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- frankensteinVénérable
Mais je suis en parfaite santé ! La lecture des cahiers pédagogiques est un pur moment de rigolade !milasaintanne a écrit:
Je vais finir par dire des vulgarités.
Est ce que tu peux montrer un peu moins d'agressivité dans tes messages ?
C'est insultant pour moi, je n'ai besoin d'aucune Bible et c'est insultant pour les cahiers pédagogiques.
Sur ce, je pense que tu devrais prendre un peu de repos mérité, tu n'as pas l'air d'aller très très bien pour te comporter ainsi.
Par contre je me demande si ceux qui écrivent dans cette revue ne devraient pas...
- InvitéInvité
Si c'est tout ce que vous avez à me répondre, je peux aller finir de préparer les fête en toute tranquillité
Les disciplines..... Forcément, le mot est pris ici au sens scolaire du terme. Ce n'est pas dans celui là que je l'utilise, parce que je ne côtoie pas que des enseignants, mais des gens de tous horizons. Et quand ceux là me parlent dans leur "jargon", je n'y comprends rien. Et je trouve cela normal.
Joyeux Noël à tous.
Les disciplines..... Forcément, le mot est pris ici au sens scolaire du terme. Ce n'est pas dans celui là que je l'utilise, parce que je ne côtoie pas que des enseignants, mais des gens de tous horizons. Et quand ceux là me parlent dans leur "jargon", je n'y comprends rien. Et je trouve cela normal.
Joyeux Noël à tous.
- SergeMédiateur
En effet. Il serait temps que le débat prenne soit de la hauteur, en faisant au moins preuve de respect dans les échanges, soit qu'il soit ignoré, tout simplement.
- frankensteinVénérable
Si c'est tout ce que vous avez à me répondre, je peux aller finir de préparer les fête en toute tranquillité
Les disciplines..... Forcément, le mot est pris ici au sens scolaire du terme. Ce n'est pas dans celui là que je l'utilise, parce que je ne côtoie pas que des enseignants, mais des gens de tous horizons. Et quand ceux là me parlent dans leur "jargon", je n'y comprends rien. Et je trouve cela normal.
Joyeux Noël à tous.
Va préparer les fêtes ! Le père Noêl t'apportera peut-être une carte heuristique de pédagogie à compléter pour vérifier si tu as toutes les compétences validées !
- Spoiler:
- C'est de l'ironie pas méchante ! :acf:
- SergeMédiateur
C'est de l'ironie pas méchante ! :acf:
Pas méchante ? Peut-être, je te l'accorde si tu le dis.
Si encore c'était juste occasionnel... là, on a compris, ça va ...
Pas méchante ? Mais gonflante à la longue, ça, sans aucun doute. D'ailleurs, tu vois, ça contribue à une ambiance hyper sympa, tout le monde rigole.
- frankensteinVénérable
Ce n'est pas le problème les disciplines...mais tout le langage "sciences éduc" et les "jargonneries" qui l'accompagnent:milasaintanne a écrit:Si c'est tout ce que vous avez à me répondre, je peux aller finir de préparer les fête en toute tranquillité
Les disciplines..... Forcément, le mot est pris ici au sens scolaire du terme. Ce n'est pas dans celui là que je l'utilise, parce que je ne côtoie pas que des enseignants, mais des gens de tous horizons. Et quand ceux là me parlent dans leur "jargon", je n'y comprends rien. Et je trouve cela normal.
Joyeux Noël à tous.
Exemple
La métarésolution de problèmes ou métacompréhension.
Comprendre que pour résoudre le problème plusieurs chemins sont possibles. Tout, en classe, est situation de résolution de problème pour l’élève. Pour le tout petit, le problème est de mettre son manteau, pour le plus grand c’est de comprendre les quatre opérations mathématiques, pour le plus grand encore c’est de traiter un problème de physique, etc. Quel que soit le niveau de complexité de la tâche à effectuer, il faut que chaque élève comprenne que celui qui trouve très vite la solution c’est celui qui utilise un enchaînement d’opérations mentales efficaces.
Avec ça, on va aller loin ! :lol!:
- InvitéInvité
frankenstein a écrit:
Ce n'est pas le problème les disciplines...mais tout le langage "sciences éduc" et les "jargonneries" qui l'accompagnent:
Exemple
La métarésolution de problèmes ou métacompréhension.
Comprendre que pour résoudre le problème plusieurs chemins sont possibles. Tout, en classe, est situation de résolution de problème pour l’élève. Pour le tout petit, le problème est de mettre son manteau, pour le plus grand c’est de comprendre les quatre opérations mathématiques, pour le plus grand encore c’est de traiter un problème de physique, etc. Quel que soit le niveau de complexité de la tâche à effectuer, il faut que chaque élève comprenne que celui qui trouve très vite la solution c’est celui qui utilise un enchaînement d’opérations mentales efficaces.
Avec ça, on va aller loin ! :lol!:
Je ne vois rien de jargonnant dans ce qui est en italique. C'est même une évidence.
Ce sont les mots en "méta-" qui te gênent ? Pourtant, c'est un préfixe fort courant : métamorphique, métaphysique, métadonnée, métaplasie.... Où est le problème ?
- MoonchildSage
Le problème pour moi, c'est que ce qui est en italique débute par deux mots ronflants avec leur préfixe "méta" pour ensuite tomber dans le registre de l'évidence la plus plate. Mais après tout, c'est peut-être ça tout l'art des sciences de l'éducation, être capable d'énoncer des métabanalités.milasaintanne a écrit:frankenstein a écrit:
Ce n'est pas le problème les disciplines...mais tout le langage "sciences éduc" et les "jargonneries" qui l'accompagnent:
Exemple
La métarésolution de problèmes ou métacompréhension.
Comprendre que pour résoudre le problème plusieurs chemins sont possibles. Tout, en classe, est situation de résolution de problème pour l’élève. Pour le tout petit, le problème est de mettre son manteau, pour le plus grand c’est de comprendre les quatre opérations mathématiques, pour le plus grand encore c’est de traiter un problème de physique, etc. Quel que soit le niveau de complexité de la tâche à effectuer, il faut que chaque élève comprenne que celui qui trouve très vite la solution c’est celui qui utilise un enchaînement d’opérations mentales efficaces.
Avec ça, on va aller loin ! :lol!:
Je ne vois rien de jargonnant dans ce qui est en italique. C'est même une évidence.
Ce sont les mots en "méta-" qui te gênent ? Pourtant, c'est un préfixe fort courant : métamorphique, métaphysique, métadonnée, métaplasie.... Où est le problème ?
- InvitéInvité
Moonchild a écrit:Le problème pour moi, c'est que ce qui est en italique débute par deux mots ronflants avec leur préfixe "méta" pour ensuite tomber dans le registre de l'évidence la plus plate. Mais après tout, c'est peut-être ça tout l'art des sciences de l'éducation, être capable d'énoncer des métabanalités.milasaintanne a écrit:frankenstein a écrit:
Ce n'est pas le problème les disciplines...mais tout le langage "sciences éduc" et les "jargonneries" qui l'accompagnent :
Exemple
La métarésolution de problèmes ou métacompréhension.
Comprendre que pour résoudre le problème plusieurs chemins sont possibles. Tout, en classe, est situation de résolution de problème pour l’élève. Pour le tout petit, le problème est de mettre son manteau, pour le plus grand c’est de comprendre les quatre opérations mathématiques, pour le plus grand encore c’est de traiter un problème de physique, etc. Quel que soit le niveau de complexité de la tâche à effectuer, il faut que chaque élève comprenne que celui qui trouve très vite la solution c’est celui qui utilise un enchaînement d’opérations mentales efficaces.
Avec ça, on va aller loin ! :lol!:
Je ne vois rien de jargonnant dans ce qui est en italique. C'est même une évidence.
Ce sont les mots en "méta-" qui te gênent ? Pourtant, c'est un préfixe fort courant : métamorphique, métaphysique, métadonnée, métaplasie.... Où est le problème ?
Le moins qu'on puisse dire c'est que notre ami a légèrement tronqué l'article qu'il cite et qu'on trouvera dans son intégralité à cette adresse :
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On peut y lire également cela :
Qu’est-ce que la métacognition ?
La métacognition est la représentation que l’élève a des connaissances qu’il possède et de la façon dont il peut les construire et les utiliser.
C'est un problème de "jargon" ou de "concept" ? Et sinon, on appelle ça comment ? Le préfixe méta- est ici complètement dans son usage courant.
"méta est un préfixe qui provient du grec μετά (meta) (après, au-delà de, avec). Il exprime, tout à la fois, la réflexion, le changement, la succession, le fait d'aller au-delà, à côté de, entre ou avec.
méta signifie aussi à propos, comme dans métalinguistique, désignant le lexique linguistique.
méta est souvent utilisé dans le vocabulaire scientifique pour indiquer l'auto-référence (réflexion) (...)
méta est aussi très souvent utilisé en science pour désigner un niveau d'abstraction supérieur, un modèle. Exemple : une métadonnée est une donnée sur les données.
méta est utilisé en chimie organique, dans la nomenclature des dérivés benzéniques, avec les préfixes ortho et para."
Si je comprends bien notre camarade Frankenstein, les linguistes, les chercheurs et les chimistes jargonnent eux aussi. C'est cool alors, je me sens moins seule
- frankensteinVénérable
Merci d'avoir répondu à ma place !Le problème pour moi, c'est que ce qui est en italique débute par deux mots ronflants avec leur préfixe "méta" pour ensuite tomber dans le registre de l'évidence la plus plate. Mais après tout, c'est peut-être ça tout l'art des sciences de l'éducation, être capable d'énoncer des métabanalités.
Mila (que j'aime bien quand même !) répond:
On peut y lire également cela :
Qu’est-ce que la métacognition ?
La métacognition est la représentation que l’élève a des connaissances qu’il possède et de la façon dont il peut les construire et les utiliser.
C'est un problème de "jargon" ou de "concept" ? Et sinon, on appelle ça comment ? Le préfixe méta- est ici complètement dans son usage courant.
"méta est un préfixe qui provient du grec μετά (meta) (après, au-delà de, avec). Il exprime, tout à la fois, la réflexion, le changement, la succession, le fait d'aller au-delà, à côté de, entre ou avec.
méta signifie aussi à propos, comme dans métalinguistique, désignant le lexique linguistique.
méta est souvent utilisé dans le vocabulaire scientifique pour indiquer l'auto-référence (réflexion) (...)
méta est aussi très souvent utilisé en science pour désigner un niveau d'abstraction supérieur, un modèle. Exemple : une métadonnée est une donnée sur les données.
méta est utilisé en chimie organique, dans la nomenclature des dérivés benzéniques, avec les préfixes ortho et para."
Si je comprends bien notre camarade Frankenstein, les linguistes, les chercheurs et les chimistes jargonnent eux aussi. C'est cool alors, je me sens moins seule
Sauf que tu as dit que tu ne connaissais pas le mot "métacognition" il y a qq heures...Joyeux Noël Mme Jourdain !
Bon, je vais quand même lire tes liens, on ne sait jamais, il y a peut-être des gens qui ont un brin de bon sens !
Parce que l'exemple de l'heuristique pédagogique, c'est bien gratiné ! Je l'ai envoyé à des amis, ils ne me croient pas !
- frankensteinVénérable
J'ai lu (presque) attentivement la "correction" mais c'est la même chose !
Bon noël MilaSaint... :lol: sans oublier Saint Boeuf !
Ah si ...la fin peut-être...
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]La construction par l’élève de compétences métacognitives est le préalable pour qu’il s’approprie les savoirs scolaires. Changeons l’Ecole.
- frankensteinVénérable
En conclusion,
la référence à des travaux internationaux permet d’envisager que lorsque les activités pour la classe sont réfléchis du point de vue des activités mentales que les élèves mobilisent pour comprendre et apprendre, l’efficacité des apprentissages est renforcée et les objectifs visés par les enseignants sont plus facilement atteints. L’observation de situations scolaires, l’analyse de leur efficacité interprétée grâce aux connaissances actuelles données par la recherche en psychologie, permettent donc d’affirmer que les activités pour la classe ne peuvent plus ignorer les activités mentales que les élèves doivent mettre en œuvre pour apprendre.
La construction par l’élève de compétences métacognitives est le préalable pour qu’il s’approprie les savoirs scolaires. Changeons l’Ecole.
Nicole Delvolvé, Professeur Chercheur en ergonomie, IUFM Midi Pyrénées.
Et on se demande comment les gens deviennent violents, et même "métaviolents "...non c'est méga !
la référence à des travaux internationaux permet d’envisager que lorsque les activités pour la classe sont réfléchis du point de vue des activités mentales que les élèves mobilisent pour comprendre et apprendre, l’efficacité des apprentissages est renforcée et les objectifs visés par les enseignants sont plus facilement atteints. L’observation de situations scolaires, l’analyse de leur efficacité interprétée grâce aux connaissances actuelles données par la recherche en psychologie, permettent donc d’affirmer que les activités pour la classe ne peuvent plus ignorer les activités mentales que les élèves doivent mettre en œuvre pour apprendre.
La construction par l’élève de compétences métacognitives est le préalable pour qu’il s’approprie les savoirs scolaires. Changeons l’Ecole.
Nicole Delvolvé, Professeur Chercheur en ergonomie, IUFM Midi Pyrénées.
Et on se demande comment les gens deviennent violents, et même "métaviolents "...non c'est méga !
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