Avec plus de 25% des élèves scolarisés dans le privé, l'attractivité de l'enseignement secondaire privé reste forte dans les académies de Rennes, Nantes, Paris, Lyon et Lille.

Si la proportion atteint à peine 10% dans les DOM-TOM et 14% à Créteil, elle dépasse 40% à Nantes et en Rennes. Certes, le poids du privé est resté stable ces dix dernières années dans l’Ouest de la France, où il est traditionnellement élevé pour des considérations religieuses, mais on constate une progression des inscriptions dans plusieurs grandes académies comme Versailles, Aix-Marseille et Paris, où sa part atteint respectivement 18%, 22% et 36%.[...]

Dans ces académies, le pression est telle que de nombreux établissements privés refusent des dossiers. « Au total, entre 20 000 et 30 000 jeunes ne trouvent pas de place chaque année », note Yann Diraison, délégué général de l’enseignement catholique. A Paris et dans l’académie de Versailles, certains collèges offrent ainsi une place pour… dix demandes

eleonore69 a écrit:Bonjour, cela ne m'étonne pas ! si on laisse de côté l'ouest. La poussée de l'enseignement privé en région parisienne et marseillaise et sans lyonnaise s'explique par la présence d'établissement public problématique  (faible niveau, problème de discipline.
Je bosse en bosse en banlieue lyonnaise dans un lycée public  et objectivement, je n'aurais pas l'idée de mettre mes enfants dans mon établissement ou dans un établissements du même type.
Ils sont en privé !