- User5899Demi-dieu
+1Clarinette a écrit:Il y en a une pour indiquer cela aussi ! :lol:
- Thalia de GMédiateur
Je ne suis pas du même avis que toi. "C'est noté, mme ?". Si oui, on y fait, si non, y a pas de raison qu'on se casse la nénettePili a écrit:Je trouve que le sujet vaut la peine d'être débattu.
Je remarque que les notes, ce sont parfois les élèves eux-mêmes qui en demandent, on a tous entendu le "C'est noté mme ? "
J'ai l'impression qu'ils en ont besoin.
C'est d'ailleurs un problème en français avec les lectures cursives. J'ai entendu le discours d'un IPR disant que plus nous incitions les élèves à lire et plus ils auraient envie de lire... Tout le monde sait que s'il n'y a pas un contrôle à la clef, 9/10 ne liront pas. Suffit de voir la réaction de mes 3e quand je leur ai donné à lire un roman pour le 15 décembre. "Mme, vous exagérez, c'est le troisième de l'année !" (OI en cours comprise) Petites natures
_________________
Le printemps a le parfum poignant de la nostalgie, et l'été un goût de cendres.
Soleil noir de mes mélancolies.
- JaneMonarque
On vient d'attaquer le 4ème livre, là, y a évaluation aujourd'hui, et ils ne m'ont pas l'air plus traumatisés que ça
Bref, tout ça pour dire que je suis POUR la suppression des notes si elle entraîne la suppression des corrections. Et comme je sens là, d'un coup qu'on va me dire NOOOOOOOOOOOOOOOOON, faut mettre des gommettes et évaluer des compétences, ben là, tout de suite, ça me fait pas envie.
Bref, tout ça pour dire que je suis POUR la suppression des notes si elle entraîne la suppression des corrections. Et comme je sens là, d'un coup qu'on va me dire NOOOOOOOOOOOOOOOOON, faut mettre des gommettes et évaluer des compétences, ben là, tout de suite, ça me fait pas envie.
- ProvenceEnchanteur
Pili a écrit:Je trouve que le sujet vaut la peine d'être débattu.
Il a déjà été débattu, et plus d'une fois... Mais ne va pas croire que ce sujet a été ouvert pour débattre...
https://www.neoprofs.org/t39428-article-la-suppression-des-notes-gagne-du-terrain
- MalagaModérateur
En fait, le fait que ces profs de maths mettent ou non des notes est peu important dans ce reportage. Ils mettent des couleurs à chaque exercice (et ils savent que la couleur orange vaut 8/20) donc c'est exactement la même chose que noter chaque exercice!
En revanche, le travail qu'ils font ensuite, c'est-à-dire permettre à l'élève de retravailler sur ses points faibles, refaire un exercice raté, ça, ça me parait intéressant. Mais cela peut tout à faire se faire (et je suis sûre que c'est déjà le cas) dans des collèges où les affreux professeurs mettent des notes.
En revanche, le travail qu'ils font ensuite, c'est-à-dire permettre à l'élève de retravailler sur ses points faibles, refaire un exercice raté, ça, ça me parait intéressant. Mais cela peut tout à faire se faire (et je suis sûre que c'est déjà le cas) dans des collèges où les affreux professeurs mettent des notes.
- doctor whoDoyen
Les notes permettent certes de pousser certains élèves à bosser. Mais je me suis aperçu, lors d'une discussion avec mon groupe d'AP approfondissement, que bon nombre de bons élèves ne travaillent que pour la note. Des gamins qui pourraient étudier pour d'autres raisons sont eux-mêmes phagocytés par la course à la note.
Pour développer ce que disait Pk, je suis effectivement pour un nombre de notes réduit, non pas pour qu'elles "pèsent" davantage, mais pour qu'elles signifient davantage. Je les réserve à des devoirs de composition, complexe, mêlant plusieurs sortes de connaissances et de compétences(que je me garde bien de mettre dans un tableau, d'ailleurs). C'est la que la portée synthétique de la note est utile. Elle permet de peser les points négatifs et positifs d'un devoir, relevé et expliqué par ailleurs dans l'appréciation. A l'inverse, elle ne vaut qu'accompagnée d'une véritable appréciation. Ces temps-ci, je me tapes des demi-pages de rédaction pour le moindre devoir, histoire de vraiment montrer là où ça va et là où ça ne va pas.
Mais cela pose problème, effectivement, à cause du nombre d'élèves par classe.
Pour développer ce que disait Pk, je suis effectivement pour un nombre de notes réduit, non pas pour qu'elles "pèsent" davantage, mais pour qu'elles signifient davantage. Je les réserve à des devoirs de composition, complexe, mêlant plusieurs sortes de connaissances et de compétences(que je me garde bien de mettre dans un tableau, d'ailleurs). C'est la que la portée synthétique de la note est utile. Elle permet de peser les points négatifs et positifs d'un devoir, relevé et expliqué par ailleurs dans l'appréciation. A l'inverse, elle ne vaut qu'accompagnée d'une véritable appréciation. Ces temps-ci, je me tapes des demi-pages de rédaction pour le moindre devoir, histoire de vraiment montrer là où ça va et là où ça ne va pas.
Mais cela pose problème, effectivement, à cause du nombre d'élèves par classe.
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Mon blog sur Tintin (entre autres) : http://popanalyse.over-blog.com/
Blog pédagogique : http://pedagoj.eklablog.com
- ChocolatGuide spirituel
milasaintanne a écrit:Diffusé le 16/11/2011 sur TF1 :
http://videos.tf1.fr/jt-13h/dans-ce-college-on-ne-donne-pas-de-notes-aux-eleves-6822373.html
Allez-y, ouvrez le feu !
:succes:
Notes ou autre chose, je m'en contrefous, puique le principe est exactement le même.
Ce qui me dérange ici, c'est le fait de prétendre que l'unique voie qui permettrait aux élèves de progresser sans stress, en leur offrant la possibilité de rattraper un exercice/devoir raté serait celle d'un autre système de notation que celui chiffré - c'est intellectuellement malhonnête.
Je crois qu'il faut arrêter de prendre les élèves et leurs parents pour des demeurés, à un moment donné, car il n'y a pas d'un côté les méchants profs qui mettent des notes, et de préférence mauvaises, parce que cela leur fait plaisir, et de l'autre les gentils profs qui mettent des points parce qu'ils se soucient du bien être et de la réussite de leurs élèves !
Sinon, j'ai, entre aujourd'hui et demain, deux rattrapages de devoirs (sur la base du volontariat) avec mes élèves.
Je note de manière chiffrée à l'écrit et avec des points de couleur dont la somme se transforme en une note chiffrée à l'oral.
Cette organisation, je l'ai mise en place dès ma première année d'enseignement.
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- PalouNiveau 3
Je parle en tant qu'élève; mais si l'on supprimait les notes, ça motiverait peut être les mauvais et les flemmards, mais en tout cas, on perdrait les bons élèves. Perso, je bosse uniquement pour la note, et plusieurs amies aussi. Et passer de 16 à 20 de moyenne en français comme je le fais cette année, c'est quand même pas la même chose que passer de vert à vert. Ou de A à A. Pareil pour mon frérot, qui était passé de 4 à 6 en maths. Avec des couleurs, il serait passé de rouge à rouge ? Génial...
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"Le degré d'intelligence de cette entité qu'on appelle une foule est inversément proportionnel au nombre d'individus qui la composent."
Terry Pratchett
Vi Veri Veniversum Vivus Vici.
Faust
- Marie LaetitiaBon génie
Al a écrit:Si je voyais mes élèves tous les jours, pendant deux heures, en effectif raisonnable (pas plus de 20 élèves), et si je n'avais pas à m'occuper constamment de discipline, oui, j'abandonnerais les notes (et je ne les remplacerais pas par des gommettes, des compétences ou d'autres machins), puisque je serais en mesure de suivre, au jour le jour, les apprentissages de mes élèves, leur compréhension, leurs progrès, etc, bref d'être constamment sur leur dos.
Sauf que ce n'est pas le cas. 1h30 à 2h de physique-chimie par semaine en collège, en classe entière (parce que les groupes ça coûte trop cher), une dizaine de classes à charge, 25 à 30 élèves par classe...
Il est où le suivi là-dedans?
Alors j'ai besoin d'un temps pour évaluer et la note me sert de repère. C'est simple, c'est pratique, c'est clair pour tout le monde (tu as le point ou tu ne l'as pas, tu sais faire ou tu ne sais pas).
Ce qui est traumatisant pour l'élève, ce n'est pas la note, mais l'affectif associé à la note: "papa et maman ne seront pas contents si je rapporte une mauvaise note à la maison", "j'ai eu une mauvaise note donc je suis nul, donc je ne vaux rien, personne ne va m'aimer". Et mettre des gommettes vertes ou des Acquis/Non Acquis ne changera rien à ce problème.
Il faut préciser et repréciser la signification de la note tant que l'élève n'est pas capable de travailler pour lui (et non pour les autres): la note évalue les connaissances à un instant donné, et surtout pas la valeur de l'élève.
milasaintanne a écrit:Diffusé le 16/11/2011 sur TF1 :
http://videos.tf1.fr/jt-13h/dans-ce-college-on-ne-donne-pas-de-notes-aux-eleves-6822373.html
Allez-y, ouvrez le feu !
- "Mode ironique on":
- Moi ce sont toutes les formes d'évaluation par les enseignants que je trouve hyper rétrograde. Je ne comprends même pas comment tu peux défendre un truc aussi dépassé, Mila
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Si tu crois encore qu'il nous faut descendre dans le creux des rues pour monter au pouvoir, si tu crois encore au rêve du grand soir, et que nos ennemis, il faut aller les pendre... Aucun rêve, jamais, ne mérite une guerre. L'avenir dépend des révolutionnaires, mais se moque bien des petits révoltés. L'avenir ne veut ni feu ni sang ni guerre. Ne sois pas de ceux-là qui vont nous les donner (J. Brel, La Bastille)
Antigone, c'est la petite maigre qui est assise là-bas, et qui ne dit rien. Elle regarde droit devant elle. Elle pense. [...] Elle pense qu'elle va mourir, qu'elle est jeune et qu'elle aussi, elle aurait bien aimé vivre. Mais il n'y a rien à faire. Elle s'appelle Antigone et il va falloir qu'elle joue son rôle jusqu'au bout...
Et on ne dit pas "voir(e) même" mais "voire" ou "même".
- ChocolatGuide spirituel
Palou a écrit:Je parle en tant qu'élève; mais si l'on supprimait les notes, ça motiverait peut être les mauvais et les flemmards, mais en tout cas, on perdrait les bons élèves. Perso, je bosse uniquement pour la note, et plusieurs amies aussi. Et passer de 16 à 20 de moyenne en français comme je le fais cette année, c'est quand même pas la même chose que passer de vert à vert. Ou de A à A. Pareil pour mon frérot, qui était passé de 4 à 6 en maths. Avec des couleurs, il serait passé de rouge à rouge ? Génial...
Vouloir passer de 16 à 20, c'est super.
Bosser pour les notes, exclusivement, c'est moins... super, en revanche, car il s'agit d'une photographie de tes connaissances&compétences à un moment donné et dans des circonstances bien précises. Il faut apprendre à prendre un peu de distance afin de ne pas se laisser destabiliser par un accident éventuel.
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- SaraswatiNeoprof expérimenté
Ce que je ne comprends pas moi, c'est comment on peut lancer un sujet en disant "Allez-y, ouvrez le feu !" (très choquant) sans y participer !
C'est vraiment comme lancer une antilope vivante dans une arène de fauves pour voir le résultat.
Je refuse de participer au débat (de toute façon on s'est déjà tous exprimés là-dessus) parce que la personne qui l'a lancé a des motivations plus que douteuses et appelle à l'agressivité, et aussi parce que je ne suis pas un fauve.
Je sais gré à mes collègues d'avoir conservé leur mesure jusque maintenant, je vous souhaite de continuer le débat sur le même ton cordial.
C'est vraiment comme lancer une antilope vivante dans une arène de fauves pour voir le résultat.
Je refuse de participer au débat (de toute façon on s'est déjà tous exprimés là-dessus) parce que la personne qui l'a lancé a des motivations plus que douteuses et appelle à l'agressivité, et aussi parce que je ne suis pas un fauve.
Je sais gré à mes collègues d'avoir conservé leur mesure jusque maintenant, je vous souhaite de continuer le débat sur le même ton cordial.
- gelsomina31Grand Maître
Igniatius a écrit:(...)
Certains pourraient choisir d'évaluer la température grâce à un travail par compétences : cette température me fait-elle transpirer ? grelotter ? est-elle plus élevée qu'au printemps dernier dans le jardin de mamie ?
Le thermomètre est castrateur : il affirme parfois qu'il fait 25° alors que j'ai l'impression qu'il fait bcp plus chaud que l'été de la canicule. Il brise toute ma créativité, mon ressenti face au problème posé.
Ah ! Vive l'évaluation au doigt mouillé...
:lol:
pk a écrit: (...)
On peut tout faire avec un magic finger et plus encore.
:lol:
Merci pour ce fou-rire matinal! J'en ai bien besoin en ce moment!
- mimileDoyen
Chocolat a écrit:Palou a écrit:Je parle en tant qu'élève; mais si l'on supprimait les notes, ça motiverait peut être les mauvais et les flemmards, mais en tout cas, on perdrait les bons élèves. Perso, je bosse uniquement pour la note, et plusieurs amies aussi. Et passer de 16 à 20 de moyenne en français comme je le fais cette année, c'est quand même pas la même chose que passer de vert à vert. Ou de A à A. Pareil pour mon frérot, qui était passé de 4 à 6 en maths. Avec des couleurs, il serait passé de rouge à rouge ? Génial...
Vouloir passer de 16 à 20, c'est super.
Bosser pour les notes, exclusivement, c'est moins... super, en revanche, car il s'agit d'une photographie de tes connaissances&compétences à un moment donné et dans des circonstances bien précises. Il faut apprendre à prendre un peu de distance afin de ne pas se laisser destabiliser par un accident éventuel.
sur la progression chiffrée, les élèves me font rire parfois : "madame, j'ai progressé. au 1er trimestre j'avais 11,2 maintenant j'ai 11,6". très significatif...
- frecheGrand sage
Je suis complètement d'accord avec toi, l'auteur du post a vraiment un état d'esprit déplorable.Saraswati a écrit:Ce que je ne comprends pas moi, c'est comment on peut lancer un sujet en disant "Allez-y, ouvrez le feu !" (très choquant) sans y participer !
C'est vraiment comme lancer une antilope vivante dans une arène de fauves pour voir le résultat.
Je refuse de participer au débat (de toute façon on s'est déjà tous exprimés là-dessus) parce que la personne qui l'a lancé a des motivations plus que douteuses et appelle à l'agressivité, et aussi parce que je ne suis pas un fauve.
Je sais gré à mes collègues d'avoir conservé leur mesure jusque maintenant, je vous souhaite de continuer le débat sur le même ton cordial.
- IphigénieProphète
Et si on supprimait l'école, non? Vous voyez pas la somme de stress et de frustrations et de contraintes et de déceptions qu'elle engendre? (et de c***eries?)
- ChocolatGuide spirituel
Saraswati a écrit:Ce que je ne comprends pas moi, c'est comment on peut lancer un sujet en disant "Allez-y, ouvrez le feu !" (très choquant) sans y participer !
C'est vraiment comme lancer une antilope vivante dans une arène de fauves pour voir le résultat.
Je refuse de participer au débat (de toute façon on s'est déjà tous exprimés là-dessus) parce que la personne qui l'a lancé a des motivations plus que douteuses et appelle à l'agressivité, et aussi parce que je ne suis pas un fauve.
Je sais gré à mes collègues d'avoir conservé leur mesure jusque maintenant, je vous souhaite de continuer le débat sur le même ton cordial.
J'ai considéré que cela ne méritait pas d'être relevé.
Si je l'avais fait, je n'aurais même pas pris la peine de répondre...
Mila a pris l'habitude de se prendre pour une sorte de messie newage qui viendrait faire sa BA de temps en temps par ici, en lançant de petits bouts de sujets polémiques pour nous laisser en débattre tout seuls; mais comme elle est magnanime, elle reviendra dans quelques pages, lira tout puis nous dira qu'elle n'a pas eu le temps de lire car occupée à faire progresser ses élèves et repartira en nous balançant deux ou trois liens d'expérimentations "novatrices" tout en prenant la peine de rédiger une phrase bien pensante et bien culpabilisatrice à notre égard.
La routine, quoi...
_________________
- leyadeEsprit sacré
mimile a écrit:Igniatius a écrit:Provence a écrit:
Ça ne trompe personne. Une amie m'avait raconté que dans son établissement d'outre-mer qui pratiquait le système de classes de niveau, les gamins avaient vite compris qu'il valait mieux tomber dans la classe "ananas" que dans la classe "vigne vierge".
Ca me fait penser à un épisode de Desperate Housewives (ouais moi aussi j'ai des références modernes) où Gaby et Susan s'écharpent pour que leurs gosses fassent partie de la meilleure classe de l'école, qui ne pratique officiellement pas l'élitisme : il y a les "Girafes" et les "Zébus" (par exemple), et les mamans comprennent très vite que les Zébus ne sont pas les fûtés. Et elles font n'importe quoi afin que leur gamin intègrent le "bon" groupe.
Très drôle.
+1. les feux rouges tout ça, c'est de l'hypocrisie.
idem!
_________________
Maggi is my way, Melfor is my church and Picon is my soutien. Oui bon je sais pas dire soutien en anglais.
LSU AP ENT HDA PAI PAP PPMS PPRE ULIS TICE PAF
- leyadeEsprit sacré
Chocolat a écrit:Saraswati a écrit:Ce que je ne comprends pas moi, c'est comment on peut lancer un sujet en disant "Allez-y, ouvrez le feu !" (très choquant) sans y participer !
C'est vraiment comme lancer une antilope vivante dans une arène de fauves pour voir le résultat.
Je refuse de participer au débat (de toute façon on s'est déjà tous exprimés là-dessus) parce que la personne qui l'a lancé a des motivations plus que douteuses et appelle à l'agressivité, et aussi parce que je ne suis pas un fauve.
Je sais gré à mes collègues d'avoir conservé leur mesure jusque maintenant, je vous souhaite de continuer le débat sur le même ton cordial.
J'ai considéré que cela ne méritait pas d'être relevé.
Si je l'avais fait, je n'aurais même pas pris la peine de répondre...
Mila a pris l'habitude de se prendre pour une sorte de messie newage qui viendrait faire sa BA de temps en temps par ici, en lançant de petits bouts de sujets polémiques pour nous laisser en débattre tout seuls; mais comme elle est magnanime, elle reviendra dans quelques pages, lira tout puis nous dira qu'elle n'a pas eu le temps de lire car occupée à faire progresser ses élèves et repartira en nous balançant deux ou trois liens d'expérimentations "novatrices" tout en prenant la peine de rédiger une phrase bien pensante et bien culpabilisatrice à notre égard.
La routine, quoi...
:lol!:
Sinon,je propose un système réconciliant tout le monde : 20 couleurs de gommettes! :Lool:
_________________
Maggi is my way, Melfor is my church and Picon is my soutien. Oui bon je sais pas dire soutien en anglais.
LSU AP ENT HDA PAI PAP PPMS PPRE ULIS TICE PAF
- IphigénieProphète
:lol!: :lol!:
et on pourrait y ajouter des demi-gommettes ou des quarts de gommettes.....
et on pourrait y ajouter des demi-gommettes ou des quarts de gommettes.....
- Thalia de GMédiateur
:lol!: :lol!: :lol!:
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Le printemps a le parfum poignant de la nostalgie, et l'été un goût de cendres.
Soleil noir de mes mélancolies.
- IphigénieProphète
sur cette bonne tranche, je vais bosser, parce que c'est pas tout,ça: faut bouffer.
- grandesvacancesNeoprof expérimenté
leyade a écrit:
Sinon,je propose un système réconciliant tout le monde : 20 couleurs de gommettes! :Lool:
Eh bien mon grand âge m'a permis de connaître ce système très
Or des professeurs au mauvais esprit caractérisé reconstituèrent, en ayant recours à des appréciations ( TB+, TB, TB-, B+, B, etc...), une échelle de 0 à 20... qui restait d'ailleurs indispensable pour renseigner les livrets du bac.
Après, si les inconditionnels de l'usine à gaz veulent s'amuser... tout est permis ! :lol:
- ChocolatGuide spirituel
Mon instit nous distribuait des étoiles, des soleils et des lunes rouges, à l'école maternelle, ainsi que des images représentant des animaux, des fruits ou des fleurs.
Nous avions un petit carnet chacun dans lequel nos parents nous aidaient à coller ces récompenses.
C'était il y a... fufufu... longtemps, mais la PE de mon fiston faisait pareil, au CP (pour les images, parce que les étoiles, les soleils et les lunes, restent une exclu dont je parle avec beaucoup de fierté )
Sur ce, je m'en vais confectionner les récompenses que je destine à mes élèves puis j'écrirai un bouquin sur la question.
Ben quoi ?
Nous avions un petit carnet chacun dans lequel nos parents nous aidaient à coller ces récompenses.
C'était il y a... fufufu... longtemps, mais la PE de mon fiston faisait pareil, au CP (pour les images, parce que les étoiles, les soleils et les lunes, restent une exclu dont je parle avec beaucoup de fierté )
Sur ce, je m'en vais confectionner les récompenses que je destine à mes élèves puis j'écrirai un bouquin sur la question.
Ben quoi ?
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- IgniatiusGuide spirituel
Saraswati a écrit:Ce que je ne comprends pas moi, c'est comment on peut lancer un sujet en disant "Allez-y, ouvrez le feu !" (très choquant) sans y participer !
C'est vraiment comme lancer une antilope vivante dans une arène de fauves pour voir le résultat.
Je refuse de participer au débat (de toute façon on s'est déjà tous exprimés là-dessus) parce que la personne qui l'a lancé a des motivations plus que douteuses et appelle à l'agressivité, et aussi parce que je ne suis pas un fauve.
Je sais gré à mes collègues d'avoir conservé leur mesure jusque maintenant, je vous souhaite de continuer le débat sur le même ton cordial.
Ce n'est pas si surprenant, on n'a quand même pas à faire avec Claude Hagège : ça ne vole pas très haut.
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"Celui qui se perd dans sa passion est moins perdu que celui qui perd sa passion."
St Augustin
"God only knows what I'd be without you"
Brian Wilson
- Presse-puréeGrand sage
@ Mila: Salut, j'aurai aimé avoir ta réaction, si tu en as le temps, à ce vieux post.
Re: [article] "La suppression des notes gagne du terrain "
Message par Presse-purée le Dim 6 Nov - 15:30
Salutations,
je m'incruste dans ce débat, qui a longuement dérivé, pour parler plus avant de la notion de compétences.
Personnellement, je travaille sur cette notion depuis maintenant 5 ans, seul dans mon coin. J'ai tenté l'enseignement par compétences, qui fonctionne pas mal pour l'acquisition de procédures, mais que je trouve catastrophique pour ce qui est du fait culturel et de l'information (je me doute que ces termes manquent de précision, mais bon, j'ai bossé seul dans mon coin). Je n'ai pas spécialement noté d'amélioration en terme de motivation dans mes matières.
Passer par l'enseignement par compétences en français est satisfaisant si on travaille uniquement en projets d'écriture, mais ces projets s'étendent considérablement en temps du fait du manque de maîtrise de la langue chez nos élèves. Du coup, en travaillant ainsi, les élèves se lassent rès vite, se démotivent et ... c'est le bordel.
Pour ce qui est de la culture littéraire, la compétence "situer les auteurs chronologiquement" me paraît absconse même à moi, puisque ce qui importe, ce n'est pas l'utilisation d'une frise chronologique, mais la connaissance du contexte historique de l’œuvre (voir le bouquin de Todorov, La littérature en péril). Or, dans ce cadre, laisser les élèves chercher seuls l'info (sur internet par exemple) même en encadrant est désastreux, et cela m'a peu à peu fait revenir à un enseignement dit "traditionnel", basé sur le récit.
Qui plus est, et comme le dit Todorov dans le livre déjà cité, l'enseignement de la littérature a une certaine dimension morale, que je pourrais placer dans le socle (les fameux piliers 6 et 7), ce que je me refuse à faire car je ne suis pas un directeur de conscience (sur l'aspect moral de la littérature, lire cet article de la revue Sciences Humaines)
Ensuite, lorsque, en tant que professeur de Lettres Classiques, Langues Anciennes ou Langues et Cultures de l'Antiquité (les dénominations changent vite en ce moment), je ne peux que m'étrangler lorsque je lis cela:
J’ai lu récemment dans un journal mutualiste un article où il était question des langues anciennes. Il était fait état de l’étonnement de professeurs de latin de ne pas voir le latin mentionné dans le socle commun. C’est cet étonnement qui étonne. Certes, le latin est une
chose précieuse, qu’il faut sans doute défendre et promouvoir, mais il ne peut être considéré comme devant faire partie du « bagage minimal » de tout français sortant de la scolarité obligatoire, sinon, cela signifie pour le moins qu’il faut le rendre obligatoire pour tous les élèves ! Confusion ici entre l’idée de socle, de culture commune et le fait que tel ou tel enseignement soit important. En l’occurrence, la partie du socle sur la culture humaniste insiste bien sur l’importance de faire acquérir des références à une culture antique qui est fondatrice, mais cela n’a rien à voir avec l’enseignement du latin…
(J.-M. Zakhartchouk)
Sachant que le discours actuels des IPR est le suivant: "Si, en tant que professeur de latin, vous n'arrivez pas à vous intégrer dans le socle, attendez-vous à voir vos heures sauter dans quelques années"...
Bref...
Mon impression globale est que le fait de travailler par compétences est calibré pour l'enseignement scientifique et que les sciences humaines (et notamment la littérature et les langues culturelles) peuvent aller se faire voir.
Après, lorsque je m'intéresse à l'esprit qui a guidé ces réformes, telles que les choses sont décrites dans un livre comme La nouvelle école capitaliste ou dans les travaux de Nico Hirtt (par exemple LA ou LA), j'ai carrément des suées et, il faut le dire, en tant que père de deux enfants en bas-âge, des bouffées d'agressivité.
J'aimerais donc savoir ce que pense Mila, si elle souhaite me répondre, du point que je développe au sujet des compétences (adaptées pour les procédures et l'enseignement scientifique, inadaptées pour ce qui est des sciences humaines et du fait culturel).
J'aimerais aussi ce qu'elle pense des critiques de l'idéologie qui sous-tend l'enseignement par compétences développées par des gens comme Nico Hirtt et Christian Laval, qui expliquent, grosso modo, que les militants de la nouvelle école se sont fait entubés par les décisionnaires et les milieux économiques. Ce qui induit peut-être mon malaise par rapport à mon enseignement de savoirs qui ne sont pas valorisables économiquement parlant (encore que...)
Plus précisément encore , et, si possible, j'aimerais avoir l'avis de Mila ou de Guillaume Caron sur une autre critique de Nico Hirtt, qui explique que certains voient dans l'enseignement par compétences un aboutissement des théories constructivistes de l'apprentissage alors qu'en fait ce n'est pas le cas:
Le premier danger inhérent à l’approche par les compétences est le glissement de centre de gravité qu’elle induit, des savoirs vers les savoir-exécuter. Dans la pédagogie de l’approche par les compétences, la mise au travail des élèves sur des chantiers de problèmes n’est pas conçue comme une méthode (parmi d’autres) donnant sens au savoir, permettant leur construction par ou avec les élèves, resituant ces savoirs dans leur historicité et permettant ainsi leur compréhension profonde. Ici, la méthodologie devient un objectif en soi. Le but ultime n’est pas de savoir, mais de savoir faire. Ceci distingue fondamentalement l’approche par les compétences de tout l’héritage des pédagogies constructivistes qui vont de Vigotsky, en passant par Freinet, jusqu’aux pédagogues progressistes des années 70 (tels ceux du GFEN en France). Là, le recours à la pratique est mis au service de l’acquisition de connaissances et, surtout, de l’accès à leur compréhension. Dans l’approche par les compétences, on opère un retournement complet : ce sont les savoirs qui sont désormais mis au service de la démarche méthodologique. Perrenoud : « Les compétences ne tournent pas le dos aux savoirs, puisqu’elles ne peuvent s’en passer, mais il faut en revanche accepter d’enseigner moins de connaissances si l’on veut réellement développer des compétences » [PERRENOUD 1999].
(Nico Hirtt, tiré d'un des articles précités)
C'était le (long) message d'un professeur qui a tenté de bosser par compétences et qui n'a pas aimé, qui s'interroge sur leur logique et qui n'appartient à aucune école pédagogique précise... (je contribue à Néoprofs tout comme je lis les Cahiers Pédas, les bouquins de M. Zakhartchouk ou ceux de M. Brighelli)
Re: [article] "La suppression des notes gagne du terrain "
Message par Presse-purée le Dim 6 Nov - 15:30
Salutations,
je m'incruste dans ce débat, qui a longuement dérivé, pour parler plus avant de la notion de compétences.
Personnellement, je travaille sur cette notion depuis maintenant 5 ans, seul dans mon coin. J'ai tenté l'enseignement par compétences, qui fonctionne pas mal pour l'acquisition de procédures, mais que je trouve catastrophique pour ce qui est du fait culturel et de l'information (je me doute que ces termes manquent de précision, mais bon, j'ai bossé seul dans mon coin). Je n'ai pas spécialement noté d'amélioration en terme de motivation dans mes matières.
Passer par l'enseignement par compétences en français est satisfaisant si on travaille uniquement en projets d'écriture, mais ces projets s'étendent considérablement en temps du fait du manque de maîtrise de la langue chez nos élèves. Du coup, en travaillant ainsi, les élèves se lassent rès vite, se démotivent et ... c'est le bordel.
Pour ce qui est de la culture littéraire, la compétence "situer les auteurs chronologiquement" me paraît absconse même à moi, puisque ce qui importe, ce n'est pas l'utilisation d'une frise chronologique, mais la connaissance du contexte historique de l’œuvre (voir le bouquin de Todorov, La littérature en péril). Or, dans ce cadre, laisser les élèves chercher seuls l'info (sur internet par exemple) même en encadrant est désastreux, et cela m'a peu à peu fait revenir à un enseignement dit "traditionnel", basé sur le récit.
Qui plus est, et comme le dit Todorov dans le livre déjà cité, l'enseignement de la littérature a une certaine dimension morale, que je pourrais placer dans le socle (les fameux piliers 6 et 7), ce que je me refuse à faire car je ne suis pas un directeur de conscience (sur l'aspect moral de la littérature, lire cet article de la revue Sciences Humaines)
Ensuite, lorsque, en tant que professeur de Lettres Classiques, Langues Anciennes ou Langues et Cultures de l'Antiquité (les dénominations changent vite en ce moment), je ne peux que m'étrangler lorsque je lis cela:
J’ai lu récemment dans un journal mutualiste un article où il était question des langues anciennes. Il était fait état de l’étonnement de professeurs de latin de ne pas voir le latin mentionné dans le socle commun. C’est cet étonnement qui étonne. Certes, le latin est une
chose précieuse, qu’il faut sans doute défendre et promouvoir, mais il ne peut être considéré comme devant faire partie du « bagage minimal » de tout français sortant de la scolarité obligatoire, sinon, cela signifie pour le moins qu’il faut le rendre obligatoire pour tous les élèves ! Confusion ici entre l’idée de socle, de culture commune et le fait que tel ou tel enseignement soit important. En l’occurrence, la partie du socle sur la culture humaniste insiste bien sur l’importance de faire acquérir des références à une culture antique qui est fondatrice, mais cela n’a rien à voir avec l’enseignement du latin…
(J.-M. Zakhartchouk)
Sachant que le discours actuels des IPR est le suivant: "Si, en tant que professeur de latin, vous n'arrivez pas à vous intégrer dans le socle, attendez-vous à voir vos heures sauter dans quelques années"...
Bref...
Mon impression globale est que le fait de travailler par compétences est calibré pour l'enseignement scientifique et que les sciences humaines (et notamment la littérature et les langues culturelles) peuvent aller se faire voir.
Après, lorsque je m'intéresse à l'esprit qui a guidé ces réformes, telles que les choses sont décrites dans un livre comme La nouvelle école capitaliste ou dans les travaux de Nico Hirtt (par exemple LA ou LA), j'ai carrément des suées et, il faut le dire, en tant que père de deux enfants en bas-âge, des bouffées d'agressivité.
J'aimerais donc savoir ce que pense Mila, si elle souhaite me répondre, du point que je développe au sujet des compétences (adaptées pour les procédures et l'enseignement scientifique, inadaptées pour ce qui est des sciences humaines et du fait culturel).
J'aimerais aussi ce qu'elle pense des critiques de l'idéologie qui sous-tend l'enseignement par compétences développées par des gens comme Nico Hirtt et Christian Laval, qui expliquent, grosso modo, que les militants de la nouvelle école se sont fait entubés par les décisionnaires et les milieux économiques. Ce qui induit peut-être mon malaise par rapport à mon enseignement de savoirs qui ne sont pas valorisables économiquement parlant (encore que...)
Plus précisément encore , et, si possible, j'aimerais avoir l'avis de Mila ou de Guillaume Caron sur une autre critique de Nico Hirtt, qui explique que certains voient dans l'enseignement par compétences un aboutissement des théories constructivistes de l'apprentissage alors qu'en fait ce n'est pas le cas:
Le premier danger inhérent à l’approche par les compétences est le glissement de centre de gravité qu’elle induit, des savoirs vers les savoir-exécuter. Dans la pédagogie de l’approche par les compétences, la mise au travail des élèves sur des chantiers de problèmes n’est pas conçue comme une méthode (parmi d’autres) donnant sens au savoir, permettant leur construction par ou avec les élèves, resituant ces savoirs dans leur historicité et permettant ainsi leur compréhension profonde. Ici, la méthodologie devient un objectif en soi. Le but ultime n’est pas de savoir, mais de savoir faire. Ceci distingue fondamentalement l’approche par les compétences de tout l’héritage des pédagogies constructivistes qui vont de Vigotsky, en passant par Freinet, jusqu’aux pédagogues progressistes des années 70 (tels ceux du GFEN en France). Là, le recours à la pratique est mis au service de l’acquisition de connaissances et, surtout, de l’accès à leur compréhension. Dans l’approche par les compétences, on opère un retournement complet : ce sont les savoirs qui sont désormais mis au service de la démarche méthodologique. Perrenoud : « Les compétences ne tournent pas le dos aux savoirs, puisqu’elles ne peuvent s’en passer, mais il faut en revanche accepter d’enseigner moins de connaissances si l’on veut réellement développer des compétences » [PERRENOUD 1999].
(Nico Hirtt, tiré d'un des articles précités)
C'était le (long) message d'un professeur qui a tenté de bosser par compétences et qui n'a pas aimé, qui s'interroge sur leur logique et qui n'appartient à aucune école pédagogique précise... (je contribue à Néoprofs tout comme je lis les Cahiers Pédas, les bouquins de M. Zakhartchouk ou ceux de M. Brighelli)
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Homines, dum docent, discunt.Sénèque, Epistulae Morales ad Lucilium VII, 8
"La culture est aussi une question de fierté, de rapport de soi à soi, d’esthétique, si l’on veut, en un mot de constitution du sujet humain." (Paul Veyne, La société romaine)
"Soyez résolus de ne servir plus, et vous voilà libres". La Boétie
"Confondre la culture et son appropriation inégalitaire du fait des conditions sociales : quelle erreur !" H. Pena-Ruiz
"Il vaut mieux qu'un élève sache tenir un balai plutôt qu'il ait été initié à la philosophie: c'est ça le socle commun" un IPR
- HermionyGuide spirituel
Pili a écrit:Je trouve que le sujet vaut la peine d'être débattu.
Je remarque que les notes, ce sont parfois les élèves eux-mêmes qui en demandent, on a tous entendu le "C'est noté mme ? "
J'ai l'impression qu'ils en ont besoin .
Et de toute façon, l'idée qu'il faut supprimer les notes parce qu'elles traumatisent (c'est pas vrai, mes élèves ne sont pas traumatisés par leurs notes, y en a même qui font des concours de sales notes) et qu'il faut les remplacer par un système plus "doux" (mais comme dit plus haut, avec des couleurs aussi on met les élèves en compétition), c'est ne pas voir la réalité : quand ces gamins auront un emploi, ils seront mis en concurrence, on leur mettra sous le nez des chiffres, pour certains, représentant leur travail...
La compétition elle existe à tous les niveaux.
Et quand je mets une mauvais note, je n'écris pas "tu es nul, tu ne vaux rien", mais "tu n'as pas assez appris, ton travail n'est pas sérieux". Il y a l'appréciation aussi, mais ça ceux qui veulent supprimer les notes n'en parlent pas...
Et puis zut : plus de notes pour les élèves, plus de notes pour nous. Je veux que mon CDE et mon inspecteur me notent avec des couleurs! Non mais!
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