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- Presse-puréeGrand sage
Ben l'HdA, ça part d'une bonne idée et cela peut donner de bons trucs si c'est bien préparé par les équipes et si c'est bien encadré. C'est sûr que les ctrl/c ctrl/v Wikipedia, c'est moyennement motivant. Après, faut voir ce qui est fait de cette note (qui vaut autant que l'HG... "carcan" des matières, quand tu nous tiens) en sous-commission de DNB.
- AuroreEsprit éclairé
Presse-purée a écrit:Ben l'HdA, ça part d'une bonne idée et cela peut donner de bons trucs si c'est bien préparé par les équipes et si c'est bien encadré. C'est sûr que les ctrl/c ctrl/v Wikipedia, c'est moyennement motivant. Après, faut voir ce qui est fait de cette note (qui vaut autant que l'HG... "carcan" des matières, quand tu nous tiens) en sous-commission de DNB.
Mais c'est le principe du pédagogisme dans son ensemble qui consiste à partir d'une bonne idée - le chemin de l'enfer en est même pavé ! - pour en faire n'importe quoi !
Je l'ai déjà écrit ailleurs, mais je me répète : l'HDA est, dans les conditions actuelles, une non-matière (on dit Histoire DE l'Art), enseignée par des non-profs (pas de CAPES ni agreg dans cette matière : on imagine difficilement cela en français ou en maths...), sur des horaires et des programmes inexistants, sanctionnée qui plus est par un simulacre d'épreuve.
Autant ne rien faire et faire cours dans sa discipline.
- Thalia de GMédiateur
Aurore a écrit:Presse-purée a écrit:Ben l'HdA, ça part d'une bonne idée et cela peut donner de bons trucs si c'est bien préparé par les équipes et si c'est bien encadré. C'est sûr que les ctrl/c ctrl/v Wikipedia, c'est moyennement motivant. Après, faut voir ce qui est fait de cette note (qui vaut autant que l'HG... "carcan" des matières, quand tu nous tiens) en sous-commission de DNB.
Mais c'est le principe du pédagogisme dans son ensemble qui consiste à partir d'une bonne idée - le chemin de l'enfer en est même pavé ! - pour en faire n'importe quoi !
Je l'ai déjà écrit ailleurs, mais je me répète : l'HDA est, dans les conditions actuelles, une non-matière (on dit Histoire DE l'Art), enseignée par des non-profs (pas de CAPES ni agreg dans cette matière : on imagine difficilement cela en français ou en maths...), sur des horaires et des programmes inexistants, sanctionnée qui plus est par un simulacre d'épreuve.
Autant ne rien faire et faire cours dans sa discipline.
Merci Aurore.
On peut ajouter à cela une forme de lassitude à se voir imposer sans cesse des nouveautés, sans nous laisser le temps de respirer et de digérer.
Et moi j'étouffe
(je retourne à mes contes... ça, c'est de l'art)
_________________
Le printemps a le parfum poignant de la nostalgie, et l'été un goût de cendres.
Soleil noir de mes mélancolies.
- Nielsen Rika BellNiveau 7
FD a écrit:J’aimerais bien savoir quelle est ta source, car pour être recruté comme chargé de recherche il faut une thèse, ou alors justifier de travaux scientifiques équivalents (d’après les guides du candidat des concours chercheurs du CNRS et de l’INSERM, les deux organismes de rattachement des chercheurs du département d’études cognitives de l’ENS d’après leur site web).Nielsen Rika Bell a écrit:Ca me fait penser, anecdote non sans rapport avec certaines pages de ce fil, que l'une des chargées de recherche du département de recherche cognitive rue d'Ulm à Paris, a pour formation un simple BEP sanitaire et social.
Je veux bien croire qu’elle ait commencé par un BEP puis ait repris des études générales (immédiatement ou même des années plus tard) et soit allée jusqu’au doctorat, mais qu’elle n’ait vraiment aucun autre diplôme qu’un BEP, j’ai plus de mal à y croire, même si c’est possible : elle aurait pu tout apprendre en autodidacte, faire des travaux de recherche toute seule, réussir à faire publier au moins un article dans une revue scientifique, et être recrutée grâce à cela sans jamais avoir obtenu d’autre diplôme. Mais je pense que quelqu’un qui est capable de faire cela est aussi capable de présenter le début de ses travaux pour trouver un directeur de thèse et obtenir une dérogation pour s’inscrire en thèse sans master, et ainsi avoir accès aux ressources d’un laboratoire pour continuer ses recherches.
Ma source, bah c'est elle-même qui me l'a dit... après oui, elle a fait une thèse et des publications, j'imagine avec une reprise d'études (n'ayant eu que deux conversations avec elle, je n'ose pas m'avancer trop).
Mais là n'est pas la question. Cette femme, glandeuse comme tout en collège, savait qu'elle aimait les gosses, point barre. C'est grâce à sa pratique en tant qu'ATSEM qu'elle a découvert le monde du développement cognitif, et qu'elle a repris des études compliquées.
L'intérêt de cet exemple était de montrer par un contre-exemple que la proposition "meilleur niveau en fin de scolarité => meilleur job" est fausse, et qu'amener 80% d'une classe d'âge au bac n'est pas nécessairement le meilleur moyen d'optimiser les neurones, les compétences, les jobs et le bien-être des personnes. Mais ça me semble tellement évident, et d'autres en parlent tellement mieux que moi.
_________________
Parlons éducation... il me vient encore quelques élèves normaux... certes!... jamais vous pouvez vous vanter d'être absolument sans normaux!... non! un de temps à autre... bon!... je les instruis... pas plus mal que les autres professeurs... pas mieux... pédagogue, je suis! oh! très pédagogue! et très scrupuleux!... jamais une séance de chic!... jamais un cours fantaisiste!... depuis trente et cinq années, jamais une pédagogie drôlette!... pas que je me tienne pas au courant!... que si! que si!... je lis à fond tous les cahiers pédagogiques, les sciences de l'éducation... deux, trois kilos par semaine!... au feu! au feu le tout! c'est pas moi qui serai inquiété pour "instruction à la légère"!...
- User5899Demi-dieu
Ceci dit, cela fait quinze ans que l'une des spécialités de la série L est "Histoire de l'art" (attention, pas "arts plastiques", qui existe aussi, et pour laquelle il existe des certifiés et des agrégés) ou "Cinéma-audiovisuel", disciplines artistiques qui sont également assurées par des enseignants qui n'ont pas passé des concours qui n'existent pas...Aurore a écrit:Presse-purée a écrit:Ben l'HdA, ça part d'une bonne idée et cela peut donner de bons trucs si c'est bien préparé par les équipes et si c'est bien encadré. C'est sûr que les ctrl/c ctrl/v Wikipedia, c'est moyennement motivant. Après, faut voir ce qui est fait de cette note (qui vaut autant que l'HG... "carcan" des matières, quand tu nous tiens) en sous-commission de DNB.
Mais c'est le principe du pédagogisme dans son ensemble qui consiste à partir d'une bonne idée - le chemin de l'enfer en est même pavé ! - pour en faire n'importe quoi !
Je l'ai déjà écrit ailleurs, mais je me répète : l'HDA est, dans les conditions actuelles, une non-matière (on dit Histoire DE l'Art), enseignée par des non-profs (pas de CAPES ni agreg dans cette matière : on imagine difficilement cela en français ou en maths...), sur des horaires et des programmes inexistants, sanctionnée qui plus est par un simulacre d'épreuve.
Autant ne rien faire et faire cours dans sa discipline.
- FDNiveau 7
Ah mais alors elle n’a pas « un simple BEP », ce qui pour moi signifie qu’elle n’a pas d’autre diplôme. Dans l’industrie ou les services on doit pouvoir trouver des gens qui ont commencé à travailler avec un CAP ou BEP et ont grimpé les échelons jusqu’à occuper un poste élevé dans la hiérarchie, et qui là n’ont vraiment que leur CAP ou BEP comme diplôme.Nielsen Rika Bell a écrit:Ma source, bah c'est elle-même qui me l'a dit... après oui, elle a fait une thèse et des publications, j'imagine avec une reprise d'études (n'ayant eu que deux conversations avec elle, je n'ose pas m'avancer trop).
- DhaiphiGrand sage
Il m'étonnerait fort que le futur ministre socialo-centre-mou ne persévère pas dans cette voie.Thalia de G a écrit: que le socle dégage avec le prochain ministre de l'EN
_________________
De toutes les écoles que j’ai fréquentées, c’est l’école buissonnière qui m’a paru la meilleure.
[Anatole France]
J'aime les regretteurs d'hier qui voudraient changer le sens des rivières et retrouver dans la lumière la beauté d'Ava Gardner.
[Alain Souchon]
- AuroreEsprit éclairé
Cripure a écrit:Ceci dit, cela fait quinze ans que l'une des spécialités de la série L est "Histoire de l'art" (attention, pas "arts plastiques", qui existe aussi, et pour laquelle il existe des certifiés et des agrégés) ou "Cinéma-audiovisuel", disciplines artistiques qui sont également assurées par des enseignants qui n'ont pas passé des concours qui n'existent pas...Aurore a écrit:Presse-purée a écrit:Ben l'HdA, ça part d'une bonne idée et cela peut donner de bons trucs si c'est bien préparé par les équipes et si c'est bien encadré. C'est sûr que les ctrl/c ctrl/v Wikipedia, c'est moyennement motivant. Après, faut voir ce qui est fait de cette note (qui vaut autant que l'HG... "carcan" des matières, quand tu nous tiens) en sous-commission de DNB.
Mais c'est le principe du pédagogisme dans son ensemble qui consiste à partir d'une bonne idée - le chemin de l'enfer en est même pavé ! - pour en faire n'importe quoi !
Je l'ai déjà écrit ailleurs, mais je me répète : l'HDA est, dans les conditions actuelles, une non-matière (on dit Histoire DE l'Art), enseignée par des non-profs (pas de CAPES ni agreg dans cette matière : on imagine difficilement cela en français ou en maths...), sur des horaires et des programmes inexistants, sanctionnée qui plus est par un simulacre d'épreuve.
Autant ne rien faire et faire cours dans sa discipline.
Cripure, j'ai peur que cela ait bien changé entretemps...
http://www.education.gouv.fr/cid55013/mene1101397n.html
extrait :
Histoire des arts - Enseignement de spécialité, série L
- œuvres, événements culturels au XXème siècle : Berlin : destructions, recréations, représentations et vie artistique depuis 1945.
La situation particulière qu'a, depuis toujours, Berlin en Europe
en a fait une ville en constante transformation, tout au long de son
histoire mais particulièrement depuis 1945. Les programmes de
reconstruction d'une ville scindée en deux, les nouvelles formes de vie
artistique dans ce qui avait été naguère l'une des capitales culturelles
de l'Europe, l'essor architectural qui en a fait, après le schéma
directeur de 1994, une vitrine de l'architecture mondialisée, poussent à
s'interroger sur le lien et les tensions entre histoire politique,
urbanisme et société.
Il ne s'agit pas seulement de retracer une histoire du bâti mais
d'explorer la scène théâtrale, chorégraphique, musicale et plasticienne
avant et après la réunification, d'interroger la mémoire et l'effacement
des traces, de poser le lien éventuel de l'architecture et de
l'urbanisme avec un nouveau vivre-ensemble. Des documents de toutes
natures peuvent être étudiés à l'appui de ces questions ; un éclairage
particulier peut être cherché dans la création artistique berlinoise et
est-allemande, mais aussi dans les nombreuses représentations
littéraires, cinématographiques et photographiques de la ville et de la
vie berlinoises.
- Un artiste dans son temps : le compositeur John Cage (1912-1992).
Figure majeure de la scène musicale de la seconde moitié du XXème
siècle, John Cage a laissé une œuvre qui constitue un défi unique lancé
au monde musical et à ses conventions. Sa démarche, trop longtemps
réduite à un simple acte de provocation, manifeste l'émergence d'un
authentique esprit musical, inséparable d'une philosophie de la vie où
l'art et le quotidien s'interpénètrent. Il apparaît également comme un
catalyseur incontournable pour certains courants artistiques majeurs de
l'après-guerre, notamment outre-Atlantique, à l'origine de formes
d'expression comme le « happening », la « performance » ou les
installations multimédias. Son activité créatrice, qui a croisé le
chemin de Merce Cunningham ou de Robert Rauschenberg, s'est également
étendue aux domaines de la poésie visuelle et des arts plastiques.
Et je confirme qu'il n'existe ni CAPES ni agrégation dans cette discipline (il existe une certification complémentaire : la belle affaire !). Les historiens de l'art sont d'ailleurs suffisamment nombreux à le déplorer.
Je ne discute même pas du programme ci-dessus qui est pour moi totalement inadapté par rapport à ce qu'on peut exiger de la part de lycéens (il doit avant tout donner des bases et balayer de larges champs chronologiques, et non pas se spécialiser à outrance).
- User5899Demi-dieu
Je ne comprends pas, Aurore : qu'est-ce qui aurait changéAurore a écrit:Cripure, j'ai peur que cela n'ait bien changé entretemps...Cripure a écrit:Ceci dit, cela fait quinze ans que l'une des spécialités de la série L est "Histoire de l'art" (attention, pas "arts plastiques", qui existe aussi, et pour laquelle il existe des certifiés et des agrégés) ou "Cinéma-audiovisuel", disciplines artistiques qui sont également assurées par des enseignants qui n'ont pas passé des concours qui n'existent pas...
http://www.education.gouv.fr/cid55013/mene1101397n.html
extrait :
Histoire des arts - Enseignement de spécialité, série L
- œuvres, événements culturels au XXème siècle : Berlin : destructions, recréations, représentations et vie artistique depuis 1945.
La situation particulière qu'a, depuis toujours, Berlin en Europe en a fait une ville en constante transformation, tout au long de son histoire mais particulièrement depuis 1945. Les programmes de reconstruction d'une ville scindée en deux, les nouvelles formes de vie artistique dans ce qui avait été naguère l'une des capitales culturelles de l'Europe, l'essor architectural qui en a fait, après le schéma directeur de 1994, une vitrine de l'architecture mondialisée, poussent à s'interroger sur le lien et les tensions entre histoire politique, urbanisme et société.
Il ne s'agit pas seulement de retracer une histoire du bâti mais d'explorer la scène théâtrale, chorégraphique, musicale et plasticienne avant et après la réunification, d'interroger la mémoire et l'effacement des traces, de poser le lien éventuel de l'architecture et de l'urbanisme avec un nouveau vivre-ensemble. Des documents de toutes natures peuvent être étudiés à l'appui de ces questions ; un éclairage particulier peut être cherché dans la création artistique berlinoise et est-allemande, mais aussi dans les nombreuses représentations littéraires, cinématographiques et photographiques de la ville et de la vie berlinoises.
- Un artiste dans son temps : le compositeur John Cage (1912-1992).
Figure majeure de la scène musicale de la seconde moitié du XXème siècle, John Cage a laissé une œuvre qui constitue un défi unique lancé au monde musical et à ses conventions. Sa démarche, trop longtemps réduite à un simple acte de provocation, manifeste l'émergence d'un authentique esprit musical, inséparable d'une philosophie de la vie où l'art et le quotidien s'interpénètrent. Il apparaît également comme un catalyseur incontournable pour certains courants artistiques majeurs de l'après-guerre, notamment outre-Atlantique, à l'origine de formes d'expression comme le « happening », la « performance » ou les installations multimédias. Son activité créatrice, qui a croisé le chemin de Merce Cunningham ou de Robert Rauschenberg, s'est également étendue aux domaines de la poésie visuelle et des arts plastiques.
Et je confirme qu'il n'existe ni CAPES ni agrégation dans cette discipline (il existe une certification complémentaire : la belle affaire !). Les historiens de l'art sont d'ailleurs suffisamment nombreux à le déplorer.
Je ne discute même pas du programme ci-dessus qui est pour moi totalement inadapté par rapport à ce qu'on peut exiger de la part de lycéens (il doit avant tout donner des bases et balayer de larges champs chronologiques, et non pas se spécialiser à outrance).
PS Ils sont nuls, au BO, ils ne savent même pas que "vingtième" s'abrège en "XXe", et pas "XXème"... Même pas fichus de comprendre pourquoi ça souligne en rouge sur leur écran.
- AuroreEsprit éclairé
Cripure a écrit:Je ne comprends pas, Aurore : qu'est-ce qui aurait changéAurore a écrit:Cripure, j'ai peur que cela n'ait bien changé entretemps...Cripure a écrit:Ceci dit, cela fait quinze ans que l'une des spécialités de la série L est "Histoire de l'art" (attention, pas "arts plastiques", qui existe aussi, et pour laquelle il existe des certifiés et des agrégés) ou "Cinéma-audiovisuel", disciplines artistiques qui sont également assurées par des enseignants qui n'ont pas passé des concours qui n'existent pas...
http://www.education.gouv.fr/cid55013/mene1101397n.html
extrait :
Histoire des arts - Enseignement de spécialité, série L
- œuvres, événements culturels au XXème siècle : Berlin : destructions, recréations, représentations et vie artistique depuis 1945.
La situation particulière qu'a, depuis toujours, Berlin en Europe en a fait une ville en constante transformation, tout au long de son histoire mais particulièrement depuis 1945. Les programmes de reconstruction d'une ville scindée en deux, les nouvelles formes de vie artistique dans ce qui avait été naguère l'une des capitales culturelles de l'Europe, l'essor architectural qui en a fait, après le schéma directeur de 1994, une vitrine de l'architecture mondialisée, poussent à s'interroger sur le lien et les tensions entre histoire politique, urbanisme et société.
Il ne s'agit pas seulement de retracer une histoire du bâti mais d'explorer la scène théâtrale, chorégraphique, musicale et plasticienne avant et après la réunification, d'interroger la mémoire et l'effacement des traces, de poser le lien éventuel de l'architecture et de l'urbanisme avec un nouveau vivre-ensemble. Des documents de toutes natures peuvent être étudiés à l'appui de ces questions ; un éclairage particulier peut être cherché dans la création artistique berlinoise et est-allemande, mais aussi dans les nombreuses représentations littéraires, cinématographiques et photographiques de la ville et de la vie berlinoises.
- Un artiste dans son temps : le compositeur John Cage (1912-1992).
Figure majeure de la scène musicale de la seconde moitié du XXème siècle, John Cage a laissé une œuvre qui constitue un défi unique lancé au monde musical et à ses conventions. Sa démarche, trop longtemps réduite à un simple acte de provocation, manifeste l'émergence d'un authentique esprit musical, inséparable d'une philosophie de la vie où l'art et le quotidien s'interpénètrent. Il apparaît également comme un catalyseur incontournable pour certains courants artistiques majeurs de l'après-guerre, notamment outre-Atlantique, à l'origine de formes d'expression comme le « happening », la « performance » ou les installations multimédias. Son activité créatrice, qui a croisé le chemin de Merce Cunningham ou de Robert Rauschenberg, s'est également étendue aux domaines de la poésie visuelle et des arts plastiques.
Et je confirme qu'il n'existe ni CAPES ni agrégation dans cette discipline (il existe une certification complémentaire : la belle affaire !). Les historiens de l'art sont d'ailleurs suffisamment nombreux à le déplorer.
Je ne discute même pas du programme ci-dessus qui est pour moi totalement inadapté par rapport à ce qu'on peut exiger de la part de lycéens (il doit avant tout donner des bases et balayer de larges champs chronologiques, et non pas se spécialiser à outrance).
PS Ils sont nuls, au BO, ils ne savent même pas que "vingtième" s'abrège en "XXe", et pas "XXème"... Même pas fichus de comprendre pourquoi ça souligne en rouge sur leur écran.
Alors j'ai dû mal vous comprendre, au temps pour moi !
Les concepteurs des programmes ? S'ils étaient compétents, ils seraient ailleurs !
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