- User5899Demi-dieu
Voilà. Pile poil, rien à redire. On supporterait mieux le salaire avec ces revendications-là satisfaites. C'est pas avec le socle commun et une réunionnite épidémique qu'on va aller bosser dans la joie.Marie Laetitia a écrit:c'est bien, les arguments que j'ai sorti à propos des salaires c'est peanuts...
Mais comment voulez-vous capter la faveur de l'opinion en défendant votre pré carré? Je ne saisis pas. Crier contre les suppressions, OK parce que ça a un impact sur les parents d'élèves. Mais pas les salaires, nos salaires sont supérieurs au salaire médian. Ce n'est pas rien !
Si l'opinion est derrière nous, on gagne, le gouvernement n'a pas le choix. Si l'opinion est contre nous, on perd, le gouvernement se fera un plaisir de nous traiter d'irresponsables. Et si en plus on y mêle les élèves, incapables de bredouiller trois mots cohérents sur le motif de la grève, et qui en tant qu'élèves n'ont pas leur place là, c'est mort.
Est-ce perdu d'avance de réclamer... une réforme des directions de bahut, de réclamer des programmes qui élèvent les mômes, une revalorisation des filières professionnalisantes ? Réclamer de ne pas avoir à aller au boulot avec la peur au ventre, dans nombre d'établissements?
- User4312Niveau 10
Si on regarde l'Histoire, les mouvements grevistes qui ont eu un effet notable sur l'amélioration des conditions de travail ont été les grêves dures, où chacun a dû mettre en jeu sa propre position sans se préoccuper de tout perdre. Parce que chacun estimait n'avoir plus rien à perdre.
Les grêves seront inéfficaces tant qu'une majorité d'enseignants ne sera pas prête à faire une grêve de ce genre, je pense.
Les grêves seront inéfficaces tant qu'une majorité d'enseignants ne sera pas prête à faire une grêve de ce genre, je pense.
- Karine B.Guide spirituel
Marie Laetitia a écrit:c'est bien, les arguments que j'ai sorti à propos des salaires c'est peanuts...
Mais comment voulez-vous capter la faveur de l'opinion en défendant votre pré carré? Je ne saisis pas. Crier contre les suppressions, OK parce que ça a un impact sur les parents d'élèves. Mais pas les salaires, nos salaires sont supérieurs au salaire médian. Ce n'est pas rien !
pour un bac + 5 ? ça m'étonnerait
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Stagiaire agrégée à la rentrée 2015
Blog Maison Avant / Après Mise à jour en août 2013
- Karine B.Guide spirituel
yoaken a écrit:Si on regarde l'Histoire, les mouvements grevistes qui ont eu un effet notable sur l'amélioration des conditions de travail ont été les grêves dures, où chacun a dû mettre en jeu sa propre position sans se préoccuper de tout perdre. Parce que chacun estimait n'avoir plus rien à perdre.
Un mouvement dur commence toujours par une journée de grève, on n'annonce pas d'emblée une grève illimitée
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- Karine B.Guide spirituel
Cripure a écrit:Non non, Dhaiphi, pas du tout. Je ne souhaite pas en promouvoir un autre. Je ne dis rien de plus que ce que j'ai dit.Dhaiphi a écrit:Karine B. a écrit:un syndicat majoritaire a des responsabilités que n'a pas un autre
Et c'est parti, quel que soit le sujet, ça se termine par une guégerre inter-syndicats... Dommage !
C'est dommage : j'espérais LA révélation
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- barègesÉrudit
Je n'ai pas tout lu, mais il y a un truc avec les grèves qui me pose souci depuis un moment.
J'accorde que les choses sont en train de changer avec la suppression massive de postes.
Mais il suffit de regarder ce forum : qu'est-ce qui fait le plus souffrir les enseignants? Qu'est-ce qui motive ceux qui partent, se reconvertissent, et qui accable ceux qui craquent?
Ce sont des problèmes qualitatifs (programmes plus ou moins absurdes, niveau d'exigences ratatiné, injonction d'être animateurs et de moins en moins là pour transmettre des connaissances), idée que l'on ne sert plus qu'à distribuer des diplômes qui ne servent à rien, impossibilité, tout simplement, de faire son boulot, malentendus qu'i se multiplient avec les parents...
Et on va refaire grêve pour les postes.
Jamais je n'ai entendu de mot d'ordre autre, en près de dix ans... Et c'est vrai qu'il faudrait en amont une immense opération de communication, pour expliquer tout cela. Quand, dans des groupes d'amis, les profs de l'assistance ont l'occasion de parler des conditions de travail, des doux délires de l'inspection, des absurdités iufmiesques et tutti quanti, c'est toujours la même réaction : "mais de l'extérieur, on n'en sait rien...".
Là il y a l'urgence des postes, mais c'est tellement devenu une antienne pour tout le public...
J'accorde que les choses sont en train de changer avec la suppression massive de postes.
Mais il suffit de regarder ce forum : qu'est-ce qui fait le plus souffrir les enseignants? Qu'est-ce qui motive ceux qui partent, se reconvertissent, et qui accable ceux qui craquent?
Ce sont des problèmes qualitatifs (programmes plus ou moins absurdes, niveau d'exigences ratatiné, injonction d'être animateurs et de moins en moins là pour transmettre des connaissances), idée que l'on ne sert plus qu'à distribuer des diplômes qui ne servent à rien, impossibilité, tout simplement, de faire son boulot, malentendus qu'i se multiplient avec les parents...
Et on va refaire grêve pour les postes.
Jamais je n'ai entendu de mot d'ordre autre, en près de dix ans... Et c'est vrai qu'il faudrait en amont une immense opération de communication, pour expliquer tout cela. Quand, dans des groupes d'amis, les profs de l'assistance ont l'occasion de parler des conditions de travail, des doux délires de l'inspection, des absurdités iufmiesques et tutti quanti, c'est toujours la même réaction : "mais de l'extérieur, on n'en sait rien...".
Là il y a l'urgence des postes, mais c'est tellement devenu une antienne pour tout le public...
- Reine MargotDemi-dieu
les postes deviennent un vrai problème dans la mesure où le départ en retraite de la génération du baby boom ne sera pas remplacé et que ça va faire un vrai pataquès (mais on compte sur les étudiants en master qui seront collés à un concours devenu riquiqui pour constituer un vivier). Comme le dit Vieille Néotit on touche à l'os car maintenant on voit déja que plein de remplacements ne sont pas assurés par exemple, et des classes bourrées à craquer ( dans mon bahut, des 6e à 30 l'an prochain contre 28 cette année).
Mais tu as raison: pour l'avoir vécu de l'intérieur, en dehors du Snalc, les autres syndicats ne se préoccupent guère de la souffrance des professeurs et de ses raisons, pour eux le problème est purement un problème de moyens. Nous avons des élèves de plus en plus difficiles? ben mettez moins d'élèves par classe et un miracle interviendra. (faut dire ça à mes carrossiers, qui n'étaient que 7 et qu'il était impossible de faire travailler sur un texte).
Rien sur le manque d'effort, sur les méthodes pédagogiques aberrantes, le prof transformé en animateur...
je vais donc (et de toute façon je change de métier) changer de syndicat l'an prochain.
Mais tu as raison: pour l'avoir vécu de l'intérieur, en dehors du Snalc, les autres syndicats ne se préoccupent guère de la souffrance des professeurs et de ses raisons, pour eux le problème est purement un problème de moyens. Nous avons des élèves de plus en plus difficiles? ben mettez moins d'élèves par classe et un miracle interviendra. (faut dire ça à mes carrossiers, qui n'étaient que 7 et qu'il était impossible de faire travailler sur un texte).
Rien sur le manque d'effort, sur les méthodes pédagogiques aberrantes, le prof transformé en animateur...
je vais donc (et de toute façon je change de métier) changer de syndicat l'an prochain.
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Quand tout va mal, quand il n'y a plus aucun espoir, il nous reste Michel Sardou
La famille Bélier
- Karine B.Guide spirituel
Reine Margot a écrit:
Mais tu as raison: pour l'avoir vécu de l'intérieur, en dehors du Snalc, les autres syndicats ne se préoccupent guère de la souffrance des professeurs et de ses raisons, pour eux le problème est purement un problème de moyens.
http://www.snes.fr/Rapport-du-CNAM-sur-le-travail.html
http://www.snes.edu/La-souffrance-au-travail-depasser.html
Les stages syndicaux sur cette question sont régulièrement supprimés faute d'inscrits
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- CelebornEsprit sacré
Karine B. a écrit:Marie Laetitia a écrit:c'est bien, les arguments que j'ai sorti à propos des salaires c'est peanuts...
Mais comment voulez-vous capter la faveur de l'opinion en défendant votre pré carré? Je ne saisis pas. Crier contre les suppressions, OK parce que ça a un impact sur les parents d'élèves. Mais pas les salaires, nos salaires sont supérieurs au salaire médian. Ce n'est pas rien !
pour un bac + 5 ? ça m'étonnerait
Marie Laetitia parlait en termes de communication. On est bien d'accord, Karine, que nos salaires sont ridicules compte-tenu de notre niveau d'étude, des conditions de travail de nombre d'entre nous et de l'évolution du coût de la vie mis en parallèle à la non-évolution, justement, de notre traitement. Mais comme le dit barèges, ce n'est pas parce qu'on a raison sur ce point qu'on pourra être entendu : il y a beaucoup d'autres points sur lesquels on a aussi raison mais qui, eux, permettraient de nous entendre nettement plus clairement.
L'un des soucis, je pense, c'est qu'on communique sur tout, tout le temps, et qu'on fait des grèves qui ressemblent à une potée tout légumes, question liste de revendications. À la fin, on retient évidemment quoi : l'argent et les postes, « comme d'habitude ». Donc forcément, question com', ça fait juste « tiens, les enseignants sont encore en grève pour demander + de sous, ah les branleurs qui ont pourtant des tas de vacances ». Il faudrait peut-être organiser une vraie com' intersyndicale NOURRIE, avec un slogan choc repris par tous sur une longue période, et qui concerne UNIQUEMENT les conditions de travail. À la suite de cette com', pendant laquelle on ne ferait d'ailleurs pas grève, pour que tout le monde ait le temps de mettre de l'argent de côté, on pourrait peut-être lancer un mouvement d'ampleur, et oui, désolé de le redire, trouver en parallèle ou même à la place des modes d'intervention liés à l'évaluation, aux examens, à la rétention de notes, etc. QUitte à perdre 1/30e de notre salaire, ce que l'on subit de toute façon quand on fait grève, autant bloquer réellement le système.
Voilà, tu vois, je ne dis pas que ça marcherait — je n'en sais rien — mais je propose…
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"On va bien lentement dans ton pays ! Ici, vois-tu, on est obligé de courir tant qu'on peut pour rester au même endroit. Si on veut aller ailleurs, il faut courir au moins deux fois plus vite que ça !" (Lewis Carroll)
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- Reine MargotDemi-dieu
Karine B. a écrit:Reine Margot a écrit:
Mais tu as raison: pour l'avoir vécu de l'intérieur, en dehors du Snalc, les autres syndicats ne se préoccupent guère de la souffrance des professeurs et de ses raisons, pour eux le problème est purement un problème de moyens.
http://www.snes.fr/Rapport-du-CNAM-sur-le-travail.html
http://www.snes.edu/La-souffrance-au-travail-depasser.html
Les stages syndicaux sur cette question sont régulièrement supprimés faute d'inscrits
oui, je connais mais quand on aborde la question des causes de cette souffrance, ben "c'est un problème de société auquel on ne peut rien" et "la solution c'est moins d'élèves par classe". Et on cherche à traiter en aval (secondes carrières, etc). Mais dire que certaines méthodes pédagogiques sont aberrantes ou qu'il faut rétablir l'autorité des profs (ex en conseil de classe), là non.
- Marie LaetitiaBon génie
Celeborn a écrit:Karine B. a écrit:Marie Laetitia a écrit:c'est bien, les arguments que j'ai sorti à propos des salaires c'est peanuts...
Mais comment voulez-vous capter la faveur de l'opinion en défendant votre pré carré? Je ne saisis pas. Crier contre les suppressions, OK parce que ça a un impact sur les parents d'élèves. Mais pas les salaires, nos salaires sont supérieurs au salaire médian. Ce n'est pas rien !
pour un bac + 5 ? ça m'étonnerait
Marie Laetitia parlait en termes de communication. On est bien d'accord, Karine, que nos salaires sont ridicules compte-tenu de notre niveau d'étude, des conditions de travail de nombre d'entre nous et de l'évolution du coût de la vie mis en parallèle à la non-évolution, justement, de notre traitement. Mais comme le dit barèges, ce n'est pas parce qu'on a raison sur ce point qu'on pourra être entendu : il y a beaucoup d'autres points sur lesquels on a aussi raison mais qui, eux, permettraient de nous entendre nettement plus clairement.
L'un des soucis, je pense, c'est qu'on communique sur tout, tout le temps, et qu'on fait des grèves qui ressemblent à une potée tout légumes, question liste de revendications. À la fin, on retient évidemment quoi : l'argent et les postes, « comme d'habitude ». Donc forcément, question com', ça fait juste « tiens, les enseignants sont encore en grève pour demander + de sous, ah les branleurs qui ont pourtant des tas de vacances ». Il faudrait peut-être organiser une vraie com' intersyndicale NOURRIE, avec un slogan choc repris par tous sur une longue période, et qui concerne UNIQUEMENT les conditions de travail. À la suite de cette com', pendant laquelle on ne ferait d'ailleurs pas grève, pour que tout le monde ait le temps de mettre de l'argent de côté, on pourrait peut-être lancer un mouvement d'ampleur, et oui, désolé de le redire, trouver en parallèle ou même à la place des modes d'intervention liés à l'évaluation, aux examens, à la rétention de notes, etc. QUitte à perdre 1/30e de notre salaire, ce que l'on subit de toute façon quand on fait grève, autant bloquer réellement le système.
Voilà, tu vois, je ne dis pas que ça marcherait — je n'en sais rien — mais je propose…
eh bien, ça, je pourrais y adhérer, parce que c'est construit, entre autres pour le message soit bien transmis en amont et durant l'évènement (la grève), qui doit forcément durer pour avoir un intérêt.
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Si tu crois encore qu'il nous faut descendre dans le creux des rues pour monter au pouvoir, si tu crois encore au rêve du grand soir, et que nos ennemis, il faut aller les pendre... Aucun rêve, jamais, ne mérite une guerre. L'avenir dépend des révolutionnaires, mais se moque bien des petits révoltés. L'avenir ne veut ni feu ni sang ni guerre. Ne sois pas de ceux-là qui vont nous les donner (J. Brel, La Bastille)
Antigone, c'est la petite maigre qui est assise là-bas, et qui ne dit rien. Elle regarde droit devant elle. Elle pense. [...] Elle pense qu'elle va mourir, qu'elle est jeune et qu'elle aussi, elle aurait bien aimé vivre. Mais il n'y a rien à faire. Elle s'appelle Antigone et il va falloir qu'elle joue son rôle jusqu'au bout...
Et on ne dit pas "voir(e) même" mais "voire" ou "même".
- InvitéInvité
Karine B. a écrit:yoaken a écrit:Si on regarde l'Histoire, les mouvements grevistes qui ont eu un effet notable sur l'amélioration des conditions de travail ont été les grêves dures, où chacun a dû mettre en jeu sa propre position sans se préoccuper de tout perdre. Parce que chacun estimait n'avoir plus rien à perdre.
Un mouvement dur commence toujours par une journée de grève, on n'annonce pas d'emblée une grève illimitée
un mouvement dur commence par un vrai désir des profs d'en découdre, relayé par les militants dans les établissements. Pas de façon isolée; il faut que la même semaine, les AG dans les établissements abordent les motifs de grève et qu'on demande aux (nombreux) présents s'ils sont prêts à faire une grève longue.
Je n'ai connu ça que dans les LP du 93 il y a une dizaine d'années.
Même pendant la grève pour les retraites, les profs n'ont pas suivi. Il y avait peut-être du monde dans la rue les jours de manif, mais il n'y a pas eu de dynamique. Comme si on n'y croyait plus.
- rgoldsniperNiveau 1
Encore une grève qui ne servira à rien sauf à économiser une journée sur le salaire d'un prof.
Encore une grève où je n'irais pas.
Oui pour une grève sur le long terme, relayé au sein des établissements, qui prendra en compte les conditions de travail, la difficulté d'exercer ce métier, où les syndicats se préoccuperont des suppressions de postes ET des individus.
Pourquoi ne propose t-on jamais de boycotté le brevet ou le bac, histoire de foutre un beau bordel...De toute manière, ces diplômes n'ont plus aucune valeur, il n'y a qu'à voir comment aujourd'hui on corrige les copies...ou il faut à tout prix valoriser tout ce que l'élève écrit pour atteindre les % requis.
Encore une grève où je n'irais pas.
Oui pour une grève sur le long terme, relayé au sein des établissements, qui prendra en compte les conditions de travail, la difficulté d'exercer ce métier, où les syndicats se préoccuperont des suppressions de postes ET des individus.
Pourquoi ne propose t-on jamais de boycotté le brevet ou le bac, histoire de foutre un beau bordel...De toute manière, ces diplômes n'ont plus aucune valeur, il n'y a qu'à voir comment aujourd'hui on corrige les copies...ou il faut à tout prix valoriser tout ce que l'élève écrit pour atteindre les % requis.
- InvitéInvité
mais qu'est-ce que c'est que tous ces nouveaux inscrits qui font des fautes ces derniers temps?
- frankensteinVénérable
Personnellement, je préfère me battre pour une augmentation conséquente des salaires plutôt que pour les postes...16 000 postes supprimés, ce n'est que 2% de l'effectif enseignant (je vais être un peu méchant, mais si je prends 100 postes que je connais, on peut largement en supprimer deux et plus sans aucune conséquence sur le nombre d'élèves par classe (à condition que ce soit bien géré ! :diable: )
Après pour une augmentation de 10 à 20 %, effectivement, c'est un plus gros effort financier pour l'Etat (énorme, même, il faut le savoir...)
Après pour une augmentation de 10 à 20 %, effectivement, c'est un plus gros effort financier pour l'Etat (énorme, même, il faut le savoir...)
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Mettez des pouces verts sur : https://www.youtube.com/user/Choristenimes/ videos
Si les élections pouvaient changer la société, elles seraient interdites.
- rgoldsniperNiveau 1
@ Lorica : Cela n'a rien d'étonnant, tous les nouveaux inscrits n'ont pas été formés pour raison budgétaire, il est donc tout à fait normal que nous fassions des fotteuhs daurtaugrafe !
- User5899Demi-dieu
Eh oui, mais sur un forum, il faut rester poli...Karine B. a écrit:Cripure a écrit:Non non, Dhaiphi, pas du tout. Je ne souhaite pas en promouvoir un autre. Je ne dis rien de plus que ce que j'ai dit.Dhaiphi a écrit:Karine B. a écrit:un syndicat majoritaire a des responsabilités que n'a pas un autre
Et c'est parti, quel que soit le sujet, ça se termine par une guégerre inter-syndicats... Dommage !
C'est dommage : j'espérais LA révélation
- DhaiphiGrand sage
Cripure a écrit:Eh oui, mais sur un forum, il faut rester poli...
Tu as raison Cripure, il n'existe pas de "guéguerre", cette dernière intervention m'en persuade totalement.
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De toutes les écoles que j’ai fréquentées, c’est l’école buissonnière qui m’a paru la meilleure.
[Anatole France]
J'aime les regretteurs d'hier qui voudraient changer le sens des rivières et retrouver dans la lumière la beauté d'Ava Gardner.
[Alain Souchon]
- User5899Demi-dieu
Oui, et surtout, tronquons bien les citations, ne relisons jamais l'ensemble, ré-a-gis-sons ! Construisons, là, sous la main, un vrai crétinisme à visage humainDhaiphi a écrit:Cripure a écrit:Eh oui, mais sur un forum, il faut rester poli...
Tu as raison Cripure, il n'existe pas de "guéguerre", cette dernière intervention m'en persuade totalement.
- User5899Demi-dieu
C'est le principe des concours, Lorica. On peut en être lauréat, en période de vaches maigres, à peu de frais. Même mes T L de cette année ont tous les espoirs d'être un jour lauréats de l'agreg de lettres classiques. Un examen, en revanche...Lorica a écrit:mais qu'est-ce que c'est que tous ces nouveaux inscrits qui font des fautes ces derniers temps?
- User5899Demi-dieu
Pour quelle autre raison certains ont-ils été formés ?rgoldsniper a écrit:@ Lorica : Cela n'a rien d'étonnant, tous les nouveaux inscrits n'ont pas été formés pour raison budgétaire, il est donc tout à fait normal que nous fassions des fotteuhs daurtaugrafe !
Comme quoi, l'orthographe est la partie émergée de l'iceberg...
- frecheGrand sage
Lorica a écrit:mais qu'est-ce que c'est que tous ces nouveaux inscrits qui font des fautes ces derniers temps?
ben, c'est un nouvel inscrit d'il y a un an (qui fait des fautes)
- InvitéInvité
il fait les mêmes fautes qu'un autre nouvel inscrit...
- frankensteinVénérable
Comme quoi c'était pas mieux avant... :lol!:Lorica a écrit:il fait les mêmes fautes qu'un autre nouvel inscrit...
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Mettez des pouces verts sur : https://www.youtube.com/user/Choristenimes/ videos
Si les élections pouvaient changer la société, elles seraient interdites.
- Jim ThompsonExpert
Bah quand je vois la rentrée qu'on se prépare avec la circulaire pour augmenter les minorations (+de 8h avec moins de 20 élèves) qu'on demande aux CDE d'appliquer, d'ailleurs ce serait pas mal d'avoir l'avis des syndicats de CDE là-dessus, en plus de la réforme, des suppressions, des ECLAIRS, du gel des salaire, du socle
j'ai vraiment envie que cette journée soit le début d'une riposte unitaire!
j'ai vraiment envie que cette journée soit le début d'une riposte unitaire!
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CAPA/CAPN: SNES CTA/CTM: FSU
- FinrodExpert
pour augmenter les minorations (+de 8h avec moins de 20 élèves)
Ce serait pas plutôt pour augmenter les majorations ? (une heure en + à faire lorsque que l'on a 8h avec moins de 20 élèves)
edit : emmanuel.leclainche.ecole.pagespro-orange.fr/copie.doc
(je ne savais pas qu'il existait des minorations pour les effectifs supérieurs à 35 par contre)
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