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- Reine MargotDemi-dieu
Par contre ce qui pose problème c'est quand même les inagalités criantes au sein des mêmes étb, voire des mêmes classes, on accueille aujourd'hui en 6e des élèves sachant à peine lire, compter...certains appellent cela le collège unique. j'ai connu les classes de niveau et on ne peut pas dire que ça ait tiré vers le haut les élèves les plus faibles, donc c'est peu efficace. Et d'aun autre côté maintenir les faibles dans les filières générales c'est aussi se voiler la face: on sait que le gamin qui est en difficulté en 6e le restera tout au long du collège, et il passe de classe en classe, accumulant les lacunes, jusqu'à ce qu'on puisse l'orienter, en fin de 3e (avant pour les MFR). mais bon je n'ai toujours pas de solution à ça, je suis perplexe.
- doctor whoDoyen
Marquise, pourquoi pas des classes hétérogènes dans des filières plutôt homogènes? On envoie tout un paquet d'élève, assez tôt en voie pro. Idem au lycée, ou on élargit les filières technologiques, en en diversifiant les branches (en nombre au moins équivalent à la voie générale). Normalement, les classes y seraient suffisamment homogènes pour pouvoir bosser, et suffisamment hétérogènes pour tirer les moyens vers le haut.
J'oubliais, multiplier les centres éducatifs fermés, ouverts, militarisés, autogérés, provisoires, définitifs, adaptés aux âges des élèves, pour que ceux qui vraiment ne sont pas faits pour l'école normale puisse être "gardés", et éduqués.
+ davantage de discipline et d'exigence un peu partout.
Et là, je suis en utopie.
J'oubliais, multiplier les centres éducatifs fermés, ouverts, militarisés, autogérés, provisoires, définitifs, adaptés aux âges des élèves, pour que ceux qui vraiment ne sont pas faits pour l'école normale puisse être "gardés", et éduqués.
+ davantage de discipline et d'exigence un peu partout.
Et là, je suis en utopie.
- Reine MargotDemi-dieu
Moui mais bon mettre les élèves dans des filières différentes c'est effectivement faire de "bonnes" et de "mauvaises" filières, il y aura celles où on mettra les bons élèves, et les autres...Donc une filière homogène ne peut pas constituer des classes hétérogènes.
J'ai connu les classes de niveau et j'ai pu le constater, hélas.
J'ai connu les classes de niveau et j'ai pu le constater, hélas.
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Quand tout va mal, quand il n'y a plus aucun espoir, il nous reste Michel Sardou
La famille Bélier
- DwarfVénérable
John a écrit:Dwarf a écrit:Hmmm... Par contraire, tu entendais alors que le SNALC n'était PAS apolitique, en fait?
Non, j'ai dit que le Snalc n'était pas le syndicat UMP habituellement décrit en salle des profs, que c'était encore moins un syndicat d'extreme-droite, et que je suis convaincu lorsqu'on m'explique, par la théorie et la pratique, qu'un syndicat, quel qu'il soit (Snes - Sgen - Snalc - etc.), n'est pas forcément inféodé à un parti.
Ok, nous sommes bien d'accord, alors!
- DwarfVénérable
marquisedemerteuil a écrit:Moui mais bon mettre les élèves dans des filières différentes c'est effectivement faire de "bonnes" et de "mauvaises" filières, il y aura celles où on mettra les bons élèves, et les autres...Donc une filière homogène ne peut pas constituer des classes hétérogènes.
J'ai connu les classes de niveau et j'ai pu le constater, hélas.
Tiens, cela me rappelle un de nos anciens débats...
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