aux sept portes ? Dans les livres, on donne les noms des Rois. Les Rois ont-ils traîné les blocs de pierre ? [...] Quand la Muraille de Chine fut terminée, Où allèrent ce soir-là les maçons ?" (Brecht)
"La nostalgie, c'est plus ce que c'était" (Simone Signoret)
- Luigi_BGrand Maître
Bref, le numérique, c'est surtout pour ceux qui veulent passer à la trappe.
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LVM Dernier billet : "Une École si distante"
- ProvenceEnchanteur
John a écrit:
«La France est le dernier pays du monde avec la Corée du Nord à se poser la question du numérique à l'école !»
Et si la Corée du nord avait raison de se poser la question?
Quelle motivation débile pour s'équiper...
- Luigi_BGrand Maître
Et il serait avisé de savoir ce que font les plus grands dirigeants de la Silicon Valley... (Source NYT)
- kiwiGuide spirituel
Ah notre maire a encore fait parler de lui... Si seulement il pouvait me subventionner ne serait-ce qu'un vidéoprojecteur pour ma salle! :lol:
- User5899Demi-dieu
Vous croyez qu'ils concourent tous pour le prix du débile de l'année ?
- loup des steppesNeoprof expérimenté
Oui par rapport à Silicon Valley, j'avais fait travailler mes BTS sur le texte intitulé: "A Silicon Valley School That Doesn’t Compute" publié en octobre dernier par le NY Times aussi
http://www.nytimes.com/2011/10/23/technology/at-waldorf-school-in-silicon-valley-technology-can-wait.html
En gros pour ceux qui ne lisent pas l'anglais : les enfants des personnels d' Apple et autres spécialistes du Net suivent l' enseignement des écoles Waldorf, où l'outil informatique et les gadgets électroniques sont absents, voire bannis. On y prône depuis un siècle l' enseignement par l'approche physique, interactive, l'expérimentation créative du réel.
Le succès des écoles Waldorf dans ce milieu hautement digitalisé attise la controverse sur le rôle des technologies dans les écoles américaines. Et ceux dont le quotidien tourne autour de tablettes électroniques, ordinateurs et autres "smartphones", estiment que leur progéniture a tout le temps pour se familiariser avec l' usage de ces objets.
http://www.nytimes.com/2011/10/23/technology/at-waldorf-school-in-silicon-valley-technology-can-wait.html
En gros pour ceux qui ne lisent pas l'anglais : les enfants des personnels d' Apple et autres spécialistes du Net suivent l' enseignement des écoles Waldorf, où l'outil informatique et les gadgets électroniques sont absents, voire bannis. On y prône depuis un siècle l' enseignement par l'approche physique, interactive, l'expérimentation créative du réel.
Le succès des écoles Waldorf dans ce milieu hautement digitalisé attise la controverse sur le rôle des technologies dans les écoles américaines. Et ceux dont le quotidien tourne autour de tablettes électroniques, ordinateurs et autres "smartphones", estiment que leur progéniture a tout le temps pour se familiariser avec l' usage de ces objets.
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[i] "Là où sont mes pieds, je suis à ma place." prov. Amérindien
"Choose the words you use with care: they create the world around you"
- Thalia de GMédiateur
Merci d'avoir traduit, Loup
C'est frappé au coin du bon sens.Et ceux dont le quotidien tourne autour de tablettes électroniques,
ordinateurs et autres "smartphones", estiment que leur progéniture a
tout le temps pour se familiariser avec l' usage de ces objets.
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Le printemps a le parfum poignant de la nostalgie, et l'été un goût de cendres.
Soleil noir de mes mélancolies.
- doublecasquetteEnchanteur
loup des steppes a écrit:Oui par rapport à Silicon Valley, j'avais fait travailler mes BTS sur le texte intitulé: "A Silicon Valley School That Doesn’t Compute" publié en octobre dernier par le NY Times aussi
http://www.nytimes.com/2011/10/23/technology/at-waldorf-school-in-silicon-valley-technology-can-wait.html
En gros pour ceux qui ne lisent pas l'anglais : les enfants des personnels d' Apple et autres spécialistes du Net suivent l' enseignement des écoles Waldorf, où l'outil informatique et les gadgets électroniques sont absents, voire bannis. On y prône depuis un siècle l' enseignement par l'approche physique, interactive, l'expérimentation créative du réel.
Le succès des écoles Waldorf dans ce milieu hautement digitalisé attise la controverse sur le rôle des technologies dans les écoles américaines. Et ceux dont le quotidien tourne autour de tablettes électroniques, ordinateurs et autres "smartphones", estiment que leur progéniture a tout le temps pour se familiariser avec l' usage de ces objets.
Ce serait à diffuser très largement, une information de ce genre !
Remarquez, je ne sais pas si cela servirait à quelque chose.
Lorsque mon père et son épouse, tous deux professeurs d'allemand dans le Supérieur, clamaient haut et fort en réunions avec les instits de leurs enfants qu'ils ne voyaient pas l'intérêt de saupoudrage d'une langue étrangère en Primaire et qu'ils préféreraient largement que leurs enfants bénéficient d'une heure trente de français en plus, les autres parents d'élèves les regardaient d'un air étonné et continuaient à réclamer l'anglais pour leurs petits.
- loup des steppesNeoprof expérimenté
Mais c'est habituel qu'on n'entende pas ce que disent les spécialistes, dans l' EN...
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[i] "Là où sont mes pieds, je suis à ma place." prov. Amérindien
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- frankensteinVénérable
C'est assez drôle comme article ! Mais ça ne m'étonne pas du tout...
On voit même pire chez nous: Des pédagogos qui s'empressent de mettre leur progéniture dans des écoles à enseignement traditionnel, ou des défenseurs de l'école publique qui scolarisent leurs rejetons dans le privé depuis la maternelle !
On voit même pire chez nous: Des pédagogos qui s'empressent de mettre leur progéniture dans des écoles à enseignement traditionnel, ou des défenseurs de l'école publique qui scolarisent leurs rejetons dans le privé depuis la maternelle !
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Mettez des pouces verts sur : https://www.youtube.com/user/Choristenimes/ videos
Si les élections pouvaient changer la société, elles seraient interdites.
- CelebornEsprit sacré
frankenstein a écrit:C'est assez drôle comme article ! Mais ça ne m'étonne pas du tout...
On voit même pire chez nous: Des pédagogos qui s'empressent de mettre leur progéniture dans des écoles à enseignement traditionnel, ou des défenseurs de l'école publique qui scolarisent leurs rejetons dans le privé depuis la maternelle !
Autant le premier cas me semble effectivement un paradoxe, autant je comprends très bien le second. On peut se battre pour la qualité de l'école publique, pour tenter de l'améliorer, de la rendre apaisée et efficace, et dans le même temps constater que l'école publique à côté de chez soi est un endroit où l'on n'apprend pas à lire et décider donc de ne pas sacrifier sa progéniture.
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"On va bien lentement dans ton pays ! Ici, vois-tu, on est obligé de courir tant qu'on peut pour rester au même endroit. Si on veut aller ailleurs, il faut courir au moins deux fois plus vite que ça !" (Lewis Carroll)
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- frankensteinVénérable
Sauf que certains "experts en sciences éduc" se gardent bien d'appliquer les méthodes qu'ils défendent à leurs propres enfants ! Même en Corée du Nord , ils ne le font (peut-être ?) pas !Celeborn a écrit:frankenstein a écrit:C'est assez drôle comme article ! Mais ça ne m'étonne pas du tout...
On voit même pire chez nous: Des pédagogos qui s'empressent de mettre leur progéniture dans des écoles à enseignement traditionnel, ou des défenseurs de l'école publique qui scolarisent leurs rejetons dans le privé depuis la maternelle !
Autant le premier cas me semble effectivement un paradoxe, autant je comprends très bien le second. On peut se battre pour la qualité de l'école publique, pour tenter de l'améliorer, de la rendre apaisée et efficace, et dans le même temps constater que l'école publique à côté de chez soi est un endroit où l'on n'apprend pas à lire et décider donc de ne pas sacrifier sa progéniture.
C'est plus que paradoxal... :lol:
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Si les élections pouvaient changer la société, elles seraient interdites.
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