Page 1 sur 2 • 1, 2
- EdlihtmaNiveau 6
J'ai élaboré un projet de séquence autour des Fables de La Fontaine pour ma classe de 1ère L.
Je pense axer mon étude autour des livres VII à XII. Nous étudierons les livres VII à IX en classe, et les élèves auront à lire en cursive les livres X à XII.
Je ne propose pas d'autres lectures cursives car je souhaite aller vite (je suis en retard sur mes prévisions).
Que pensez-vous de la problématique de ma séquence et des lectures analytiques choisies, ainsi que des documents complémentaires proposés ? J'ai besoin de vos lumières car je galère un peu.
Séquence 3 : La justice sociale dans Les Fables de Jean de La Fontaine
Livres VII à XII (1668-1693)
SCHEMA DE LA SEQUENCE :
Problématiques générales : Comment la fable permet-elle de porter un regard critique sur la société du XVIIe siècle ? Quels dysfonctionnements politiques et sociaux sont mis à jour par le fabuliste ?
Objet d’étude : La question de l’homme dans les genres de l’argumentation du XVIe siècle à nos jours.
Perspective d’étude :
Histoire littéraire et culturelle.
L’argumentation indirecte.
Lectures analytiques :
« Les Animaux malades de la peste », VII, 1.
« La Cour du Lion », Livre VII, 6.
« Les Obsèques de la Lionne », VIII, 14.
« L'Huître et les Plaideurs », IX, 9.
Réécritures autour des Fables :
La Fontaine réécrivant Esope :
- Esope, « Du serpent conduit par sa queue », Fables.
- La Fontaine, « La Tête et la Queue du Serpent », VII, 17.
La Fontaine réécrivant La Fontaine :
- La Fontaine, « La Laitière et le Pot au lait », VII, 10.
- La Fontaine, « Le Curé et le Mort », VII, 11.
Anouilh et Queneau réécrivant La Fontaine :
- La Fontaine, « La cigale et la fourmi », I, 1.
- Queneau, « La cimaise et la fraction », Oulipo, La littérature potentielle, 1973.
- La Fontaine, « Le Chêne et le Roseau », I, 22.
- Anouilh, « Le Chêne et le Roseau », Fables, 1946.
Lectures d’image :
Illustrations de la fable « Le Curé et le Mort » par J.-B. Oudry, par G. Doré et par J.-J. Grandville.
Lecture cursive obligatoire :
Livres X à XII des Fables.
Merci d'avance !
Je pense axer mon étude autour des livres VII à XII. Nous étudierons les livres VII à IX en classe, et les élèves auront à lire en cursive les livres X à XII.
Je ne propose pas d'autres lectures cursives car je souhaite aller vite (je suis en retard sur mes prévisions).
Que pensez-vous de la problématique de ma séquence et des lectures analytiques choisies, ainsi que des documents complémentaires proposés ? J'ai besoin de vos lumières car je galère un peu.
Séquence 3 : La justice sociale dans Les Fables de Jean de La Fontaine
Livres VII à XII (1668-1693)
SCHEMA DE LA SEQUENCE :
Problématiques générales : Comment la fable permet-elle de porter un regard critique sur la société du XVIIe siècle ? Quels dysfonctionnements politiques et sociaux sont mis à jour par le fabuliste ?
Objet d’étude : La question de l’homme dans les genres de l’argumentation du XVIe siècle à nos jours.
Perspective d’étude :
Histoire littéraire et culturelle.
L’argumentation indirecte.
Lectures analytiques :
« Les Animaux malades de la peste », VII, 1.
« La Cour du Lion », Livre VII, 6.
« Les Obsèques de la Lionne », VIII, 14.
« L'Huître et les Plaideurs », IX, 9.
Réécritures autour des Fables :
La Fontaine réécrivant Esope :
- Esope, « Du serpent conduit par sa queue », Fables.
- La Fontaine, « La Tête et la Queue du Serpent », VII, 17.
La Fontaine réécrivant La Fontaine :
- La Fontaine, « La Laitière et le Pot au lait », VII, 10.
- La Fontaine, « Le Curé et le Mort », VII, 11.
Anouilh et Queneau réécrivant La Fontaine :
- La Fontaine, « La cigale et la fourmi », I, 1.
- Queneau, « La cimaise et la fraction », Oulipo, La littérature potentielle, 1973.
- La Fontaine, « Le Chêne et le Roseau », I, 22.
- Anouilh, « Le Chêne et le Roseau », Fables, 1946.
Lectures d’image :
Illustrations de la fable « Le Curé et le Mort » par J.-B. Oudry, par G. Doré et par J.-J. Grandville.
Lecture cursive obligatoire :
Livres X à XII des Fables.
Merci d'avance !
- cristalExpert spécialisé
J'ai regardé ton document avec attention, mais je n'ai pas de lycée.
Désolée.
Désolée.
- NLM76Grand Maître
Chère collègue,
j'ai toujours un peu de mal quand je vois La Fontaine tiré du côté de la dénonciation des vices de la société, et surtout quand on précise "du XVIIe". Bien sûr, ce n'est pas faux. Mais au total, on en fait un truc qui dit "Ouh qu'ils étaient nuls au 17e ! Tandis qu'aujourd'hui que nous sommes modernes..." A quoi bon lire des fables qui ne peuvent toucher notre humanité d'aujourd'hui ?
Et puis "Les animaux malades de la peste", c'est tellement incroyable... Ce n'est pas seulement "Selon que vous serez...", c'est aussi "Plus d'amour, partant plus de joie"
Pourquoi ne pas se demander pourquoi La Fontaine est un si grand poète, et qu'il nous touche encore tant au XXIe siècle ?
)
j'ai toujours un peu de mal quand je vois La Fontaine tiré du côté de la dénonciation des vices de la société, et surtout quand on précise "du XVIIe". Bien sûr, ce n'est pas faux. Mais au total, on en fait un truc qui dit "Ouh qu'ils étaient nuls au 17e ! Tandis qu'aujourd'hui que nous sommes modernes..." A quoi bon lire des fables qui ne peuvent toucher notre humanité d'aujourd'hui ?
Et puis "Les animaux malades de la peste", c'est tellement incroyable... Ce n'est pas seulement "Selon que vous serez...", c'est aussi "Plus d'amour, partant plus de joie"
Pourquoi ne pas se demander pourquoi La Fontaine est un si grand poète, et qu'il nous touche encore tant au XXIe siècle ?
)
_________________
Sites du grip :
- http://instruire.fr
- http://grip-editions.fr
Mon site : www.lettresclassiques.fr
«Boas ne renonça jamais à la question-clé : quelle est, du point de vue de l'information, la différence entre les procédés grammaticaux observés ? Il n'entendait pas accepter une théorie non sémantique de la structure grammaticale et toute allusion défaitiste à la prétendue obscurité de la notion de sens lui paraissait elle-même obscure et dépourvue de sens.» [Roman Jakobson, Essais de linguistique générale, "La notion de signification grammaticale selon Boas" (1959)]
- EdlihtmaNiveau 6
Je suis d'accord avec toi mais il faut bien une problématique pour que l'examinateur sache sous quel angle d'approche nous avons abordé les textes en classe.
Effectivement c'est réducteur, mais le côté universel des Fables nous en parlerons en classe, et tout grand texte nous touche encore aujourd'hui ! Je n'oublie jamais cela que je mène une analyse avec mes élèves.
Je voulais juste savoir si la séquence tenait la route ainsi, ou si je devais revoir le choix de mes textes. Je n'ai qu'un an d'expérience et ce n'est pas évident tous les jours !
Effectivement c'est réducteur, mais le côté universel des Fables nous en parlerons en classe, et tout grand texte nous touche encore aujourd'hui ! Je n'oublie jamais cela que je mène une analyse avec mes élèves.
Je voulais juste savoir si la séquence tenait la route ainsi, ou si je devais revoir le choix de mes textes. Je n'ai qu'un an d'expérience et ce n'est pas évident tous les jours !
- ysabelDevin
ma séquence (enfin toute petite la mienne), je ne me suis pas cassée la tête : la société dans les Fables de La Fontaine... épicétou
Et puis on se doute bien que ce n'est pas de celle du XVI ou du XX qu'il décrit... et effectivement je ne me prive pas de faire des parallèles avec notre douce époque !
Et puis on se doute bien que ce n'est pas de celle du XVI ou du XX qu'il décrit... et effectivement je ne me prive pas de faire des parallèles avec notre douce époque !
_________________
« vous qui entrez, laissez toute espérance ». Dante
« Il vaut mieux n’avoir rien promis que promettre sans accomplir » (L’Ecclésiaste)
- ysabelDevin
oh qq fables en fait, c'est une sq qui fait 6 heures avec mes STG. J'utilise celle dans le Magnard 1ère et une seule LA : Les Animau malades de la peste.
ma vraie sq sur l'argu, ce sera avec Voltaire et un GT plus conséquent
ma vraie sq sur l'argu, ce sera avec Voltaire et un GT plus conséquent
_________________
« vous qui entrez, laissez toute espérance ». Dante
« Il vaut mieux n’avoir rien promis que promettre sans accomplir » (L’Ecclésiaste)
- EdlihtmaNiveau 6
D'accord, ils se contenteront des fables étudiées en classe ? Tu ne leur fais pas lire l’œuvre ?
- AzadHabitué du forum
Pas de réel conseil, juste une remarque : il faudra voir à ce que les collègues ne fassent pas LF avec des secondes (le programme s'y prête) : c'est pour t'éviter de tout préparer...
- ysabelDevin
Edlihtma a écrit:D'accord, ils se contenteront des fables étudiées en classe ? Tu ne leur fais pas lire l’œuvre ?
A mes élèves !? (où se trouve le smiley qui se roule par terre ?)
en cursive je leur ai fait lire une petite anthologie de fable et ils ont eu des questions dessus:
pour te donner une idée de leur niveau : alors qu'ils travaillaient sur "La cour du lion", un élève me demande pourquoi on étudiait des textes où il y avait plein de mots qui n'existaient plus
_________________
« vous qui entrez, laissez toute espérance ». Dante
« Il vaut mieux n’avoir rien promis que promettre sans accomplir » (L’Ecclésiaste)
- doctor whoDoyen
Edlihtma a écrit:Je suis d'accord avec toi mais il faut bien une problématique pour que l'examinateur sache sous quel angle d'approche nous avons abordé les textes en classe.
Là, à la fois tu me fais peur, parce que des angles d'approche, je n'en ai pas qu'un et je n'en fais pas la colonne vertébrale de mon cours, et tu me fais m'interroger sur le niveau que tu supposes aux examinateurs. J'ai fait passer deux fois les oraux, je ne suis pas un cake dans bien des domaines de la littérature, mais je n'ai jamais eu de problème à trouver quoi demander aux élèves.
_________________
Mon blog sur Tintin (entre autres) : http://popanalyse.over-blog.com/
Blog pédagogique : http://pedagoj.eklablog.com
- CelebornEsprit sacré
J'enlèverais "du XVIIe siècle" dans la problématique : je trouve ça bien trop restrictif.
_________________
"On va bien lentement dans ton pays ! Ici, vois-tu, on est obligé de courir tant qu'on peut pour rester au même endroit. Si on veut aller ailleurs, il faut courir au moins deux fois plus vite que ça !" (Lewis Carroll)
Mon Blog
- EdlihtmaNiveau 6
doctor who a écrit:Edlihtma a écrit:Je suis d'accord avec toi mais il faut bien une problématique pour que l'examinateur sache sous quel angle d'approche nous avons abordé les textes en classe.
Là, à la fois tu me fais peur, parce que des angles d'approche, je n'en ai pas qu'un et je n'en fais pas la colonne vertébrale de mon cours, et tu me fais m'interroger sur le niveau que tu supposes aux examinateurs. J'ai fait passer deux fois les oraux, je ne suis pas un cake dans bien des domaines de la littérature, mais je n'ai jamais eu de problème à trouver quoi demander aux élèves.
Oui,enfin il ne s'agit pas non plus d'étudier de façon exhaustive chaque texte. J'ai moi aussi plusieurs angles d'approches par texte et par séquence.
Je pense surtout à des œuvres contemporaines que certains professeurs étudient avec leurs élèves et que les examinateurs n'ont pas forcément lues, la problématique me paraît là indispensable. Sans elle, on risque de piéger ses propres élèves. Je ne préjuge pas de la qualité des examinateurs qui font passer les élèves !
- EdlihtmaNiveau 6
ysabel a écrit:Edlihtma a écrit:D'accord, ils se contenteront des fables étudiées en classe ? Tu ne leur fais pas lire l’œuvre ?
A mes élèves !? (où se trouve le smiley qui se roule par terre ?)
en cursive je leur ai fait lire une petite anthologie de fable et ils ont eu des questions dessus:
pour te donner une idée de leur niveau : alors qu'ils travaillaient sur "La cour du lion", un élève me demande pourquoi on étudiait des textes où il y avait plein de mots qui n'existaient plus
Je ne suis pas étonnée par cette remarque de tes élèves. En 2nde ils m'ont dit que Molière n'écrivait pas français !
- NLM76Grand Maître
En tout cas, à l'oral du bac, je ne m'occupe jamais du baratin autour du texte ; j'interroge sur le texte.
Quant aux oeuvres contemporaines que les examinateurs n'ont pas forcément lues, en tout cas celles que je n'ai pas lues, je n'interroge pas dessus et puis c'est tout : je ne vais pas évaluer un élève sur quelque chose que je ne connais pas moi-même.
Pour en revenir aux fables : comme examinateur, si le texte présenté est long (comme les 63 vers des Animaux malades de la peste), il m'arrive (très "légalement") d'interroger sur une partie de ce texte.
Quant aux oeuvres contemporaines que les examinateurs n'ont pas forcément lues, en tout cas celles que je n'ai pas lues, je n'interroge pas dessus et puis c'est tout : je ne vais pas évaluer un élève sur quelque chose que je ne connais pas moi-même.
Pour en revenir aux fables : comme examinateur, si le texte présenté est long (comme les 63 vers des Animaux malades de la peste), il m'arrive (très "légalement") d'interroger sur une partie de ce texte.
_________________
Sites du grip :
- http://instruire.fr
- http://grip-editions.fr
Mon site : www.lettresclassiques.fr
«Boas ne renonça jamais à la question-clé : quelle est, du point de vue de l'information, la différence entre les procédés grammaticaux observés ? Il n'entendait pas accepter une théorie non sémantique de la structure grammaticale et toute allusion défaitiste à la prétendue obscurité de la notion de sens lui paraissait elle-même obscure et dépourvue de sens.» [Roman Jakobson, Essais de linguistique générale, "La notion de signification grammaticale selon Boas" (1959)]
- doctor whoDoyen
nlm76 a écrit:
Pour en revenir aux fables : comme examinateur, si le texte présenté est long (comme les 63 vers des Animaux malades de la peste), il m'arrive (très "légalement") d'interroger sur une partie de ce texte.
Pas con comme test ! Tu dois tout de suite voir qui comprend un minimum le texte.
_________________
Mon blog sur Tintin (entre autres) : http://popanalyse.over-blog.com/
Blog pédagogique : http://pedagoj.eklablog.com
- NLM76Grand Maître
Oui, et ça m'évite de soupirer pendant 10 minutes sur le cours d'un collègue mal digéré et recraché poussivement autour de "Hé ben La Fontaine, y dit que l'injustice, c'est pô bien."
_________________
Sites du grip :
- http://instruire.fr
- http://grip-editions.fr
Mon site : www.lettresclassiques.fr
«Boas ne renonça jamais à la question-clé : quelle est, du point de vue de l'information, la différence entre les procédés grammaticaux observés ? Il n'entendait pas accepter une théorie non sémantique de la structure grammaticale et toute allusion défaitiste à la prétendue obscurité de la notion de sens lui paraissait elle-même obscure et dépourvue de sens.» [Roman Jakobson, Essais de linguistique générale, "La notion de signification grammaticale selon Boas" (1959)]
- HannibalHabitué du forum
[quote="Edlihtma"]
Rigoureusement parlant, ils ont raison, la langue française a attendu les oeuvres de C. Angot pour se fixer définitivement.
ysabel a écrit:Je ne suis pas étonnée par cette remarque de tes élèves. En 2nde ils m'ont dit que Molière n'écrivait pas français !Edlihtma a écrit:
pour te donner une idée de leur niveau : alors qu'ils travaillaient sur "La cour du lion", un élève me demande pourquoi on étudiait des textes où il y avait plein de mots qui n'existaient plus
Rigoureusement parlant, ils ont raison, la langue française a attendu les oeuvres de C. Angot pour se fixer définitivement.
- CelebornEsprit sacré
Hannibal a écrit:le Français a attendu les oeuvres de C. Angot pour se fixer définitvement.
Vivement leur réédition en Ortograf fonétik !!!
_________________
"On va bien lentement dans ton pays ! Ici, vois-tu, on est obligé de courir tant qu'on peut pour rester au même endroit. Si on veut aller ailleurs, il faut courir au moins deux fois plus vite que ça !" (Lewis Carroll)
Mon Blog
- NLM76Grand Maître
Des extraits, des extraits !
J'ai hâte d'apprendre enfin le français.
J'ai hâte d'apprendre enfin le français.
_________________
Sites du grip :
- http://instruire.fr
- http://grip-editions.fr
Mon site : www.lettresclassiques.fr
«Boas ne renonça jamais à la question-clé : quelle est, du point de vue de l'information, la différence entre les procédés grammaticaux observés ? Il n'entendait pas accepter une théorie non sémantique de la structure grammaticale et toute allusion défaitiste à la prétendue obscurité de la notion de sens lui paraissait elle-même obscure et dépourvue de sens.» [Roman Jakobson, Essais de linguistique générale, "La notion de signification grammaticale selon Boas" (1959)]
- HannibalHabitué du forum
nlm76 a écrit:Des extraits, des extraits !
J'ai hâte d'apprendre enfin le français.
Ne inducas nos in tentationem !
Bon, sinon elle m'a l'air bien, cette séquence, même si on peut chipoter sur l'ancrage des textes dans la société réelle du XVIIè siècle. Les réécritures pourront justement montrer qu'il s'agit aussi de traditions littéraires et faire la part des choses.
- EdlihtmaNiveau 6
Merci, oui c'est le but des réécritures, et je n'ai pas fixé la problématique, elle est très certainement à reformuler.
- NLM76Grand Maître
De toute façon, ce qui compte ce sont les textes. La "problématique", c'est toujours "Quel est l'intérêt de ces textes?" Ici, par exemple : "Qu'est-ce que les fables de La Fontaine ajoutent à la simple traduction des fables d'Esope, Phèdre, Pilpay et autres Faërne ?" ou "Qu'est-ce qui fait de La Fontaine le plus grand poète français ?" (Après Frank Venaille, bien sûr.)
_________________
Sites du grip :
- http://instruire.fr
- http://grip-editions.fr
Mon site : www.lettresclassiques.fr
«Boas ne renonça jamais à la question-clé : quelle est, du point de vue de l'information, la différence entre les procédés grammaticaux observés ? Il n'entendait pas accepter une théorie non sémantique de la structure grammaticale et toute allusion défaitiste à la prétendue obscurité de la notion de sens lui paraissait elle-même obscure et dépourvue de sens.» [Roman Jakobson, Essais de linguistique générale, "La notion de signification grammaticale selon Boas" (1959)]
Page 1 sur 2 • 1, 2
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum