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- JaenelleHabitué du forum
Régulièrement, en dictée, beaucoup d'élèves m'écrivent "mais" pour "mes" et inversement.
Pour le moment, je n'ai pas trouvé d'autre idée que celle de leur expliquer que "mes" est le déterminant possesssif et qu'il est suivi d'un nom, alors que "mais", en tant que conjonction de coordination, met en relation deux groupes opposés.
Auriez-vous une autre idée, géniale et infaillible, pour que les élèves comprennent ?
J'avoue que, lorsqu'en 4e, je dois encore expliquer cette différence, je me sens un peu démunie...
Pour le moment, je n'ai pas trouvé d'autre idée que celle de leur expliquer que "mes" est le déterminant possesssif et qu'il est suivi d'un nom, alors que "mais", en tant que conjonction de coordination, met en relation deux groupes opposés.
Auriez-vous une autre idée, géniale et infaillible, pour que les élèves comprennent ?
J'avoue que, lorsqu'en 4e, je dois encore expliquer cette différence, je me sens un peu démunie...
- La JabotteNeoprof expérimenté
Je ne vois pas ce que tu peux expliquer d'autre...
En revanche, tu peux ajouter qu'il est utile de connaître cette différence (ne pas se contenter de l'écouter, donc, mais la comprendre et la retenir) puis de se poser la question lorsqu'on arrive sur un [me].
Je te suggère de terminer en disant que, la chose étant dite et bien dite, après une série de 4 exercices permettant de s'entraîner à faire la différence et d'acquérir des automatismes, il y aura une dictée comprenant des mes/mais, et qu'à partir de dorénavant, cette erreur se verra sanctionnée de 2 points en moins quel que soit le devoir en cause.
Je pense que cette toute dernière explication portera ses fruits, sauf pour les plus réticents. Mais pour les plus réticents, on n'en est généralement plus à espérer ce genre de distinction.
Bon courage !
En revanche, tu peux ajouter qu'il est utile de connaître cette différence (ne pas se contenter de l'écouter, donc, mais la comprendre et la retenir) puis de se poser la question lorsqu'on arrive sur un [me].
Je te suggère de terminer en disant que, la chose étant dite et bien dite, après une série de 4 exercices permettant de s'entraîner à faire la différence et d'acquérir des automatismes, il y aura une dictée comprenant des mes/mais, et qu'à partir de dorénavant, cette erreur se verra sanctionnée de 2 points en moins quel que soit le devoir en cause.
Je pense que cette toute dernière explication portera ses fruits, sauf pour les plus réticents. Mais pour les plus réticents, on n'en est généralement plus à espérer ce genre de distinction.
Bon courage !
- doublecasquetteEnchanteur
Jaenelle a écrit:Régulièrement, en dictée, beaucoup d'élèves m'écrivent "mais" pour "mes" et inversement.
Pour le moment, je n'ai pas trouvé d'autre idée que celle de leur expliquer que "mes" est le déterminant possesssif et qu'il est suivi d'un nom, alors que "mais", en tant que conjonction de coordination, met en relation deux groupes opposés.
Auriez-vous une autre idée, géniale et infaillible, pour que les élèves comprennent ?
J'avoue que, lorsqu'en 4e, je dois encore expliquer cette différence, je me sens un peu démunie...
Quand je dicte "mais" à mes petits CE1 ou CE2, je les avertis avant : "Écoutez bien ce que je vais dire : Il était riche... mais il était malgré tout très malheureux !" et en disant ce "mais", je lève la main droite à hauteur du visage, tous les doigts repliés sauf l'index qui fait ce geste caractéristique qui accompagne la conjonction de coordination "mais" dans la conversation avec un petit enfant.
Et quand la phrase contient l'adjectif possessif "mes", mon index pointe mon thorax sur lequel il frappe à plusieurs reprises pendant que je dis "Je rangerai... mes... affaires dans mon casier."
Avec des petits, ça marche très bien. Subsiste le problème du verbe mettre au présent aux trois personnes du singulier... Qu'est-ce que j'ai comme "je mes", "tu mais", etc.
- ClarinetteGrand Maître
Sébastien Clerc a donc raison d'y mettre les doigts : il ne les met juste pas au bon endroit !
- La JabotteNeoprof expérimenté
La solution de DC vaut pour les moments de dictée si l'on veut aider les élèves. Mais le but en 4e serait quand-même qu'ils fassent la différence par eux-mêmes, avec l'aide de leurs mains s'ils le souhaitent, mais par eux-mêmes. C'est-à-dire en comprenant ce qu'ils sont en train d'écrire. Le problème, c'est qu'ils ne se posent pas de questions et que tout se vaut.
- ProvenceEnchanteur
Jaenelle a écrit:
J'avoue que, lorsqu'en 4e, je dois encore expliquer cette différence, je me sens un peu démunie...
Je suis d'accord avec La Jabotte: ce n'est pas qu'ils n'ont pas compris, c'est qu'ils s'en foutent. Sanctionne d'une façon ou d'une autre: ôte des points, donne la règle à copier plusieurs fois... Ça devrait les inciter à prendre garde de ne pas écrire n'importe quoi par paresse et négligence.
- DhaiphiGrand sage
Tu fais très bien les questions et les réponses. :lol:La Jabotte a écrit:Le problème, c'est qu'ils ne se posent pas de questions et que tout se vaut.
C'est de la paresse intellectuelle, rien d'autre, ils pourraient éviter l'erreur en analysant la phrase mais c'est trop pénible.
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De toutes les écoles que j’ai fréquentées, c’est l’école buissonnière qui m’a paru la meilleure.
[Anatole France]
J'aime les regretteurs d'hier qui voudraient changer le sens des rivières et retrouver dans la lumière la beauté d'Ava Gardner.
[Alain Souchon]
- jul'Érudit
pour "mes" je leur dis qu'on peut remplacer par "les miens", en théorie, ils comprennent, en pratique ils oublient tout le temps :lol:
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l'humour, c'est comme les essuie-glaces, ça n'arrête pas la pluie, mais ça permet d'avancer (J.L. Fournier)
- ysabelDevin
Franchement, en 4ème s'ils ne voient pas la différence entre les 2, c'est qu'ils s'en contrefichent !
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« vous qui entrez, laissez toute espérance ». Dante
« Il vaut mieux n’avoir rien promis que promettre sans accomplir » (L’Ecclésiaste)
- MarcorèleNiveau 7
S'ils confondent mes et mais (et pourquoi pas mets ou met) en 4ème, c'est désespérant. Ce doit être le cas avec tous les homonymes, non ?
- JaenelleHabitué du forum
Merci pour vos réponses : j'espérais une recette miracle , mais non (pour certains homonymes, j'ai trouvé des explications quasi-infaillibles, qui aident bien les élèves motivés). Bien entendu, cette différence a été expliquée, travaillée, j'enlève des points...
Je suis d'accord : ils s'en fichent, ne sont pas attentifs et confondent tous les homonymes !
Je suis d'accord : ils s'en fichent, ne sont pas attentifs et confondent tous les homonymes !
- tita89Niveau 5
pour " mais" je leur dis que c'est celui qu'ils utilisent sans cesse dans "oui,mais...." ou "non, mais........"pour se justifier de ne pas avoir appris leur leçon et que je leur réponds " ya pas de mais ..."
- CeladonDemi-dieu
Ils s'en moquent radicalement, c'est sûr.
Toutefois, je leur ferais remplacer systématiquement le "mais/mes" qu'ils entendent par "tes". Simple et efficace. Sauf à revoir toute la syntaxe si ça ne tilte toujours pas chez certains, mais là, c'est sans espoir...
Toutefois, je leur ferais remplacer systématiquement le "mais/mes" qu'ils entendent par "tes". Simple et efficace. Sauf à revoir toute la syntaxe si ça ne tilte toujours pas chez certains, mais là, c'est sans espoir...
- doublecasquetteEnchanteur
Je ne les défends pas mais, parfois, on est étonné des "blocages" qui existent chez certains élèves dont on a l'impression qu'ils se fichent carrément de notre pomme.
J'ai en Aide Perso une élève de CM1 qui a complètement floppé son contrôle de conjugaison sur le présent des verbes du 1° groupe qui ont une petite particularité et j'ai cru pendant trois séances qu'elle faisait preuve d'une paresse intellectuelle doublée de malignité et peut-être même d'un soupçon de provocation.
En effet, si j'ai réussi assez rapidement à obtenir des réponses conformes aux attentes des programmes sur les verbes en -cer, -ger, et ceux du type "appeler, jeter", j'avais l'impression de m'adresser à un mur hostile dès lors que j'essayais d'obtenir quelque chose de correct avec un verbe en "-yer".
Je lui ai fait relire la leçon des dizaines de fois, j'ai réexpliqué (du moins, j'ai cru), j'ai tempêté, j'ai secoué (pas physiquement, hein, même si l'envie m'en est venue, je l'avoue)... Rien à faire !
Et le jour où j'ai eu droit à un horrible "nous aboillons" après les corrects "j'aboie, tu aboies, il aboie", de colère, j'ai pris dans le placard un livre de lecture de CP et je lui ai fait relire intégralement la leçon consacrée à la lettre y en lui réexpliquant, comme je le fais avec les petits de six ans, l'histoire des "deux i" que nous avons tous apprise !
Et depuis, plus une erreur sur les verbes en -yer. J'étais donc allée chercher bien loin (et ma collègue qui l'a en classe aussi) ce qui pourtant était juste sous notre nez.
Je ne dis pas qu'il en est de même et qu'il faut systématiquement excuser des grands dadais de 4° lorsqu'ils répètent régulièrement les mêmes erreurs mais, parfois, trouver l'origine de la confusion permet de résoudre rapidement le problème.
J'ai en Aide Perso une élève de CM1 qui a complètement floppé son contrôle de conjugaison sur le présent des verbes du 1° groupe qui ont une petite particularité et j'ai cru pendant trois séances qu'elle faisait preuve d'une paresse intellectuelle doublée de malignité et peut-être même d'un soupçon de provocation.
En effet, si j'ai réussi assez rapidement à obtenir des réponses conformes aux attentes des programmes sur les verbes en -cer, -ger, et ceux du type "appeler, jeter", j'avais l'impression de m'adresser à un mur hostile dès lors que j'essayais d'obtenir quelque chose de correct avec un verbe en "-yer".
Je lui ai fait relire la leçon des dizaines de fois, j'ai réexpliqué (du moins, j'ai cru), j'ai tempêté, j'ai secoué (pas physiquement, hein, même si l'envie m'en est venue, je l'avoue)... Rien à faire !
Et le jour où j'ai eu droit à un horrible "nous aboillons" après les corrects "j'aboie, tu aboies, il aboie", de colère, j'ai pris dans le placard un livre de lecture de CP et je lui ai fait relire intégralement la leçon consacrée à la lettre y en lui réexpliquant, comme je le fais avec les petits de six ans, l'histoire des "deux i" que nous avons tous apprise !
Et depuis, plus une erreur sur les verbes en -yer. J'étais donc allée chercher bien loin (et ma collègue qui l'a en classe aussi) ce qui pourtant était juste sous notre nez.
Je ne dis pas qu'il en est de même et qu'il faut systématiquement excuser des grands dadais de 4° lorsqu'ils répètent régulièrement les mêmes erreurs mais, parfois, trouver l'origine de la confusion permet de résoudre rapidement le problème.
- ClarinetteGrand Maître
Je plussoie sur les résidus de CP mal appris qui embrument encore les esprits de certains élèves.
C'est pour cela que même si ça nous fait ch.... d'allonger nos journées, l'aide perso est une chance réelle pour désencroûter quelques cas apparemment désespérés, que l'on croyait perdus pour la cause scolaire... mais ce n'est pas le cas de tous, malheureusement...
C'est pour cela que même si ça nous fait ch.... d'allonger nos journées, l'aide perso est une chance réelle pour désencroûter quelques cas apparemment désespérés, que l'on croyait perdus pour la cause scolaire... mais ce n'est pas le cas de tous, malheureusement...
- LMVénérable
J'ai refait tous les trucs du genre "mais/mes", "sait/c'est/ses/ces..." en 4e. Avec dictée, contrôle et tout.
Certains ont eu une sorte de "déclic". Je ne sais pas ce qui clochait.
Pour les autres, je suis honnête, j'abdique. Déjà qu'ils font des fautes dans leur nom de famille, je pense vraiment qu'ils se foutent de tout. Point.
Certains ont eu une sorte de "déclic". Je ne sais pas ce qui clochait.
Pour les autres, je suis honnête, j'abdique. Déjà qu'ils font des fautes dans leur nom de famille, je pense vraiment qu'ils se foutent de tout. Point.
- doublecasquetteEnchanteur
LM a écrit:J'ai refait tous les trucs du genre "mais/mes", "sait/c'est/ses/ces..." en 4e. Avec dictée, contrôle et tout.
Certains ont eu une sorte de "déclic". Je ne sais pas ce qui clochait.
Pour les autres, je suis honnête, j'abdique. Déjà qu'ils font des fautes dans leur nom de famille, je pense vraiment qu'ils se foutent de tout. Point.
S'ils font des fautes y compris dans leur nom de famille, on peut très raisonnablement parier que le problème vient essentiellement du démarrage de l'apprentissage de l'écriture et de la lecture.
Ce sont sans doute des élèves pour lesquels le "tout se vaut orthographique" a été cultivé jusqu'à l'extrême, sans doute suite à un très long et très fumeux développement global qui a abouti sur un minimum vital alphabétique très, très étriqué. La quête du sens, poussée à son maximum, a accouché d'un non-sens complet dans leurs cerveaux embrouillés :colere: !
- ysabelDevin
doublecasquette a écrit:LM a écrit:J'ai refait tous les trucs du genre "mais/mes", "sait/c'est/ses/ces..." en 4e. Avec dictée, contrôle et tout.
Certains ont eu une sorte de "déclic". Je ne sais pas ce qui clochait.
Pour les autres, je suis honnête, j'abdique. Déjà qu'ils font des fautes dans leur nom de famille, je pense vraiment qu'ils se foutent de tout. Point.
S'ils font des fautes y compris dans leur nom de famille, on peut très raisonnablement parier que le problème vient essentiellement du démarrage de l'apprentissage de l'écriture et de la lecture.
Ce sont sans doute des élèves pour lesquels le "tout se vaut orthographique" a été cultivé jusqu'à l'extrême, sans doute suite à un très long et très fumeux développement global qui a abouti sur un minimum vital alphabétique très, très étriqué. La quête du sens, poussée à son maximum, a accouché d'un non-sens complet dans leurs cerveaux embrouillés :colere: !
un jour, mon fils revient de l'école avec une simili rédaction de qq lignes pleines de fautes d'orthographe. Je m'étonne et fiston de me dire : oh, la maîtresse elle a dit que c'était pas grave si on comprend !
il avait 8 ans...
mon fils en primaire a subi tout ce que tu dit DC ; j'ai dû reprendre le boulot avec la méthode Boscher et lui apprendre les lettres (et oui, en CE1 il n'avait pas encore vu les lettres...) et je me suis aperçue en CM2 qu'il ne savait pas la différence entre les consonnes et les voyelles... alors je pouvais lui expliquer la règle des S entre 2 voyelles. Dès que je lui ai fait la liste des voyelles, il n'a plus fait la faute.
Bref 5 ans de primaire et 5 ans de ce genre...
Et je rageais quand je voyais ce que faisait le fils d'un de mes cousins avec des "institutrices à l'ancienne" durant ces 5 ans...
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« vous qui entrez, laissez toute espérance ». Dante
« Il vaut mieux n’avoir rien promis que promettre sans accomplir » (L’Ecclésiaste)
- HermionyGuide spirituel
ysabel a écrit:Franchement, en 4ème s'ils ne voient pas la différence entre les 2, c'est qu'ils s'en contrefichent !
Ah mais, j'ai mieux : ceux qui en 3è ne font toujours pas la distinction entre "et/est" / "son / sont" / "à /a" et qui te sortent qu'ils n'y comprennent rien!
Résultat: ils ont eu une fiche à réviser en autonomie sur ces points (je n'ai pas le temps, en 3è de perdre du temps là-dessus), c'est contrôle mardi et points enlevés ensuite quel que soit le contrôle.
Ils ont la flemme de chercher le sens de ce qu'ils écrivent : ça me dépasse...
Je suis d'accord avec La Jabotte : beaucoup partent du principe que ça se dit pareil, alors pas grave si c'est pas la bonne orthographe "on comprend quand même"..Pour qu'ils disent ça aussi naturellement, m'est avis qu'il y a eu des choses de loupées au primaire...
- CeladonDemi-dieu
Réaction normale, s'ils ont eu dans le biberon le lait 'tousevaut"...
- retraitéeDoyen
doublecasquette a écrit:Je ne les défends pas mais, parfois, on est étonné des "blocages" qui existent chez certains élèves dont on a l'impression qu'ils se fichent carrément de notre pomme.
J'ai en Aide Perso une élève de CM1 qui a complètement floppé son contrôle de conjugaison sur le présent des verbes du 1° groupe qui ont une petite particularité et j'ai cru pendant trois séances qu'elle faisait preuve d'une paresse intellectuelle doublée de malignité et peut-être même d'un soupçon de provocation.
En effet, si j'ai réussi assez rapidement à obtenir des réponses conformes aux attentes des programmes sur les verbes en -cer, -ger, et ceux du type "appeler, jeter", j'avais l'impression de m'adresser à un mur hostile dès lors que j'essayais d'obtenir quelque chose de correct avec un verbe en "-yer".
Je lui ai fait relire la leçon des dizaines de fois, j'ai réexpliqué (du moins, j'ai cru), j'ai tempêté, j'ai secoué (pas physiquement, hein, même si l'envie m'en est venue, je l'avoue)... Rien à faire !
Et le jour où j'ai eu droit à un horrible "nous aboillons" après les corrects "j'aboie, tu aboies, il aboie", de colère, j'ai pris dans le placard un livre de lecture de CP et je lui ai fait relire intégralement la leçon consacrée à la lettre y en lui réexpliquant, comme je le fais avec les petits de six ans, l'histoire des "deux i" que nous avons tous apprise !
Et depuis, plus une erreur sur les verbes en -yer. J'étais donc allée chercher bien loin (et ma collègue qui l'a en classe aussi) ce qui pourtant était juste sous notre nez.
Je ne dis pas qu'il en est de même et qu'il faut systématiquement excuser des grands dadais de 4° lorsqu'ils répètent régulièrement les mêmes erreurs mais, parfois, trouver l'origine de la confusion permet de résoudre rapidement le problème.
Ainsi, le jour où j'ai compris que s'ils écrivaient parmi avec un -s, c'était par confusion avec "permis", et que le -s d'"hiver" venait de celui de "divers", et ainsi pour une foule d'erreurs.( Le -s de temps explique qu'ils écrivent champs avers même au singulier! )
- VudiciFidèle du forum
Parmi, je l'ai écrit longtemps avec un s, et ce n'était pas par attraction de permis, mais parce qu'il est suivi de choses au pluriel...
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Front de Libération des Lichens Injustement Massacrés
- La JabotteNeoprof expérimenté
Moi aussi, quand j'étais petite, j'avais toujours envie de l'écrire avec un -s, et ce n'était pas à cause de permis, ni des choses au pluriel. En fait, je n'ai jamais su pourquoi, mais peut-être à cause de hormis, autre mot invariable...
- ClarinetteGrand Maître
Moi, c'étaient les doubles consonnes illogiques, du genre chariot-charrette, ou rationaliser-rationner.
- doublecasquetteEnchanteur
La Jabotte a écrit:Moi aussi, quand j'étais petite, j'avais toujours envie de l'écrire avec un -s, et ce n'était pas à cause de permis, ni des choses au pluriel. En fait, je n'ai jamais su pourquoi, mais peut-être à cause de hormis, autre mot invariable...
Moi, c'est le contraire, je pense toujours me tromper quand j'écris "hormis", à cause de "parmi"...
Et sinon, quand j'étais petite, ma grand-mère m'avait raconté un truc pas possible, qui selon elle était LE moyen mnémotechnique imparable, au sujet de "carotte", de "chariot" et de "charrette" qui m'a valu la joie d'être en totale insécurité à chaque fois que j'ai à écrire un de ces trois mots encore aujourd'hui, même si j'ai totalement oublié sa méthode de choc !
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