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- ThalieGrand sage
intéressant ce que tu sous-entends Dani, pourrais-tu nous en dire plus ? relier avec quel reste ?Dani a écrit:
"il y a 2 ans, quand le film est sorti, on a eu une pub d'enfer pour aller le voir avec nos élèves, avec des séances spéciales etc etc.
Je ne comprends pas. Sérieux."
Moi, je comprends la pub d'enfer.
Il suffit de la relier avec tout le reste.
- DaniNiveau 8
Thalie a écrit:intéressant ce que tu sous-entends Dani, pourrais-tu nous en dire plus ? relier avec quel reste ?Dani a écrit:
"il y a 2 ans, quand le film est sorti, on a eu une pub d'enfer pour aller le voir avec nos élèves, avec des séances spéciales etc etc.
Je ne comprends pas. Sérieux."
Moi, je comprends la pub d'enfer.
Il suffit de la relier avec tout le reste.
J'ai parlé dans un autre fil de déclassement de la profession.
Il y a des raisons sociales à cela, qui expliquent que ce film soit palme d'or, et des raisons propres au milieu professionnel qui est le nôtre, qui sont à relier l'acceptation, et dans bien des cas à la soumission des enseignants, qui acceptent d'emmener leurs élèves voir un tel film. Entre autres manifestations les plus diverses, qui les conduit à cautionner leur, notre régression professionnelle et sociale collective.
NB Que ceux qui n'acceptent pas le terme de soumission poussent leurs cris d'orfraie sans attendre de réponse sur ce point de ma part.
- CéciliaNiveau 8
Je ne crois pas que les cours montrés dans le film le soient à titre d'exemple... J'ai compris le film tout autrement, plutôt comme un constat d'échec. Il y a des personnages d'enseignants "qui réussissent", dans le film, et qui renvoient le héros à sa défaite pédagogique. En fait, j'ai pris ce film pour une réflexion sur les relations ambivalentes entre familiarité et respect, démagogie et bienveillance - comment se fait-il qu'en voulant être à l'écoute de ses élèves on en arrive à ne plus être écouté d'eux? Bon, je ne le montrerais pas non plus à des élèves, surtout parce que je ne lui trouve pas bcp de qualités cinématographiques. La palme d'or, c'est sidérant, en effet, mais on peut tout pardonner à Sean, non?
- kvasirNiveau 6
Si vous voulez leur montrer un film sur le milieu scolaire (mais bon c'est pas le sujet du film) montrez leur LA VAGUE au moins on peut ensuite avoir des débats très intéressants. Mais rien ne vaudra LE PLUS BEAU METIER DU MONDE
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"Si nous avons chacun un objet et que nous les échangeons nous aurons chacun un objet.
Si nous avons chacun une idée et que nous les échangeons nous aurons chacun deux idées. "
- InvitéInvité
il m'a fallu un an (après avoir quitté les LP du 93) avant de me résoudre à aller voir ce film. Une vraie torture pour ceux qui bossent avec ce public.
Je ne l'ai pas revu, mais le souvenir que j'en ai correspond à ce que je fais actuellement avec mes élèves. Je suis démissionnaire, je ne vois plus aucune utilité à l'enseignement, je me retrouve à faire tout autre chose que de la transmission de connaissances et de méthodes. J'ai abandonné la lutte et je n'attends qu'une chose: pouvoir aller voir ailleurs.
Et c'est déplorable. Tout à fait d'accord.
Je ne l'ai pas revu, mais le souvenir que j'en ai correspond à ce que je fais actuellement avec mes élèves. Je suis démissionnaire, je ne vois plus aucune utilité à l'enseignement, je me retrouve à faire tout autre chose que de la transmission de connaissances et de méthodes. J'ai abandonné la lutte et je n'attends qu'une chose: pouvoir aller voir ailleurs.
Et c'est déplorable. Tout à fait d'accord.
- CéciliaNiveau 8
J'ai bcp aimé le livre La vague, le film est en dessous, je trouve. Il me semble me souvenir que ce n'est pas la même fin, qu'elle est plus forte dans le livre. Mais là, c'est vraiment du cinéma, oui, pas comme Entre les murs (détesté La journée de la Jupe, aussi, d'ailleurs...).
Et puis moi je passe tout à Sean.. enfin, sauf ça : http://thezaz.nationallampoon.com/files/2009/08/78-sean-penn-mustache.jpg
Et puis moi je passe tout à Sean.. enfin, sauf ça : http://thezaz.nationallampoon.com/files/2009/08/78-sean-penn-mustache.jpg
- kvasirNiveau 6
Cécilia a écrit:J'ai bcp aimé le livre La vague, le film est en dessous, je trouve. Il me semble me souvenir que ce n'est pas la même fin, qu'elle est plus forte dans le livre. Mais là, c'est vraiment du cinéma, oui, pas comme Entre les murs (détesté La journée de la Jupe, aussi, d'ailleurs...).
Et puis moi je passe tout à Sean.. enfin, sauf ça : http://thezaz.nationallampoon.com/files/2009/08/78-sean-penn-mustache.jpg
Je pensai au film allemand sans sean dedans
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Si nous avons chacun une idée et que nous les échangeons nous aurons chacun deux idées. "
- liliepingouinÉrudit
Dulcinea a écrit:Je n'ai pas vu le film, que des extraits. Il discutaille trop, leur laisse trop la parole et les laisse s'installer n'importe comment en début d'heure. Il se rabaisse sans arrêt et se met à leur niveau. Le cours ne semble pas construit.
C'est un film toxique, à ne montrer à aucune classe. En fait, les stagiaires pourraient le voir et constateraient que c'est l'inverse qu'il faut faire.
Il ne faut peut-être pas exagérer non plus...
J'ai vu ce film précisément l'année où j'étais stagiaire, et je l'ai beaucoup aimé. Il m'a fait beaucoup de bien.
Et vous savez pourquoi? parce que dans ce film on voit un enseignant qui n'y arrive pas. Combien de films grand public avec une classe qui met un bordel innommable et un super-prof qui arrive, à grands coups de théâtre, danse ou je ne sais quoi, à transformer sa classe de brutes en élèves enthousiastes et motivés? Là au contraire, je voyais des élèves bien pires que les miens, et un enseignant qui montre beaucoup des problèmes rencontrés sans apporter de solution, qui fait des erreurs, qui montre tous ses doutes, toutes ses boulettes... J'ai trouvé que ce film posait les bonnes questions, sans avoir la prétention d'y répondre.
C'est un film, pas un modèle de cours, ni un documentaire.
sinon, je ne pense pas qu'il "faille faire" comme ci ou comme ça. Chacun fait comme il peut. Et vraiment j'ai trouvé très intéressant de voir cet enseignant s'exposer, avec ses failles, ses erreurs, ses faiblesses... Justement ce n'est pas dogmatique du tout comme film (ou alors je n'ai rien compris )
Bref, j'ai vraiment aimé le film et son portrait de prof qui est l'opposé du super-héros. Je le reverrais avec plaisir.
Mais, comme la plupart d'entre vous, je ne vois pas l'intérêt de montrer ce film à des classes.
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Spheniscida qui se prend pour une Alcida.
"Laissons glouglouter les égouts." (J.Ferrat)
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Même si c'est un combat perdu d'avance, crier est important.
- CéciliaNiveau 8
[/quote]
Je pensai au film allemand sans sean dedans [/quote]
Oui, oui, c'est celui que j'ai vu, pour sean, c'était ma réponse à Lornet!
- Invité13Habitué du forum
nateka a écrit:Mélu a écrit:Montrez-leur La Journée de la Jupe
Bégaudeau : je censure : tant de démagogie, de laxisme et de démission assumée . Qu'est ce qui motive Bégaudeau si ce n'est le fric facile, le succès facile et l'attrait de la popularité ? Je ne trouve pas et pourtant j'ai cherché dans ses écrits :boulet:
+1, je crois qu'il a démissionné. Bon débarras !
- LoEsprit sacré
Dulcinea a écrit:Je n'ai pas vu le film, que des extraits. Il discutaille trop, leur laisse trop la parole et les laisse s'installer n'importe comment en début d'heure. Il se rabaisse sans arrêt et se met à leur niveau. Le cours ne semble pas construit.
C'est un film toxique, à ne montrer à aucune classe. En fait, les stagiaires pourraient le voir et constateraient que c'est l'inverse qu'il faut faire.
On a eu une séance de formation là-dessus à l'IUFM l'année dernière. Vu le bahut propret où j'étais, j'avais été horrifiée. Cette année, je me rends compte que je vis parfois des situations proches...
- mel93Grand sage
liliepingouin a écrit:
Il ne faut peut-être pas exagérer non plus...
J'ai vu ce film précisément l'année où j'étais stagiaire, et je l'ai beaucoup aimé. Il m'a fait beaucoup de bien.
Et vous savez pourquoi? parce que dans ce film on voit un enseignant qui n'y arrive pas. Combien de films grand public avec une classe qui met un bordel innommable et un super-prof qui arrive, à grands coups de théâtre, danse ou je ne sais quoi, à transformer sa classe de brutes en élèves enthousiastes et motivés? Là au contraire, je voyais des élèves bien pires que les miens, et un enseignant qui montre beaucoup des problèmes rencontrés sans apporter de solution, qui fait des erreurs, qui montre tous ses doutes, toutes ses boulettes... J'ai trouvé que ce film posait les bonnes questions, sans avoir la prétention d'y répondre.
C'est un film, pas un modèle de cours, ni un documentaire.
sinon, je ne pense pas qu'il "faille faire" comme ci ou comme ça. Chacun fait comme il peut. Et vraiment j'ai trouvé très intéressant de voir cet enseignant s'exposer, avec ses failles, ses erreurs, ses faiblesses... Justement ce n'est pas dogmatique du tout comme film (ou alors je n'ai rien compris )
Bref, j'ai vraiment aimé le film et son portrait de prof qui est l'opposé du super-héros. Je le reverrais avec plaisir.
Mais, comme la plupart d'entre vous, je ne vois pas l'intérêt de montrer ce film à des classes.
+ 1000
Je ne comprends la bégaudeauphobie généralisée chez les profs. Bégaudeau ne s'est jamais érigé en modèle de pédagogie, bien au contraire, dans Entre les murs, livre et film, il met en scène ses échecs, il ne se montre pas sous son meilleur jour, rien que cette honnêteté là mérite d'être saluée. Quant aux qualités cinématographiques du film, je ne les trouve pas moindres, belle direction d'acteurs tout de même, et le montage est souvent très intelligent et signifiant.
J'ai bien aimé aussi la journée de la jupe, mais je trouve que malheureusement le film a manqué de moyen et que ça se voit, dans la photographie et dans le montage notamment, et les ados y jouent moins bien.
- Reine MargotDemi-dieu
le problème (je parle du film, je n'ai pas lu le livre) c'est que Bégaudeau ne dénonce pas vraiment ce qu'il montre, c'est à dire une école devenue garderie et le prof impuissant face à des petits "fauves", et la baisse d'exigence généralisée..
au contraire, le film semble montrer ces joutes verbales qui tiennent lieu de cours comme un modèle, qqch d'exaltant (enfin je l'ai ressenti comme ça)
au contraire, le film semble montrer ces joutes verbales qui tiennent lieu de cours comme un modèle, qqch d'exaltant (enfin je l'ai ressenti comme ça)
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- CelebornEsprit sacré
marquisedemerteuil a écrit:le problème (je parle du film, je n'ai pas lu le livre) c'est que Bégaudeau ne dénonce pas vraiment ce qu'il montre, c'est à dire une école devenue garderie et le prof impuissant face à des petits "fauves", et la baisse d'exigence généralisée..
au contraire, le film semble montrer ces joutes verbales qui tiennent lieu de cours comme un modèle, qqch d'exaltant (enfin je l'ai ressenti comme ça)
Tout le discours d'accompagnement du film était une glorification des élèves d'aujourd'hui (et de l'enseignement qui va avec), qui ont peut-être perdu en culture classique, mais qui compensent largement par leur dynamisme, etc. Des élèves qui "bougent mieux", qu'il nous a dit.
Le film, en soi, je le trouve mauvais, mais pas toxique. C'est le discours qui allait avec qui était toxique.
edit : j'en profite pour rappeler que j'en avais fait une critique ici. Pour La Journée de la jupe, c'est là.
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"On va bien lentement dans ton pays ! Ici, vois-tu, on est obligé de courir tant qu'on peut pour rester au même endroit. Si on veut aller ailleurs, il faut courir au moins deux fois plus vite que ça !" (Lewis Carroll)
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- frankensteinVénérable
Une palme d'or oubliée ?? :lol!: :lol!: :lol!:
:pas vrai:
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- Presse-puréeGrand sage
Pas vu le film, j'ai juste lu le bouquin, que j'ai trouvé atterrant. Je garde le souvenir d'un livre mal écrit qui présente mon métier comme un travail ou tu fais des photocopies, tu bois du café et tu discutes avec les élèves en les traitant de grosses. Bref, je me suis inquiété du retentissement de ce livre/film du fait de sa vision à mon sens réductrice du métier. Je ne dis pas que Bégaudeau est un sal..d, mais la réception potentielle de son oeuvre par le public est problématique...
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Celeborn, tu nous feras un compte rendu de "Ce n'est qu'un début" ?
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- InvitéInvité
Presse-purée a écrit:Pas vu le film, j'ai juste lu le bouquin, que j'ai trouvé atterrant. Je garde le souvenir d'un livre mal écrit qui présente mon métier comme un travail ou tu fais des photocopies, tu bois du café et tu discutes avec les élèves en les traitant de grosses. Bref, je me suis inquiété du retentissement de ce livre/film du fait de sa vision à mon sens réductrice du métier. Je ne dis pas que Bégaudeau est un sal..d, mais la réception potentielle de son oeuvre par le public est problématique...
Même impression : c'est un livre très mal écrit.
- InvitéInvité
frankenstein a écrit:Une palme d'or oubliée ?? :lol!: :lol!: :lol!:
:pas vrai:
Un truc est sûr : mieux vaut avoir Victor Novak comme instit que Bégaudeau comme prof.*
* Et pourtant dans la vraie vie, lequel fut enseignant ?
- CelebornEsprit sacré
John a écrit:Celeborn, tu nous feras un compte rendu de "Ce n'est qu'un début" ?
Pas là, non…
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- InvitéInvité
mel93 a écrit:
Je ne comprends la bégaudeauphobie généralisée chez les profs. Bégaudeau ne s'est jamais érigé en modèle de pédagogie, bien au contraire, dans Entre les murs, livre et film, il met en scène ses échecs, il ne se montre pas sous son meilleur jour, rien que cette honnêteté là mérite d'être saluée. Quant aux qualités cinématographiques du film, je ne les trouve pas moindres, belle direction d'acteurs tout de même, et le montage est souvent très intelligent et signifiant.
J'ai bien aimé aussi la journée de la jupe, mais je trouve que malheureusement le film a manqué de moyen et que ça se voit, dans la photographie et dans le montage notamment, et les ados y jouent moins bien.
La bégaudeauphobie s'explique de façon très simple. Nous sommes des milliers de profs faisant de notre mieux devant notre classe mais connaissant des échecs. Or voilà qu'un livre paraît dans lequel un prof met en scène ses échecs en les présentant comme tels, sans chercher de solutions, sans se remettre en question. En un sens, la lecture de ce livre fait du bien à l'ego : "même mes cours sont mieux construits que ceux de Bégaudeau ; je n'insulte pas mes élèves de "pétasses" ; je croyais démissionner mais cet enseignant se débrouille encore moins bien que moi...En plus, il écrit aussi mal qu'il enseigne ! Ce que c'est mal écrit ! Daniel Pennac ou Jeanne Benameur, c'est quand même autre chose."
Et puis voilà que ce piètre enseignant, cet écrivain raté voit son livre adapté au cinéma par un bon réalisateur (Laurent Cantet, quand même : les qualités cinématographiques du film, c'est à lui qu'on les doit, pas à Bégaudeau !) et que l'adaptation de son livre insipide et mal écrit rafle la palme d'or à Cannes...
Bégaudeau peut alors démissionner de l'EN la tête haute là où tant d'autres galèrent pour en sortir par la petite porte.
Bégaudeau s'érige sur sa nullité comme un petit coq monté sur ses ergots.
Le voilà médiatisé, et que dit-il ? Que Baudelaire, c'est pas si bien que ça...C'est Bégaudeau qui dit ça, se fait critique littéraire (?), lui qui n'a ni génie, ni talent.
La bégaudeauphobie naît de ce constat : comment quelqu'un qui ne sait que pérorer peut-il si bien réussir son parcours professionnel ? Comment une tel personnage peut-il être arrivé si haut ?
- ThalieGrand sage
D'autre part, j'ai suivi de très près sa médiatisation dès la parution du livre que j'ai lu très tôt. Il a été encensé par toute la presse unanime. Je me souviens d'une émission de France Culture délirante où il n'a jamais été question de sa nullité et de ses échecs en tant que prof. Non ! Tous les journalistes du feu Panorama s'extasiaient sur le langage des banlieues si vivifiant, si original gnia, gnia, gnia...D'ailleurs, FB recevra le prix France Culture de je ne sais quoi lors de cette rentrée culturelle.
Et en effet comme le dit Lornet, il n'en reste pas là, il se casse de l'E.N où il n'avait rien à faire et il n'a tj eu qu'une idée en tête en sortir le plus vite possible. Pour moi, ce n'était pas vraiment un prof, il a fait cela en attendant, il ne s'est jamais envisagé comme un prof, il était détaché.
Bref, il poursuit et sort cette anthologie ridicule des textes français, genre le nouveau Lagarde et Michard à la sauce Bégaudeau, c'est bien que l'institution éditoriale lui reconnaît le droit de dire toutes ces bêtises sur les oeuvres parce qu'il était prof.
Et en effet comme le dit Lornet, il n'en reste pas là, il se casse de l'E.N où il n'avait rien à faire et il n'a tj eu qu'une idée en tête en sortir le plus vite possible. Pour moi, ce n'était pas vraiment un prof, il a fait cela en attendant, il ne s'est jamais envisagé comme un prof, il était détaché.
Bref, il poursuit et sort cette anthologie ridicule des textes français, genre le nouveau Lagarde et Michard à la sauce Bégaudeau, c'est bien que l'institution éditoriale lui reconnaît le droit de dire toutes ces bêtises sur les oeuvres parce qu'il était prof.
- VioletEmpereur
Moi, je préfère Esprits rebelles avec Michelle Pfeiffer !
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