- AudreyOracle
Ah, mais tu dois sans doute parler de la description des effets pervers de la note! lol
- ProvenceEnchanteur
Tout à fait, mais j'arrive à la révolutionnisation des mentalisations!
- ProvenceEnchanteur
C'est beau, la théorie...
- Saint-LoupNiveau 5
Je n'ai pas réussi à entendre le passage sur le "ça", je le déplore mais cela ne m'empêche de te remercier toi et tes collègues (Damien me laisse perplexe cependant :darkvador: ): ne lâchons rien.
- AudreyOracle
le ça, c'est au tout début... quand elle évoque les compétences que l'élève aurait à sa disposition, dans son frigo...
- PseudoDemi-dieu
Je ne sais pas si les compétences et tout le toutim sont une bonne idée théorique.
Mais moi, je suis comme Josiane Balasko dans La Smala: je crois ce que je vois, et ce que je vois, c'est pas du marbre.
Il ne faut pas que le gamin travaille pour la note. Fort bien. Mais avec la validation des compétences, le bédeuzi par exemple, le gamin travaille a demander la validation d'items dont il ne comprend même pas l'intitulé, éventuellement en allant pomper le laius sur le net (compétences de savoir être et de savoir faire).
Les adultes courent aussi après la validation de ses putains d'items et se posent des questions passionnantes du type : "que leur faire faire en 45 minutes en salle info pour valider le max de compétences" (incompétence de savoir être et de savoir faire : vous êtes le maillon faible)
Ou mieux, valident à la volée et en vitesse des compétences jamais travaillées avec les élèves (pour que le chef soit content : compétence savoir lécher validée).
Passionnant... Et plein de sens pour les apprentissages, n'est-il pas ?
Mais moi, je suis comme Josiane Balasko dans La Smala: je crois ce que je vois, et ce que je vois, c'est pas du marbre.
Il ne faut pas que le gamin travaille pour la note. Fort bien. Mais avec la validation des compétences, le bédeuzi par exemple, le gamin travaille a demander la validation d'items dont il ne comprend même pas l'intitulé, éventuellement en allant pomper le laius sur le net (compétences de savoir être et de savoir faire).
Les adultes courent aussi après la validation de ses putains d'items et se posent des questions passionnantes du type : "que leur faire faire en 45 minutes en salle info pour valider le max de compétences" (incompétence de savoir être et de savoir faire : vous êtes le maillon faible)
Ou mieux, valident à la volée et en vitesse des compétences jamais travaillées avec les élèves (pour que le chef soit content : compétence savoir lécher validée).
Passionnant... Et plein de sens pour les apprentissages, n'est-il pas ?
- ProvenceEnchanteur
En fait, il faudrait des enfants ayant une maturité d'adultes avant d'avoir mûri, une curiosité d'humanistes avant d'avoir appris. Là, ils travailleraient vraiment pour le savoir, pas pour la note...
- JPhMMDemi-dieu
MBS...Finrod a écrit:Tiens j'ai cherché sur google http://www.unige.ch/fapse/SSE/teachers/perrenoud/php_main/php_2004/2004_01.html#heading2
Il est très fort :
À la fin d'un entraînement ou d'un match, l'entraîneur n'a pas besoin d'une épreuve supplémentaire pour évaluer ce que ses joueurs savent et savent faire. Il lui suffit de les observer sur le terrain.
- Spoiler:
- Mais Bien Sûr...
Mais il y a que la performance qui soit observable, puisque l'individu "performe" la résolution d'un problème par l'investissement imparfait d'une infime partie d'un tissu de compétences dans un contexte personnel et environnemental donnés. Laissez-moi vous donner un exemple. Un jeune homme qui serait ancien médaillé d'or olympique du 100 mètres sprint est renversé par une voiture et devient tétraplégique. Jamais plus il ne pourra faire de performance en 100 mètres. A-t-il perdu sa compétence ? ou seulement sa performance ? Personnellement, j'ai mon idée là-dessus. Ce n'est pas un exemple creux. J'ai des élèves qui font un jour, ne peuvent plus faire le lendemain, et refont le surlendemain. Leurs performances ne sont pas égales, mais il m'est difficile de croire que leur compétence soit fluctuante. Ou alors cela signifierait que valider une compétence n'a pas de sens.
Mais un athlète, valide, apprend à performer sa compétence au jour J, et cela demande des années d'un apprentissage douloureux. Quand les élèves ont-ils appris à faire cela ? quand ont-ils appris cette douleur ? Je vous réponds : par la note. Leur enlever cet apprentissage c'est les condamner à échouer tous les examens et concours qu'ils devront passer éventuellement après le bac, ou dans la vie professionnelle.
Et là l'interlocuteur 1. ne comprend pas où je veux l'amener 2. est convaincu que je suis un apôtre d'Alain. Il conçoit un a-priori, et bien sûr, en général, ça tourne mal.
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Labyrinthe où l'admiration des ignorants et des idiots qui prennent pour savoir profond tout ce qu'ils n'entendent pas, les a retenus, bon gré malgré qu'ils en eussent. — John Locke
Je crois que je ne crois en rien. Mais j'ai des doutes. — Jacques Goimard
- AudreyOracle
JPh:
- JPhMMDemi-dieu
Voilà.Pseudo a écrit:Je ne sais pas si les compétences et tout le toutim sont une bonne idée théorique.
Mais moi, je suis comme Josiane Balasko dans La Smala: je crois ce que je vois, et ce que je vois, c'est pas du marbre.
Il ne faut pas que le gamin travaille pour la note. Fort bien. Mais avec la validation des compétences, le bédeuzi par exemple, le gamin travaille a demander la validation d'items dont il ne comprend même pas l'intitulé, éventuellement en allant pomper le laius sur le net (compétences de savoir être et de savoir faire).
Les adultes courent aussi après la validation de ses putains d'items et se posent des questions passionnantes du type : "que leur faire faire en 45 minutes en salle info pour valider le max de compétences" (incompétence de savoir être et de savoir faire : vous êtes le maillon faible)
Ou mieux, valident à la volée et en vitesse des compétences jamais travaillées avec les élèves (pour que le chef soit content : compétence savoir lécher validée).
Passionnant... Et plein de sens pour les apprentissages, n'est-il pas ?
Le résultat sera des élèves très compétents dans l'item "validation des compétences". Et ailleurs ?
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Labyrinthe où l'admiration des ignorants et des idiots qui prennent pour savoir profond tout ce qu'ils n'entendent pas, les a retenus, bon gré malgré qu'ils en eussent. — John Locke
Je crois que je ne crois en rien. Mais j'ai des doutes. — Jacques Goimard
- AudreyOracle
les compétences "faire preuve de servilité", "se montrer insipide" seront aussi à l'honneur...
- InvitéInvité
c'est là que ces formateurs vont se révéler très utiles...Audrey a écrit:les compétences "faire preuve de servilité", "se montrer insipide" seront aussi à l'honneur...
- PseudoDemi-dieu
JPhMM a écrit:Voilà.Pseudo a écrit:Je ne sais pas si les compétences et tout le toutim sont une bonne idée théorique.
Mais moi, je suis comme Josiane Balasko dans La Smala: je crois ce que je vois, et ce que je vois, c'est pas du marbre.
Il ne faut pas que le gamin travaille pour la note. Fort bien. Mais avec la validation des compétences, le bédeuzi par exemple, le gamin travaille a demander la validation d'items dont il ne comprend même pas l'intitulé, éventuellement en allant pomper le laius sur le net (compétences de savoir être et de savoir faire).
Les adultes courent aussi après la validation de ses putains d'items et se posent des questions passionnantes du type : "que leur faire faire en 45 minutes en salle info pour valider le max de compétences" (incompétence de savoir être et de savoir faire : vous êtes le maillon faible)
Ou mieux, valident à la volée et en vitesse des compétences jamais travaillées avec les élèves (pour que le chef soit content : compétence savoir lécher validée).
Passionnant... Et plein de sens pour les apprentissages, n'est-il pas ?
Le résultat sera des élèves très compétents dans l'item "validation des compétences". Et ailleurs ?
Cela dit, dans la vie professionnelle, c'est très utile. On assiste à des choses surprenantes. Partout on instaure des mesures et des validation. De l'activité, de la qualité, de la performance, etc...
Le salarié, bien informé des mesures, peut tout à fait tourner toute son activité a avoir de beaux tableaux de bords, avoir des supers taux de performance, sans pour autant satisfaire la tache de départ. Un exemple. Mettons un service de traitement du courrier. On mesure le nombre de courriers reçus, le nombre de courrier envoyés, le nombre de jours entre le courrier reçu et la réponse envoyée.Bref, tout ce qui est chiffrable. Un salarié malin va répondre même de façon idiote mais en très peu de temps au client, qui va ré-écrire. Tous les indicateurs sont au vert, le salarié est un cador. Mais le client n'est toujours pas satisfait.
- JPhMMDemi-dieu
Oui, d'autant que, pour le dire plus simplement, "montrer sa compétence" est une chose qui s'apprend, et je suis à peu près convaincu que cela demande une très grande maturité, qui n'est d'ailleurs pas acquise à tous les adultes que je connais (moi-même, pendant les oraux... bref, passons... ). Alors, demander à des élèves qui n'ont certainement pas cette maturité, ou très rarement, de savoir faire cela, c'est les mettre dans une situation intenable. Il faudra bien qu'ils se sortent de cette situation injuste en élaborant les stratégies que tu énonces. Par une compétence sociale donc. Et malheur aux pathologiquement timides (argument que ma CdE a évacué en disant qu'il s'agissait d'une exception hyper-minoritaire. J'apprenais ce jour-là que les gamins de 14-15 ans ne sont qu'hyper-minoritairement timides... :shock: )Audrey a écrit:les compétences "faire preuve de servilité", "se montrer insipide" seront aussi à l'honneur...
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Je crois que je ne crois en rien. Mais j'ai des doutes. — Jacques Goimard
- JPhMMDemi-dieu
Pseudo a écrit:JPhMM a écrit:Voilà.Pseudo a écrit:Je ne sais pas si les compétences et tout le toutim sont une bonne idée théorique.
Mais moi, je suis comme Josiane Balasko dans La Smala: je crois ce que je vois, et ce que je vois, c'est pas du marbre.
Il ne faut pas que le gamin travaille pour la note. Fort bien. Mais avec la validation des compétences, le bédeuzi par exemple, le gamin travaille a demander la validation d'items dont il ne comprend même pas l'intitulé, éventuellement en allant pomper le laius sur le net (compétences de savoir être et de savoir faire).
Les adultes courent aussi après la validation de ses putains d'items et se posent des questions passionnantes du type : "que leur faire faire en 45 minutes en salle info pour valider le max de compétences" (incompétence de savoir être et de savoir faire : vous êtes le maillon faible)
Ou mieux, valident à la volée et en vitesse des compétences jamais travaillées avec les élèves (pour que le chef soit content : compétence savoir lécher validée).
Passionnant... Et plein de sens pour les apprentissages, n'est-il pas ?
Le résultat sera des élèves très compétents dans l'item "validation des compétences". Et ailleurs ?
Cela dit, dans la vie professionnelle, c'est très utile. On assiste à des choses surprenantes. Partout on instaure des mesures et des validation. De l'activité, de la qualité, de la performance, etc...
Le salarié, bien informé des mesures, peut tout à fait tourner toute son activité a avoir de beaux tableaux de bords, avoir des supers taux de performance, sans pour autant satisfaire la tache de départ. Un exemple. Mettons un service de traitement du courrier. On mesure le nombre de courriers reçus, le nombre de courrier envoyés, le nombre de jours entre le courrier reçu et la réponse envoyée.Bref, tout ce qui est chiffrable. Un salarié malin va répondre même de façon idiote mais en très peu de temps au client, qui va ré-écrire. Tous les indicateurs sont au vert, le salarié est un cador. Mais le client n'est toujours pas satisfait.
Oui, et le monde de l'éducation est tombé dans le travers d'une partie du monde du travail (plus précisément, dans certain univers, que j'ai connu).
Ceux qui font semblant de travailler.
Ceux qui font semblant de croire que les premiers travaillent, et qui valident.
Ceux qui font semblant de croire que les validations sont sincères.
Ceux qui font semblant d'analyser toute la machine, qui font semblant de dire que tout va pour le mieux, et que ça marche très bien.
Et tout ce beau monde de faire semblant de croire ces derniers quand ils leur disent que le système est merveilleux et n'a jamais aussi bien marché.
Et au bout du tunnel, le mur.
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Labyrinthe où l'admiration des ignorants et des idiots qui prennent pour savoir profond tout ce qu'ils n'entendent pas, les a retenus, bon gré malgré qu'ils en eussent. — John Locke
Je crois que je ne crois en rien. Mais j'ai des doutes. — Jacques Goimard
- AudreyOracle
Vous auriez dû voir le moment où on a évoqué la question de l'évaluation de la "sensibilité"...
La formatrice a soutenu que c'était évaluable, moi non... à la fin elle disait "Mais euh... vous êtes sûre que ce n'est pas évaluable?"
La formatrice a soutenu que c'était évaluable, moi non... à la fin elle disait "Mais euh... vous êtes sûre que ce n'est pas évaluable?"
- Saint-LoupNiveau 5
Je n'ai toujours pas mis la main sur le "ça" et le frigo, je verrai, non j'écouterai, cela demain. J'ai bien aimé "S'il ya un socle, il y a une statue".Mais s''il y a une statue, il y a un socle ? Je suppose que oui, il serait bon que je sois éclairée par un professeur d'arts plastiques... je sens que je ne vais pas tout valider. :lecteur:
- PseudoDemi-dieu
JPhMM a écrit:Pseudo a écrit:JPhMM a écrit:Voilà.Pseudo a écrit:Je ne sais pas si les compétences et tout le toutim sont une bonne idée théorique.
Mais moi, je suis comme Josiane Balasko dans La Smala: je crois ce que je vois, et ce que je vois, c'est pas du marbre.
Il ne faut pas que le gamin travaille pour la note. Fort bien. Mais avec la validation des compétences, le bédeuzi par exemple, le gamin travaille a demander la validation d'items dont il ne comprend même pas l'intitulé, éventuellement en allant pomper le laius sur le net (compétences de savoir être et de savoir faire).
Les adultes courent aussi après la validation de ses putains d'items et se posent des questions passionnantes du type : "que leur faire faire en 45 minutes en salle info pour valider le max de compétences" (incompétence de savoir être et de savoir faire : vous êtes le maillon faible)
Ou mieux, valident à la volée et en vitesse des compétences jamais travaillées avec les élèves (pour que le chef soit content : compétence savoir lécher validée).
Passionnant... Et plein de sens pour les apprentissages, n'est-il pas ?
Le résultat sera des élèves très compétents dans l'item "validation des compétences". Et ailleurs ?
Cela dit, dans la vie professionnelle, c'est très utile. On assiste à des choses surprenantes. Partout on instaure des mesures et des validation. De l'activité, de la qualité, de la performance, etc...
Le salarié, bien informé des mesures, peut tout à fait tourner toute son activité a avoir de beaux tableaux de bords, avoir des supers taux de performance, sans pour autant satisfaire la tache de départ. Un exemple. Mettons un service de traitement du courrier. On mesure le nombre de courriers reçus, le nombre de courrier envoyés, le nombre de jours entre le courrier reçu et la réponse envoyée.Bref, tout ce qui est chiffrable. Un salarié malin va répondre même de façon idiote mais en très peu de temps au client, qui va ré-écrire. Tous les indicateurs sont au vert, le salarié est un cador. Mais le client n'est toujours pas satisfait.
Oui, et le monde de l'éducation est tombé dans le travers d'une partie du monde du travail (plus précisément, dans certain univers, que j'ai connu).
Ceux qui font semblant de travailler.
Ceux qui font semblant de croire que les premiers travaillent, et qui valident.
Ceux qui font semblant de croire que les validations sont sincères.
Ceux qui font semblant d'analyser toute la machine, qui font semblant de dire que tout va pour le mieux, et que ça marche très bien.
Et tout ce beau monde de faire semblant de croire ces derniers quand ils leur disent que le système est merveilleux et n'a jamais aussi bien marché.
Et au bout du tunnel, le mur.
Tu dois parler d'EDF (et accessoirement des centrales nucléaires) je suppose.
- AudreyOracle
le ça c'est dans les premières minutes, Saint-Loup, mais faut être attentif... c'est surtout ma réaction sur Freud qu'on entend en fait...
- JPhMMDemi-dieu
C'est ce que je trouve de plus puant dans cette affaire.Audrey a écrit:Vous auriez dû voir le moment où on a évoqué la question de l'évaluation de la "sensibilité"...
La formatrice a soutenu que c'était évaluable, moi non... à la fin elle disait "Mais euh... vous êtes sûre que ce n'est pas évaluable?"
Peu réalisent qu'à la fin l'évaluation des compétences qui nous est proposée va passer par une évaluation de certains traits de caractère — désolé si je ne développe pas, l'argumentaire est un peu long, mais je crois que vous comprenez ce que je veux dire. Je trouve cela immonde.
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Je crois que je ne crois en rien. Mais j'ai des doutes. — Jacques Goimard
- InvitéInvité
mais comment en sommes-nous arrivés là?
comment des charlatans ont-ils pu prendre le pouvoir et cracher ainsi sur le savoir?
comment des charlatans ont-ils pu prendre le pouvoir et cracher ainsi sur le savoir?
- AudreyOracle
On a clairement évoqué ce problème dans l'extrait que vous pouvez écouter... et on l'a fait encore après...
- JPhMMDemi-dieu
Et bien d'autres...Pseudo a écrit:Tu dois parler d'EDF (et accessoirement des centrales nucléaires) je suppose.
En vrac :
Bull (jadis).
Airbus.
La Société Générale.
Le système financier international.
Les CCF.
Luc Chatel...
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Je crois que je ne crois en rien. Mais j'ai des doutes. — Jacques Goimard
- AudreyOracle
Allez, vous allez rire... j'ai discuté hier sur meetic avec un mec qui se trouve être sur la liste interne de martine aubry (oui les voies de meetic sont impénétrables)...il m'a dit sans détour que les pédagogols étaient au pouvoir, et qu'il n'y avait aucun retour possible malheureusement... qu'ils nous avaient complètement couillonnés depuis un moment.
Il m'a aussi expliqué que le vote enseignant, ils s'en fichaient complètement, vu qu'en 2002, on a massivement voté pour chevènement et besancenot...en fait, tout le monde se fout des profs, même en terme de vote... c'est déprimant...
Ce mec de meetic, il est prof....
Il m'a aussi expliqué que le vote enseignant, ils s'en fichaient complètement, vu qu'en 2002, on a massivement voté pour chevènement et besancenot...en fait, tout le monde se fout des profs, même en terme de vote... c'est déprimant...
Ce mec de meetic, il est prof....
- Saint-LoupNiveau 5
@JPhMM
Hors de question d'évaluer les élèves là-dessus, c'est abject, je suis d'accord. Donc, soit je valide tout, soit je ne valide rien, soit je valide des items ridicules et je perds un temps fou au lieu de leur apprendre deux-trois bricoles (je n'ai pas encore bien compris où se situe la marge de manoeuvre).
Hors de question d'évaluer les élèves là-dessus, c'est abject, je suis d'accord. Donc, soit je valide tout, soit je ne valide rien, soit je valide des items ridicules et je perds un temps fou au lieu de leur apprendre deux-trois bricoles (je n'ai pas encore bien compris où se situe la marge de manoeuvre).
- JPhMMDemi-dieu
Aucune marge de manœuvre. Tout valider, toujours.Saint-Loup a écrit:@JPhMM
Hors de question d'évaluer les élèves là-dessus, c'est abject, je suis d'accord. Donc, soit je valide tout, soit je ne valide rien, soit je valide des items ridicules et je perds un temps fou au lieu de leur apprendre deux-trois bricoles (je n'ai pas encore bien compris où se situe la marge de manoeuvre).
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