- JohnMédiateur
Tiens oui, ça réconcilierait tout le monde, ça.On pourrait faire une sorte de grand apéro Socle géant ?
- InvitéInvité
doctor who a écrit:Intéressant ton billet !
J'y trouve de la nuance, comme dans certaines de tes réparties ici. Faut dire que cela ne doit être facile de gérer toute seule face aux fauves.
D'accord pour exploiter les différentes conformations mentales des élèves, mais pas pour faire comprendre ce qu'ils ne peuvent pas comprendre de manière "linéaire". Le but est d'être de plus en plus à l'aise avec toutes les manières de penser et de les amalgamer. Le but est à mon avis qu'on ne puisse plus dire à un élève de fin de collège qu'il est visuel ou auditif.
Je trouve que tu caricatures en revanche l'école "traditionnelle" quand tu n' vois que linéarité et verbalisme. Dès le début du siècle, on faisait illustrer les cours par les élèves. Et la méthode d'apprentissage de la lecture Borel-Maisonny, pas franchement idéo-visuelle ou intégrative, associait phonème et gestes.
Évidemment que je caricature.... la variété pédagogique est un puits sans fond et je n'ai jamais prétendu être exhaustive. Le ton des billet est loin d'être doctoral
Si ce billet t'a plu, tu peux aller voir les autres, peut être que certains te plairont aussi ...
[Autopromo )
- doctor whoDoyen
milasaintanne a écrit:doctor who a écrit:Intéressant ton billet !
J'y trouve de la nuance, comme dans certaines de tes réparties ici. Faut dire que cela ne doit être facile de gérer toute seule face aux fauves.
D'accord pour exploiter les différentes conformations mentales des élèves, mais pas pour faire comprendre ce qu'ils ne peuvent pas comprendre de manière "linéaire". Le but est d'être de plus en plus à l'aise avec toutes les manières de penser et de les amalgamer. Le but est à mon avis qu'on ne puisse plus dire à un élève de fin de collège qu'il est visuel ou auditif.
Je trouve que tu caricatures en revanche l'école "traditionnelle" quand tu n' vois que linéarité et verbalisme. Dès le début du siècle, on faisait illustrer les cours par les élèves. Et la méthode d'apprentissage de la lecture Borel-Maisonny, pas franchement idéo-visuelle ou intégrative, associait phonème et gestes.
Évidemment que je caricature.... la variété pédagogique est un puits sans fond et je n'ai jamais prétendu être exhaustive. Le ton des billet est loin d'être doctoral
Si ce billet t'a plu, tu peux aller voir les autres, peut être que certains te plairont aussi ...
[Autopromo )
Done.
_________________
Mon blog sur Tintin (entre autres) : http://popanalyse.over-blog.com/
Blog pédagogique : http://pedagoj.eklablog.com
- Marie LaetitiaBon génie
milasaintanne a écrit:
Bravo pour la progression du débat !
pour faire progresser le débat, vous pouvez toujours... répondre... aux questions posées (eh oui en 40 pages, je n'ai toujours pas eu l'honneur d'une réponse :lol!: )
_________________
Si tu crois encore qu'il nous faut descendre dans le creux des rues pour monter au pouvoir, si tu crois encore au rêve du grand soir, et que nos ennemis, il faut aller les pendre... Aucun rêve, jamais, ne mérite une guerre. L'avenir dépend des révolutionnaires, mais se moque bien des petits révoltés. L'avenir ne veut ni feu ni sang ni guerre. Ne sois pas de ceux-là qui vont nous les donner (J. Brel, La Bastille)
Antigone, c'est la petite maigre qui est assise là-bas, et qui ne dit rien. Elle regarde droit devant elle. Elle pense. [...] Elle pense qu'elle va mourir, qu'elle est jeune et qu'elle aussi, elle aurait bien aimé vivre. Mais il n'y a rien à faire. Elle s'appelle Antigone et il va falloir qu'elle joue son rôle jusqu'au bout...
Et on ne dit pas "voir(e) même" mais "voire" ou "même".
- JohnMédiateur
A mon avis, faudrait répéter les questions, parce qu'en 40 pages, elles ne sont pas forcément faciles à retrouver...
_________________
En achetant des articles au lien ci-dessous, vous nous aidez, sans frais, à gérer le forum. Merci !
"Qui a construit Thèbes aux sept portes ? Dans les livres, on donne les noms des Rois. Les Rois ont-ils traîné les blocs de pierre ? [...] Quand la Muraille de Chine fut terminée, Où allèrent ce soir-là les maçons ?" (Brecht)
"La nostalgie, c'est plus ce que c'était" (Simone Signoret)
- InvitéInvité
Marie Laetitia a écrit:milasaintanne a écrit:
Bravo pour la progression du débat !
pour faire progresser le débat, vous pouvez toujours... répondre... aux questions posées (eh oui en 40 pages, je n'ai toujours pas eu l'honneur d'une réponse :lol!: )
Heu... est ce que vous pouvez reposer la question ?
En quarante pages, j'ai peut être laissé passer quelques questions....
- Marie LaetitiaBon génie
j'obéis à John, alors
milasaintanne a écrit:
C'est marrant ce rejet systématique de tout ce qui est nouveau, différent.....
Et quand à dire que je ne donne j'amais d'arguments, je rappelle que 'jai quand même donné ici une bibliographie (jetée aux orties : trop longue), des séquences de cours (écartées : nulles), des liens et que beaucoup d'entre vous sont venus voir ce que j'écrivais sur mon blog (merci, ça augmente mes stats mais que tout ce qui sort des rails que vous vous êtes fixés est tourné en dérision, voire insulté. Un jour, je ferai un billet sur toutes les insultes personnelles que j'ai pu lire ici.... ça sera édifiant.
Bref... on pourrait avancer un peu ?
ça c'est toi qui crois que l'on rejette ce qui est nouveau. Si je te dis que j'utilise l'ENT, même même j'ai utilisé les jeux vidéos pour aborder les relations suzerain/vassal au Moyen Âge, je suis toujours considérée comme réac refusant toute nouveauté ?
Quant aux insultes, j'aimerais bien savoir desquelles tu parles..
_________________
Si tu crois encore qu'il nous faut descendre dans le creux des rues pour monter au pouvoir, si tu crois encore au rêve du grand soir, et que nos ennemis, il faut aller les pendre... Aucun rêve, jamais, ne mérite une guerre. L'avenir dépend des révolutionnaires, mais se moque bien des petits révoltés. L'avenir ne veut ni feu ni sang ni guerre. Ne sois pas de ceux-là qui vont nous les donner (J. Brel, La Bastille)
Antigone, c'est la petite maigre qui est assise là-bas, et qui ne dit rien. Elle regarde droit devant elle. Elle pense. [...] Elle pense qu'elle va mourir, qu'elle est jeune et qu'elle aussi, elle aurait bien aimé vivre. Mais il n'y a rien à faire. Elle s'appelle Antigone et il va falloir qu'elle joue son rôle jusqu'au bout...
Et on ne dit pas "voir(e) même" mais "voire" ou "même".
- SergeMédiateur
Que d'items !
" tu sais placer la Mésopotamie sur une carte" (oui ? un peu ? non ?) etc.
Les profs vont bien s'amuser à créer des tableaux devant la moindre question et le moindre exercice. :shock:
Et puis, au final, elles servent à quoi toutes ces croix ? Est-ce vraiment lisible ? Et comment synthétiser tout ceci au final sans moyenne ( surtout en fin de trimestre) afin d'évaluer le niveau de l'élève et de ce qui est acquis ou non acquis dans tout ça ? Car j'imagine que pas mal d'items comme "placer la Mésopotamie sur une carte" ne réapparaitront plus souvent et étaient spécifiques à ce cours. .
Et au conseil de classe, on procéde comment avec une évaluation non chiffrée et des items en pagaille de tous les côtés ? :shock:
Ou il faut lui faire retrouver aux cours suivant la Mésopotamie jusqu'à ce qu'on puisse cocher la case ? :shock:
Et est-ce parce qu'un élève l'a placé sur une carte lors d'un cours avec des documents sous les yeux ... qu'il saura placer la Mésopotamie sur une carte tout seul ?
- InvitéInvité
Marie Laetitia a écrit:j'obéis à John, alors
milasaintanne a écrit:
C'est marrant ce rejet systématique de tout ce qui est nouveau, différent.....
Et quand à dire que je ne donne j'amais d'arguments, je rappelle que 'jai quand même donné ici une bibliographie (jetée aux orties : trop longue), des séquences de cours (écartées : nulles), des liens et que beaucoup d'entre vous sont venus voir ce que j'écrivais sur mon blog (merci, ça augmente mes stats mais que tout ce qui sort des rails que vous vous êtes fixés est tourné en dérision, voire insulté. Un jour, je ferai un billet sur toutes les insultes personnelles que j'ai pu lire ici.... ça sera édifiant.
Bref... on pourrait avancer un peu ?
ça c'est toi qui crois que l'on rejette ce qui est nouveau. Si je te dis que j'utilise l'ENT, même même j'ai utilisé les jeux vidéos pour aborder les relations suzerain/vassal au Moyen Âge, je suis toujours considérée comme réac refusant toute nouveauté ?
Je ne vois pas le rapport. Je n'ai fait de procès d'intention à personne en particulier. Et je n'ai JAMAIS utilisé le mot de "réac'". Ce mot ne fait pas partie de mon vocabulaire.
Quant aux insultes, j'aimerais bien savoir desquelles tu parles..
Sur ça j'ai répondu, je vais pas le refaire. Remonte le fil.
Ca te va comme réponse ?
- CelebornEsprit sacré
Les questions de Serge me semblent pour le coup tout à fait pertinentes, alors je les pose aussi, comme ça, on les verra encore mieux !
1) Comment synthétise-t-on tout ce morcellement en compétences, par exemple au conseil de classe ? Y a-t-il des "surtableaux" dans lesquels à force de reporter mes micro-compétences, on valide des macro-compétences ?
2) EN quoi le fait d'avoir placé la Mésopotamie sur une carte alors qu'on était été d'un document prouve-t-il que l'élève sait effectivement la placer ? J'imagine qu'on fait un contrôle/une interrogation pour vérifier ça ? Dans ce cas, à quoi sert-il de faire des croix lors de l'activité ?
1) Comment synthétise-t-on tout ce morcellement en compétences, par exemple au conseil de classe ? Y a-t-il des "surtableaux" dans lesquels à force de reporter mes micro-compétences, on valide des macro-compétences ?
2) EN quoi le fait d'avoir placé la Mésopotamie sur une carte alors qu'on était été d'un document prouve-t-il que l'élève sait effectivement la placer ? J'imagine qu'on fait un contrôle/une interrogation pour vérifier ça ? Dans ce cas, à quoi sert-il de faire des croix lors de l'activité ?
_________________
"On va bien lentement dans ton pays ! Ici, vois-tu, on est obligé de courir tant qu'on peut pour rester au même endroit. Si on veut aller ailleurs, il faut courir au moins deux fois plus vite que ça !" (Lewis Carroll)
Mon Blog
- InvitéInvité
Celeborn a écrit:Les questions de Serge me semblent pour le coup tout à fait pertinentes, alors je les pose aussi, comme ça, on les verra encore mieux !
1) Comment synthétise-t-on tout ce morcellement en compétences, par exemple au conseil de classe ? Y a-t-il des "surtableaux" dans lesquels à force de reporter mes micro-compétences, on valide des macro-compétences ?
2) EN quoi le fait d'avoir placé la Mésopotamie sur une carte alors qu'on était été d'un document prouve-t-il que l'élève sait effectivement la placer ? J'imagine qu'on fait un contrôle/une interrogation pour vérifier ça ? Dans ce cas, à quoi sert-il de faire des croix lors de l'activité ?
Je vais répondre, promis, mais là, je craque un peu et j'aimerais lâcher un peu mon clavier.
A suivre.
- Marie LaetitiaBon génie
Marie Laetitia a écrit:milasaintanne a écrit:marquisedemerteuil a écrit:je pense aussi que les stagiaires, étant donné leur situation, ont intérêt à se montrer enthousiastes, ou à défaut de faire profil bas s'ils veulent la validation...après, ils feront comme bon leur semblera.
Tu lis ce que j'écris ? Je te dis que je ne forme pas des gens qui viennent d'avoir le concours, mais des gens qui s'inscrivent volontairement à des formations dans le cadre de la formation continue.
au temps pour moi (non je ne suis pas Marquise mais enfin, on avait eu la même réaction). Mais je tique (encore) sur un point : ceux qui viennent à ces stages ne sont-ils pas déjà partisans d'une certaine conception de l'enseignement?
Question subsidiaire a-t-on le droit de ne pas partager cette conception de l'enseignement sans être forcément un mauvais prof?
Je suis d'accord avec Ruthven, en substance, un compromis est-il possible, quitte à dire sans se condamner mutuellement, que l'on peut avoir des conceptions différentes, aussi valables les unes que les autres ?milasaintanne a écrit:
C'est marrant ce rejet systématique de tout ce qui est nouveau, différent.....
Et quand à dire que je ne donne j'amais d'arguments, je rappelle que 'jai quand même donné ici une bibliographie (jetée aux orties : trop longue), des séquences de cours (écartées : nulles), des liens et que beaucoup d'entre vous sont venus voir ce que j'écrivais sur mon blog (merci, ça augmente mes stats mais que tout ce qui sort des rails que vous vous êtes fixés est tourné en dérision, voire insulté. Un jour, je ferai un billet sur toutes les insultes personnelles que j'ai pu lire ici.... ça sera édifiant.
Bref... on pourrait avancer un peu ?
ça c'est toi qui crois que l'on rejette ce qui est nouveau. Si je te dis que j'utilise l'ENT, même même j'ai utilisé les jeux vidéos pour aborder les relations suzerain/vassal au Moyen Âge, je suis toujours considérée comme réac refusant toute nouveauté ?
Milasaintanne, désolée, c'est moi qui est copié le mauvais message, l'essentiel était là (en gras)
_________________
Si tu crois encore qu'il nous faut descendre dans le creux des rues pour monter au pouvoir, si tu crois encore au rêve du grand soir, et que nos ennemis, il faut aller les pendre... Aucun rêve, jamais, ne mérite une guerre. L'avenir dépend des révolutionnaires, mais se moque bien des petits révoltés. L'avenir ne veut ni feu ni sang ni guerre. Ne sois pas de ceux-là qui vont nous les donner (J. Brel, La Bastille)
Antigone, c'est la petite maigre qui est assise là-bas, et qui ne dit rien. Elle regarde droit devant elle. Elle pense. [...] Elle pense qu'elle va mourir, qu'elle est jeune et qu'elle aussi, elle aurait bien aimé vivre. Mais il n'y a rien à faire. Elle s'appelle Antigone et il va falloir qu'elle joue son rôle jusqu'au bout...
Et on ne dit pas "voir(e) même" mais "voire" ou "même".
- CelebornEsprit sacré
milasaintanne a écrit:
Je vais répondre, promis, mais là, je craque un peu
Encore un p'tit verre de jus d'orange ? Même dans le concentré, il doit y avoir des vitamines qui traînent
_________________
"On va bien lentement dans ton pays ! Ici, vois-tu, on est obligé de courir tant qu'on peut pour rester au même endroit. Si on veut aller ailleurs, il faut courir au moins deux fois plus vite que ça !" (Lewis Carroll)
Mon Blog
- doctor whoDoyen
Le problème est bien celui de la possibilité d'une synthèse et de l'acquisition d'éléments de compétences isolées.
Etrangement, on peut faire au SCC les mêmes reproches faits à l'école traditionnelle par l'éducation nouvelle (les pédagogues modernes de la première moitié du XXè siècle) : un manque de globalité. Seulement, ils le faisaient en critiquant l'absence d'un enseignement des compétences. Aujourd'hui, c'est le contraire.
Mila, tu nous diras certainement que l'évaluation de compétences discrètes n'engage pas une modification des méthodes d'apprentissages, qui peuvent rester globales. A ce moment-là, quel intérêt d'évaluer des choses qui ne sont pas ce qu'on veut vraiment enseigner ?
Ce qui m'étonne, c'est que peu des pédagogues qui se réclament peu ou prou de l'éducation nouvelle reportent ces critiques classiques sur le SCC. On marche à front renversé !
(Pour tout dire, et j'en suis désolé pour Mila, qui a une démarche respectable, je pense que c'est une histoire de places. Cette fois, c'est eux qui ont les places, et s'il faut aller dans le sens du vent, ils y vont...)
Etrangement, on peut faire au SCC les mêmes reproches faits à l'école traditionnelle par l'éducation nouvelle (les pédagogues modernes de la première moitié du XXè siècle) : un manque de globalité. Seulement, ils le faisaient en critiquant l'absence d'un enseignement des compétences. Aujourd'hui, c'est le contraire.
Mila, tu nous diras certainement que l'évaluation de compétences discrètes n'engage pas une modification des méthodes d'apprentissages, qui peuvent rester globales. A ce moment-là, quel intérêt d'évaluer des choses qui ne sont pas ce qu'on veut vraiment enseigner ?
Ce qui m'étonne, c'est que peu des pédagogues qui se réclament peu ou prou de l'éducation nouvelle reportent ces critiques classiques sur le SCC. On marche à front renversé !
(Pour tout dire, et j'en suis désolé pour Mila, qui a une démarche respectable, je pense que c'est une histoire de places. Cette fois, c'est eux qui ont les places, et s'il faut aller dans le sens du vent, ils y vont...)
_________________
Mon blog sur Tintin (entre autres) : http://popanalyse.over-blog.com/
Blog pédagogique : http://pedagoj.eklablog.com
- ysabelDevin
milasaintanne a écrit:Je rappelle également par ce que j'ai dit il y a longtemps. Si j'utilise en classe l'évaluation par compétences, c'est justement parce que j'ai réfléchi puis essayé en classe (tout comme je me suis formée à la pédagogie des gestes mentaux, à l'usage de l'heuristique, des hyperpaysages....) et que j'utilise, avec mes élèves, ce qui me parait pertinent de tout cela et ce que je peux mettre en œuvre.
Je ne me suis pas "jetée dans les compétences". J'ai constaté par moi même que mes élèves progressaient mieux comme cela.
j'ai l'impression qu'on ne pratique pas le même métier...
et je n'ai jamais rien compris aux cartes heuristiques...
_________________
« vous qui entrez, laissez toute espérance ». Dante
« Il vaut mieux n’avoir rien promis que promettre sans accomplir » (L’Ecclésiaste)
- User5899Demi-dieu
Je n'étais pas dans les isoloirs, pas plus que dans les têtes. Faire parler un vote... Je ne suis pas JM Aphatie.milasaintanne a écrit:Cripure a écrit:
Au fait, tout ce foutoir européen, ce n'est pas, entre autres, ce qui a été repoussé démocratiquement par referendum en 2005 et imposé par diktat parlementaire en 2008 ?
Non, tu confonds avec le "traité établissant une Constitution pour l'Europe" (2005). Ce texte a été principalement rejeté pour des raisons économiques, et parce qu'il donnait trop de poids à la supra nationalité européenne (le FN a voté contre) ou parce qu'il était trop droitdel'hommiste par exemple au sujet du droit à l'avortement (les irlandais ont pas aimé ça du tout...). Rien à voir avec le socle commun.
- Reine MargotDemi-dieu
Celeborn a écrit:milasaintanne a écrit:
Quand j'avais cité Molière (il y a fort longtemps), je m'étais fait méchamment tacler. On n'est donc pas tous au même régime ?
Non, a un carré VIP pour les réacs avec petits fours faits maison et champagne. Ceux qui enseignent par compétences, en revanche, ont du jus d'orange premier prix à base de concentré et des chips Leader Price.
Mais on envisage de supprimer les chips.
:lol!:
- miss teriousDoyen
Je viens de rattraper mon retard sur ce topic et de lire toutes les pages écrites depuis trois jours : ça en fait de la lecture ! Et, outre ce qu'ont relevé les collègues, voici trois points sur lesquels je voudrais m'arrêter.
1. Mila dit en réponse à V. (vers la page 38) être choquée du fait qu'on évalue l'élève à un moment M et trouver cela dangereux. Or, il me semble que dans le livret, il est question de valider acquis/non acquis en mettant une date. On est bien là dans la validation ponctuelle. Il y a contradiction dans le propos.
Qui plus est, quand j'évalue un élève sur une notion à un moment donné, je sais qu'il est très probable qu'il ne la maîtrisera plus dans plus ou moins longtemps. Alors que le socle va valider la compétence ad vitam. Là encore : contradiction.
2. Vous avez parlé du fait que les items sont censés être validés de manière collégiale. Un membre (désolée, je ne sais plus lequel) a précisé que dans de nombreux collèges les collègues se sont distribués les items. J'ai de gros doutes. Les mêmes que ceux soulevés par les collègues précédemment, bien sûr. Mais d'autres encore, liés à ce que j'ai pu constater sur le B2i. À l'origine (il y a 3 ou 4 ans), pour qu'un item soit validé, il fallait que deux collègues l'acceptent. Puis, quand j'ai suivi la formation pour devenir administrateur, le formateur nous a expliqué qu'il était plus simple que l'item ne soit accepté qu'une fois et nous avons été fortement incités à configurer Gibii ainsi. Depuis, c'est entré dans les moeurs. Et, pour ceux qui s'en souviennent (j'en ai bcp parlé en jun dernier), ç'a donné lieu à des aberrations (un collègue validant TOUS les items de 5 élèves de sa classe, en une heure, élèves qui n'avaient pas leur B2i juste avant les épreuves du DNB, le tout sur demande du CDE - qui ne voulaient sans doute pas se salir les mains... -). J'ai peur que la validation des compétences tourne de la même façon.
3. Mila a rappelé que le socle mettait au même niveau compétences et connaissances. Et là, je m'inscris en faux. C'est vrai dans l'intitulé. Mais ensuite ça ne l'est plus. Où sont les connaissances dans les items ou compétences à valider (ou à évaluer) ? Nulle part !
Voilà. Je nétais pas internvenue sur le topic avant ce soir - bien que l'ayant lu en entier - car je ne me sentais pas assez à l'aise sur le sujet et trouvais que les collègues en parlaient mieux que moi. Mais ne voyant pas ces points soulevés, je me suis permis d'intervenir. J'espère que j'aurais su m'exprimer clairement et faire passer mes idées et interrogations.
1. Mila dit en réponse à V. (vers la page 38) être choquée du fait qu'on évalue l'élève à un moment M et trouver cela dangereux. Or, il me semble que dans le livret, il est question de valider acquis/non acquis en mettant une date. On est bien là dans la validation ponctuelle. Il y a contradiction dans le propos.
Qui plus est, quand j'évalue un élève sur une notion à un moment donné, je sais qu'il est très probable qu'il ne la maîtrisera plus dans plus ou moins longtemps. Alors que le socle va valider la compétence ad vitam. Là encore : contradiction.
2. Vous avez parlé du fait que les items sont censés être validés de manière collégiale. Un membre (désolée, je ne sais plus lequel) a précisé que dans de nombreux collèges les collègues se sont distribués les items. J'ai de gros doutes. Les mêmes que ceux soulevés par les collègues précédemment, bien sûr. Mais d'autres encore, liés à ce que j'ai pu constater sur le B2i. À l'origine (il y a 3 ou 4 ans), pour qu'un item soit validé, il fallait que deux collègues l'acceptent. Puis, quand j'ai suivi la formation pour devenir administrateur, le formateur nous a expliqué qu'il était plus simple que l'item ne soit accepté qu'une fois et nous avons été fortement incités à configurer Gibii ainsi. Depuis, c'est entré dans les moeurs. Et, pour ceux qui s'en souviennent (j'en ai bcp parlé en jun dernier), ç'a donné lieu à des aberrations (un collègue validant TOUS les items de 5 élèves de sa classe, en une heure, élèves qui n'avaient pas leur B2i juste avant les épreuves du DNB, le tout sur demande du CDE - qui ne voulaient sans doute pas se salir les mains... -). J'ai peur que la validation des compétences tourne de la même façon.
3. Mila a rappelé que le socle mettait au même niveau compétences et connaissances. Et là, je m'inscris en faux. C'est vrai dans l'intitulé. Mais ensuite ça ne l'est plus. Où sont les connaissances dans les items ou compétences à valider (ou à évaluer) ? Nulle part !
Voilà. Je nétais pas internvenue sur le topic avant ce soir - bien que l'ayant lu en entier - car je ne me sentais pas assez à l'aise sur le sujet et trouvais que les collègues en parlaient mieux que moi. Mais ne voyant pas ces points soulevés, je me suis permis d'intervenir. J'espère que j'aurais su m'exprimer clairement et faire passer mes idées et interrogations.
_________________
"Ni ange, ni démon, juste sans nom." (Barbey d'AUREVILLY, in. Une histoire sans nom)
"Bien des choses ne sont impossibles que parce qu'on s'est accoutumé à les regarder comme telles." DUCLOS
- frankensteinVénérable
C'est encore plus compliqué Miss Terious, mais Mila va nous dire qu'en fait c'est plus simple et que c'est mieux pour les élèves !
https://www.neoprofs.org/t29767p60-texte-pour-dire-son-refus-de-participer-a-la-validation-du-socle-commun-des-idees
https://www.neoprofs.org/t29767p60-texte-pour-dire-son-refus-de-participer-a-la-validation-du-socle-commun-des-idees
Dans le texte, vous pourriez aussi évoquer le DNB et le SCC car c'est quand même un peu confus...
L’arrêté du 9 juillet 2009 relatif aux modalités d’attribution du DNB
«…sont prises en compte pour l’attribution du DNB :
La maîtrise du socle commun de connaissances et de compétences, palier 3 ;
La note obtenue à l’oral d’histoire des arts ;
Les notes obtenues à l’examen du brevet ;
Les notes de contrôle continu…
La note de vie scolaire.
Le DNB est attribué aux candidats ayant validé le socle commun de connaissances et de compétences et obtenu une note moyenne égale ou supérieure à 10 …»
Le socle est une partie du DNB mais ne se confond pas avec lui :les épreuves écrites et orale du DNB, ainsi que le contrôle continu, correspondent aux exigences des programmes de la classe de troisième, qui, pour certaines compétences, sont différentes et d’un niveau supérieur à celui du palier 3 ; par conséquent, si l’obtention du DNB entérine la validation de la maîtrise du socle, la réciproque n’est pas vraie: la validation de la maîtrise du socle ne signifie pas obtention du DNB ; les épreuves de l’examen du DNB ne constituent pas un « examen de socle » et il n’est pas question d’en faire un.
Tout élève se présente au DNB, qu’il maîtrise ou non le socle commun.
Le jury est souverain pour attribuer le DNB au vu des éléments du dossier scolaire : les notes d’épreuves et de contrôle continu, la note de vie scolaire, la fiche Brevet (qui porte l’avis du conseil de classe), et l’attestation de palier 3.
L’attribution du DNB atteste la maîtrise du socle commun. Lorsque le jury décide d’attribuer le DNB à un élève qui n’a pas obtenu la validation de l’ensemble des compétences, les compétences manquantes au palier 3 ne sont pas « rétro-validées ».
Bon, vous avez intérêt à valider le SCC quoi qu'il arrive !
Et il y a encore mieux :
Processus de validation du socle commun au collège
►La validation s’effectue exclusivement au niveau des 7 compétences
►Chacune des sept compétences doit être validée pour que la maîtrise du socle soit validée: pas de compensation
►Les domaines ne sont pas un niveau de validation
► Les items sont un niveau d'information
Une compétence peut être validée même si tous les items ne sont pas renseignés.
Les équipes éducatives sont libres de renseigner ou non les items pour une compétence validée … mais … elles sont en revanche tenues de renseigner (en les datant) les items maitrisés d’une compétence non validée.
_________________
Mettez des pouces verts sur : https://www.youtube.com/user/Choristenimes/ videos
Si les élections pouvaient changer la société, elles seraient interdites.
- InvitéInvité
La note de vie scolaire, dans mon établissement, c'est l'école des fans.
Un élève pratiquement toujours absent et ayant réussi à récolter, les rares jours où on l'a vue, trois semaines 1/2 d'exclusion (insultes à un professeur + violences envers un camarade + violences envers un autre camarade...), a 10/20 !
C'est la note la plus basse que j'ai vue.
Un élève pratiquement toujours absent et ayant réussi à récolter, les rares jours où on l'a vue, trois semaines 1/2 d'exclusion (insultes à un professeur + violences envers un camarade + violences envers un autre camarade...), a 10/20 !
C'est la note la plus basse que j'ai vue.
- GrypheMédiateur
Une conférence que je viens d'écouter et dont la fin me semble avoir sa place ici, même si c'est en apparence éloigné.
Thème général : "Quelle éthique de l'éducation ?"
Paragraphe sélectionné : "L'école est le lieu de transmission des valeurs communes : elle doit être conservatrice !"
Je me suis dit que ça vous plairait.
Conférence de Guillaume DURAND, docteur en philosophie, maître de conférences à l'université de Nantes.
Quel rapport avec le Socle ?
L'idée que, si on "modernise" l'enseignement et l'évaluation par ce S3C, il ne s'agit pas de moderniser "le fond", car ce "fond" (fonds ?) est indispensable pour les nouvelles générations.
Il ne faut pas confondre la manière de faire passer les connaissances (et compétences) et le contenu effectivement transmis, qui doit garder une part de "tradition" pour la raison évoquée par le conférencier.
Z'en pensez quoi ?
Thème général : "Quelle éthique de l'éducation ?"
Paragraphe sélectionné : "L'école est le lieu de transmission des valeurs communes : elle doit être conservatrice !"
Je me suis dit que ça vous plairait.
En version audio, c'est là, à partir de la minute 47 :l’école est le lieu de transmission des valeurs communes, tel est le premier sens du "partage". L’école, selon Hannah Arendt, se doit d’être conservatrice : "L’essence de l’éducation est la natalité, le fait que des êtres humains naissent dans le monde."
"La condition de natalité signifie que l'homme vient au monde. Il apparaît, comme enfant, dans un monde qui est toujours plus vieux que lui, et il y commence quelque chose. En naissant, l'homme introduit la nouveauté et l'initiative dans le monde. Il est un être singulier, inédit, imprévisible. C'est pourquoi il est conçu mais non pas fait.
La destinée de l'enfant, sa capacité d'innovation, ne peuvent pas être maîtrisées par les adultes, bien qu'elles puissent être détruites par une éducation mal conçue."
Qu’est-ce que l’éducation ? Ce n’est pas faire participer les enfants, dès leur plus jeune âge, aux débats politiques. Cette idée avait été avancée lors de la Révolution française et Hannah Arendt montre à quel point elle est dangereuse pour le développement de l’enfant qui vieillirait de manière trop précoce : l’école est le lieu de transition entre la sphère privée, familiale et la vie publique. Selon Hannah Arendt, l’école doit être conservatrice si elle veut éviter d’être réactionnaire. De quoi doit-il y avoir conservation ? De l’héritage passé et commun que nous devons nous charger de transmettre afin de permettre aux enfants d’innover et de commencer quelque chose de nouveau. L’idée de nouveauté que proclamerait une éducation nouvelle sera "toujours plus vieille que les enfants eux-mêmes". L’éducation se doit donc d’être conservatrice pour laisser aux enfants la capacité d’innover, d’inventer, non pas à partir de rien, mais à partir de notre culture commune, qu’ils vont ainsi prendre en charge et continuer.
Notre espoir réside toujours dans l'élément de nouveauté que chaque génération apporte avec elle ; mais c’est précisément parce que nous ne pouvons placer notre espoir qu’en lui que nous détruisons tout si nous essayons de canaliser cet élément nouveau pour que nous, les anciens, puissions décider de ce qu’il sera. C'est justement pour préserver ce qui est neuf et révolutionnaire dans chaque enfant que l'éducation doit être conservatrice ; elle doit protéger cette nouveauté et l'introduire comme un ferment nouveau dans un monde déjà vieux qui, si révolutionnaire que puissent être ses actes, est, du point de vue de la génération suivante, suranné et proche de la ruine
Conférence de Guillaume DURAND, docteur en philosophie, maître de conférences à l'université de Nantes.
Quel rapport avec le Socle ?
L'idée que, si on "modernise" l'enseignement et l'évaluation par ce S3C, il ne s'agit pas de moderniser "le fond", car ce "fond" (fonds ?) est indispensable pour les nouvelles générations.
Il ne faut pas confondre la manière de faire passer les connaissances (et compétences) et le contenu effectivement transmis, qui doit garder une part de "tradition" pour la raison évoquée par le conférencier.
Z'en pensez quoi ?
- frankensteinVénérable
Ben voilà, c'est ce que je pense et que je n'aurais pas su ou osé écrire ! Merci Gryphe !L’éducation se doit donc d’être conservatrice pour laisser aux enfants la capacité d’innover, d’inventer, non pas à partir de rien, mais à partir de notre culture commune, qu’ils vont ainsi prendre en charge et continuer.
Notre espoir réside toujours dans l'élément de nouveauté que chaque génération apporte avec elle ; mais c’est précisément parce que nous ne pouvons placer notre espoir qu’en lui que nous détruisons tout si nous essayons de canaliser cet élément nouveau pour que nous, les anciens, puissions décider de ce qu’il sera. C'est justement pour préserver ce qui est neuf et révolutionnaire dans chaque enfant que l'éducation doit être conservatrice ; elle doit protéger cette nouveauté et l'introduire comme un ferment nouveau dans un monde déjà vieux qui, si révolutionnaire que puissent être ses actes, est, du point de vue de la génération suivante, suranné et proche de la ruine.
_________________
Mettez des pouces verts sur : https://www.youtube.com/user/Choristenimes/ videos
Si les élections pouvaient changer la société, elles seraient interdites.
- InvitéInvité
Gryphe a écrit:Une conférence que je viens d'écouter et dont la fin me semble avoir sa place ici, même si c'est en apparence éloigné.
Thème général : "Quelle éthique de l'éducation ?"
Paragraphe sélectionné : "L'école est le lieu de transmission des valeurs communes : elle doit être conservatrice !"
Je me suis dit que ça vous plairait.
En version audio, c'est là, à partir de la minute 47 :l’école est le lieu de transmission des valeurs communes, tel est le premier sens du "partage". L’école, selon Hannah Arendt, se doit d’être conservatrice : "L’essence de l’éducation est la natalité, le fait que des êtres humains naissent dans le monde."
"La condition de natalité signifie que l'homme vient au monde. Il apparaît, comme enfant, dans un monde qui est toujours plus vieux que lui, et il y commence quelque chose. En naissant, l'homme introduit la nouveauté et l'initiative dans le monde. Il est un être singulier, inédit, imprévisible. C'est pourquoi il est conçu mais non pas fait.
La destinée de l'enfant, sa capacité d'innovation, ne peuvent pas être maîtrisées par les adultes, bien qu'elles puissent être détruites par une éducation mal conçue."
Qu’est-ce que l’éducation ? Ce n’est pas faire participer les enfants, dès leur plus jeune âge, aux débats politiques. Cette idée avait été avancée lors de la Révolution française et Hannah Arendt montre à quel point elle est dangereuse pour le développement de l’enfant qui vieillirait de manière trop précoce : l’école est le lieu de transition entre la sphère privée, familiale et la vie publique. Selon Hannah Arendt, l’école doit être conservatrice si elle veut éviter d’être réactionnaire. De quoi doit-il y avoir conservation ? De l’héritage passé et commun que nous devons nous charger de transmettre afin de permettre aux enfants d’innover et de commencer quelque chose de nouveau. L’idée de nouveauté que proclamerait une éducation nouvelle sera "toujours plus vieille que les enfants eux-mêmes". L’éducation se doit donc d’être conservatrice pour laisser aux enfants la capacité d’innover, d’inventer, non pas à partir de rien, mais à partir de notre culture commune, qu’ils vont ainsi prendre en charge et continuer.
Notre espoir réside toujours dans l'élément de nouveauté que chaque génération apporte avec elle ; mais c’est précisément parce que nous ne pouvons placer notre espoir qu’en lui que nous détruisons tout si nous essayons de canaliser cet élément nouveau pour que nous, les anciens, puissions décider de ce qu’il sera. C'est justement pour préserver ce qui est neuf et révolutionnaire dans chaque enfant que l'éducation doit être conservatrice ; elle doit protéger cette nouveauté et l'introduire comme un ferment nouveau dans un monde déjà vieux qui, si révolutionnaire que puissent être ses actes, est, du point de vue de la génération suivante, suranné et proche de la ruine
Conférence de Guillaume DURAND, docteur en philosophie, maître de conférences à l'université de Nantes.
Quel rapport avec le Socle ?
L'idée que, si on "modernise" l'enseignement et l'évaluation par ce S3C, il ne s'agit pas de moderniser "le fond", car ce "fond" (fonds ?) est indispensable pour les nouvelles générations.
Il ne faut pas confondre la manière de faire passer les connaissances (et compétences) et le contenu effectivement transmis, qui doit garder une part de "tradition" pour la raison évoquée par le conférencier.
Z'en pensez quoi ?
Tout à fait d'accord.
- frankensteinVénérable
Ah là, ce n'est pas exactement pareil ! Désolé Mila, je ne serai pas encore du même avis. :diable: J'vais quand même écouté ce qui se dit exactement dans cette conférence.Quel rapport avec le Socle ?
L'idée que, si on "modernise" l'enseignement et l'évaluation par ce S3C, il ne s'agit pas de moderniser "le fond", car ce "fond" (fonds ?) est indispensable pour les nouvelles générations.
Il ne faut pas confondre la manière de faire passer les connaissances (et compétences) et le contenu effectivement transmis, qui doit garder une part de "tradition" pour la raison évoquée par le conférencier.
Z'en pensez quoi ?
_________________
Mettez des pouces verts sur : https://www.youtube.com/user/Choristenimes/ videos
Si les élections pouvaient changer la société, elles seraient interdites.
- InvitéInvité
frankenstein a écrit:Ah là, ce n'est pas exactement pareil ! Désolé Mila, je ne serai pas encore du même avis. :diable: J'vais quand même écouté ce qui se dit exactement dans cette conférence.Quel rapport avec le Socle ?
L'idée que, si on "modernise" l'enseignement et l'évaluation par ce S3C, il ne s'agit pas de moderniser "le fond", car ce "fond" (fonds ?) est indispensable pour les nouvelles générations.
Il ne faut pas confondre la manière de faire passer les connaissances (et compétences) et le contenu effectivement transmis, qui doit garder une part de "tradition" pour la raison évoquée par le conférencier.
Z'en pensez quoi ?
Bein, je ne comprends pas, tu dis que tu es d'accord avec Gryphe, et puis ensuite tu ne l'es plus ??????
- GrypheMédiateur
Ah ben on a failli être tous d'accord. Je me disais bien que c'était trop beau pour durer ! :lol!:
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum