- PseudoDemi-dieu
Aujourd'hui, mes petites élèves du club manga m'ont demandé si je pouvais les emmener à la Japan Expo. J'ai bien envie de le faire. Je leur ai dit que je me renseignais. Bon, ça va poser un problème de budget je pari, mais je peux tenter le coup.
Une journée à Paris, c'est pas non plus la mort.
Quelqu'un l'a déjà fait ? Ou ça inspire quelque chose à quelqu'un ? Du genre retrouver un collègue et des élèves de par là-bas, ou n'importe qu'elle idée pour agrémenter la journée ou la rendre moins coûteuse...
Une journée à Paris, c'est pas non plus la mort.
Quelqu'un l'a déjà fait ? Ou ça inspire quelque chose à quelqu'un ? Du genre retrouver un collègue et des élèves de par là-bas, ou n'importe qu'elle idée pour agrémenter la journée ou la rendre moins coûteuse...
- InvitéInvité
Pour l'agrémenter, ça va être compliqué.
C'est très grand, une longue file d'attente à l'entrée, et même chose à midi pour manger.
C'est très grand, une longue file d'attente à l'entrée, et même chose à midi pour manger.
- PseudoDemi-dieu
Lornet a écrit:Pour l'agrémenter, ça va être compliqué.
C'est très grand, une longue file d'attente à l'entrée, et même chose à midi pour manger.
L'attente, même avec des billets achetés à l'avance ? Les groupes n'ont pas un entrée spécifique ? Faut que je me renseigne auprès de l'organisation, là.
Pour le midi, un pique-nique ?
- InvitéInvité
Justement, je me demande.
Je ne sais plus si on a le droit d'amener son pique-nique.
Il y a peut-être une entrée spécifique pour les groupes : il faudrait que tu appelles.
Je me souviens plus de la queue que de l'intérieur... à part des papiers qui jonchaient le sol.
Je ne sais plus si on a le droit d'amener son pique-nique.
Il y a peut-être une entrée spécifique pour les groupes : il faudrait que tu appelles.
Je me souviens plus de la queue que de l'intérieur... à part des papiers qui jonchaient le sol.
- painbeurreNiveau 7
Euh, je ne vais pas t'aider pour ta question mais j'en ai une pour toi : comment organises-tu ton club manga? ça m'intéresse comme idée ^^
- InvitéInvité
Alors la Japan expo: un monde incroyable, un boucan insupportable, des boutiques qui proposent toutes la même chose, des files d'attente à n'en plus finir pour la moindre expo/animation...
J'y suis allée deux fois pour accompagner une amie, j'ai toujours regretté.
Je ne vois d'ailleurs pas l'intérêt pédagogique (pour un club manga) d'une sortie là-bas car c'est une foire commerciale...
J'y suis allée deux fois pour accompagner une amie, j'ai toujours regretté.
Je ne vois d'ailleurs pas l'intérêt pédagogique (pour un club manga) d'une sortie là-bas car c'est une foire commerciale...
- PseudoDemi-dieu
Oh, c'est très modeste. On lit, on dessine, on publie des articles sur le net, on échange sur les lectures.
Je suis peu directive, même si je propose des choses (comme des petits jeux de dessins, la création de l'affiche du prix manga, etc...).
Je suis surtout très attentive à la vie du groupe, à l'ambiance, à l'entraide qui se met en place petit à petit entre ceux qui ne savent pas dessiner et ceux qui savent. Ca n'était pas gagné ! A l'évolution des timorés, à l'ouverture aux autres des grandes gueules.
Je suis fière quand un petit sixième qui n'osait pas réussi à demander à une plus grande comment il peut dessiner ça ou ça. Parce que je l'ai cornaqué discrètement, sans l'obliger, sans faire l'intermédiaire.
Et je suis fière quand ils prennent des initiatives, comme me demander d'aller à la Japan expo.
J'ai le même fonctionnement dans le club informatique, où les élèves alimentent un blog. La tâche, le résultat, et même les acquis en terme de connaissances m'importent peu, surtout dans un premier temps.
Et j'y prends beaucoup de plaisir. Les deux seules heures de la semaine où je m'éclate.
Je suis peu directive, même si je propose des choses (comme des petits jeux de dessins, la création de l'affiche du prix manga, etc...).
Je suis surtout très attentive à la vie du groupe, à l'ambiance, à l'entraide qui se met en place petit à petit entre ceux qui ne savent pas dessiner et ceux qui savent. Ca n'était pas gagné ! A l'évolution des timorés, à l'ouverture aux autres des grandes gueules.
Je suis fière quand un petit sixième qui n'osait pas réussi à demander à une plus grande comment il peut dessiner ça ou ça. Parce que je l'ai cornaqué discrètement, sans l'obliger, sans faire l'intermédiaire.
Et je suis fière quand ils prennent des initiatives, comme me demander d'aller à la Japan expo.
J'ai le même fonctionnement dans le club informatique, où les élèves alimentent un blog. La tâche, le résultat, et même les acquis en terme de connaissances m'importent peu, surtout dans un premier temps.
Et j'y prends beaucoup de plaisir. Les deux seules heures de la semaine où je m'éclate.
- PseudoDemi-dieu
Al a écrit:
Je ne vois d'ailleurs pas l'intérêt pédagogique (pour un club manga) d'une sortie là-bas car c'est une foire commerciale...
Il n'y en a aucun ! Sinon passer la journée ensemble autour d'un thème fédérateur, sortir du ghetto, et leur permettre de réaliser quelque chose qui leur fait envie.
- InvitéInvité
Le problème de cette convention, c'est le monde (tu vois le salon de l'agriculture? ben pareil sans les petits cochons et les jolies vaches) et le côté commercial (les boutiques sont l'attraction principale de cette convention).
Il y a sûrement d'autres conventions qui drainent moins de monde (et donc tu auras moins de risque de perdre tes élèves) et dans lesquelles tes jeunes artistes pourront discuter/échanger tranquillement avec des artistes français qui louent des stands pour exposer et vendre leurs travaux (ce que fait mon amie qui a abandonné toute idée d'exposer à la Japan Expo).
Il y a sûrement d'autres conventions qui drainent moins de monde (et donc tu auras moins de risque de perdre tes élèves) et dans lesquelles tes jeunes artistes pourront discuter/échanger tranquillement avec des artistes français qui louent des stands pour exposer et vendre leurs travaux (ce que fait mon amie qui a abandonné toute idée d'exposer à la Japan Expo).
- PseudoDemi-dieu
Ah... Pourquoi pas, mais je n'y connais rien moi, aux conventions manga... C'est où, c'est quand ?
- InvitéInvité
Tu es dans la région parisienne?
Si tu veux, je demande conseil à mon amie.
Si tu veux, je demande conseil à mon amie.
- PseudoDemi-dieu
Al a écrit:Tu es dans la région parisienne?
Si tu veux, je demande conseil à mon amie.
Oh ! Merci ! Je veux bien !
Je suis à Orléans, mais Paris est tout proche.
Elle est mangaka ta copine ?
- InvitéInvité
Pas de problème! Je te tiens au courant dès que j'ai des précisions!
Non non, elle dessine et vend sous forme de poster/carte ses dessins. Elle n'a pas de projet de BD/manga. Simplement le plaisir de dessiner ce qu'elle aime.
Pseudo a écrit:
Elle est mangaka ta copine ?
Non non, elle dessine et vend sous forme de poster/carte ses dessins. Elle n'a pas de projet de BD/manga. Simplement le plaisir de dessiner ce qu'elle aime.
- PseudoDemi-dieu
Al a écrit:
Non non, elle dessine et vend sous forme de poster/carte ses dessins. Elle n'a pas de projet de BD/manga. Simplement le plaisir de dessiner ce qu'elle aime.
C'est déjà fort bien !
- JohnMédiateur
Sinon, il faudrait les emmener l'année prochaine à Angoulême :
http://www.actuabd.com/Angouleme-2011-Riyoko-Ikeda-la
http://www.actuabd.com/Angouleme-2011-Riyoko-Ikeda-la
Figure du shôjo manga, Riyoko Ikeda, a honoré de sa présence la dernière édition du Festival d’Angoulême. L’auteure aux convictions féministes de La Rose de Versailles s’est également muée en cantatrice soprano, donnant un récital au château de Versailles, avant de refaire une apparition publique à la Maison de la Culture du Japon à Paris : retour sur un séjour en France bien rempli pour l’artiste japonaise…
Riyoko Ikeda est connue en priorité en Occident pour La Rose de Versailles (1972 / republication actuellement par Kana). Ce titre-phare de sa bibliographie fut édité initialement, dès ses 24 ans, dans le magazine pour adolescentes Margaret de Shûeisha.
Le samedi 29 janvier 2011, à 11 h 30, dans le cadre des Rencontres internationales du Festival d’Angoulême, programmées à la salle Nemo, ses admirateurs, venus nombreux, ont eu le plaisir de l’entendre s’exprimer, produisant un discours fort intéressant, en compagnie de Pascal Ory.
Ensuite, elle s’est prêtée de très bonne grâce à une conférence de presse, qui a pris place à la mairie d’Angoulême.
Un garçon, quitte à la contrefaçon, et au risque de la censure…
Son fameux manga est fondateur de sa veine principale. Celle-ci ayant consisté à conjuguer ses intérêts pour les thèmes historiques des révolutions, particulièrement française de 1789 et russe de 1917, à des intrigues sentimentales compliquées par l’évocation du travestissement, dont le jalon initial dans le shôjo fut posé par Osamu Tezuka dans Princesse Saphir (1953).
Son traitement mature de cette forme d’ambiguïté sexuelle vaudrait à Riyoko Ikeda, encore de nos jours, des problèmes de censure, sujets abordés à Angoulême, notamment concernant la représentation du sexe dans son œuvre.
Ainsi, dans La Rose de Versailles, plus familière au grand public sous l’appellation de Lady Oscar, celle d’un film live de Jacques Demy (1978) ou, surtout, d’une série d’anime (1979), elle s’est s’attachée à faire revivre l’archiduchesse, puis reine Marie-Antoinette. Son intérêt pour l’épouse autrichienne de Louis XVI lui vint d’après l’inspiration fondamentale procurée par la lecture d’une biographie par Stefan Zweig.
Mais elle y dépeint surtout les aventures du protagoniste de fiction Oscar de Jarjayes, fille élevée et habillée comme un garçon, officier noble de l’armée royale. Outre des cas similaires dans l’Histoire du Japon, son inspiration est à rechercher du côté du Chevalier d’Éon (Charles de Beaumont, 1728-1810). Espion de Louis XV en Russie et à Londres, il fut rendu célèbre par le doute entretenu quant à son habitude, inverse, de se travestir parfois en femme, popularisé par la parution de ses Mémoires. Cet aspect de La Rose de Versailles a aussi contribué à son adaptation en 1974 par la troupe nippone exclusivement féminine du théâtre de Takarazuka, dans la région d’Osaka où vécut Osamu Tezuka, dont l’esthétique influença profondément le créateur de Princesse Saphir.
De la lutte des classes à Bonaparte
Parmi les intéressantes précisions qui ont parsemé le dialogue de Riyoko Ikeda avec Pascal Ory, il y a, par exemple, l’importance revêtue pour elle comme modèle par Kamui-den de Shirato Sanpei. Kana, vient de traduire récemment ce chef-d’œuvre datant des années 1960. Nous reviendrons prochainement sur cette fresque épique mettant en scène un réprouvé devenu ninja à l’époque d’Edo (au XVIIe siècle) préoccupé par l’exclusion des classes sociales inférieures au Japon. Figure de proue du gekiga, Sanpei a contribué de manière décisive à l’émergence d’une forme plus adulte du manga.
Dès lors, l’on comprend mieux le relief conféré dans La Rose de Versailles à la prise de conscience progressive par Oscar, aristocrate appartenant aux nantis de l’Ancien Régime, de la mauvaise gouvernance de la France d’alors, ainsi que du sort peu enviable réservé aux pauvres qui va entraîner son ralliement aux révolutionnaires. L’importance de la différence de classe séparant Oscar de son soupirant de toujours, André, s’éclaire ainsi sous un jour nouveau.
Révolutions et travestissement ont d’ailleurs continué à former des thématiques explorées par Riyoko Ikeda dans ses principales séries traitant entre autres de la reine Christine de Suède ou de Catherine II de Russie (Jotei Caterina, 1982).
Napoléon Ier (Eroica, 1986) est un autre sujet qui fascine la mangaka : celle-ci concède ne pas manquer de venir rendre hommage à son tombeau aux Invalides lors de ses visites à Paris. Pourtant, elle demeure féministe et n’en oublie pas pour autant certains de ses aspects les plus rebutants, comme sa phallocratie. Elle eut à affronter au Japon, dit-elle, ce type de préjugé lors de ses débuts dans sa profession et lorsque, en compagnie de ses collègues du groupe de l’an 24 de l’ère Shôwa, toutes nées autour de 1949 (année 24 du règne de l’empereur Hirohito), elles reprirent en main vers 1970 les destinées d’un shôjo manga auparavant par ailleurs plutôt dominé par des concepteurs masculins. (Pour plus de détails, voir un verbatim des propos échangés devant le public à Angoulême.)
Quelques questions posées à Riyoko Ikeda
Pendant sa conférence de presse à la mairie d’Angoulême, Riyoko Ikeda a bien voulu répondre à quelques-unes de nos questions portant sur son œuvre et sa méthode de travail. À propos de son état d’esprit dominant lors de la conception de La Rose de Versailles, elle déclare avoir eu, dès le début : « conscience de créer un manga révolutionnaire dépassant le cadre du shôjo traditionnel ». Son second degré lui permettait en effet d’offrir une double lecture à une audience plus adulte.
Pour ce qui concerne les explorations de la forme, voire les innovations qu’elle a pu introduire dans l’élaboration de ce genre de manga notamment Très cher frère (1975/Asuka, 2009), Riyoko Ikeda temporise : « en fait, ce titre est venu s’intercaler entre La Rose de Versailles et La Fenêtre d’Orphée, que je considère comme l’œuvre de ma vie. Tandis que Très cher frère fut plutôt écrit pour s’amuser ».
Voilà qui fait encore plus regretter l’absence de traduction en français de cet Orpheus no Mado (1976), reprenant la thématique de la révolution, mélangée au mythe grec d’Orphée.
Sur sa manière d’exploiter la documentation historique, la mangaka explique : « Pour La Rose de Versailles, j’ai dû consulter de nombreux livres. Aujourd’hui, Internet existe, bien sûr. Mais j’appartiens à la génération qui lit encore des livres, qui prend le temps de retourner à la page précédente si nécessaire. Donc, si j’ai le temps, Internet n’est pas idéal. Je préfère les livres et je me fais aider pour l’utilisation d’Internet… »
Récital au château de Versailles
Pour ceux qui n’ont pu assister à la venue de Riyoko Ikeda au Festival d’Angoulême 2011, une seconde intervention de cette dernière, toujours en compagnie de Pascal Ory, sensiblement comparable dans son contenu, s’est déroulée à la Maison de la Culture du Japon à Paris, le mercredi 2 février 2011, à 18 h 30.
On notait dans l’assistance une forte représentation de l’équipe organisatrice de la manifestation angoumoisine, dont Erwan Le Verger et Nicolas Finet, coordinateurs de ses événements autour du manga et d’autres bandes dessinées asiatiques. Cette délégation était menée par Benoît Mouchart, son directeur artistique. Celui-ci a bien voulu nous faire le récit de ce qui a constitué très certainement pour Riyoko Ikeda le sommet de ce séjour en France. Car, ayant entamé à l’âge de 47 ans des études d’art lyrique pour devenir cantatrice soprano, elle a donné un récital au Petit-Théâtre de Marie-Antoinette, au Petit-Trianon du château de Versailles.
Benoît Mouchart : « C’était un moment assez émouvant ! D’abord, parce que nous avons pu visiter, dès le matin, les appartements privés de Marie-Antoinette au Petit-Trianon, voire différentes pièces et chambres du château de Versailles qui ne sont pas accessibles au public. Le président Jean-Jacques Aillagon et son équipe, dont Laurent Brunner, nous ont fait la visite à Madame Ikeda, accompagnée d’une quarantaine de journalistes japonais. Le soir, vers 17 h 30, Madame Ikeda a chanté, pendant près de trois-quarts d’heure, dans ce Petit-Théâtre qui est absolument magnifique, un endroit qui, lui, n’est jamais ouvert au public. Oui, c’était vraiment émouvant ! Car Madame Ikeda a incarné un peu, ce soir-là, Marie-Antoinette. Elle était même habillée d’une robe d’époque. Je sais que, pour elle, ce fut un grand moment ! Le château de Versailles avait aussi tout à fait conscience de l’importance de Madame Ikeda dans sa renommée au Japon. C’est pourquoi ils ont accepté d’ouvrir cette salle. Où, probablement, aucun récital n’avait été donné depuis Marie-Antoinette… »
En effet, ce fut sans doute un second moment fort dans sa relation avec la France pour cette artiste nippone, « monument national » au Japon, qui avait déjà reçu, le 11 mars 2009, les insignes de chevalier de l’Ordre national de la Légion d’honneur des mains de l’ambassadeur français à Tôkyô.
Une décoration que Riyoko Ikeda, même si celle-ci ne s’avoue pas exagérément sensible à de telles distinctions, a montré avec plaisir à plusieurs reprises durant son passage en France. Elle se souvient en effet que cette dernière fut instituée par Napoléon, personnage historique qui monopolisa son attention au travers d’un long manga de pas moins de 11 volumes...
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- InvitéInvité
Al a écrit:Alors la Japan expo: un monde incroyable, un boucan insupportable, des boutiques qui proposent toutes la même chose, des files d'attente à n'en plus finir pour la moindre expo/animation...
J'en ai le même souvenir, somme toute.
- InvitéInvité
Alors, la réponse de mon amie: elle te conseille le site http://www.meluzine.org/ qui référence dans sa partie agenda les conventions qui se déroulent en France.
Si tu préfères une convention avec "peu" de monde (tout est relatif vu le succès des manga/dessins animés japonais chez nous), elle te déconseille Paris, car les conventions parisiennes attirent des gens de toute la France.
Elle m'a précisé que des conventions sympathiques avaient lieu à Orléans comme les "Geek Faëries" (au mois de juin).
Si tu préfères une convention avec "peu" de monde (tout est relatif vu le succès des manga/dessins animés japonais chez nous), elle te déconseille Paris, car les conventions parisiennes attirent des gens de toute la France.
Elle m'a précisé que des conventions sympathiques avaient lieu à Orléans comme les "Geek Faëries" (au mois de juin).
- painbeurreNiveau 7
Qu est ce que tu prends comme support ? Des mangas du CDI, perso, des élèves ?Pseudo a écrit:On lit, on dessine, on publie des articles sur le net, on échange sur les lectures.
En tout cas tout cela me donne envie de créer ce genre de club l année prochaine
- PseudoDemi-dieu
painbeurre a écrit:Qu est ce que tu prends comme support ? Des mangas du CDI, perso, des élèves ?Pseudo a écrit:On lit, on dessine, on publie des articles sur le net, on échange sur les lectures.
En tout cas tout cela me donne envie de créer ce genre de club l année prochaine
Je fais feu de tout bois ! Y compris en amenant les miens. Je peux aussi organiser des échanges avec d'autres bahuts du coin, mais je n'ai pas encore lancé le truc. Mais c'est faisable.
- painbeurreNiveau 7
Merci beaucoup pour ces idées Pseudo, me reste plus qu'à réfléchir à tout ça pour l'année prochaine
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