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- minette74Niveau 5
Bonjour,
Mon conjoint a la possibilité de me pistonner pour rentrer dans son entreprise, je vais passer un entretien bientôt, c'est pour un poste de secrétaire à mi-temps. Si je suis prise, comment prendre une dispo ? Quel préavis ? L'EN peut-elle refuser de me laisser partir en cours d'année ? J'ai une fille de moins de 3 ans, je sais que je peux prendre un congé parental en cours d'année mais ai-je le droit de travailler à mi-temps durant ce congé ? Si je n'ai pas le droit, qu'est-ce que je risque à le faire (sachant que je ne serais pas payée par la caf, c'est mon 1er enfant et je ne sors pas de congé maternité) ?
J'ai (peut-être) enfin trouvé le moyen de quitter l'EN mais j'ai peur qu'ils ne me laissent pas partir ! Au secours, j'ai besoin de vos conseils !!!
Mon conjoint a la possibilité de me pistonner pour rentrer dans son entreprise, je vais passer un entretien bientôt, c'est pour un poste de secrétaire à mi-temps. Si je suis prise, comment prendre une dispo ? Quel préavis ? L'EN peut-elle refuser de me laisser partir en cours d'année ? J'ai une fille de moins de 3 ans, je sais que je peux prendre un congé parental en cours d'année mais ai-je le droit de travailler à mi-temps durant ce congé ? Si je n'ai pas le droit, qu'est-ce que je risque à le faire (sachant que je ne serais pas payée par la caf, c'est mon 1er enfant et je ne sors pas de congé maternité) ?
J'ai (peut-être) enfin trouvé le moyen de quitter l'EN mais j'ai peur qu'ils ne me laissent pas partir ! Au secours, j'ai besoin de vos conseils !!!
- Karine B.Guide spirituel
minette74 a écrit:Bonjour,
Mon conjoint a la possibilité de me pistonner pour rentrer dans son entreprise, je vais passer un entretien bientôt, c'est pour un poste de secrétaire à mi-temps. Si je suis prise, comment prendre une dispo ? Quel préavis ? L'EN peut-elle refuser de me laisser partir en cours d'année ? J'ai une fille de moins de 3 ans, je sais que je peux prendre un congé parental en cours d'année mais ai-je le droit de travailler à mi-temps durant ce congé ? Si je n'ai pas le droit, qu'est-ce que je risque à le faire (sachant que je ne serais pas payée par la caf, c'est mon 1er enfant et je ne sors pas de congé maternité) ?
J'ai (peut-être) enfin trouvé le moyen de quitter l'EN mais j'ai peur qu'ils ne me laissent pas partir ! Au secours, j'ai besoin de vos conseils !!!
tu peux toujours en dernier recours prendre une dispo pour élever un enfant de moins de 8 ans
_________________
Le SNES, what else ?
Stagiaire agrégée à la rentrée 2015
Blog Maison Avant / Après Mise à jour en août 2013
- Reine MargotDemi-dieu
si tu choisis le congé parental de droit pour enfant de moins de 3 ans, tu n'as pas le droit d'avoir un emploi; il me semble.
_________________
Quand tout va mal, quand il n'y a plus aucun espoir, il nous reste Michel Sardou
La famille Bélier
- papillonbleuEsprit éclairé
Ils ne te laisseront pas partir en cours d'année... il faut démissionner ou attendre l'an prochain et demander une disponibilité pour convenances personnelles.
- papillonbleuEsprit éclairé
On a le droit de travailler dans ce cas ?une dispo pour élever un enfant de moins de 8 ans
- maskNiveau 5
Tu peux demander une dispo en cours d'année si tu as un motif valable
mais le délai est de 3 mois.... et ils ne sont pas obligés d'accepter!
mais le délai est de 3 mois.... et ils ne sont pas obligés d'accepter!
- minette74Niveau 5
marquisedemerteuil a écrit:si tu choisis le congé parental de droit pour enfant de moins de 3 ans, tu n'as pas le droit d'avoir un emploi; il me semble.
Et si je le fais quand même, que se passe-t-il si l'EN s'en aperçoit ?
myfarenier a écrit:Ils ne te laisseront pas partir en cours d'année... il faut démissionner ou attendre l'an prochain et demander une disponibilité pour convenances personnelles.
Mais c'est horrible, c'est pire qu'une prison ! Comment partir dans le privé, c'est impossible !!!
myfarenier a écrit:On a le droit de travailler dans ce cas ?une dispo pour élever un enfant de moins de 8 ans
Cette question m'intéresse, quelqu'un a la réponse ?
- PseudoDemi-dieu
minette74 a écrit:myfarenier a écrit:Ils ne te laisseront pas partir en cours d'année... il faut démissionner ou attendre l'an prochain et demander une disponibilité pour convenances personnelles.
Mais c'est horrible, c'est pire qu'une prison ! Comment partir dans le privé, c'est impossible !!!
C'est exactement la conclusion à laquelle je suis arrivée !
Il y a des délais complètement ubuesques pour les demandes de détachement ou de disponibilité. A savoir, dans mon académie (mais ailleurs ça ne semble pas très différent), il faut faire sa demande avant mars pour une dispo en septembre. Pour être dans les clous avec un employeur privé (et même dans d'autres secteurs de l'administration) faut quand même se lever bonheur !
Et en admettant qu'on soit dans les délais, le détachement ou la dispo peuvent t'être refusé.
En dernier recours, la démission ? Ah mais ça n'est pas si simple ! On peut te refuser ta dem ! Et de toute façon l'administration a quatre mois pour te répondre. Quatre mois pendant lesquels tu es censé aller bosser à ton bahut.
La seule solution, c'est peut-être de ne pas se pointer un matin, et d'attendre d'être radié des cadres pour abandon de poste. Mais n'étant pas en règle, ton nouvel employeur peut-il te signer un contrat ?
Ben, à part ça, je ne vois pas ce qui va mal à l'EN moi...
- totoroMonarque
Le congé parental de droit doit être collé au congé maternité quand c'est pour un premier enfant (me semble-t-il...)
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- minette74Niveau 5
En cherchant sur internet, j'ai trouvé ça :
http://www.se-unsa-orleanstours.ouvaton.org/spip.php?article311
La disponibilité est une des positions du statut des fonctionnaires. En disponibilité, le fonctionnaire n’est pas rémunéré et n’acquiert aucun droit à avancement et à pension. La disponibilité peut être prononcée, soit à la demande de l’intéressé, soit d’office.
La disponibilité à la demande de l’intéressé peut être accordée, sous réserve de nécessité de service pour :
études ou recherches présentant un intérêt général. Sa durée ne peut excéder trois ans, renouvelable une fois pour une durée égale ;
convenances personnelles, elle ne peut excéder trois ans (renouvelable). La durée de la disponibilité ne pourra cependant pas excéder dix années.
La disponibilité de droit est accordée pour :
donner des soins au conjoint ou au partenaire lié par un Pacs, à un enfant ou à un ascendant, à la suite d’un accident ou d’une maladie grave. La disponibilité ne peut alors excéder 3 ans renouvelables 2 fois ; - élever un enfant de moins de huit ans, donner des soins à un enfant à charge, au conjoint ou partenaire lié par Pacs ou à un ascendant atteint d’un handicap nécessitant la présence d’une tierce personne ;
suivre son conjoint ou partenaire lié par Pacs lorsque sa résidence est éloignée, du fait de sa profession, de son lieu d’exercice. La disponibilité est sans limitation dans les deux derniers cas, sous réserve de remplir les conditions requises.
La disponibilité dite d’office est accordée lorsque l’enseignant a épuisé ses droits statutaires à congés maladie, s’il ne peut être procédé à son reclassement. Sa durée est d’un an, renouvelable au maximum deux fois. À l’expiration de cette période de trois ans, l’enseignant peut :
bénéficier d’un reclassement (qu’il peut obtenir plus tôt) ;
être réintégré dans son administration ;
être admis à la retraite ;
être licencié s’il n’a pas droit à une pension.
Comment demander la disponibilité ?
La disponibilité est accordée, en général, par année scolaire. La demande doit être présentée avant le mouvement du personnel afin que les postes laissés vacants soient pourvus. Les disponibilités pour accident ou maladie grave du conjoint, ou pour élever un enfant de moins de huit ans, peuvent être prises en cours d’année. La demande se fait sur papier libre par la voie hiérarchique (IEN ou chef d’établissement) en précisant les motifs et la date demandée pour la mise en disponibilité.
Attention : l’agent ayant sollicité une disponibilité n’est autorisé à quitter son poste qu’après avoir reçu notification de sa mise en disponibilité. Tout départ prématuré risque d’être assimilé à un abandon de poste, avec les conséquences qui s’y attachent. L’agent en disponibilité perd son poste.
La réintégration s’effectue à la rentrée scolaire. L’enseignant doit présenter sa demande trois mois avant la fin de la disponibilité. Les modalités pour retrouver un poste sont prescrites par la note de service annuelle sur le mouvement. Des règles de réaffectation sont définies par corps et précisées par cette note de service.
Exercice d’une activité rémunérée
S’il est admis que pendant la disponibilité pour convenance personnelle ou pour suivre son conjoint ou partenaire lié par Pacs, le fonctionnaire peut être autorisé à exercer une activité rémunérée, cette autorisation est plus rarement délivrée au fonctionnaire placé en disponibilité pour donner des soins ou élever un enfant de moins de huit ans. Elle n’est accordée que si l’activité est compatible avec les motifs invoqués pour son obtention. La demande d’autorisation d’exercer une activité rémunérée doit être adressée à l’autorité qui a accordé la disponibilité.
Pour le dernier paragraphe, effectivement, il y a problème...
http://www.se-unsa-orleanstours.ouvaton.org/spip.php?article311
La disponibilité est une des positions du statut des fonctionnaires. En disponibilité, le fonctionnaire n’est pas rémunéré et n’acquiert aucun droit à avancement et à pension. La disponibilité peut être prononcée, soit à la demande de l’intéressé, soit d’office.
La disponibilité à la demande de l’intéressé peut être accordée, sous réserve de nécessité de service pour :
études ou recherches présentant un intérêt général. Sa durée ne peut excéder trois ans, renouvelable une fois pour une durée égale ;
convenances personnelles, elle ne peut excéder trois ans (renouvelable). La durée de la disponibilité ne pourra cependant pas excéder dix années.
La disponibilité de droit est accordée pour :
donner des soins au conjoint ou au partenaire lié par un Pacs, à un enfant ou à un ascendant, à la suite d’un accident ou d’une maladie grave. La disponibilité ne peut alors excéder 3 ans renouvelables 2 fois ; - élever un enfant de moins de huit ans, donner des soins à un enfant à charge, au conjoint ou partenaire lié par Pacs ou à un ascendant atteint d’un handicap nécessitant la présence d’une tierce personne ;
suivre son conjoint ou partenaire lié par Pacs lorsque sa résidence est éloignée, du fait de sa profession, de son lieu d’exercice. La disponibilité est sans limitation dans les deux derniers cas, sous réserve de remplir les conditions requises.
La disponibilité dite d’office est accordée lorsque l’enseignant a épuisé ses droits statutaires à congés maladie, s’il ne peut être procédé à son reclassement. Sa durée est d’un an, renouvelable au maximum deux fois. À l’expiration de cette période de trois ans, l’enseignant peut :
bénéficier d’un reclassement (qu’il peut obtenir plus tôt) ;
être réintégré dans son administration ;
être admis à la retraite ;
être licencié s’il n’a pas droit à une pension.
Comment demander la disponibilité ?
La disponibilité est accordée, en général, par année scolaire. La demande doit être présentée avant le mouvement du personnel afin que les postes laissés vacants soient pourvus. Les disponibilités pour accident ou maladie grave du conjoint, ou pour élever un enfant de moins de huit ans, peuvent être prises en cours d’année. La demande se fait sur papier libre par la voie hiérarchique (IEN ou chef d’établissement) en précisant les motifs et la date demandée pour la mise en disponibilité.
Attention : l’agent ayant sollicité une disponibilité n’est autorisé à quitter son poste qu’après avoir reçu notification de sa mise en disponibilité. Tout départ prématuré risque d’être assimilé à un abandon de poste, avec les conséquences qui s’y attachent. L’agent en disponibilité perd son poste.
La réintégration s’effectue à la rentrée scolaire. L’enseignant doit présenter sa demande trois mois avant la fin de la disponibilité. Les modalités pour retrouver un poste sont prescrites par la note de service annuelle sur le mouvement. Des règles de réaffectation sont définies par corps et précisées par cette note de service.
Exercice d’une activité rémunérée
S’il est admis que pendant la disponibilité pour convenance personnelle ou pour suivre son conjoint ou partenaire lié par Pacs, le fonctionnaire peut être autorisé à exercer une activité rémunérée, cette autorisation est plus rarement délivrée au fonctionnaire placé en disponibilité pour donner des soins ou élever un enfant de moins de huit ans. Elle n’est accordée que si l’activité est compatible avec les motifs invoqués pour son obtention. La demande d’autorisation d’exercer une activité rémunérée doit être adressée à l’autorité qui a accordé la disponibilité.
Pour le dernier paragraphe, effectivement, il y a problème...
- hariaNiveau 5
Je ne vois pas ce que ces règles de délai ont de choquant : elles ont leur équivalent dans le privé avec la durée de préavis, qui atteint généralement 3 mois pour un cadre (ce que nous sommes, ne l'oublions pas) et dont le non-respect peut entraîner des sanctions financières pour le salarié (dommages intérêts). Il me semble normal de ne pas pouvoir quitter son poste du jour au lendemain sans avoir prévenu un minimum de temps à l'avance. La démission "brutale" est toujours possible, il faut en assumer les éventuelles conséquences ensuite, cela dit à l'Education nationale je ne vois pas trop ce qu'on pourrait te faire !!. Pour la disponibilité, il ne faut pas oublier que c'est une position qui permet de garder le droit à réintégration dans la fonction publique, l'importance de ce droit me semble justifier qu'elle nécessite l'accord de l'employeur au préalable. Le mieux est sans doute de voir avec le syndicat puis d'essayer de négocier à l'amiable.
- minette74Niveau 5
Le préavis ne me gène pas du tout, ce qui me pose un gros problème, c'est que j'ai peur qu'on ne me laisse pas partir dans 1 ou 2 ou 3 mois.
- LeclochardEmpereur
haria a écrit:Je ne vois pas ce que ces règles de délai ont de choquant : elles ont leur équivalent dans le privé avec la durée de préavis, qui atteint généralement 3 mois pour un cadre (ce que nous sommes, ne l'oublions pas) et dont le non-respect peut entraîner des sanctions financières pour le salarié (dommages intérêts). Il me semble normal de ne pas pouvoir quitter son poste du jour au lendemain sans avoir prévenu un minimum de temps à l'avance. La démission "brutale" est toujours possible, il faut en assumer les éventuelles conséquences ensuite, cela dit à l'Education nationale je ne vois pas trop ce qu'on pourrait te faire !!. Pour la disponibilité, il ne faut pas oublier que c'est une position qui permet de garder le droit à réintégration dans la fonction publique, l'importance de ce droit me semble justifier qu'elle nécessite l'accord de l'employeur au préalable. Le mieux est sans doute de voir avec le syndicat puis d'essayer de négocier à l'amiable.
Absolument. Ce sont les règles minimales. On a forcément des délais pour résilier un contrat -abonnement, location...- ou démissionner d'un poste.
L'Education nationale demanderait le remboursement du traitement qui correspond à la période où tu n'es pas allée au travail simplement.
_________________
Quelqu'un s'assoit à l'ombre aujourd'hui parce que quelqu'un d'autre a planté un arbre il y a longtemps. (W.B)
- hariaNiveau 5
[quote="minette74"]
Et si je le fais quand même, que se passe-t-il si l'EN s'en aperçoit ?
Sur cet aspect, je pense que tu risques la radiation de la fonction publique (licenciement). En effet, le congé parental ouvrant des droits (prise en compte pour la retraite, et pour l'ancienneté à 50%, droit à réintégration), les règles sont plus contraignantes. Le seul emploi autorisé est assistante maternelle je crois.
marquisedemerteuil a écrit:si tu choisis le congé parental de droit pour enfant de moins de 3 ans, tu n'as pas le droit d'avoir un emploi; il me semble.
Et si je le fais quand même, que se passe-t-il si l'EN s'en aperçoit ?
Sur cet aspect, je pense que tu risques la radiation de la fonction publique (licenciement). En effet, le congé parental ouvrant des droits (prise en compte pour la retraite, et pour l'ancienneté à 50%, droit à réintégration), les règles sont plus contraignantes. Le seul emploi autorisé est assistante maternelle je crois.
- Pierre_au_carréGuide spirituel
minette74 a écrit:marquisedemerteuil a écrit:si tu choisis le congé parental de droit pour enfant de moins de 3 ans, tu n'as pas le droit d'avoir un emploi; il me semble.
Et si je le fais quand même, que se passe-t-il si l'EN s'en aperçoit ?
C'est surtout avec la CAF que tu aurais des problèmes car ils te verseraient la prestation alors que tu travailles. Et j'imagine que l'EN demande une attestation du "congé parental"...
myfarenier a écrit:Ils ne te laisseront pas partir en cours d'année... il faut démissionner ou attendre l'an prochain et demander une disponibilité pour convenances personnelles.
Mais c'est horrible, c'est pire qu'une prison ! Comment partir dans le privé, c'est impossible !!!
Autant tu as un emploi à vie, autant c'est assez rigide pour en sortir provisoirement...
- DaphnéDemi-dieu
Dans la fonction publique nous avons des droits mais aussi des devoirs.
On a la possibilité de s'arrêter de travailler sous certaines conditions en gardant nos droits à réintégrer quand on veut, cela implique aussi des contraintes.
L'administration doit assurer un service public avec des personnels recrutés pour ça et ne peut se permettre de les voir partir comme ça sur un claquement de doigt.
On peut en avoir assez, vouloir souffler, se reconvertir .............. OK, notre statut de fonctionnaire a ses avantages mais aussi ses contraintes, il ne faut pas l'oublier.
On a la possibilité de s'arrêter de travailler sous certaines conditions en gardant nos droits à réintégrer quand on veut, cela implique aussi des contraintes.
L'administration doit assurer un service public avec des personnels recrutés pour ça et ne peut se permettre de les voir partir comme ça sur un claquement de doigt.
On peut en avoir assez, vouloir souffler, se reconvertir .............. OK, notre statut de fonctionnaire a ses avantages mais aussi ses contraintes, il ne faut pas l'oublier.
- PseudoDemi-dieu
Daphné a écrit:Dans la fonction publique nous avons des droits mais aussi des devoirs.
On a la possibilité de s'arrêter de travailler sous certaines conditions en gardant nos droits à réintégrer quand on veut, cela implique aussi des contraintes.
L'administration doit assurer un service public avec des personnels recrutés pour ça et ne peut se permettre de les voir partir comme ça sur un claquement de doigt.
On peut en avoir assez, vouloir souffler, se reconvertir .............. OK, notre statut de fonctionnaire a ses avantages mais aussi ses contraintes, il ne faut pas l'oublier.
C'est une plaisanterie ?????? La possibilité de se reconvertir ????? Ou ça ? Comment ? La possibilité de souffler ???? Vraiment ???? Comment ?!
Faire une formation ? C'est à nos frais ! Changer de job ? C'est un parcours du combattant ! Le droit au DIF, à la validation des acquis, au bilan de compétences ? Droits bafoués !
Tant d'ignorance ou de duplicité, ça me stupéfie ! Je préfère ne pas en dire plus, tiens !
- PseudoDemi-dieu
minette74 a écrit:Le préavis ne me gène pas du tout, ce qui me pose un gros problème, c'est que j'ai peur qu'on ne me laisse pas partir dans 1 ou 2 ou 3 mois.
C'est tout à fait ça. Puisque même le démission n'est pas de droit. On peut te la refuser ou te faire lanterner suffisamment longtemps pour réduire à zéro tes chances de partir.
- DaphnéDemi-dieu
Pseudo a écrit:Daphné a écrit:Dans la fonction publique nous avons des droits mais aussi des devoirs.
On a la possibilité de s'arrêter de travailler sous certaines conditions en gardant nos droits à réintégrer quand on veut, cela implique aussi des contraintes.
L'administration doit assurer un service public avec des personnels recrutés pour ça et ne peut se permettre de les voir partir comme ça sur un claquement de doigt.
On peut en avoir assez, vouloir souffler, se reconvertir .............. OK, notre statut de fonctionnaire a ses avantages mais aussi ses contraintes, il ne faut pas l'oublier.
C'est une plaisanterie ?????? La possibilité de se reconvertir ????? Ou ça ? Comment ? La possibilité de souffler ???? Vraiment ???? Comment ?!
Faire une formation ? C'est à nos frais ! Changer de job ? C'est un parcours du combattant ! Le droit au DIF, à la validation des acquis, au bilan de compétences ? Droits bafoués !
Tant d'ignorance ou de duplicité, ça me stupéfie ! Je préfère ne pas en dire plus, tiens !
Pseudo je n'ai jamais dit que tout allait bien hein !! Loin de là.
Bien sûr qu'il n'y a pass assez de congés formation, de postes de réadaptation.........
Mais on peut avoir des congés parentaux, des dispos de droit ..................... tout en gardant notre statut de fonctionnaire et réintégrer quand on en a besoin même si ce n'est pas forcément facile.
Mais partir en cours d'année comme ça je conçois que l'administration nous demande des délais et ne l'accorde pas forcément.
Voilà. C'est tout.
- Karine B.Guide spirituel
mask a écrit:Tu peux demander une dispo en cours d'année si tu as un motif valable
mais le délai est de 3 mois.... et ils ne sont pas obligés d'accepter!
où est-il écrit qu'il y a un délai de 3 mois ? En général, on considère qu'un mois suffit : tu écris ton courrier de demande de dispo en indiquant la date d'effet
_________________
Le SNES, what else ?
Stagiaire agrégée à la rentrée 2015
Blog Maison Avant / Après Mise à jour en août 2013
- minette74Niveau 5
Ok, merci pour ces renseignements. Je passe mon entretien la semaine prochaine, je vous dirai à ce moment-là...mais quand j'ai passé les concours, non seulement je ne pensais pas que le métier deviendrait si pénible, si difficile au quotidien, mais en plus, je ne pensais pas que je serais liée à ce point !
- maskNiveau 5
C'est ce que m'avait dit le syndicat quand j'avais été dans la même situation... Mais je n'ai pas vérifié!
- CarmenLRNeoprof expérimenté
Qu'est-ce que ça a donné, Minette ?
- minette74Niveau 5
Ca n'a rien donné du tout...ils ont donné préférence à une personne qui avait de l'expérience, normal. Mais je ne lâche pas le morceau, je guette les opportunités :ack:
- MHGNiveau 7
Ouais, enfin pour la démission, le délais est de 3 mois. Si on fait une demande d'IDV, il faut ajouter deux mois avant. Ca fait 6 mois. C'est beaucoup tout de même. Quand on trouve un job et qu'on nous prend, mais dans deux mois... ça craint. Aucune négociation n'est possible. Mon mari, cadre dans le privé, a pu négocier pour son départ. Dans l'EN, nous ne sommes pas des humains, mais des pions...
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