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- StoraNiveau 5
Bonjour à tous!
Je rentre de vacances et je me mets tout doucement au travail...Je planche notamment sur mes progressions grammaticales et constate que le nombre de notions à voir est hallucinant!
J'ai vu que certains parmi vous ont l'habitude de commencer le cours par la phrase du jour. J'aimerais bien instituer ce principe dans mes cours, puisqu'il pourrait me permettre de revoir certaines notions des années précédentes, mais je voulais avoir vos conseils...Le faites-vous à chaque début de cours? comment choisissez-vous ces phrases? Les faites-vous écrire et analyser dans le classeur? Bref, comment vous y prenez-vous?
Merci par avance!
Je rentre de vacances et je me mets tout doucement au travail...Je planche notamment sur mes progressions grammaticales et constate que le nombre de notions à voir est hallucinant!
J'ai vu que certains parmi vous ont l'habitude de commencer le cours par la phrase du jour. J'aimerais bien instituer ce principe dans mes cours, puisqu'il pourrait me permettre de revoir certaines notions des années précédentes, mais je voulais avoir vos conseils...Le faites-vous à chaque début de cours? comment choisissez-vous ces phrases? Les faites-vous écrire et analyser dans le classeur? Bref, comment vous y prenez-vous?
Merci par avance!
- SteredDoyen
Bonjour,
- je le fais à chaque heure, sauf contrôle
- je prends un texte dans le manuel, en rapport avec mon cours. Je n'hésite pas à couper les phrases trop longues
- ils la prennent en dictée à la fin du cahier d'exercices (pour l'avoir en continu), pendant qu'un camarade désigné va au tableau
- correction orale avec rappel des règles
- on fait l'analyse sur la phrase au tableau, à l'oral :
* verbe ? Temps ? Mode ? Valeur ?
* découpage en propositions ? Liens entre elles ?
* fonction de ... ?
* nature de ... ?
Selon la phrase et leur progression grammaticale, je sélectionne ce sur quoi je veux les interroger.
Comme je l'ai déjà dit sur ce forum, je n'ai pas constaté de progrès en orth avec cette pratique (ou très vagues), par contre en grammaire, c'est flagrant.
- je le fais à chaque heure, sauf contrôle
- je prends un texte dans le manuel, en rapport avec mon cours. Je n'hésite pas à couper les phrases trop longues
- ils la prennent en dictée à la fin du cahier d'exercices (pour l'avoir en continu), pendant qu'un camarade désigné va au tableau
- correction orale avec rappel des règles
- on fait l'analyse sur la phrase au tableau, à l'oral :
* verbe ? Temps ? Mode ? Valeur ?
* découpage en propositions ? Liens entre elles ?
* fonction de ... ?
* nature de ... ?
Selon la phrase et leur progression grammaticale, je sélectionne ce sur quoi je veux les interroger.
Comme je l'ai déjà dit sur ce forum, je n'ai pas constaté de progrès en orth avec cette pratique (ou très vagues), par contre en grammaire, c'est flagrant.
- mrs.BURNSNiveau 5
Je commence également chaque heure de cours par une phrase du jour, écrite au tableau. Les élèves la recopient, font les analyses demandées et on corrige ensemble.
Voici comment j'ai procédé l'année dernière avec des 3è, qui n'avaient pratiquement jamais fait de grammaire :
Dans un premier temps, il s'agissait de phrases simples (tirées des textes étudiés et adaptées); chaque élève recopiait la phrase, soulignait le verbe conjugué et délimitait les groupes de mots signifiants (GN / GV etc...) avant de donner leur fonction en s'aidant d'un tableau récapitulant les principales natures et fonctions.
- exemple hautement littéraire : Le chien / ronge / l'os / du poulet.
le chien = GN sujet ; l'os = GN cod ; du poulet = GN cdn ; la méthode pour décomposer une phrase en groupes de mots a été vue au tout début de l'année après une révision sur nature et fonction.
J'ai oublié de dire que j'entourais un mot dans la phrase écrite au tableau et je leur demandais de donner sa nature.
Evidemment, j'adaptais la phrase en fonction de la progression de grammaire.
Dans un deuxième temps, je leur ai donné deux phrases simples
- exemple : Mon chien poursuit un chat. Le chat appartient au voisin.
Il fallait analyser les deux phrases selon la méthode précédente et les assembler pour former une phrase avec 2 verbes conjugués : Mon chien poursuit un chat qui appartient au voisin ou Mon chien poursuit un chat alors qu'il appartient au voisin... etc
Cela m'a permis de sensibiliser les élèves à la phrase complexe et de leur apprendre à distinguer les différents types de proposition en fonction du mot introducteur.
Dans un troisième temps, les phrases du jour étaient des phrases complexes qu'il fallait délimiter en propositions et analyser : nature ? fonction ?
- exemple : Mon chien a poursuivi le chat du voisin parce qu'il est entré sur son territoire.
mon chien a poursuivi le chat du voisin = prop. principale ; parce que etc = prop. subordonnée introduite par la conj. de subordination "parce que". Elle exerce la fonction de complément circonstanciel de cause du verbe "poursuivre".
C'est long et je ne suis pas sûre d'avoir été claire... N'hésitez pas à me poser des questions :lol: !
Voici comment j'ai procédé l'année dernière avec des 3è, qui n'avaient pratiquement jamais fait de grammaire :
Dans un premier temps, il s'agissait de phrases simples (tirées des textes étudiés et adaptées); chaque élève recopiait la phrase, soulignait le verbe conjugué et délimitait les groupes de mots signifiants (GN / GV etc...) avant de donner leur fonction en s'aidant d'un tableau récapitulant les principales natures et fonctions.
- exemple hautement littéraire : Le chien / ronge / l'os / du poulet.
le chien = GN sujet ; l'os = GN cod ; du poulet = GN cdn ; la méthode pour décomposer une phrase en groupes de mots a été vue au tout début de l'année après une révision sur nature et fonction.
J'ai oublié de dire que j'entourais un mot dans la phrase écrite au tableau et je leur demandais de donner sa nature.
Evidemment, j'adaptais la phrase en fonction de la progression de grammaire.
Dans un deuxième temps, je leur ai donné deux phrases simples
- exemple : Mon chien poursuit un chat. Le chat appartient au voisin.
Il fallait analyser les deux phrases selon la méthode précédente et les assembler pour former une phrase avec 2 verbes conjugués : Mon chien poursuit un chat qui appartient au voisin ou Mon chien poursuit un chat alors qu'il appartient au voisin... etc
Cela m'a permis de sensibiliser les élèves à la phrase complexe et de leur apprendre à distinguer les différents types de proposition en fonction du mot introducteur.
Dans un troisième temps, les phrases du jour étaient des phrases complexes qu'il fallait délimiter en propositions et analyser : nature ? fonction ?
- exemple : Mon chien a poursuivi le chat du voisin parce qu'il est entré sur son territoire.
mon chien a poursuivi le chat du voisin = prop. principale ; parce que etc = prop. subordonnée introduite par la conj. de subordination "parce que". Elle exerce la fonction de complément circonstanciel de cause du verbe "poursuivre".
C'est long et je ne suis pas sûre d'avoir été claire... N'hésitez pas à me poser des questions :lol: !
- arabeskankyloseNiveau 6
mrs.BURNS a écrit: la méthode pour décomposer une phrase en groupes de mots a été vue au tout début de l'année
Si tu peux donner des précisions sur ce point... Je n'ai jamais réussi à "enseigner" la manière de découper une phrase en groupe de mots autour de "noyaux". En effet, à moins de parler de "valence" des verbes ou autres notions complexes de syntaxe - ce qui serait absolument absurde à leur niveau - il me semble que le regroupement des mots dans la phrase et leur articulation les uns par rapport aux autres "se sent", et "tombe sous le sens" lorsque l'on comprend la phrase, plus qu'elle n'est déduite de règles qu'on pourrait résumer en "recettes" dont les élèves sont si friands.
Comment enseignez-vous cela ?
- mrs.BURNSNiveau 5
Tu as raison: il n'y a pas de "méthode" à proprement parler. je leur apprends à repérer le verbe conjugué, le GV puis le GN et les sous groupes qui peuvent se cacher dans les groupes de départ. Pendant cette heure, les élèves s'entraînent surtout sur des exemples simples.
Pour cette leçon, je suis partie de la méthode d'analyse par groupes fonctionnels dans la grammaire de la collection Nathan éditée par A. Bentolila.
Pour cette leçon, je suis partie de la méthode d'analyse par groupes fonctionnels dans la grammaire de la collection Nathan éditée par A. Bentolila.
- saocaeNiveau 7
Une autre question concernant cette pratique : combien de temps consacrez-vous à cette "phrase du jour" par jour?
Mes 55 minutes deviennent déjà tout juste 45 minutes, le temps de faire l'appel, que les élèves sortent leurs affaires, se taisent etc... Et pour faire une étude de texte c'est plus que très court... Alors si j'ajoute ce principe, qui me paraît d'ailleurs très intéressant et surtout formateur, j'ai peur de ne pas m'en sortir niveau temps !
Mes 55 minutes deviennent déjà tout juste 45 minutes, le temps de faire l'appel, que les élèves sortent leurs affaires, se taisent etc... Et pour faire une étude de texte c'est plus que très court... Alors si j'ajoute ce principe, qui me paraît d'ailleurs très intéressant et surtout formateur, j'ai peur de ne pas m'en sortir niveau temps !
- mrs.BURNSNiveau 5
J'avais les mêmes craintes que toi, mais la phrase du jour m'a fait gagner du temps en début de cours : ça devient vite un rituel auquel les élèves sont habitués. Du coup, tu n'as pas besoin de leur dire de sortir leurs affaires, tu notes les absents et tu vérifies leur boulot pendant qu'ils analysent la phrase. Le travail individuel et la correction prennent 10 minutes mais sont agréables, plus silencieuses qu'un début de cours "traditionnel" où tu attends le silence et où tu donnes des objectifs et des consignes qui ne sont pas toujours utiles.
- arabeskankyloseNiveau 6
Merci Mrs Burns pour tes réponses. En fait, ma question sur l'échec de la transmission de la reconnaissance intuitive et raisonnée des groupes de mots ne peut avoir qu'une réponse : la pratique répétée grâce à la phrase du jour
@ saocae : pour éviter la perte de temps redoutée le jour les lectures de textes, peut-être est-il possible de ne faire ce rituel qu'un cours sur deux ? Deux fois 5 min par semaine, c'est déjà plus que toute l'analyse qu'ils font en collège d'ordinaire...
@ saocae : pour éviter la perte de temps redoutée le jour les lectures de textes, peut-être est-il possible de ne faire ce rituel qu'un cours sur deux ? Deux fois 5 min par semaine, c'est déjà plus que toute l'analyse qu'ils font en collège d'ordinaire...
- nutellaNiveau 6
je l'ai également pratiquée cette année.............trop chouette!!!! mes 6e étaient fins prêts de suite, classeur ouvert au bon intercalaire, stylo dévissé.. Je le faisais avec toute mes classes, soit des textes différents, soit le même pendant quelques séances.
Je dictais et quand c'était fini, je leur demandais d'entourer tel point de grammaire ou de conjugaison. On corrigeait ensemble.
Leur plaisir? Compter leur nombre de fautes et voir la diminution (ou l'augmentation!)
Merci les neo pour cette super idée!
Je dictais et quand c'était fini, je leur demandais d'entourer tel point de grammaire ou de conjugaison. On corrigeait ensemble.
Leur plaisir? Compter leur nombre de fautes et voir la diminution (ou l'augmentation!)
Merci les neo pour cette super idée!
- JulianneHabitué du forum
Stered, quelques questions :
- tu fais cela dans tous les niveaux ?
- quelle longueur le texte ?
ça me tente mais peut-être qu'une fois par semaine parce qu'à chaque heure de cours, c'est impressionnant.
- tu fais cela dans tous les niveaux ?
- quelle longueur le texte ?
ça me tente mais peut-être qu'une fois par semaine parce qu'à chaque heure de cours, c'est impressionnant.
- SteredDoyen
Je fais cela à tous les niveaux (et en latin, c'est la phrase de thème du jour ^^). Mon texte fait la longueur de mon chapitre : je m'arrête quand j'ai fini. Comme les textes des manuels sont assez longs, en ne faisant qu'une phrase par heure, il y a largement de quoi faire
- KakHabitué du forum
Je cherche quels textes utiliser pour ce travail (première séquence en rapport avec la lettre -niveau 4ème-); mais les phrases des auteurs sont souvent des phrases complexes ce qui me paraît ambitieux pour un début d'année (d'un autre côté commencer par délimiter dans une phrase les propositions peut être une bonne chose).
Qu'en pensez-vous?
Qu'en pensez-vous?
- KalliopéNiveau 8
Je trouve ça très tentant et bien sûr très formateur, mais je n'imagine pas pouvoir le faire au début de chaque cours.
Quand j'ai tenté l'expérience cette année, ça m'a à chaque fois pris au moins une demi-heure, parce que ça revenait en fait très souvent à refaire un cours de grammaire accéléré (en 4ème, et plutôt une bonne classe en plus, très peuconnaissaient se souvenaient du CDN, de l'épithète, du passif...), et par association d'idées ils me posaient beaucoup beaucoup de questions (bon, sur ce point c'est moi qui dois apprendre à mieux les canaliser! )
Mais j'imagine qu'en commençant tout de suite (surtout avec les 6ème) et avec des phrases (très) simples dans un premier temps, ils prennent le pli et ça va quand même plus vite ensuite, même quand les choses commencent à se corser.
Je vais déjà le mettre en place une fois par semaine, et si je vois que ça roule et que ça ne me prend vraiment que 10 minutes j'essaierai de passer à deux fois par semaine.
Quand j'ai tenté l'expérience cette année, ça m'a à chaque fois pris au moins une demi-heure, parce que ça revenait en fait très souvent à refaire un cours de grammaire accéléré (en 4ème, et plutôt une bonne classe en plus, très peu
Mais j'imagine qu'en commençant tout de suite (surtout avec les 6ème) et avec des phrases (très) simples dans un premier temps, ils prennent le pli et ça va quand même plus vite ensuite, même quand les choses commencent à se corser.
Je vais déjà le mettre en place une fois par semaine, et si je vois que ça roule et que ça ne me prend vraiment que 10 minutes j'essaierai de passer à deux fois par semaine.
- linotteFidèle du forum
J'ai tenté la "phrase du jour" (en 4è) : je trouve que ça a bien marché pour les classes grammaticales, en terme de rapidité. Par ex. pour le GT sur la lettre , j'ai pris V. Hugo à sa fille, là , c'était bien.
Mon erreur a été de vouloir prendre des textes littéraires ( comme pour une "vraie" dictée" ) : phrases plutôt longues et du coup ça me bouffait le cours prévu (cf Kak ), et du coup j'ai laissé tombé en milieu d'année ...
Mon erreur a été de vouloir prendre des textes littéraires ( comme pour une "vraie" dictée" ) : phrases plutôt longues et du coup ça me bouffait le cours prévu (cf Kak ), et du coup j'ai laissé tombé en milieu d'année ...
- malo21Niveau 10
il est vrai que c'est tentant....mais je ne suis pas du genre rituel donc ça risque de passer à l'as souvent. c'est le temps que cela prend qui me fait peur aussi. je tenterai bien en 3è cette année, me voilà donc avec un nouveau doute.
- vivi1982Niveau 10
Moi aussi je compte le faire mais pareil j'ai peur que ça me prenne beaucoup de temps. Ou bien juste cibler l'analyse sur les classes grammaticales? Question pratique: pour chaque classe je les vois 2 fois dans la journée: le faire à chaque heure ou pas? Si c'est un rituel c'est mieux à chaque heure?
Je compte donner un texte qu'ils auront ensuite sous forme de dictée.
Moi aussi je ne suis pas du genre rituel mais je me dis qu'il m'en faudrait pour mieux cadrer mes élèves.
Vous avez des exemples de textes ou de phrases? C'est vrai que quand je regarde les textes en rapport avec ma séquence sur les récits d'enfance les phrases sont longues et parfois compliquées ...
Je compte donner un texte qu'ils auront ensuite sous forme de dictée.
Moi aussi je ne suis pas du genre rituel mais je me dis qu'il m'en faudrait pour mieux cadrer mes élèves.
Vous avez des exemples de textes ou de phrases? C'est vrai que quand je regarde les textes en rapport avec ma séquence sur les récits d'enfance les phrases sont longues et parfois compliquées ...
- SteredDoyen
Moi, je le fais à chaque heure et je cible l'analyse, en fonction du niveau, des leçons et... du temps !
Je donne aussi le texte en dictée préparée, mais pas systématiquement.
Après la mise en route du début d'année, je trouve qu'au final ça me fait gagner du temps pour la mise au travail Ils rentrent, assis, dictée (avec appel en même temps grâce au plan de classe), correction, questions et hop, on enchaîne.
Je donne aussi le texte en dictée préparée, mais pas systématiquement.
Après la mise en route du début d'année, je trouve qu'au final ça me fait gagner du temps pour la mise au travail Ils rentrent, assis, dictée (avec appel en même temps grâce au plan de classe), correction, questions et hop, on enchaîne.
- vivi1982Niveau 10
Stered a écrit:Moi, je le fais à chaque heure et je cible l'analyse, en fonction du niveau, des leçons et... du temps !
Je donne aussi le texte en dictée préparée, mais pas systématiquement.
Après la mise en route du début d'année, je trouve qu'au final ça me fait gagner du temps pour la mise au travail Ils rentrent, assis, dictée (avec appel en même temps grâce au plan de classe), correction, questions et hop, on enchaîne.
J'aspire à ça, c'était mon gros soucis l'an dernier, ils mettaient beaucoup de temps à se mettre au travail et je voudrais éviter cet espèce de flottement que j'ai en début de cours.
- paul31Érudit
Moi c'est une fois par semaine en fonction de que l'on a étudié !
- paul31Érudit
Par contre en quatrième un 1/4 d'heure pour trouver un attribut du sujet après avoir fait toutes les fonctions (sujet, CDN ? CC? COI? COD? ....°
- Ruggera7Neoprof expérimenté
Consacrez-vous une partie du classeur à ce travail sur la phrase du jour? Ou une feuille volante suffit-elle?
- HermionyGuide spirituel
J'ai testé cette année : très bien en 6è, un flop en 5è et 3è, par manque de temps principalement.
Par conséquent, cette année :
-ce sera à chaque séance pour les 6è
-une fois / 2 pour les 5è et 3è
-des phrases courtes (certaines étaient trop longues) ou alors avec moins de choses
-autoriser les abréviations pour que ça aille plus vite.
Je fais faire ça sur une feuille simple : ceux qui la perdent, c'est tant pis pour eux.
Par conséquent, cette année :
-ce sera à chaque séance pour les 6è
-une fois / 2 pour les 5è et 3è
-des phrases courtes (certaines étaient trop longues) ou alors avec moins de choses
-autoriser les abréviations pour que ça aille plus vite.
Je fais faire ça sur une feuille simple : ceux qui la perdent, c'est tant pis pour eux.
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"Soyons subversifs. Révoltons-nous contre l'ignorance, l'indifférence, la cruauté, qui d'ailleurs ne s'exerce si souvent contre l'homme que parce qu'elles se sont fait la main sur les animaux. Il y aurait moins d'enfants martyrs s'il y avait moins d'animaux torturés".
Marguerite Yourcenar
« La vraie bonté de l’homme ne peut se manifester en toute pureté et en toute liberté qu’à l’égard de ceux qui ne représentent aucune force. » «Le véritable test moral de l’humanité, ce sont ses relations avec ceux qui sont à sa merci : les animaux. » Kundera, L’Insoutenable Légèreté de l’être
- EsméraldaGrand sage
Hermiony, pourquoi un flop en 5ème 3ème ? Tu peux nous en dire plus ?
- littlemaryDoyen
Petite question : mes élèves ont un cahier. Où faire noter cette phrase du jour ?
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