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- JohnMédiateur
Grâce au Café pédagogique, toute la France peut lire les déclarations suivantes de notre DRH, Madame Josette Théophile.
Evaluation des enseignants : Josette Théophile : " Cette fébrilité est étonnante"
http://www.cafepedagogique.net/lexpresso/Pages/2011/02/080211-theophile.aspx
Par François Jarraud
Directrice générale des ressources humaines, Josette Théophile est l'auteur des fameuses lettres adressées à certains établissements organisant des entretiens individuels et envisageant une réforme de l'évaluation des enseignants. Elle nous reçoit à notre demande pour donner son point de vue sur cette affaire et sur l'évolution du métier d'enseignant.
L'annonce des entretiens individuels et de la nouvelle évaluation des enseignants a suscité beaucoup d'émoi. S'agit-il de mesures nouvelles ?
Les entretiens professionnels sont un élément du dispositif du "pacte de carrière" qui remonte à 2009. Le pacte comprend 5 volets : la revalorisation des nouveaux enseignants, le droit individuel à la formation (DIF), l'accompagnement à la mobilité, la prévention des risques professionnels et l'évaluation des enseignants. La revalorisation est instituée depuis la rentrée 2010. On vient d'y ajouter la prime d'intérêt collectif et la prime de tutorat. Le DIF lui aussi fonctionne depuis la rentrée. On a déjà reçu 276 demandes de DIF et 44 ont reçu un accord essentiellement pour des projets d'accompagnement à la mobilité. On a ouvert un portail sur la mobilité qui offre une vision globale et qui a déjà reçu 80 000 visiteurs. Pour la prévention des risques professionnels on a recruté 13 médecins et on propose une visite de prévention aux enseignants âgés de 50 ans dans 6 départements.
Pour en revenir aux entretiens professionnels, ils ont été annoncés au Comité technique paritaire. Ils tiennent compte du fait que le métier évolue et d'une demande des nouveaux enseignants qui souhaitent être suivis par l'institution. On a donc choisi deux moments privilégiés pour les réaliser, en début de carrière, à 2 ans d'ancienneté, et au bout de 20 ans. A ces deux moments le DRH académique ou le conseiller à la mobilité doit recevoir les enseignants en difficulté ou qui en font la demande. Il s'agit de les écouter et de voir avec eux s'ils sont bien où ils sont et comment on peut les aider à évoluer.
Enfin il y a l'évaluation des enseignants. Là aussi on en a bien sur parlé avec les organisations syndicales. Tout le monde est d'accord pour dire que le métier d'enseignant a évolué et que l'évaluation actuelle ne reflète qu'une partie des tâches qu'effectuent les enseignants, celles qui ont lieu en classe. Et cet effet est renforcé par la notation administrative qui a un impact très mécanique. Le ministre veut changer cela. Il a ouvert un chantier qui se terminera à la fin de l'année. Il y a une forte convergence pour dire que la notation doit intégrer un entretien d'appréciation et pour prendre comme guide le référentiel des compétences des enseignants élaboré en 2006. Il y a aussi accord sur l'idée qu'il faut un regard croisé et pas celui du seul chef d'établissement ou de l'IPR. Sur ce point on va consulter les syndicats dans les semaines qui viennent. On sera à même de proposer plusieurs scénarios au ministre et aux syndicats à la rentrée 2011.
Comment expliquez vous l'effet de surprise qu'il y a eu à l'annonce des entretiens et de l'évaluation ?
On ne voulait pas communiquer sur ces entretiens avant de pouvoir les généraliser. Mais le courrier qui a été envoyé dans les établissements était un simple document technique. On est d'ailleurs maintenant en plein test. Mais cette fébrilité est étonnante. La surprise des enseignants devant ces mesures n'est pas réelle puisque ils ont reçu une lettre du ministre à la rentrée qui annonçait le dispositif. Du coté des syndicats peut-être auraient-ils souhaité une concertation sur ces documents techniques et c'est vrai qu'on a démarré la phase de test rapidement. Pour nous il est clair que si on ne faisait pas ces tests maintenant on perdait un an. Il n'y a eu avec eux qu'un seul désaccord sur le fait que les conseillers pédagogiques ou les directeurs d'école pourraient conduire les entretiens. On a tenu compte de leur avis.
Que devient la place des IPR dans ces entretiens ?
On souhaite garder un regard croisé et c'est un point d'accord avec les inspecteurs. Les inspecteurs demandent cela.
Beaucoup d'enseignants veulent quitter le métier, probablement des milliers. Or cette année vous avez accordé 44 formations DIF. Un chiffre à mettre en rapport avec les 80 000 visiteurs du site "mobilité". N'y a-t-il pas un grand écart par rapport aux attentes ?
On veut que les enseignants sachent que des portes peuvent s'ouvrir, qu'il peut y avoir de la fluidité. Souvent d'ailleurs quand ils font le tour de leur démarche ça les conforte dans le métier d'enseignant. Le seul vrai problème de désaffection que l'on a c'est avec les agrégés qui enseignent en collège. Ils jugent mal l'écart entre leur qualification et leur travail au collège.
Avez vous un personnel suffisant pour faire ces entretiens ? Les syndicats d'inspecteurs et de chefs d'établissement disent qu'ils ne peuvent pas traiter la masse des enseignants.
Il y a plus de monde qu'avant. En général 3 personnes par académie. Et quand ils sont aidés par les chefs d'établissement, les CPC, les inspecteurs, ils n'ont pas des masses de personnes à voir. D'ailleurs plusieurs académies, comme Versailles ou Nantes, pratiquent déjà les entretiens individuels.
Que pouvez vous proposer au personnel qui souhaite quitter l'enseignement ?
Il n'y a pas de solution miracle mais on pourra bientôt proposer de bouger vers un emploi dans l'administration. Ou aller vers un emploi de CPE. Enfin beaucoup partent vers les collectivités locales.
Sur quels principes allez vous évaluer les enseignants ?
On verra cela quand on aura progressé sur cette question. On n'a pas terminé toutes les consultations.
Quand on écoute les enseignants, les changements qu'ils attendent dans leur métier c'est la reconnaissance réelle du travail en équipe, la prise en charge de tout ce qu'ils font en plus du travail en classe. On en est encore loin...
Si on modifie l'évaluation des enseignants c'est pour reconnaître tout cela qui pourra être pris en compte pour les promotions. Ce sera une reconnaissance réelle.
Vous vous heurtez à une baisse importante du recrutement des enseignants. Dans quelle mesure est-ce lié à l'annonce médiatique de l'impréparation des stagiaires, dans quelle mesure est-ce lié au fait que les salaires enseignants sont trop faibles pour un master ?
Les difficultés ne sont pas plus importantes que les autres années. Deux phénomènes expliquent la baisse du nombre des candidats. Il y a un phénomène conjoncturel : on a organisé deux sessions de recrutement la même année au printemps et en automne et on a puisé deux fois dans le même vivier. D'autre part, dans le premier degré, l'annonce de la baisse de moitiés du nombre de postes a un effet sur les candidatures. Dans le second degré la baisse touche des disciplines particulièrement : maths, physique par exemple. Là il est clair qu'il y a de plus en plus de diplômés mais qu'ils vont ailleurs. C'est possible que la rémunération joue ou encore le contenu du métier. Par contre les candidats qui se présentent sont d'un niveau plus élevé que d'habitude. Il n'y a pas de baisse de niveau.
Entretien : François Jarraud
Evaluation des enseignants : Josette Théophile : " Cette fébrilité est étonnante"
http://www.cafepedagogique.net/lexpresso/Pages/2011/02/080211-theophile.aspx
Par François Jarraud
Directrice générale des ressources humaines, Josette Théophile est l'auteur des fameuses lettres adressées à certains établissements organisant des entretiens individuels et envisageant une réforme de l'évaluation des enseignants. Elle nous reçoit à notre demande pour donner son point de vue sur cette affaire et sur l'évolution du métier d'enseignant.
L'annonce des entretiens individuels et de la nouvelle évaluation des enseignants a suscité beaucoup d'émoi. S'agit-il de mesures nouvelles ?
Les entretiens professionnels sont un élément du dispositif du "pacte de carrière" qui remonte à 2009. Le pacte comprend 5 volets : la revalorisation des nouveaux enseignants, le droit individuel à la formation (DIF), l'accompagnement à la mobilité, la prévention des risques professionnels et l'évaluation des enseignants. La revalorisation est instituée depuis la rentrée 2010. On vient d'y ajouter la prime d'intérêt collectif et la prime de tutorat. Le DIF lui aussi fonctionne depuis la rentrée. On a déjà reçu 276 demandes de DIF et 44 ont reçu un accord essentiellement pour des projets d'accompagnement à la mobilité. On a ouvert un portail sur la mobilité qui offre une vision globale et qui a déjà reçu 80 000 visiteurs. Pour la prévention des risques professionnels on a recruté 13 médecins et on propose une visite de prévention aux enseignants âgés de 50 ans dans 6 départements.
Pour en revenir aux entretiens professionnels, ils ont été annoncés au Comité technique paritaire. Ils tiennent compte du fait que le métier évolue et d'une demande des nouveaux enseignants qui souhaitent être suivis par l'institution. On a donc choisi deux moments privilégiés pour les réaliser, en début de carrière, à 2 ans d'ancienneté, et au bout de 20 ans. A ces deux moments le DRH académique ou le conseiller à la mobilité doit recevoir les enseignants en difficulté ou qui en font la demande. Il s'agit de les écouter et de voir avec eux s'ils sont bien où ils sont et comment on peut les aider à évoluer.
Enfin il y a l'évaluation des enseignants. Là aussi on en a bien sur parlé avec les organisations syndicales. Tout le monde est d'accord pour dire que le métier d'enseignant a évolué et que l'évaluation actuelle ne reflète qu'une partie des tâches qu'effectuent les enseignants, celles qui ont lieu en classe. Et cet effet est renforcé par la notation administrative qui a un impact très mécanique. Le ministre veut changer cela. Il a ouvert un chantier qui se terminera à la fin de l'année. Il y a une forte convergence pour dire que la notation doit intégrer un entretien d'appréciation et pour prendre comme guide le référentiel des compétences des enseignants élaboré en 2006. Il y a aussi accord sur l'idée qu'il faut un regard croisé et pas celui du seul chef d'établissement ou de l'IPR. Sur ce point on va consulter les syndicats dans les semaines qui viennent. On sera à même de proposer plusieurs scénarios au ministre et aux syndicats à la rentrée 2011.
Comment expliquez vous l'effet de surprise qu'il y a eu à l'annonce des entretiens et de l'évaluation ?
On ne voulait pas communiquer sur ces entretiens avant de pouvoir les généraliser. Mais le courrier qui a été envoyé dans les établissements était un simple document technique. On est d'ailleurs maintenant en plein test. Mais cette fébrilité est étonnante. La surprise des enseignants devant ces mesures n'est pas réelle puisque ils ont reçu une lettre du ministre à la rentrée qui annonçait le dispositif. Du coté des syndicats peut-être auraient-ils souhaité une concertation sur ces documents techniques et c'est vrai qu'on a démarré la phase de test rapidement. Pour nous il est clair que si on ne faisait pas ces tests maintenant on perdait un an. Il n'y a eu avec eux qu'un seul désaccord sur le fait que les conseillers pédagogiques ou les directeurs d'école pourraient conduire les entretiens. On a tenu compte de leur avis.
Que devient la place des IPR dans ces entretiens ?
On souhaite garder un regard croisé et c'est un point d'accord avec les inspecteurs. Les inspecteurs demandent cela.
Beaucoup d'enseignants veulent quitter le métier, probablement des milliers. Or cette année vous avez accordé 44 formations DIF. Un chiffre à mettre en rapport avec les 80 000 visiteurs du site "mobilité". N'y a-t-il pas un grand écart par rapport aux attentes ?
On veut que les enseignants sachent que des portes peuvent s'ouvrir, qu'il peut y avoir de la fluidité. Souvent d'ailleurs quand ils font le tour de leur démarche ça les conforte dans le métier d'enseignant. Le seul vrai problème de désaffection que l'on a c'est avec les agrégés qui enseignent en collège. Ils jugent mal l'écart entre leur qualification et leur travail au collège.
Avez vous un personnel suffisant pour faire ces entretiens ? Les syndicats d'inspecteurs et de chefs d'établissement disent qu'ils ne peuvent pas traiter la masse des enseignants.
Il y a plus de monde qu'avant. En général 3 personnes par académie. Et quand ils sont aidés par les chefs d'établissement, les CPC, les inspecteurs, ils n'ont pas des masses de personnes à voir. D'ailleurs plusieurs académies, comme Versailles ou Nantes, pratiquent déjà les entretiens individuels.
Que pouvez vous proposer au personnel qui souhaite quitter l'enseignement ?
Il n'y a pas de solution miracle mais on pourra bientôt proposer de bouger vers un emploi dans l'administration. Ou aller vers un emploi de CPE. Enfin beaucoup partent vers les collectivités locales.
Sur quels principes allez vous évaluer les enseignants ?
On verra cela quand on aura progressé sur cette question. On n'a pas terminé toutes les consultations.
Quand on écoute les enseignants, les changements qu'ils attendent dans leur métier c'est la reconnaissance réelle du travail en équipe, la prise en charge de tout ce qu'ils font en plus du travail en classe. On en est encore loin...
Si on modifie l'évaluation des enseignants c'est pour reconnaître tout cela qui pourra être pris en compte pour les promotions. Ce sera une reconnaissance réelle.
Vous vous heurtez à une baisse importante du recrutement des enseignants. Dans quelle mesure est-ce lié à l'annonce médiatique de l'impréparation des stagiaires, dans quelle mesure est-ce lié au fait que les salaires enseignants sont trop faibles pour un master ?
Les difficultés ne sont pas plus importantes que les autres années. Deux phénomènes expliquent la baisse du nombre des candidats. Il y a un phénomène conjoncturel : on a organisé deux sessions de recrutement la même année au printemps et en automne et on a puisé deux fois dans le même vivier. D'autre part, dans le premier degré, l'annonce de la baisse de moitiés du nombre de postes a un effet sur les candidatures. Dans le second degré la baisse touche des disciplines particulièrement : maths, physique par exemple. Là il est clair qu'il y a de plus en plus de diplômés mais qu'ils vont ailleurs. C'est possible que la rémunération joue ou encore le contenu du métier. Par contre les candidats qui se présentent sont d'un niveau plus élevé que d'habitude. Il n'y a pas de baisse de niveau.
Entretien : François Jarraud
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"Qui a construit Thèbes aux sept portes ? Dans les livres, on donne les noms des Rois. Les Rois ont-ils traîné les blocs de pierre ? [...] Quand la Muraille de Chine fut terminée, Où allèrent ce soir-là les maçons ?" (Brecht)
"La nostalgie, c'est plus ce que c'était" (Simone Signoret)
- AbraxasDoyen
John, vous ne trouvez pas significatif que le Café pédagogique serve aussi bien la soupe à mme Théophile ? Vous ne pensez pas qu'au fond, la politique du ministre leur convient tout à fait — l'autonomie, le recrutement des enseignants par les chefs d'établissement et les "équipes pédagogiques" — les pédagos sont très forts pour monter ces machins-là, comme aurait dit De Gaulle…
44 demandes "reçues" (merci, not'bon maître !) sur 80 000 visites intéressées… Ça, c'est de l'élitisme à l'ancienne ! Rien que sur Néo, il y a bien plus de 44 profs qui rêvent de faire autre chose…
44 demandes "reçues" (merci, not'bon maître !) sur 80 000 visites intéressées… Ça, c'est de l'élitisme à l'ancienne ! Rien que sur Néo, il y a bien plus de 44 profs qui rêvent de faire autre chose…
- ChocolatGuide spirituel
John a écrit:
On veut que les enseignants sachent que des portes peuvent s'ouvrir, qu'il peut y avoir de la fluidité. Souvent d'ailleurs quand ils font le tour de leur démarche ça les conforte dans le métier d'enseignant. Le seul vrai problème de désaffection que l'on a c'est avec les agrégés qui enseignent en collège. Ils jugent mal l'écart entre leur qualification et leur travail au collège.
Est-ce que c'est une blague?
L'écart entre le niveau de qualifications et le travail au sein de l'EN concerne tous les enseignants! Nous sommes tous surdiplômés!
(Ca, c'est parce que je n'ai pas le temps de disserter sur le caractère hallucinant de condescendance de l'ensemble des propos tenus.)
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- RuthvenGuide spirituel
Sa langue de bois, son ton patelin, ses arrangements avec le réel sont révulsants.
- Marie LaetitiaBon génie
En même temps, si elle ne tient pas le discours de son patron, l'ex spécialiste de la cosmétique, elle est virée...
Tout comme un banquierqui applique les consignes d'en haut fait n'importe quoi...
Tout comme un banquier
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Si tu crois encore qu'il nous faut descendre dans le creux des rues pour monter au pouvoir, si tu crois encore au rêve du grand soir, et que nos ennemis, il faut aller les pendre... Aucun rêve, jamais, ne mérite une guerre. L'avenir dépend des révolutionnaires, mais se moque bien des petits révoltés. L'avenir ne veut ni feu ni sang ni guerre. Ne sois pas de ceux-là qui vont nous les donner (J. Brel, La Bastille)
Antigone, c'est la petite maigre qui est assise là-bas, et qui ne dit rien. Elle regarde droit devant elle. Elle pense. [...] Elle pense qu'elle va mourir, qu'elle est jeune et qu'elle aussi, elle aurait bien aimé vivre. Mais il n'y a rien à faire. Elle s'appelle Antigone et il va falloir qu'elle joue son rôle jusqu'au bout...
Et on ne dit pas "voir(e) même" mais "voire" ou "même".
- DaphnéDemi-dieu
Ruthven a écrit:Sa langue de bois, son ton patelin, ses arrangements avec le réel sont révulsants.
+ 1
- AuroreEsprit éclairé
Ruthven a écrit:Sa langue de bois, son ton patelin, ses arrangements avec le réel sont révulsants.
+1000
De la propagande grossière... :colere:
- NestyaEsprit sacré
Je ne peux plus la voir (ni l'entendre), cette dame! Elle est d'une mauvaise foi!
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"Attendre et espérer."
Alexandre Dumas
- frankensteinVénérable
De mauvaise foi, certainement pas ! Elle est justement dans la droite ligne de ce que voudraient Sarkozy, la droite et une partie de la gauche PS...Nestya a écrit:Je ne peux plus la voir (ni l'entendre), cette bonne femme! Elle est d'une mauvais foi!
_________________
Mettez des pouces verts sur : https://www.youtube.com/user/Choristenimes/ videos
Si les élections pouvaient changer la société, elles seraient interdites.
- AuroreEsprit éclairé
frankenstein a écrit:De mauvaise foi, certainement pas ! Elle est justement dans la droite ligne de ce que voudraient Sarkozy, la droite et une partie de la gauche PS...Nestya a écrit:Je ne peux plus la voir (ni l'entendre), cette bonne femme! Elle est d'une mauvais foi!
Disons qu'elle fait bien ce qu'on lui demande de faire, et qu'elle doit être bien payée en retour...
- RuthvenGuide spirituel
frankenstein a écrit:
De mauvaise foi, certainement pas ! Elle est justement dans la droite ligne de ce que voudraient Sarkozy, la droite et une partie de la gauche PS...
Il y a quand même une malhonnêteté intellectuelle suintante dans ses propos - sinon les réactions ne seraient pas aussi épidermiques puisqu'on a l'habitude de ce type de discours. J'aimerais bien qu'elle se fasse un peu étriller par des journalistes (un peu comme à la suite du reportage de M6 sur le remplacement qui lui avait mis le nez dans ce qu'elle niait).
- AuroreEsprit éclairé
Ruthven a écrit:Il y a quand même une malhonnêteté intellectuelle suintante dans ses propos - sinon les réactions ne seraient pas aussi épidermiques puisqu'on a l'habitude de ce type de discours. J'aimerais bien qu'elle se fasse un peu étriller par des journalistes (un peu comme à la suite du reportage de M6 sur le remplacement qui lui avait mis le nez dans ce qu'elle niait).
Difficile de te contredire...
- ChocolatGuide spirituel
Ruthven a écrit:
Il y a quand même une malhonnêteté intellectuelle suintante dans ses propos - sinon les réactions ne seraient pas aussi épidermiques puisqu'on a l'habitude de ce type de discours. J'aimerais bien qu'elle se fasse un peu étriller par des journalistes (un peu comme à la suite du reportage de M6 sur le remplacement qui lui avait mis le nez dans ce qu'elle niait).
C'est dingue à quel point aucun journaliste ne veut/ne sait lui démontrer que la vision qu'ella donne de l'EN est complètement fausse.
_________________
- AuroreEsprit éclairé
Chocolat a écrit:Ruthven a écrit:
Il y a quand même une malhonnêteté intellectuelle suintante dans ses propos - sinon les réactions ne seraient pas aussi épidermiques puisqu'on a l'habitude de ce type de discours. J'aimerais bien qu'elle se fasse un peu étriller par des journalistes (un peu comme à la suite du reportage de M6 sur le remplacement qui lui avait mis le nez dans ce qu'elle niait).
C'est dingue à quel point aucun journaliste ne veut/ne sait lui démontrer que la vision qu'ella donne de l'EN est complètement fausse.
Tiens, v'là un filon pour N. Polony...
- ChocolatGuide spirituel
Aurore a écrit:
Tiens, v'là un filon pour N. Polony...
:lol:
Est-ce que tu as déjà vu ou lu Natacha Polony prendre le risque de vraiment se casser les dents?
_________________
- NuitsFidèle du forum
C'est quelqu'un qui m'a dit que ..." Les difficultés ne sont pas plus importantes que les autres années. " ( au sujet de la formation des stagiaires)
Ben voyons...
Ben voyons...
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C'est dans l'intérêt de l'enfant.
- NuitsFidèle du forum
Non mais la, j'ai pas vraiment envie de jouer du tambour ou d'agiter des banderoles en poussant la chansonnette demain.... J'ai envie de tout autre chose...
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C'est dans l'intérêt de l'enfant.
- frankensteinVénérable
Ben , franchement je ne vois pas ce qui vous choque dans les propos de Josette Théophile ! C'est, je me répète, exactement le programme de la droite (et du PS)...
J'sais pas moi, je trouve plus choquant qu'aucun homme politique ne réagisse à la mise en place du SCC ! Summum de la bêtise , de l'inhumanité, de la technocratie !
J'sais pas moi, je trouve plus choquant qu'aucun homme politique ne réagisse à la mise en place du SCC ! Summum de la bêtise , de l'inhumanité, de la technocratie !
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Mettez des pouces verts sur : https://www.youtube.com/user/Choristenimes/ videos
Si les élections pouvaient changer la société, elles seraient interdites.
- Reine MargotDemi-dieu
Ruthven a écrit:Sa langue de bois, son ton patelin, ses arrangements avec le réel sont révulsants.
Tu veux que je te présente certains IA que je connais?
c'est leur boulot, ils sont payés (et vont avoir des primes) pour ça, tous les bureaucrates des rectorats, IA et autres DRH sont pareils.
- MélaneNiveau 6
Josette Théophile : la personnification du mensonge bureaucratique. Honte à elle !!
- JohnMédiateur
Oui. On peut lui faire des reproches, mais pas celui-là.Chocolat a écrit::lol:Aurore a écrit:
Tiens, v'là un filon pour N. Polony...
Est-ce que tu as déjà vu ou lu Natacha Polony prendre le risque de vraiment se casser les dents?
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"Qui a construit Thèbes aux sept portes ? Dans les livres, on donne les noms des Rois. Les Rois ont-ils traîné les blocs de pierre ? [...] Quand la Muraille de Chine fut terminée, Où allèrent ce soir-là les maçons ?" (Brecht)
"La nostalgie, c'est plus ce que c'était" (Simone Signoret)
- ChocolatGuide spirituel
John a écrit:
Oui. On peut lui faire des reproches, mais pas celui-là.
Est-ce que je peux te demander à quelle occasion?
Je précise que c'est une vraie question, John.
J'aimerais pouvoir changer d'avis au sujet de N.P, très visible dans l'espace public et considérée comme experte pour prendre position et analyser un domaine qui me tient particulèrement à coeur; comme à nous tous, du reste.
Merci
_________________
- InvitéInvité
et la prise en compte du boulot "hors enseignement" dans notre évaluation, cela aboutit aujourd'hui à une évaluation de notre implication dans les divers projets d'établissements. Alors qu'on veut juste qu'on cesse de dire qu'on ne travaille "que" 18h/semaine.
- MélaneNiveau 6
Lorica a écrit:et la prise en compte du boulot "hors enseignement" dans notre évaluation, cela aboutit aujourd'hui à une évaluation de notre implication dans les divers projets d'établissements. Alors qu'on veut juste qu'on cesse de dire qu'on ne travaille "que" 18h/semaine.
Qu'on me laisse tranquille ! par pitié !
- JeanNiveau 8
Ruthven a écrit:Sa langue de bois, son ton patelin, ses arrangements avec le réel sont révulsants.
Elle vient directement d'une grande entreprise, je ne sais plus laquelle. C'est une spécialiste, semble-t-il, de l'évaluation. Gestionnaire froide...
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- Josette théophile m'a envoyé un mail...
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