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- JohnMédiateur
http://www.enseignons.be/actualites/2011/02/20/pierre-pirard-patron-prof/
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Vous n’êtes pas des élèves de merde
"Pierre Pirard, grand cadre international, issu d’une grande école, décide à 45 ans de démissionner et de devenir ...prof. Mais pas n’importe où, il choisit délibérément de rejoindre un établissement dont la majorité des élèves sont issus de l’immigration.
Et il décide d’enseigner ce qu’il sait faire : créer des entreprises. Conscient que toute une génération de jeunes ne peut pas intégrer le monde du travail tel qu’il se présente, il fait le pari formidable de les pousser à créer leur propre emploi.
Voici une année de la vie d’un prof racontée avec humour, cruauté et parfois tristesse faite de surprises, de défis relevés, de confrontations avec l’enseignement et avec des élèves issus d’un milieu qu’il n’avait jamais fréquenté jusque là".
Sortie le 17 mars.
Pierre Pirard : le patron devenu prof
Non, on ne devient pas forcément enseignant faute de mieux, par dépit, parce qu’il faut bien faire quelque chose. On peut avoir une excellente situation et préférer la sonnerie d’une école à celle de son BlackBerry. C’est le cas de Pierre Pirard, ex-biznessman* reconverti, père de trois enfants, qui, en 2008, a tout plaqué pour commencer une nouvelle carrière dans l’enseignement. Primes colossales, voyages d’affaires, vacances au soleil… L’homme qui pour s’endormir comptait les euros, afin d’éviter de penser à ses 166 employés récemment licenciés, renonce à une vie de luxe1 et se lance un nouveau défi. Il décide de sortir de cette existence qui, dit-il, « ne le fait plus bander ».
J’ai alors eu envie de transmettre ce que j’avais acquis. Transmettre mon envie d’entreprendre. Après avoir considéré l’humain comme un outil qui devait rentabiliser l’entreprise, j’ai décidé d’apprendre à devenir plus riche de la vie. Pour la première fois, mon travail n’était pas de créer une plus-value pour des actionnaires mais de créer une plus-value humaine.
Avec un CV comme le sien – il est licencié en droit à l’ULB et titulaire d’une licence en gestion commerciale à Solvay -, il aurait pu intégrer un prestigieux établissement secondaire voire supérieur. Mais c’est à Molenbeek qu’il posera ses valises pour enseigner dans une école à discrimination positive… en 7e professionnelle.
A 47 ans, lui qui a parcouru le monde pour le compte de nombreuses entreprises et multinationales n’a aucune expérience pédagogique. Il ne peut faire valoir – et c’est déjà pas mal – que son expérience professionnelle. Mais dans quel monde s’apprête-t-il à plonger? Bien sûr, il a entendu de nombreuses horreurs sur l’école et les enseignants : l’éducation est une catastrophe, les enseignants sont des fonctionnaires démotivés, le métier n’est absolument pas valorisé, certaines écoles forment des ghettos d’où ne sortent que des délinquants, on a tellement besoin de profs que l’on nomme n’importe qui…
A la découverte des « élèves de merde »
Mais il n’en a cure. Il veut à tout prix mettre son expérience au service des plus défavorisés de l’instruction publique… les fameux « élèves de merde » dont on lui a tant parlé. Mais c’est quoi, au fait, un « élève de merde »?
Il a le teint basané et s’appelle Mohamed ou alors il a les pommettes bien rouges et un nom qui finit en « insky »; c’est celui qui bascule de la filière générale en technique et de technique en professionnelle. C’est celui qui est vautré sur les bancs et dont on se demande en conseil de classe ce qu’on va faire de lui.
Ce qu’il observe, c’est que l’élève de merde, on cherche à tout prix à s’en débarrasser.
L’élève de merde réunit toutes les tares. Et comme c’est de la merde, il pue, alors on doit l’éliminer comme les déchets. Hop à la poubelle! On le place dans les mêmes établissements avec les autres élèves de son rang pour que la puanteur ne se répande pas trop dans les autres écoles. Utilité zéro car, contrairement au tas de merde, ils ne deviennent pas du fumier, engrais de croissance. Non, ceux-là sortent péniblement des études, cassés par un système éducatif, sans diplôme ou presque, avec comme seule perspective d’enchainer* des boulots d’élèves de merde.
Cours de coup de pied au cul
Mais Pierre Pirard, au lieu et place de fauves déchainés*, ne découvre en face de lui qu’une jeunesse classique, animée par des envies classiques. Ses élèves aussi veulent réussir dans la vie, fonder une famille, partir en vacances… Malgré leurs énormes difficultés d’apprentissage, le poids de leurs origines et le déterminisme socioéconomique*.
Quand je parle de faiblesse, c’est ne pas savoir ce que c’est 10% de 100. Quand j’ai posé la question, seuls deux élèves sur douze étaient capables de donner la bonne réponse. Les deux élèves qui avaient pu répondre étaient aussi d’origine nord-africaine. La différence avec les autres, c’est qu’ils avaient suivi presque tout leur cursus scolaire dans leur pays.
Très vite, l’ancien « Chief Executive Officer (CEO) » comprend que son premier travail sera d’essayer de vaincre le procrastinateur qui phagocyte ses élèves. Des jeunes qu’il dit « venir d’une autre planète ». Dans un premier temps, il raconte qu’il se serait bien vu titulaire d’un cours de « coup de pied au cul ».
Dans un livre qui vient de paraitre* aux Editions de l’Arbre – « Vous n’êtes pas des élèves de merde » - Pierre Pirard répond au brulot* de Charlotte Charpot « Madame vous êtes une prof de merde ». Oui, enseigner, c’est le plus beau métier du monde. Mais l’auteur n’en reste pas moins lucide sur les faiblesses du système scolaire belge, son caractère profondément inégalitaire notamment.
Nous avons le record mondial du système éducatif où l’influence de l’origine sociale sur les performances des élèves est la plus forte. Concrètement, l’écart Pisa entre 25% des élèves les plus riches et 25% des élèves les plus pauvres est de 136 points, ce qui correspond à quatre années d’étude. L’inégalité se marque non seulement entre élèves, mais aussi entre écoles. L’écart entre les écoles les plus fortes et les écoles les plus faibles est l’un des plus élevés au monde.
Il dénonce également le manque d’encadrement des enseignants – « Je ne suis pas suivi, pas coaché. Je pourrais enseigner la lecture en braille, que personne ne s’en rendrait compte » – et le désintérêt de la hiérarchie. Sa première rencontre avec le directeur est croustillante :
- Mais je ne parle pas le néerlandais.
- Oui, mais vous habitez une commune à facilités, m’avez-vous dit?
- Oui effectivement.
- Ça devrait aller, alors.
En conclusion de son ouvrage, Pierre Pirard propose un « plan d’action pour un enseignement de qualité, égalitaire et tourné vers l’entrepreneriat » pour améliorer la qualité de l’enseignement à court terme, favoriser l’esprit d’entreprendre et réaliser une réelle intégration et mixité. Peut-être notre ministre de l’Enseignement lira-t-elle son roman-témoignage et y puisera des idées intéressantes pour revaloriser notre métier.2
* Businessman, enchaîner, déchaîner, socio-économique, paraître, brûlot.
Les mots suivis d’un astérisque sont écrits en accord avec l’orthographe réformée.
1. Mon salaire tourne entre 1.700 et 1.900 euros par mois. Je gagnais ce montant en une journée « avant. » [↩]
2. Le Soir – 18.02.11 [↩]
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"Qui a construit Thèbes aux sept portes ? Dans les livres, on donne les noms des Rois. Les Rois ont-ils traîné les blocs de pierre ? [...] Quand la Muraille de Chine fut terminée, Où allèrent ce soir-là les maçons ?" (Brecht)
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- CarabasVénérable
Bref, si on n'y arrive pas, c'est parce que les profs sont des fonctionnaires démotivés qui veulent se débarrasser des "élèves de merde" (qui sont bien entendu basanés). Ca commence à me saoûler ce genre d'article. Et bien sûr, le savoir, on s'en fout, ce qu'il faut, c'est créer des entreprises (qu'on ne se méprenne pas je ne suis pas anti-entreprise, c'est juste que l'école, c'est le lieu des apprentissages autres, quoi...)
Déjà, rien que la première phrase m'énerve : "Non, on ne devient pas forcément enseignant faute de mieux, par dépit, parce qu’il faut bien faire quelque chose".
Déjà, rien que la première phrase m'énerve : "Non, on ne devient pas forcément enseignant faute de mieux, par dépit, parce qu’il faut bien faire quelque chose".
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Les chances uniques sur un million se réalisent neuf fois sur dix.
Terry Pratchett
- ProvenceEnchanteur
Ça me fait penser à tous ces films à grand succès vantant la méthode du prof qui avait su comprendre les élèves, lui, les faire évoluer, s'en faire respecter, faire du loup un agneau.
Tant mieux si ça fonctionne. Pour autant, je ne crois pas aux méthodes miraculeuses ou révolutionnaires.
Tant mieux si ça fonctionne. Pour autant, je ne crois pas aux méthodes miraculeuses ou révolutionnaires.
- GrypheMédiateur
Rien à voir, mais c'est quoi cette histoire d'orthographe réformée ?John a écrit:* Businessman, enchaîner, déchaîner, socio-économique, paraître, brûlot.
Les mots suivis d’un astérisque sont écrits en accord avec l’orthographe réformée.
On n'a pas la même orthographe en France et en Belgique ? :shock:
J'vais encore être prise en flagrant délit de pinaillage sur des détails, c'est tout moi ça.
- CarabasVénérable
Ca me rappelle L'homme qui murmurait à l'oreille des chevaux. :lol:Provence a écrit:Ça me fait penser à tous ces films à grand succès vantant la méthode du prof qui avait su comprendre les élèves, lui, les faire évoluer, s'en faire respecter, faire du loup un agneau.
Demandez à Ysabel ce qu'elle pense de ce film!
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- CelebornEsprit sacré
Gryphe a écrit:Rien à voir, mais c'est quoi cette histoire d'orthographe réformée ?John a écrit:* Businessman, enchaîner, déchaîner, socio-économique, paraître, brûlot.
Les mots suivis d’un astérisque sont écrits en accord avec l’orthographe réformée.
On n'a pas la même orthographe en France et en Belgique ? :shock:
J'vais encore être prise en flagrant délit de pinaillage sur des détails, c'est tout moi ça.
C'est un truc qui existe depuis longtemps (un collège TZR nous avait
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"On va bien lentement dans ton pays ! Ici, vois-tu, on est obligé de courir tant qu'on peut pour rester au même endroit. Si on veut aller ailleurs, il faut courir au moins deux fois plus vite que ça !" (Lewis Carroll)
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- ProvenceEnchanteur
Titre original : Dangerous Minds
Long-métrage américain . Genre : Thriller , Drame , Policier
Durée : 01h39min Année de production : 1995
Synopsis : Ex-membre des marines, Louanne Johnson accepte d'enseigner à la East Palo Alto Highschool, un établissement à la réputation sulfureuse. Réalisant que ses élèves possèdent de grandes capacités intellectuelles, elle décide de se battre pour les aider à apprendre.
http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=44902.html
- SaraswatiNeoprof expérimenté
Et bien moi qui suis assez souvent démotivée, j'ai une réaction plutôt enthousiaste (niaise ?), et ce genre d'article quelque part ça me donne envie de me bouger.
Parce que finalement c'est vrai qu'on est pris dans une inertie, moi non plus je n'ai envie de rien lâcher sur des savoirs de base, mais au final, il faut peut-être quand même faire avec les élèves qu'on a, et je commence à prendre du plaisir à travailler en "projets", en "pluridisciplinarité", en cours co-enseignés.
(désolée pour les gros mots ! )
Parce que finalement c'est vrai qu'on est pris dans une inertie, moi non plus je n'ai envie de rien lâcher sur des savoirs de base, mais au final, il faut peut-être quand même faire avec les élèves qu'on a, et je commence à prendre du plaisir à travailler en "projets", en "pluridisciplinarité", en cours co-enseignés.
(désolée pour les gros mots ! )
- EdgarNeoprof expérimenté
John a écrit:http://www.enseignons.be/actualites/2011/02/20/pierre-pirard-patron-prof/
Non, on ne devient pas forcément enseignant faute de mieux, par dépit, parce qu’il faut bien faire quelque chose. On peut avoir une excellente situation et préférer la sonnerie d’une école à celle de son BlackBerry.
Tout à fait d'accord et c'est valable aussi en France
J’ai alors eu envie de transmettre ce que j’avais acquis (...) Après avoir considéré l’humain comme un outil qui devait rentabiliser l’entreprise, j’ai décidé d’apprendre à devenir plus riche de la vie. Pour la première fois, mon travail n’était pas de créer une plus-value pour des actionnaires mais de créer une plus-value humaine.
Mieux vaut tard que jamais en effet
Avec un CV comme le sien – il est licencié en droit à l’ULB et titulaire d’une licence en gestion commerciale à Solvay -, il aurait pu intégrer un prestigieux établissement secondaire voire supérieur.
C'est comme cela en Belgique ? Parce qu'en France, tu repars tout en bas de l'échelle et ton passé pro et diplômes = zip, ou alors je me suis bien fait rouler.
Cours de coup de pied au cul
Il a adhéré à une solide Autonome de Solidarité avant j'espère (à moins que son tuteur n'ait été un fameux collègue poseur de banderolles et botteur de train de CDE découvert dans un autre fil fameux)
Mais Pierre Pirard, au lieu et place de fauves déchainés*, ne découvre en face de lui qu’une jeunesse classique, animée par des envies classiques. Ses élèves aussi veulent réussir dans la vie, fonder une famille, partir en vacances… Malgré leurs énormes difficultés d’apprentissage, le poids de leurs origines et le déterminisme socioéconomique*.
Un cliché en remplace un autre. Bon...dans certains quartiers Bruxellois comme à Uccle, cela peut peut-être encore passer pour une idée neuve, qui sait ?
Très vite, l’ancien « Chief Executive Officer (CEO) » comprend que son premier travail sera d’essayer de vaincre le procrastinateur qui phagocyte ses élèves. Des jeunes qu’il dit « venir d’une autre planète ». Dans un premier temps, il raconte qu’il se serait bien vu titulaire d’un cours de « coup de pied au cul ».
Vous l'aviez "très vite" aussi tous compris, je crois.
Oui, enseigner, c’est le plus beau métier du monde. Mais l’auteur n’en reste pas moins lucide sur les faiblesses du système scolaire belge, son caractère profondément inégalitaire notamment.
En conclusion de son ouvrage, Pierre Pirard propose un « plan d’action pour un enseignement de qualité, égalitaire et tourné vers l’entrepreneriat » pour améliorer la qualité de l’enseignement à court terme, favoriser l’esprit d’entreprendre et réaliser une réelle intégration et mixité. Peut-être notre ministre de l’Enseignement lira-t-elle son roman-témoignage et y puisera des idées intéressantes pour revaloriser notre métier.2
Je ne dirai rien là dessus, cela regarde les Belges après tout. Les Belges n'est-ce-pas?
(Commentaires ci-dessus sans aucun procès d'intentions a priori sur ce monsieur; juste des commentaires venus spontanément à cette lecture)
- frankensteinVénérable
Ma foi, ça ne me dérange pas du tout s'il y arrive !En conclusion de son ouvrage, Pierre Pirard propose un « plan d’action pour un enseignement de qualité, égalitaire et tourné vers l’entrepreneriat » pour améliorer la qualité de l’enseignement à court terme, favoriser l’esprit d’entreprendre et réaliser une réelle intégration et mixité. Peut-être notre ministre de l’Enseignement lira-t-elle son roman-témoignage et y puisera des idées intéressantes pour revaloriser notre métier.
Puis, si tous les les gens comme
faisaient de même, ça ne me poserait aucun problème, au contraire !Pierre Pirard, ex-biznessman* reconverti, père de trois enfants, qui, en 2008, a tout plaqué pour commencer une nouvelle carrière dans l’enseignement. Primes colossales, voyages d’affaires, vacances au soleil… L’homme qui pour s’endormir comptait les euros, afin d’éviter de penser à ses 166 employés récemment licenciés, renonce à une vie de luxe1 et se lance un nouveau défi. Il décide de sortir de cette existence qui, dit-il, « ne le fait plus bander ».
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Mettez des pouces verts sur : https://www.youtube.com/user/Choristenimes/ videos
Si les élections pouvaient changer la société, elles seraient interdites.
- Reine MargotDemi-dieu
eh ben, heureusement qu'il y a encore des candides pour se dévouer, hein...je passe mon tour!
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Quand tout va mal, quand il n'y a plus aucun espoir, il nous reste Michel Sardou
La famille Bélier
- Hervé HervéFidèle du forum
Gryphe a écrit:Rien à voir, mais c'est quoi cette histoire d'orthographe réformée ?John a écrit:* Businessman, enchaîner, déchaîner, socio-économique, paraître, brûlot.
Les mots suivis d’un astérisque sont écrits en accord avec l’orthographe réformée.
On n'a pas la même orthographe en France et en Belgique ? :shock:
J'vais encore être prise en flagrant délit de pinaillage sur des détails, c'est tout moi ça.
http://www.orthographe-recommandee.info/
et en particulier:
"4. L'accent circonflexe disparait sur i et u.
On le maintient néanmoins dans les terminaisons verbales du passé simple, du subjonctif et dans cinq cas d'ambigüité."
- InvitéInvité
marquisedemerteuil a écrit:eh ben, heureusement qu'il y a encore des candides pour se dévouer, hein...je passe mon tour!
pareil!
- AstarteeNiveau 8
marquisedemerteuil a écrit:eh ben, heureusement qu'il y a encore des candides pour se dévouer, hein...je passe mon tour!
je sais pas ce qui est le mieux... candide? ou blasé...
au moins dans un cas y'a de l'espoir.
- CelebornEsprit sacré
Astartee a écrit:marquisedemerteuil a écrit:eh ben, heureusement qu'il y a encore des candides pour se dévouer, hein...je passe mon tour!
je sais pas ce qui est le mieux... candide? ou blasé...
au moins dans un cas y'a de l'espoir.
Mais dans l'autre, on n'est pas déçu
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- AstarteeNiveau 8
Celeborn a écrit:Astartee a écrit:marquisedemerteuil a écrit:eh ben, heureusement qu'il y a encore des candides pour se dévouer, hein...je passe mon tour!
je sais pas ce qui est le mieux... candide? ou blasé...
au moins dans un cas y'a de l'espoir.
Mais dans l'autre, on n'est pas déçu
bof... pas sûr vu certaines réactions ici...
- CelebornEsprit sacré
Ça peut aussi être deux états par lesquels passe la même personne au cours du temps, hein. Les blasés ont souvent été des candides par le passé !
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- AstarteeNiveau 8
Celeborn a écrit:Ça peut aussi être deux états par lesquels passe la même personne au cours du temps, hein. Les blasés ont souvent été des candides par le passé !
ben rien n'empêche de changer de métier hein... On vit dans une société ou un CDI reste quand même la minorité des contrats de travail, et ça se vérifie de plus en plus.
- CelebornEsprit sacré
Astartee a écrit:Celeborn a écrit:Ça peut aussi être deux états par lesquels passe la même personne au cours du temps, hein. Les blasés ont souvent été des candides par le passé !
ben rien n'empêche de changer de métier hein... On vit dans une société ou un CDI reste quand même la minorité des contrats de travail, et ça se vérifie de plus en plus.
Oh alors là, tu ouvres un immense débat
En attendant, n'étant ni candide, ni blasé, je me contente très bien de mon job !
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Astartee :
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Celeborn a écrit:Astartee a écrit:Celeborn a écrit:Ça peut aussi être deux états par lesquels passe la même personne au cours du temps, hein. Les blasés ont souvent été des candides par le passé !
ben rien n'empêche de changer de métier hein... On vit dans une société ou un CDI reste quand même la minorité des contrats de travail, et ça se vérifie de plus en plus.
Oh alors là, tu ouvres un immense débat
Je crains que non, le débat est déjà largement ouvert sur un autre fil. Faites juste attention de ne pas vous faire aspirer entièrement en ouvrant la porte, et de bien fermer derrière vous pour éviter les courants d'air.
- AstarteeNiveau 8
John a écrit:Astartee :
oui, et? c'est pas parce que tu montres un exemple que je vais changer d'avis... surtout qu'il ne s'agit pas de quelque chose que tu as vécu et que tout le monde réagit différemment à ce genre de provocation.
Je trouve ça extrêmement stupide, mais pas méchant.
En plus y'a eu erreur dans la sanction: on n'envoie pas un gamin de ce genre se tourner les pouces 15 min dans le couloir, c'est évident que ça va dégénérer.
- ProvenceEnchanteur
Astartee a écrit:
En plus y'a eu erreur dans la sanction: on n'envoie pas un gamin de ce genre se tourner les pouces 15 min dans le couloir, c'est évident que ça va dégénérer.
Quel dommage que tu n'aies pas pu éclairer ce professeur lamentable qui n'a sans doute pas ta longue expérience.
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