- HannibalHabitué du forum
Je doute fort qu'une proposition aussi choquante ait la moindre chance de passer.
Je pense que l'idiot de service a juste voulu faire un gros coup politique, sur le dos des professeurs pour changer, et faire parler de lui.
Qui eût dit que la bêtise pût être rassurante?
Je pense que l'idiot de service a juste voulu faire un gros coup politique, sur le dos des professeurs pour changer, et faire parler de lui.
Qui eût dit que la bêtise pût être rassurante?
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"Quand la pierre tombe sur l'oeuf, malheur à l'oeuf.
Quand l'oeuf tombe sur la pierre, malheur à l'oeuf." (proverbe)
- e1654dNiveau 7
Je ne sais pas si cela se fait de reproduire des communiqués. Qu'on me fouette si ce n'est pas le cas !
Le Parti de Gauche a écrit:
L’Ecole de la République face aux fossoyeurs du cadre national
Le député UMP Jacques Grosperrin et la mission d’information « sur la formation initiale et les modalités de recrutement des enseignants » qui présentera son rapport le 6 juillet prochain n’y vont pas par quatre chemins pour annoncer leur volonté d’abattre le cadre national et républicain de l’école publique : ils envisagent ni plus ni moins de supprimer les concours de recrutement des enseignants !
Le recrutement par les autorités académiques ou les établissements, sur la base d'un entretien professionnel de diplômés d’un master 2, sans référence à l’obtention d’un concours, est ainsi envisagé.
La tristement célèbre « mastérisation » entrée en vigueur à la rentrée 2010 n’a donc pas seulement supprimé la formation des enseignants à leur futur métier en les privant de la mise en situation accompagnée devant les élèves. Elle est aussi, comme nous l’avions divulgué il y plus d’un an au Parti de Gauche, le cheval de Troie qui veut substituer au concours de recrutement, anonyme, égalitaire et républicain, les logiques libérales de l’entreprise privée et du système anglo-saxon.
Après cette annonce, il n’y a désormais plus de paravent derrière lequel peuvent se cacher les tenants, de droite comme de gauche, de l’autonomie des établissements : l’autonomie des établissements a vocation à s’imbriquer avec la réforme de la formation des enseignants et la suppression de la carte scolaire pour mettre en concurrence les établissements, les enseignants et les élèves !
Pour le Parti de Gauche, l’Ecole ne saurait être transformée en entreprise animée par le seul critère de la rentabilité et dirigée par des proviseurs-managers recrutant de manière arbitraire des enseignants fragilisés dans leur métier et leur statut.
Le Parti de Gauche réaffirme son attachement indéfectible à tous les cadres nationaux garantissant le système éducatif français. Il s’oppose à toute mesure qui tendrait à dévaloriser le métier d’enseignant et à instituer des formes renouvelées de précarité.
Paris, le 30 juin 2011
François COCQ, Secrétaire national à l’éducation du Parti de Gauche
Francis DASPE, Président de la commission éducation du Parti de Gauche
- User5899Demi-dieu
Merci pour le communiqué. Ca nous changera de l'UMP et du PS.e1654d a écrit:Je ne sais pas si cela se fait de reproduire des communiqués. Qu'on me fouette si ce n'est pas le cas !Le Parti de Gauche a écrit:
L’Ecole de la République face aux fossoyeurs du cadre national
Le député UMP Jacques Grosperrin et la mission d’information « sur la formation initiale et les modalités de recrutement des enseignants » qui présentera son rapport le 6 juillet prochain n’y vont pas par quatre chemins pour annoncer leur volonté d’abattre le cadre national et républicain de l’école publique : ils envisagent ni plus ni moins de supprimer les concours de recrutement des enseignants !
Le recrutement par les autorités académiques ou les établissements, sur la base d'un entretien professionnel de diplômés d’un master 2, sans référence à l’obtention d’un concours, est ainsi envisagé.
La tristement célèbre « mastérisation » entrée en vigueur à la rentrée 2010 n’a donc pas seulement supprimé la formation des enseignants à leur futur métier en les privant de la mise en situation accompagnée devant les élèves. Elle est aussi, comme nous l’avions divulgué il y plus d’un an au Parti de Gauche, le cheval de Troie qui veut substituer au concours de recrutement, anonyme, égalitaire et républicain, les logiques libérales de l’entreprise privée et du système anglo-saxon.
Après cette annonce, il n’y a désormais plus de paravent derrière lequel peuvent se cacher les tenants, de droite comme de gauche, de l’autonomie des établissements : l’autonomie des établissements a vocation à s’imbriquer avec la réforme de la formation des enseignants et la suppression de la carte scolaire pour mettre en concurrence les établissements, les enseignants et les élèves !
Pour le Parti de Gauche, l’Ecole ne saurait être transformée en entreprise animée par le seul critère de la rentabilité et dirigée par des proviseurs-managers recrutant de manière arbitraire des enseignants fragilisés dans leur métier et leur statut.
Le Parti de Gauche réaffirme son attachement indéfectible à tous les cadres nationaux garantissant le système éducatif français. Il s’oppose à toute mesure qui tendrait à dévaloriser le métier d’enseignant et à instituer des formes renouvelées de précarité.
Paris, le 30 juin 2011
François COCQ, Secrétaire national à l’éducation du Parti de Gauche
Francis DASPE, Président de la commission éducation du Parti de Gauche
- Reine MargotDemi-dieu
Punaise, voila ce que le PS devrait écrire! Tant pis pour les conneries que dit Mélanchon sur la Chine ou Cuba, moi je vote pour eux.
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Quand tout va mal, quand il n'y a plus aucun espoir, il nous reste Michel Sardou
La famille Bélier
- DaphnéDemi-dieu
Ah tout de même un peu de bon sens quelque part !
- User5899Demi-dieu
+1000Reine Margot a écrit:Punaise, voila ce que le PS devrait écrire! Tant pis pour les conneries que dit Mélanchon sur la Chine ou Cuba, moi je vote pour eux.
D'autant que le silence du PS sur la Chine ou Cuba n'est pas la garantie d'une future absence de connerie.
- CondorcetOracle
Cripure a écrit:+1000Reine Margot a écrit:Punaise, voila ce que le PS devrait écrire! Tant pis pour les conneries que dit Mélenchon sur la Chine ou Cuba, moi je vote pour eux.
D'autant que le silence du PS sur la Chine ou Cuba n'est pas la garantie d'une future absence de connerie.
Elit-on un(e) président(e) sur ses bons arguments sur tel ou tel sujet ou sur un ensemble ?
- Reine MargotDemi-dieu
Il n'y a pas que ça: positions sur le traité de Lisbonne, défense du service public à la française, limitation de l'autorité de Bruxelles...
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La famille Bélier
- CondorcetOracle
Reine Margot a écrit:Il n'y a pas que ça: positions sur le traité de Lisbonne, défense du service public à la française, limitation de l'autorité de Bruxelles...
Mais pratiquement, comment fait-on pour trouver des alliés afin de défendre ces positions qui sont justes sur le papier ?
- User5899Demi-dieu
On commence par se faire élire ?condorcet a écrit:Reine Margot a écrit:Il n'y a pas que ça: positions sur le traité de Lisbonne, défense du service public à la française, limitation de l'autorité de Bruxelles...
Mais pratiquement, comment fait-on pour trouver des alliés afin de défendre ces positions qui sont justes sur le papier ?
- CondorcetOracle
Cripure a écrit:On commence par se faire élire ?condorcet a écrit:Reine Margot a écrit:Il n'y a pas que ça: positions sur le traité de Lisbonne, défense du service public à la française, limitation de l'autorité de Bruxelles...
Mais pratiquement, comment fait-on pour trouver des alliés afin de défendre ces positions qui sont justes sur le papier ?
Je pense aux pays qui vous aideront à mettre en oeuvre une telle politique. En 1981, c'est moins le mur de l'argent national que le contexte international qui a douché les ambitions de la gauche double vainqueur des élections présidentielles et législatives : il n'a fallu que deux ans pour briser net le vent réformateur de gauche (et encore en comptant - très - large) ...
- User5899Demi-dieu
Bon, Condorcet, alors quoi ? Constatant grâce à notre savoir historique (bon, enfin, pas encore vraiment, mais soit) qu'aucun changement n'est possible, nous ne tenterons aucune incursion vers des partis de changement, mais nous nous tournerons dès le début et jusques à la fin vers les deux partis interchangeables grâce auxquels rien ne cessera de se poursuivre, ou tout continuera à ne pas bouger ? C'est affolant cette prospective vers l'échec, cette impossibilité déjà avérée du moindre changement. On est dans une merde noire depuis des décennies du fait de deux partis interchangeables et d'une conception de l'Europe atroce, inhumaine et stupide, et comme aujourd'hui, avec les cartes d'aujourd'hui, on ne voit guère de changement possible, il ne faut tenter aucun changement ? Pffff... On n'a qu'à s'immoler par le feu ! Mais alors, avant, faisons un carnage dans des lieux choisis !condorcet a écrit:Cripure a écrit:On commence par se faire élire ?condorcet a écrit:Reine Margot a écrit:Il n'y a pas que ça: positions sur le traité de Lisbonne, défense du service public à la française, limitation de l'autorité de Bruxelles...
Mais pratiquement, comment fait-on pour trouver des alliés afin de défendre ces positions qui sont justes sur le papier ?
Je pense aux pays qui vous aideront à mettre en oeuvre une telle politique. En 1981, c'est moins le mur de l'argent national que le contexte international qui a douché les ambitions de la gauche double vainqueur des élections présidentielles et législatives : il n'a fallu que deux ans pour briser net le vent réformateur de gauche (et encore en comptant - très - large) ...
Accessoirement, si l'Histoire n'existe que comme bride, je me demande s'il ne serait pas judicieux de la remplacer par autre chose.
- CondorcetOracle
C'est amusant (enfin pas vraiment) mais j'ai constaté que dès que l'on approche d'une élection présidentielle :
1/ L'irrationnel devient recevable et le rationnel au contraire est fortement déconseillé ;
2/ Quand on demande à un parti/un candidat les modalités d'application de son programme, les mêmes ellipses ressortent sous la forme d'un "plus tard", "on verra", "il sera bien tôt", "cette perspective est intéressante, pourquoi ne venez-vous pas en parler au projet..." ;
3/ Le changement devient un argument massue et le passé le repoussoir parfait ;
4/ L'argument d'autorité prime tous les autres réunis.
Pour te répondre plus précisement
1/ S'il y a bien une expression que j'abhorre, c'est "l'histoire (ou L'Histoire) enseigne que", la discipline historique étant révisionniste par définition et l'Histoire, un perpétuel étonnement.
2/ La merde noire que tu évoques, je le vois et la vis autant que toi, Cripure et je crois qu'il est sans doute réconfortant de tout mettre sur le dos du bipartisme, de la mondialisation, de l'Europe. Est-ce seulement leur faute si le chômage de masse s'est enraciné, l'exclusion sociale s'est aggravée, la société française s'est habituée à être duale ? Le jeu des extrêmes consiste à trouver des boucs-émissaires commodes et à réduire à des étiquettes des réalités beaucoup plus complexes, le rôle de l'historien(ne) s'assimile à tenter de les appréhender et celui du citoyen à faire la part des choses, du mythe et du possible voire de choisir, pour le meilleur comme pour le pire.
3/ Quant à remplacer l'Histoire, nos gouvernants actuels s'y efforcent, non sans un certain ridicule. Je suis convaincu que, même si la Cité prend congé des historiens(ne)s, Clio continuera longtemps de guider et de mouvoir les hommes, qu'elle le veuille ou non.
4/ Refuser de prendre en compte les contraintes ne conduit nullement à les annihiler, bien au contraire.
Ainsi, je m'étonne, de voir nombre d'esprits que j'estime, abandonner tout esprit critique et récuser les outils intellectuels qui sont les leurs dans leur quotidien, dès que se profile à l'horizon une échéance présidentielle. Comme citoyen et compatriote, je peux comprendre et je partage ton exaspération devant le contexte présent. Cela autorise-t-il à s'en remettre au premier coryphée qui se présente et à lui signer un chèque en blanc ? Au contraire, en tant qu'enfants de la méritocratie républicaine, je pense que nous avons le devoir d'une exigence citoyenne plus aïgue et d'un regard critique plus aiguisé. Ne te méprends pas, Cripure, ce n'est pas une attaque ad hominem mais plutôt le reflet de la tristesse de l'historien devant ce vieux rêve très français de l'homme providentiel sinon l'appétence citoyenne à déléguer à autrui ce qu'il sait en son for intérieur quasi impossible à résoudre en si peu de temps.
http://www.persee.fr/web/revues/home/prescript/article/xxs_0294-1759_1995_num_45_1_3388
1/ L'irrationnel devient recevable et le rationnel au contraire est fortement déconseillé ;
2/ Quand on demande à un parti/un candidat les modalités d'application de son programme, les mêmes ellipses ressortent sous la forme d'un "plus tard", "on verra", "il sera bien tôt", "cette perspective est intéressante, pourquoi ne venez-vous pas en parler au projet..." ;
3/ Le changement devient un argument massue et le passé le repoussoir parfait ;
4/ L'argument d'autorité prime tous les autres réunis.
Pour te répondre plus précisement
1/ S'il y a bien une expression que j'abhorre, c'est "l'histoire (ou L'Histoire) enseigne que", la discipline historique étant révisionniste par définition et l'Histoire, un perpétuel étonnement.
2/ La merde noire que tu évoques, je le vois et la vis autant que toi, Cripure et je crois qu'il est sans doute réconfortant de tout mettre sur le dos du bipartisme, de la mondialisation, de l'Europe. Est-ce seulement leur faute si le chômage de masse s'est enraciné, l'exclusion sociale s'est aggravée, la société française s'est habituée à être duale ? Le jeu des extrêmes consiste à trouver des boucs-émissaires commodes et à réduire à des étiquettes des réalités beaucoup plus complexes, le rôle de l'historien(ne) s'assimile à tenter de les appréhender et celui du citoyen à faire la part des choses, du mythe et du possible voire de choisir, pour le meilleur comme pour le pire.
3/ Quant à remplacer l'Histoire, nos gouvernants actuels s'y efforcent, non sans un certain ridicule. Je suis convaincu que, même si la Cité prend congé des historiens(ne)s, Clio continuera longtemps de guider et de mouvoir les hommes, qu'elle le veuille ou non.
4/ Refuser de prendre en compte les contraintes ne conduit nullement à les annihiler, bien au contraire.
Ainsi, je m'étonne, de voir nombre d'esprits que j'estime, abandonner tout esprit critique et récuser les outils intellectuels qui sont les leurs dans leur quotidien, dès que se profile à l'horizon une échéance présidentielle. Comme citoyen et compatriote, je peux comprendre et je partage ton exaspération devant le contexte présent. Cela autorise-t-il à s'en remettre au premier coryphée qui se présente et à lui signer un chèque en blanc ? Au contraire, en tant qu'enfants de la méritocratie républicaine, je pense que nous avons le devoir d'une exigence citoyenne plus aïgue et d'un regard critique plus aiguisé. Ne te méprends pas, Cripure, ce n'est pas une attaque ad hominem mais plutôt le reflet de la tristesse de l'historien devant ce vieux rêve très français de l'homme providentiel sinon l'appétence citoyenne à déléguer à autrui ce qu'il sait en son for intérieur quasi impossible à résoudre en si peu de temps.
http://www.persee.fr/web/revues/home/prescript/article/xxs_0294-1759_1995_num_45_1_3388
- JacqGuide spirituel
Kelem a écrit:leyade a écrit:"A terme, remplacer le concours par le master et confier aux autorités académiques ou aux établissements le soin de recruter sur la base d'un entretien professionnel les enseignants", est l'une des 20 propositions du rapport, ont indiqué ces sources à l'AFP."
Bon, ce genre de fil est trop compliqué pour moi, mais çce qui se cache (mal) derrière cette proposition, ce ne serait pas tout bonnement la disparition du fonctionnariat?
Avec un recrutement direct via les chefs d'établissements, je vois mal comment justifier un statut de fonctionnaire national. Ca va ressembler à s'y méprendre aux contrats de droit privé.
Il y a un an quasiment jour pour jour, j'ai eu l'agrégation. J'ai 24 ans et j'ai déjà l'impression d'être un dinosaure.
Pareil... Avec quelques années de plus.
Disparition !
- Reine MargotDemi-dieu
Mais Condorcet, tu sais bien qu'en votant pour l'UMP ou le PS, on poursuit la politique actuelle, non? Et si la mondialisation et tutti quanti ne sont pas les seuls responsables de la crise, les politiques au pouvoir qui ont donné toute puissance aux marchés financiers sont largement responsables...
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Quand tout va mal, quand il n'y a plus aucun espoir, il nous reste Michel Sardou
La famille Bélier
- AlbatorHabitué du forum
Peut-être mais si l'on donne un nouveau mandat de 5 ans au représentant de l'UMP c'est la catastrophe assurée. L'alternance n'est pas une panacée mais cela pourrait peut-êrtre ralentir le mouvement. Après il faudrait des grèves comme en 1936. Bon je sais vous allez me dire que je rêve mais cela fait du bien
- CondorcetOracle
Reine Margot a écrit:Mais Condorcet, tu sais bien qu'en votant pour l'UMP ou le PS, on poursuit la politique actuelle, non? Et si la mondialisation et tutti quanti ne sont pas les seuls responsables de la crise, les politiques au pouvoir qui ont donné toute puissance aux marchés financiers sont largement responsables...
Je n'ai jamais dit, écrit ou même pensé que le vote UMP ou PS serait la ou une solution (ils pourront attendre longtemps pour avoir mon suffrage à quelque élection que ce fût). Les marchés financiers ne sont que la face émergée de l'iceberg : ils ont trouvé des leviers et des relais pour appliquer le dogme de la concurrence forcenée entre les individus. Le mal me paraît plus profond que le diagnostic dressé par Le Monde diplomatique , ATTAC et autres partisans de la démondialisation.
- frankensteinVénérable
Attention, parfois c'est pire en élisant des "gens" qui prétendent vous défendre. Qu'on ne me dise pas que le PS n'est pas en partie responsable de la faillite et de la situation actuelle de notre Education Nationale. Il faut aussi bien avoir conscience que les responsables syndicaux sont aussi "encartés" ou sympathisants dans des partis politiques (et le PS est en pôle position !)Albator a écrit: Peut-être mais si l'on donne un nouveau mandat de 5 ans au représentant de l'UMP c'est la catastrophe assurée. L'alternance n'est pas une panacée mais cela pourrait peut-êrtre ralentir le mouvement. Après il faudrait des grèves comme en 1936. Bon je sais vous allez me dire que je rêve mais cela fait du bien
Difficile, dans cette configuration, d'espérer des avancées et une amélioration de nos conditions de travail et de salaires même en chassant Sarko et consorts...
_________________
Mettez des pouces verts sur : https://www.youtube.com/user/Choristenimes/ videos
Si les élections pouvaient changer la société, elles seraient interdites.
- FinrodExpert
Attention, parfois c'est pire en élisant des "gens" qui prétendent vous défendre.
On ne risque rien alors . Personne ne prétend nous défendre.
- frankensteinVénérable
Oui, hélas...Et je vais vous faire une confidence, des instits de base seraient même tentés par un vote FN...Finrod a écrit:Attention, parfois c'est pire en élisant des "gens" qui prétendent vous défendre.
On ne risque rien alors . Personne ne prétend nous défendre.
Quand on en arrive là, les partis "traditionnels" seraient bien inspirés de revoir leur copie...
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Mettez des pouces verts sur : https://www.youtube.com/user/Choristenimes/ videos
Si les élections pouvaient changer la société, elles seraient interdites.
- CondorcetOracle
frankenstein a écrit:Oui, hélas...Et je vais vous faire une confidence, des instits de base seraient même tentés par un vote FN...Finrod a écrit:Attention, parfois c'est pire en élisant des "gens" qui prétendent vous défendre.
On ne risque rien alors . Personne ne prétend nous défendre.
Quand on en arrive là, les partis "traditionnels" seraient bien inspirés de revoir leur copie...
+1000
Il serait fort opportun qu'ils commençassent à réfléchir.
- Reine MargotDemi-dieu
condorcet a écrit:Reine Margot a écrit:Mais Condorcet, tu sais bien qu'en votant pour l'UMP ou le PS, on poursuit la politique actuelle, non? Et si la mondialisation et tutti quanti ne sont pas les seuls responsables de la crise, les politiques au pouvoir qui ont donné toute puissance aux marchés financiers sont largement responsables...
Je n'ai jamais dit, écrit ou même pensé que le vote UMP ou PS serait la ou une solution (ils pourront attendre longtemps pour avoir mon suffrage à quelque élection que ce fût). Les marchés financiers ne sont que la face émergée de l'iceberg : ils ont trouvé des leviers et des relais pour appliquer le dogme de la concurrence forcenée entre les individus. Le mal me paraît plus profond que le diagnostic dressé par Le Monde diplomatique , ATTAC et autres partisans de la démondialisation.
eh bien on est d'accord, pas de vote UMP ou PS (au moins au 1er tour)
- CondorcetOracle
Reine Margot a écrit:condorcet a écrit:Reine Margot a écrit:Mais Condorcet, tu sais bien qu'en votant pour l'UMP ou le PS, on poursuit la politique actuelle, non? Et si la mondialisation et tutti quanti ne sont pas les seuls responsables de la crise, les politiques au pouvoir qui ont donné toute puissance aux marchés financiers sont largement responsables...
Je n'ai jamais dit, écrit ou même pensé que le vote UMP ou PS serait la ou une solution (ils pourront attendre longtemps pour avoir mon suffrage à quelque élection que ce fût). Les marchés financiers ne sont que la face émergée de l'iceberg : ils ont trouvé des leviers et des relais pour appliquer le dogme de la concurrence forcenée entre les individus. Le mal me paraît plus profond que le diagnostic dressé par Le Monde diplomatique , ATTAC et autres partisans de la démondialisation.
eh bien on est d'accord, pas de vote UMP ou PS (au moins au 1er tour)
- cunégondeNiveau 10
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