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- JaneMonarque
Faut dire qu'en face du rien, il y a le pas grand-chose... Et je sais pertinemment que quoi qu'il arrive, nous serons encore perdants.
Mais puisque je dois choisir entre la peste et le choléra, je choisis ce qui me parait le moins pire, à défaut de croire que c'est le meilleur.
Mais puisque je dois choisir entre la peste et le choléra, je choisis ce qui me parait le moins pire, à défaut de croire que c'est le meilleur.
- CondorcetOracle
Victor Lanoux (prisonnier évadé) à Pierre Richard (son avocat de gôche) dans La Carapate : "je vois, parti de rien pour arriver à pas grand chose"
- JaneMonarque
un truc dans le genre, oui ! :lol:
- gregoNiveau 1
Suis je le seul à avoir noté que tout ce programme est financé sur la suppression du système de protection sociale ? Regardez bien : les couts sont pris sur les allocations familiales et les aides aux chômeurs, sans compter que les collectivités locales (départements) distribuent la plus grande partie de l'aide sociale).
C'est la dernière étape de la libéralisation de la France qu'il annonce : privatisation de l'éducation nationale (pas dans ce texte, soit) et remise en cause de la protection sociale.
C'est la dernière étape de la libéralisation de la France qu'il annonce : privatisation de l'éducation nationale (pas dans ce texte, soit) et remise en cause de la protection sociale.
- AlbatorHabitué du forum
Thalia de G a écrit:Timeo Danaos et dona ferentes... (traduction littérale : Je crains les Grecs, même quand ils font des présents)
C'est dans "Astérix légionnaire"
ok je :elephant2:
- Thalia de GMédiateur
Je ne le savais pas. Il va falloir que je relise mes classiques
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Le printemps a le parfum poignant de la nostalgie, et l'été un goût de cendres.
Soleil noir de mes mélancolies.
- LeclochardEmpereur
grego a écrit: Suis je le seul à avoir noté que tout ce programme est financé sur la suppression du système de protection sociale ? Regardez bien : les couts sont pris sur les allocations familiales et les aides aux chômeurs, sans compter que les collectivités locales (départements) distribuent la plus grande partie de l'aide sociale).
C'est la dernière étape de la libéralisation de la France qu'il annonce : privatisation de l'éducation nationale (pas dans ce texte, soit) et remise en cause de la protection sociale.
20 milliards pour l'éducation ? alors que ce gouvernement a supprimé des tas de postes depuis des années ? alors qu'on est entré en récession et que la dette va coûter plus cher dès l'an prochain ?
Sérieusement, le chiffre est si énorme qu'il ne peut que susciter l'hilarité, si on croit qu'ils proviendront d'impôts ou de taxes nouvelles ou la colère, si on pense qu'ils résulteront d'économies dans le social.
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Quelqu'un s'assoit à l'ombre aujourd'hui parce que quelqu'un d'autre a planté un arbre il y a longtemps. (W.B)
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