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- AjupouetFidèle du forum
J'ai enseigné à mes deux loustics "à ma manière" et à la maison (pas d'école possible vu notre mode de vie :elephant2: ).
Une règle d'or chez nous : garder l'intérêt et la motivation du pitchoune.
Nous avons atteint une moyenne de 3h de cours 4jours par semaine ... fin 6ème !
Attention, je parle de cours "formels" (écrire, compter, rédiger...). On apprenait 1000 fois plus de trucs en dehors,.
Les petits adorent bosser avec leurs parents. Garder des "leçons" courtes et agréables c'est la garantie d'avoir un élève passionné et demandeur.
Il se peut que ton loustic se décide à vouloir lire un beau jour et qu'il ne te lache plus jusqu'à ce qu'il y arrive : quand un gosse est motivé, c'est incroyable la vitesse avec laquelle il engrange le savoir.
Nous avions des périodes "calcul" (impossible de faire autre chose sérieusement) : picbille CP et CE1 ont duré... 3 mois (mais qu'est ce que je vais bien lui faire faire après???).
Heureusement, zébulon a décidé un beau jour que les maths ça suffisait et qu'elle voulait lire. Bilan, une lecture correcte en un mois (avec la méthode Leo et Lea, nickel). Après, on a approfondi mais les bases y étaient tant en maths qu'en lecture.
L'écriture, c'était plus difficile : grosses difficultés avec notre aînée malgré plein de cahiers dont graphilettres (à proscrire). Pour la seconde, j'ai pris une seule et même méthode depuis la maternelle jusqu'au CE1 la méthode Dumont et ça a marché beaucoup mieux.
Bref : du tête à tête avec son môme, ça implique du sur mesure. Mais c'est ça qui est génial ! :lol:
profites en bien
Une règle d'or chez nous : garder l'intérêt et la motivation du pitchoune.
Nous avons atteint une moyenne de 3h de cours 4jours par semaine ... fin 6ème !
Attention, je parle de cours "formels" (écrire, compter, rédiger...). On apprenait 1000 fois plus de trucs en dehors,.
Les petits adorent bosser avec leurs parents. Garder des "leçons" courtes et agréables c'est la garantie d'avoir un élève passionné et demandeur.
Il se peut que ton loustic se décide à vouloir lire un beau jour et qu'il ne te lache plus jusqu'à ce qu'il y arrive : quand un gosse est motivé, c'est incroyable la vitesse avec laquelle il engrange le savoir.
Nous avions des périodes "calcul" (impossible de faire autre chose sérieusement) : picbille CP et CE1 ont duré... 3 mois (mais qu'est ce que je vais bien lui faire faire après???).
Heureusement, zébulon a décidé un beau jour que les maths ça suffisait et qu'elle voulait lire. Bilan, une lecture correcte en un mois (avec la méthode Leo et Lea, nickel). Après, on a approfondi mais les bases y étaient tant en maths qu'en lecture.
L'écriture, c'était plus difficile : grosses difficultés avec notre aînée malgré plein de cahiers dont graphilettres (à proscrire). Pour la seconde, j'ai pris une seule et même méthode depuis la maternelle jusqu'au CE1 la méthode Dumont et ça a marché beaucoup mieux.
Bref : du tête à tête avec son môme, ça implique du sur mesure. Mais c'est ça qui est génial ! :lol:
profites en bien
- survivorNiveau 6
Et on s'étonne encore de la baisse du niveau...Sowandi a écrit:Je me suis basée sur les horaires de CP d'avant 1969 trouvés sur http://www.sauv.net/prim_horaires.htm :
- 1923=17 heures 30
- 1938 = 15 heures 30
- 1945 et 1956 = 15 heures
- 1969 = 10 heures
Juste pour l'anecdote, dans ma circo, ils avaient mis en place il y a quelques années, dans une classe unique, un projet cirque, avec un atelier d'une demi-journée par semaine sur toute l'année. Au final, en comptant les répétitions, les trajets, et le reste (les fameux projets inter-trans-pluri-disciplinaires qui ne servent qu'à brasser du vent), ça fait quasiment un mois d'école qui saute... Bref, j'avais assisté au spectacle au mois de juin, comme ça, par curiosité. Si je suis certain que les gamins ne savaient pas lire à la fin de l'année, ils ne savaient pas jongler non plus. En faisant un peu de tout, on fait surtout beaucoup de rien. Pour reprendre Audiard, depuis quelques décennies, on dynamite, on éparpille, on ventile.
Le résultat, on le connait : les gamins finissent par ressembler à des puzzles auxquels il manque la moitié des pièces. :colere:
_________________
Tout a été enlevé sauf la tête
pour l’entêtement.
La tête jetée d’arrière en avant
comme un nœud.
Guy Viarre, Sans un
- SowandiNiveau 10
Merci pour ton témoignage !Ajupouet a écrit:J'ai enseigné à mes deux loustics "à ma manière" et à la maison (pas d'école possible vu notre mode de vie :elephant2: ).
Une règle d'or chez nous : garder l'intérêt et la motivation du pitchoune.
Nous avons atteint une moyenne de 3h de cours 4jours par semaine ... fin 6ème !
Attention, je parle de cours "formels" (écrire, compter, rédiger...). On apprenait 1000 fois plus de trucs en dehors,.
Les petits adorent bosser avec leurs parents. Garder des "leçons" courtes et agréables c'est la garantie d'avoir un élève passionné et demandeur.
Il se peut que ton loustic se décide à vouloir lire un beau jour et qu'il ne te lache plus jusqu'à ce qu'il y arrive : quand un gosse est motivé, c'est incroyable la vitesse avec laquelle il engrange le savoir.
Nous avions des périodes "calcul" (impossible de faire autre chose sérieusement) : picbille CP et CE1 ont duré... 3 mois (mais qu'est ce que je vais bien lui faire faire après???).
Heureusement, zébulon a décidé un beau jour que les maths ça suffisait et qu'elle voulait lire. Bilan, une lecture correcte en un mois (avec la méthode Leo et Lea, nickel). Après, on a approfondi mais les bases y étaient tant en maths qu'en lecture.
L'écriture, c'était plus difficile : grosses difficultés avec notre aînée malgré plein de cahiers dont graphilettres (à proscrire). Pour la seconde, j'ai pris une seule et même méthode depuis la maternelle jusqu'au CE1 la méthode Dumont et ça a marché beaucoup mieux.
Bref : du tête à tête avec son môme, ça implique du sur mesure. Mais c'est ça qui est génial ! :lol:
profites en bien
J'ai beaucoup réfléchir à la façon dont j'allais m'y prendre avec mes enfants et j'ai constaté que j'ai, moi, besoin de plages de travail structurée, avec une vision à long terme sur le programme...
Ça peut sembler dur mais je compte leur imposer ma façon de travailler ! On va faire ce que j'ai prévu avec une petite souplesse pour incorporer leurs propres envies... si je ne fais pas comme ça, c'est moi qui vais craquer !
En même temps, comme je connais bien mes enfants, j'arrive facilement à trouver les petits trucs qui les motivent, et j'ai une patience infinie pour expliquer les choses de différentes manières jusqu’à ce que ça rentre.
Alors, bon, ils feront avec la mère qu'ils ont !
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