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- kensingtonEsprit éclairé
C'est ici.Pour accompagner les enseignants dans la mise en oeuvre des nouveaux programmes, Éduscol vous propose un ensemble de documents d'accompagnement.
- ysabelDevin
kensington a écrit:Pour accompagner les enseignants dans la mise en oeuvre des nouveaux programmes, Éduscol vous propose un ensemble de documents d'accompagnement.
Français
L'explication de texte littéraire, un exercice à revivifier
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C'est ici.
Waouh !! terme que je n'avais pas vu utilisé pour le lycée depuis.... que j'y étais...
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« vous qui entrez, laissez toute espérance ». Dante
« Il vaut mieux n’avoir rien promis que promettre sans accomplir » (L’Ecclésiaste)
- LoEsprit sacré
Merci j'ai jeté un oeil et je regarderai ça plus en détail ultérieurement...on dirait une dissert ou un mémoire Iufm, c'est bourré de citations.
- IphigénieProphète
Voilà un lien fort intéressant ! Je viens de jeter un coup d'oeil en transversale et je suis tombée sur ça:
Comment vivifier l'explication de texte littéraire, par Monsieur P.Laudet, IG de lettres:
Mais dites-moi, qui est-ce qui a organisé stages et formations depuis 10 ans pour nous expliquer successivement qu'en dehors de la lectureméthodique puis analytique (en attendant la prochaine dénomination) il n'y avait point de salut et qu'il fallait absolument suivre La Méthode ?
Et qui a élaboré ces magnifiques tableaux de "séquences" sur "objets d'études", divisées en séances , avec objectifs, perspectives principales et secondaires, problématiques à la c*** et "corpus" et sous corpus?
et le fil sur les meilleures blagues des Ipr dans leurs rapports d'inspection?
Faudrait peut-être d'abord faire le ménage dans la boutique, non? avant de rejeter la faute sur les professeurs qui appliquent avec trop de zèle.....
Comment vivifier l'explication de texte littéraire, par Monsieur P.Laudet, IG de lettres:
Ce que nous déplorons souvent dans les mauvaises pratiques, c’est le placage mécanique de questionnaires, de tableaux, ou de protocoles de lecture inappropriés ; un triste cadastrage des textes, qui procède à leur arraisonnement technique ; un professeur note par exemple au tableau, en début de cours : « séquence 4 : le biographique. Séance 3 : support (sic): Chateaubriand » ; ainsi présentée, l’explication qui va suivre n’a d’emblée plus toutes ses chances…
Mais dites-moi, qui est-ce qui a organisé stages et formations depuis 10 ans pour nous expliquer successivement qu'en dehors de la lecture
Et qui a élaboré ces magnifiques tableaux de "séquences" sur "objets d'études", divisées en séances , avec objectifs, perspectives principales et secondaires, problématiques à la c*** et "corpus" et sous corpus?
et le fil sur les meilleures blagues des Ipr dans leurs rapports d'inspection?
Faudrait peut-être d'abord faire le ménage dans la boutique, non? avant de rejeter la faute sur les professeurs qui appliquent avec trop de zèle.....
- ysabelDevin
iphigénie a écrit:Voilà un lien fort intéressant ! Je viens de jeter un coup d'oeil en transversale et je suis tombée sur ça:
Comment vivifier l'explication de texte littéraire, par Monsieur P.Laudet, IG de lettres:
Ce que nous déplorons souvent dans les mauvaises pratiques, c’est le placage mécanique de questionnaires, de tableaux, ou de protocoles de lecture inappropriés ; un triste cadastrage des textes, qui procède à leur arraisonnement technique ; un professeur note par exemple au tableau, en début de cours : « séquence 4 : le biographique. Séance 3 : support (sic): Chateaubriand » ; ainsi présentée, l’explication qui va suivre n’a d’emblée plus toutes ses chances…
Mais dites-moi, qui est-ce qui a organisé stages et formations depuis 10 ans pour nous expliquer successivement qu'en dehors de la lectureméthodiquepuis analytique (en attendant la prochaine dénomination) il n'y avait point de salut et qu'il fallait absolument suivre La Méthode ?
Et qui a élaboré ces magnifiques tableaux de "séquences" sur "objets d'études", divisées en séances , avec objectifs, perspectives principales et secondaires, problématiques à la c*** et "corpus" et sous corpus?
et le fil sur les meilleures blagues des Ipr dans leurs rapports d'inspection?
Faudrait peut-être d'abord faire le ménage dans la boutique, non? avant de rejeter la faute sur les professeurs qui appliquent avec trop de zèle.....
comme c'est beau ! presque de la poésie...
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« Il vaut mieux n’avoir rien promis que promettre sans accomplir » (L’Ecclésiaste)
- User5899Demi-dieu
Vous n'avez pas tort, Iphigénie. Mais enfin, ces sites qui déversent du prêt à penser, du prêt à lire, tel Weblettres par exemple, on commence à peine à se rendre compte des ravages que cela cause. Ce n'est pourtant pas très difficile de lire un texte en expliquant ce qu'il y a à expliquer et en partant de questions simples sur le sens qui s'appuient sur des observations attentives. Et en plus, ça demande moins de travail à la maison. Mais non, on veut des grilles, des tableaux, plein de trucs qui ressemblent à des barreaux. On va en crever, c'est tout.iphigénie a écrit:Voilà un lien fort intéressant ! Je viens de jeter un coup d'oeil en transversale et je suis tombée sur ça:
Comment vivifier l'explication de texte littéraire, par Monsieur P.Laudet, IG de lettres:
Ce que nous déplorons souvent dans les mauvaises pratiques, c’est le placage mécanique de questionnaires, de tableaux, ou de protocoles de lecture inappropriés ; un triste cadastrage des textes, qui procède à leur arraisonnement technique ; un professeur note par exemple au tableau, en début de cours : « séquence 4 : le biographique. Séance 3 : support (sic): Chateaubriand » ; ainsi présentée, l’explication qui va suivre n’a d’emblée plus toutes ses chances…
Mais dites-moi, qui est-ce qui a organisé stages et formations depuis 10 ans pour nous expliquer successivement qu'en dehors de la lectureméthodiquepuis analytique (en attendant la prochaine dénomination) il n'y avait point de salut et qu'il fallait absolument suivre La Méthode ?
Et qui a élaboré ces magnifiques tableaux de "séquences" sur "objets d'études", divisées en séances , avec objectifs, perspectives principales et secondaires, problématiques à la c*** et "corpus" et sous corpus?
et le fil sur les meilleures blagues des Ipr dans leurs rapports d'inspection?
Faudrait peut-être d'abord faire le ménage dans la boutique, non? avant de rejeter la faute sur les professeurs qui appliquent avec trop de zèle.....
- IphigénieProphète
On est bien d'accord. Mais c'est quand même parti de l'institution elle-même et des programmes Viala. Je me souviens de la première réunion avec une inspectrice où on nous a expliqué avec force tableaux d "objets d'études ", la fabrique de notre nouvelle usine à gaz.
Je me souviens même d'y avoir dit:"Mais à ce compte, il n'y a plus d'auteurs, mais seulement des "illustrations des genres et registres."...Faut jamais avoir raison trop tôt.....
Cela dit , ce ne sont pas les TBI et les manuels numériques qui vont arranger ça.....Ça va "surligner" ferme, et "jouer des caches "et des "arborescences" lumineuses.....
Je me souviens même d'y avoir dit:"Mais à ce compte, il n'y a plus d'auteurs, mais seulement des "illustrations des genres et registres."...Faut jamais avoir raison trop tôt.....
Cela dit , ce ne sont pas les TBI et les manuels numériques qui vont arranger ça.....Ça va "surligner" ferme, et "jouer des caches "et des "arborescences" lumineuses.....
- lailalaiNiveau 4
L'esprit cartésien, j'imagine.
Permettez-moi de vous raconter mon premier jour dans un établissement français: j'avais 16 ans et j'ai dû aller en 3ème car je ne parlais pas français.
Je suis en cours de français et je recopie tout ce qu'il y a au tableau sans ne rien comprendre, bien sûr. Enfin, pas tout à fait. Je comprends presque tout, mais ne comprends pas pourquoi j'apprends ça en cours de français!! Voici, en gros ce que je recopiais:
I 2cm ............................
2 cm1.1 ...........
2 cm1.2 ...........
II 2cm ............................
2 cm2.1 ...........
2 cm2.2 ...........
et ainsi de suite.
J'en suis sortie traumatisée et j'ai appelé mes parents pour leur dire qu'ils (les Français) faisaient des maths en cours de français et que je ne comprenais rien!
Et oui, c'est aussi ça, l'esprit français! Mettre tout dans des cases, grilles, classer, ordonner, relier de façon logique. Je ne m'en plains pas, je suis contente d'avoir reçu cet enseignement-là aussi, cette vision du monde, mais c'est vrai aussi que, parfois, en France, le papier de décoration est plus important que les fleurs qui y sont emballées.
Permettez-moi de vous raconter mon premier jour dans un établissement français: j'avais 16 ans et j'ai dû aller en 3ème car je ne parlais pas français.
Je suis en cours de français et je recopie tout ce qu'il y a au tableau sans ne rien comprendre, bien sûr. Enfin, pas tout à fait. Je comprends presque tout, mais ne comprends pas pourquoi j'apprends ça en cours de français!! Voici, en gros ce que je recopiais:
I 2cm ............................
2 cm1.1 ...........
2 cm1.2 ...........
II 2cm ............................
2 cm2.1 ...........
2 cm2.2 ...........
et ainsi de suite.
J'en suis sortie traumatisée et j'ai appelé mes parents pour leur dire qu'ils (les Français) faisaient des maths en cours de français et que je ne comprenais rien!
Et oui, c'est aussi ça, l'esprit français! Mettre tout dans des cases, grilles, classer, ordonner, relier de façon logique. Je ne m'en plains pas, je suis contente d'avoir reçu cet enseignement-là aussi, cette vision du monde, mais c'est vrai aussi que, parfois, en France, le papier de décoration est plus important que les fleurs qui y sont emballées.
- User5899Demi-dieu
Je ne vois pas ce qu'il y a de drôle. Présenter un plan, c'est bon en français, mais c'est valable aussi pour n'importe quel document informatique qui témoigne d'une maîtrise correcte des styles sous open office par exemple. Dans un livre ou un journal, il y a une maquette : chaque type de titre a tant de cm avant le texte, après le texte, tant de retrait à gauche, etc. Dans une copie, c'est pareil. Le papier de décoration n'est pas plus important que les fleurs. Ce sont les fleurs non emballées qui sont moches.lailalai a écrit:L'esprit cartésien, j'imagine.
Permettez-moi de vous raconter mon premier jour dans un établissement français: j'avais 16 ans et j'ai dû aller en 3ème car je ne parlais pas français.
Je suis en cours de français et je recopie tout ce qu'il y a au tableau sans ne rien comprendre, bien sûr. Enfin, pas tout à fait. Je comprends presque tout, mais ne comprends pas pourquoi j'apprends ça en cours de français!! Voici, en gros ce que je recopiais:
I 2cm ............................
2 cm1.1 ...........
2 cm1.2 ...........
II 2cm ............................
2 cm2.1 ...........
2 cm2.2 ...........
et ainsi de suite.
J'en suis sortie traumatisée et j'ai appelé mes parents pour leur dire qu'ils (les Français) faisaient des maths en cours de français et que je ne comprenais rien!
Et oui, c'est aussi ça, l'esprit français! Mettre tout dans des cases, grilles, classer, ordonner, relier de façon logique. Je ne m'en plains pas, je suis contente d'avoir reçu cet enseignement-là aussi, cette vision du monde, mais c'est vrai aussi que, parfois, en France, le papier de décoration est plus important que les fleurs qui y sont emballées.
- lailalaiNiveau 4
Hm. Il n'y a rien de particulièrement drôle dans ce que j'ai raconté. C'est juste une expérience vécue et qui, je trouve, donne un point de vue du système scolaire français vu de dehors. Et non, on n'apprend pas ça dans tous les pays ou du moins pas aussi tôt. Je voulais mettre en évidence que cette structure (cases, grilles, tableaux) est peut-être plus propre à l'esprit français qu'à d'autres cultures. Pour avoir beaucoup travaillé avec des étrangers à qui je devais enseigner la rédaction à la française, je me suis rendu compte qu'ils étaient dans le même cas que moi, à cette époque et que c'était nouveau pour eux. Eh ben oui. Ce qui est normal et va de soi pour certains, ne l'est pas pour d'autres. Écrire un texte argumentatif, avec le plan à la française...vaste programme! On me demande mon avis sur un sujet: ben c'est simple, je vous le donne! L'intro quoi? Dével quoi?
Et crois-moi qu'il y a beaucoup de cultures où l'on met plus l'accent sur les fleurs que sur l'emballage. Je ne porte pas de jugement, ni sur l'un, ni sur l'autre. Je constate simplement.
J'ai en fait juste voulu mettre en relation ce qui avait été dit plus haut "Et qui a élaboré ces magnifiques tableaux de "séquences" sur "objets d'études", divisées en séances , avec objectifs, perspectives principales et secondaires, problématiques à la c*** et "corpus" et sous corpus?" et mon expérience personnelle de la pensée française, structurée et parfois victime d'elle-même. Je cite un passage du document dont le lien a été posté au début en guise de conclusion:
"Les textes, on l’oublierait, ne sont pas écrits pour l’explication, mais bien l’explication au service des textes. En son temps déjà, Péguy invitait à
sortir d’une époque qui « ne se servait plus des textes pour éduquer, mais qui éduquait pour expliquer les textes."
Et crois-moi qu'il y a beaucoup de cultures où l'on met plus l'accent sur les fleurs que sur l'emballage. Je ne porte pas de jugement, ni sur l'un, ni sur l'autre. Je constate simplement.
J'ai en fait juste voulu mettre en relation ce qui avait été dit plus haut "Et qui a élaboré ces magnifiques tableaux de "séquences" sur "objets d'études", divisées en séances , avec objectifs, perspectives principales et secondaires, problématiques à la c*** et "corpus" et sous corpus?" et mon expérience personnelle de la pensée française, structurée et parfois victime d'elle-même. Je cite un passage du document dont le lien a été posté au début en guise de conclusion:
"Les textes, on l’oublierait, ne sont pas écrits pour l’explication, mais bien l’explication au service des textes. En son temps déjà, Péguy invitait à
sortir d’une époque qui « ne se servait plus des textes pour éduquer, mais qui éduquait pour expliquer les textes."
- IphigénieProphète
Le problème c'est que je pense que ces classifications sont issues des pratiques anglo-saxonnes plus que de l'"esprit français"....Je me souviens de Marguerite Yourcenar qui se plaignait jadis dans un entretien de n'être pas dans les librairies anglo-saxonnes (ou pas suffisamment) en grande partie parce qu'on ne savait pas dans quelle catégorie la ranger ...
- User5899Demi-dieu
Ca devient terrible, ici, on dit des choses qui ne sont pas lues.lailalai a écrit:Hm. Il n'y a rien de particulièrement drôle dans ce que j'ai raconté. C'est juste une expérience vécue et qui, je trouve, donne un point de vue du système scolaire français vu de dehors. Et non, on n'apprend pas ça dans tous les pays ou du moins pas aussi tôt. Je voulais mettre en évidence que cette structure (cases, grilles, tableaux) est peut-être plus propre à l'esprit français qu'à d'autres cultures. Pour avoir beaucoup travaillé avec des étrangers à qui je devais enseigner la rédaction à la française, je me suis rendu compte qu'ils étaient dans le même cas que moi, à cette époque et que c'était nouveau pour eux. Eh ben oui. Ce qui est normal et va de soi pour certains, ne l'est pas pour d'autres. Écrire un texte argumentatif, avec le plan à la française...vaste programme! On me demande mon avis sur un sujet: ben c'est simple, je vous le donne! L'intro quoi? Dével quoi?
Et crois-moi qu'il y a beaucoup de cultures où l'on met plus l'accent sur les fleurs que sur l'emballage. Je ne porte pas de jugement, ni sur l'un, ni sur l'autre. Je constate simplement.
Je n'ai jamais dit qu'il faut mettre l'accent sur les fleurs ou sur l'emballage. J'ai dit que les deux vont ensemble. A quoi sert de demander à quelqu'un, en classe, son avis sur X ou Y ? On s'en fout. Ce qu'on veut faire, c'est l'amener à être capable de présenter son avis et de le défendre. C'est une capacité intellectuelle comme une autre, et elle s'entretient. Donner son avis sur ses croquettes, même mon chat peut le faire.
- lailalaiNiveau 4
:aav: On tourne en rond et ça devient un dialogue de sourds alors je n'essaierai pas de ré-expliquer qq chose qui sera à nouveau mal lu et déformé.
Iphigénie: peut-être. C'est possible que les classifications viennent de l'esprit anglo-saxon. Je n'ai pas étudié la question. Ma réflexion, comme je le disais, vient de mon expérience du système français en tant qu'élève étrangère , puis en tant que professeur de français langue étrangère et des réactions de mes étudiants quant à l'organisation et la façon de faire à la française. Pour résumer: pourquoi c'est si compliqué alors que ça pourrait être simple?
As-tu une idée de réponse à ta question posée plus haut, autrement dit, pourquoi les programmes sont organisés d'une manière si détaillée et compliquée?
"Et qui a élaboré ces magnifiques tableaux de "séquences" sur "objets d'études", divisées en séances , avec objectifs, perspectives principales et secondaires, problématiques à la c*** et "corpus" et sous corpus?"
Iphigénie: peut-être. C'est possible que les classifications viennent de l'esprit anglo-saxon. Je n'ai pas étudié la question. Ma réflexion, comme je le disais, vient de mon expérience du système français en tant qu'élève étrangère , puis en tant que professeur de français langue étrangère et des réactions de mes étudiants quant à l'organisation et la façon de faire à la française. Pour résumer: pourquoi c'est si compliqué alors que ça pourrait être simple?
As-tu une idée de réponse à ta question posée plus haut, autrement dit, pourquoi les programmes sont organisés d'une manière si détaillée et compliquée?
"Et qui a élaboré ces magnifiques tableaux de "séquences" sur "objets d'études", divisées en séances , avec objectifs, perspectives principales et secondaires, problématiques à la c*** et "corpus" et sous corpus?"
- User5899Demi-dieu
Euh... N'inversez pas les rôles. Ca fait depuis les points de vue que je passe des plombes à essayer de vous faire comprendre des choses que vous déformez le post d'après. Aussi, je vais suivre votre suggestion : point final. De toutes façons, les défenseurs du simple vs compliqué m'ont toujours fait rire. Le plus simple, en fait, c'est de ne rien étudier et de se laisser porter par l'instinct, qui sait toutlailalai a écrit: :aav: On tourne en rond et ça devient un dialogue de sourds alors je n'essaierai pas de ré-expliquer qq chose qui sera à nouveau mal lu et déformé.
- AbraxasDoyen
Ce qui est dit sur l'explication de texte est très intéressant. J'en ai fait une Note sur mon blog :
http://bonnetdane.midiblogs.com/archive/2011/06/19/explication-de-texte.html
http://bonnetdane.midiblogs.com/archive/2011/06/19/explication-de-texte.html
- IphigénieProphète
On est bien d'accord: mais on aimerait savoir s'il y a une vision unique à l' I.G ou une guerre tribale entre" pro et contre" Viala et autres Weinland dont les sans-grade continueront à faire les frais dans les tournées d'inspection en province lointaine (car il y a quand même pas mal d'IPR qui n'ont pas l'air d'être au courant d'un éventuel changement de cap)... :lol:
- minnieExpert
iphigénie a écrit:On est bien d'accord: mais on aimerait savoir s'il y a une vision unique à l' I.G ou une guerre tribale entre" pro et contre" Viala et autres Weinland dont les sans-grade continueront à faire les frais dans les tournées d'inspection en province lointaine (car il y a quand même pas mal d'IPR qui n'ont pas l'air d'être au courant d'un éventuel changement de cap)... :lol:
SI c'est comme en collège.... sur le terrain, aucun changement. Et les formateurs IUFM et du PAF se fendent d'une explication de texte très personnelle des nouveaux programmes pour y lire que l'on ne doit rien changer : séquences, décloisonnement et tutti quanti.
L'absence de doc d'accompagnements, au nom de la liberté pédagogique en apparence n'arrange rien.
Moi, je suis PERDUE.
- doctor whoDoyen
Laudet n'est pas IG depuis aussi longtemps qu'une Weinland, par exemple.
Je l'ai connu, c'était un excellent prof de prépa (souvenirs émus de ciné-club et d'explication sur la symbolique des chevaux entraînant le carrosse de Des Grieux dans Manon Lescaut).
Je l'ai connu, c'était un excellent prof de prépa (souvenirs émus de ciné-club et d'explication sur la symbolique des chevaux entraînant le carrosse de Des Grieux dans Manon Lescaut).
_________________
Mon blog sur Tintin (entre autres) : http://popanalyse.over-blog.com/
Blog pédagogique : http://pedagoj.eklablog.com
- IphigénieProphète
Concrètement, si on lit ce rapport, il en ressort qu'une étude de texte ne saurait se plier à une "méthode" unique , contrairement à ce que serinent les IPR depuis une décennie: l'étude d'un texte procède du texte, et non d'une grille de lecture et une démarche préfabriquée, pire,obligée, qu'elle soit "méthodique" ou "analytique".
Ce vent de liberté fait plaisir : rapport à garder sous le bras en cas d'inspection....
Expliquer, c'est en effet rappelle ce rapport,"défaire les plis " selon l'étymologie latine,-et même "défaire la tresse",pour mieux faire voir les éléments de la com-plexité qui fait le tissu d'un texte, selon la racine grecque :puisse ce rapport aussi nous dé-stresser en nous délivrant des dogmes...!
Ce rapport rend aux textes leur primauté sur les "méthodes", aux auteurs leur primauté sur l'usine à gaz des "objets" d'étude et aux enseignants, leur devoir d'être des guides et non des moutons.
Emparons-nous en vite!
Ce vent de liberté fait plaisir : rapport à garder sous le bras en cas d'inspection....
Expliquer, c'est en effet rappelle ce rapport,"défaire les plis " selon l'étymologie latine,-et même "défaire la tresse",pour mieux faire voir les éléments de la com-plexité qui fait le tissu d'un texte, selon la racine grecque :puisse ce rapport aussi nous dé-stresser en nous délivrant des dogmes...!
Ce rapport rend aux textes leur primauté sur les "méthodes", aux auteurs leur primauté sur l'usine à gaz des "objets" d'étude et aux enseignants, leur devoir d'être des guides et non des moutons.
Emparons-nous en vite!
- ysabelDevin
iphigénie a écrit:Concrètement, si on lit ce rapport, il en ressort qu'une étude de texte ne saurait se plier à une "méthode" unique , contrairement à ce que serinent les IPR depuis une décennie: l'étude d'un texte procède du texte, et non d'une grille de lecture et une démarche préfabriquée, pire,obligée, qu'elle soit "méthodique" ou "analytique".
Ce vent de liberté fait plaisir : rapport à garder sous le bras en cas d'inspection....
Expliquer, c'est en effet rappelle ce rapport,"défaire les plis " selon l'étymologie latine,-et même "défaire la tresse",pour mieux faire voir les éléments de la com-plexité qui fait le tissu d'un texte, selon la racine grecque :puisse ce rapport aussi nous dé-stresser en nous délivrant des dogmes...!
Ce rapport rend aux textes leur primauté sur les "méthodes", aux auteurs leur primauté sur l'usine à gaz des "objets" d'étude et aux enseignants, leur devoir d'être des guides et non des moutons.
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bien dit !
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- User5899Demi-dieu
Et retrouvons le plaisir des programmes de 2 pages dans les années 80 !iphigénie a écrit:Concrètement, si on lit ce rapport, il en ressort qu'une étude de texte ne saurait se plier à une "méthode" unique , contrairement à ce que serinent les IPR depuis une décennie: l'étude d'un texte procède du texte, et non d'une grille de lecture et une démarche préfabriquée, pire,obligée, qu'elle soit "méthodique" ou "analytique".
Ce vent de liberté fait plaisir : rapport à garder sous le bras en cas d'inspection....
Expliquer, c'est en effet rappelle ce rapport,"défaire les plis " selon l'étymologie latine,-et même "défaire la tresse",pour mieux faire voir les éléments de la com-plexité qui fait le tissu d'un texte, selon la racine grecque :puisse ce rapport aussi nous dé-stresser en nous délivrant des dogmes...!
Ce rapport rend aux textes leur primauté sur les "méthodes", aux auteurs leur primauté sur l'usine à gaz des "objets" d'étude et aux enseignants, leur devoir d'être des guides et non des moutons.
Emparons-nous en vite!
- DulcineaNiveau 9
Veinards!!!
Comment se fait-il que les IG de lettres ont l'air de vouloir revenir à des programmes et des méthodes censés, au collège et maintenant au lycée alors que chez nous en LV on va dans le sens inverse???
Ne pourraient-ils pas se mettre d'accord?
Comment se fait-il que les IG de lettres ont l'air de vouloir revenir à des programmes et des méthodes censés, au collège et maintenant au lycée alors que chez nous en LV on va dans le sens inverse???
Ne pourraient-ils pas se mettre d'accord?
- doctor whoDoyen
La didactique du français n'a pas la même histoire que celle, séculaire, des LV. En français, avant Viala, y a quoi ?
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Blog pédagogique : http://pedagoj.eklablog.com
- ysabelDevin
Cripure a écrit:Et retrouvons le plaisir des programmes de 2 pages dans les années 80 !iphigénie a écrit:Concrètement, si on lit ce rapport, il en ressort qu'une étude de texte ne saurait se plier à une "méthode" unique , contrairement à ce que serinent les IPR depuis une décennie: l'étude d'un texte procède du texte, et non d'une grille de lecture et une démarche préfabriquée, pire,obligée, qu'elle soit "méthodique" ou "analytique".
Ce vent de liberté fait plaisir : rapport à garder sous le bras en cas d'inspection....
Expliquer, c'est en effet rappelle ce rapport,"défaire les plis " selon l'étymologie latine,-et même "défaire la tresse",pour mieux faire voir les éléments de la com-plexité qui fait le tissu d'un texte, selon la racine grecque :puisse ce rapport aussi nous dé-stresser en nous délivrant des dogmes...!
Ce rapport rend aux textes leur primauté sur les "méthodes", aux auteurs leur primauté sur l'usine à gaz des "objets" d'étude et aux enseignants, leur devoir d'être des guides et non des moutons.
Emparons-nous en vite!
mais on peut le faire !
programme de 2de :
- le théâtre au XVIIe siècle
- la littérature d'idées aux XVII et XVIIIe siècles
- Le naturalisme /réalisme
- la poésie du romantisme au surréalisme
C'est simple, je trouve
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« Il vaut mieux n’avoir rien promis que promettre sans accomplir » (L’Ecclésiaste)
- User5899Demi-dieu
+1ysabel a écrit:Cripure a écrit:Et retrouvons le plaisir des programmes de 2 pages dans les années 80 !iphigénie a écrit:Concrètement, si on lit ce rapport, il en ressort qu'une étude de texte ne saurait se plier à une "méthode" unique , contrairement à ce que serinent les IPR depuis une décennie: l'étude d'un texte procède du texte, et non d'une grille de lecture et une démarche préfabriquée, pire,obligée, qu'elle soit "méthodique" ou "analytique".
Ce vent de liberté fait plaisir : rapport à garder sous le bras en cas d'inspection....
Expliquer, c'est en effet rappelle ce rapport,"défaire les plis " selon l'étymologie latine,-et même "défaire la tresse",pour mieux faire voir les éléments de la com-plexité qui fait le tissu d'un texte, selon la racine grecque :puisse ce rapport aussi nous dé-stresser en nous délivrant des dogmes...!
Ce rapport rend aux textes leur primauté sur les "méthodes", aux auteurs leur primauté sur l'usine à gaz des "objets" d'étude et aux enseignants, leur devoir d'être des guides et non des moutons.
Emparons-nous en vite!
mais on peut le faire !
programme de 2de :
- le théâtre au XVIIe siècle
- la littérature d'idées aux XVII et XVIIIe siècles
- Le naturalisme /réalisme
- la poésie du romantisme au surréalisme
C'est simple, je trouve
D'ailleurs, il n'y aura pas de docs d'accompagnement, non ?
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