- roxanneOracle
oui du coup , quand il y en a , sans bonif c'est mission impossible ...marquisedemerteuil a écrit:oui et puis le problème c'est aussi le manque de postes, s'il y en avait plus, il n'y aurait pas besoin de bonif familiale pour avoir un poste fixe.
En ce qui me concerne, je cumule 7 ans de TZR et je n'ai nullement envie de tout griller pour me retrouver dans un bahut difficile dont je ne pourrais partir qu'après des années...
- lene75Prophète
roxanne a écrit:Mais si je prends mon cas , lorsque je suis arrivée dans l'académie , je voulais un poste fixe et peu importe où
Mais moi aussi ! Quand je suis arrivée dans mon académie (Versailles) AVEC rapprochement de conjoint, j'avais fait 20 voeux, dont déjà le voeu "tout poste fixe" dans plusieurs départements, j'avais aussi demandé des APV et je me suis retrouvée avec l'un de mes derniers voeux, fait pour éviter l'extension : TZR départementale dans le département 78 alors que nous habit(i)ons dans le 92, que je n'ai pas réussi à obtenir, même en ZR, et que mon mari travaille à Paris (nous déménageons dans 2 semaines pour me rapprocher, ça c'est le luxe du poste fixe, mais nous coupons la poire en deux pour les trajets) . Le problème est vraiment le manque de postes, on est tous dans la même m* ! Et j'ai un copain TZR dans une autre académie qui est pacsé avec une prof et a un enfant... qu'il ne voit que le week-end et les vacances depuis sa naissance (il a un peu plus d'un an = fin de l'année de stage + année de T1 + cette année) parce que sa compagne ayant un poste fixe, il ne veut pas prendre le risque d'un voeu "tout poste fixe dans le département", il est TZR sur une zone plus réduite que le département dans le département VOISIN depuis cette année et était carrément dans UNE AUTRE ACADÉMIE les deux années précédentes !
_________________
Une classe, c'est comme une boîte de chocolats, on sait jamais sur quoi on va tomber...
- Reine MargotDemi-dieu
oui, c'est vrai. là je donnais l'exemple de qqn qui ayant déja un poste de tzr dans la zone de son conjoint et enfant, et pour qui les bonifs familiales n'ont pas servi à se rapprocher (puisqu'elle était déja auprès d'eux).
mais effectivement il faudrait un mouvement moins bloqué.
mais effectivement il faudrait un mouvement moins bloqué.
_________________
Quand tout va mal, quand il n'y a plus aucun espoir, il nous reste Michel Sardou
La famille Bélier
- InvitéInvité
lene75 a écrit:Je remarque quand même que ce sont les mêmes (je ne parle pas de vous) qui vous disent en mars que vous êtes complètement folle de faire un voeu "tout poste fixe dans le département" et qu'eux ne prendront JAMAIS un tel risque (et renoncent donc à leur bonification TZR qui ne vaut que sur ce voeu), qu'ils préfèrent rester 15 ans TZR que de risquer de se retrouver coincé pour un bout de temps en poste fixe à Mantes-la-jolie ou aux Mureaux, et qui vous reprochent en juin d'avoir eu un poste fixe grâce à votre grossesse quand ils constatent que vous ne vous êtes pas retrouvée à Mantes-la-jolie (ce qui n'empêche pas que le TZR qui me remplace ne voulait pas venir parce que le lycée est loin de tout... moi non plus, je n'ai pas de voiture et je vais devoir galérer dans les bus). Eh ben oui, je préfère encore être à Mantes-la-jolie AVEC mon mari et ma fille que dans un lycée de centre ville sur la côte d'azur SANS mon mari et ma fille donc je fais des voeux qui me permettent de me rapprocher de ma famille et non d'avoir le lycée de mes rêves. Il y avait d'ailleurs eu une discussion à ce propos avec les TZR du forum et beaucoup affirmaient ne pas vouloir tenter un voeu "tout poste fixe dans le département".
C'est pour une raison très simple :
quand tu es TZR depuis quelque temps, et que tu as accumuler un peu de point, tu ne vas pas les jouer sur un coup de dés (pipés) et risquer de te retrouver avec 0 point dans un endroit qui ne te plait pas.
quand tu es marié / pacsé si en jouant tes points, tu n'as pas gain de cause, tu récupères tes points l'année suivante...
- SebNiveau 7
Exact. On n'a pas galéré à être méprisé et foulé aux pieds pendant des années pour se retrouver à jouer tous ses points pour un coupe-gorge. C'est logique...
- lene75Prophète
philip a écrit:C'est pour une raison très simple :
quand tu es TZR depuis quelque temps, et que tu as accumuler un peu de point, tu ne vas pas les jouer sur un coup de dés (pipés) et risquer de te retrouver avec 0 point dans un endroit qui ne te plait pas.
quand tu es marié / pacsé si en jouant tes points, tu n'as pas gain de cause, tu récupères tes points l'année suivante...
Non : les points "familiaux" ne valent que sur les voeux larges et à condition d'être séparé de son conjoint, c'est le principe. Maintenant que j'ai un poste fixe et que je déménage dans le département de ce poste pour me rapprocher, on considère que j'ai obtenu gain de cause (n'importe où dans le département) je ne peux plus utiliser ni mes points de rapprochement de conjoint, ni mes points enfant et j'ai définitivement perdu mes points de stabilisation TZR (75 points, soit la même bonification que pour un enfant), mes points d'ancienneté TZR (20 points par an + 20 points de bonus pour 4 ans, j'avias 20 points en ce qui me concerne), mes points d'année de séparation de conjoint et mes points d'ancienneté (bon, seulement un an pour moi). Il me reste simplement des points pour un voeu commune : 30,2 (conjoint) +75 (enfant), ce qui me fait au final 30,8 points de moins qu'un TZR qui a la même ancienneté que moi et qui ferait un voeu large et seulement 10 points de plus qu'un TZR néotitulaire, ce qui ne me laisse aucune chance d'avoir un poste : dans ma discipline en tout cas, il faut avoir une ancienneté considérable pour passer devant des voeux larges sur un voeu commune, tout ça pour risquer de tomber dans le bahut pourri de la ville. Quant aux voeux précis, ils sont sans bonifications familiales. J'ai donc moi aussi joué très gros. Mon seul espoir de quitter mon poste rapidement est de bénéficier d'une infra, qui se fait au barème nu.
_________________
Une classe, c'est comme une boîte de chocolats, on sait jamais sur quoi on va tomber...
- InvitéInvité
lene75 a écrit:philip a écrit:C'est pour une raison très simple :
quand tu es TZR depuis quelque temps, et que tu as accumuler un peu de point, tu ne vas pas les jouer sur un coup de dés (pipés) et risquer de te retrouver avec 0 point dans un endroit qui ne te plait pas.
quand tu es marié / pacsé si en jouant tes points, tu n'as pas gain de cause, tu récupères tes points l'année suivante...
Non : les points "familiaux" ne valent que sur les voeux larges et à condition d'être séparé de son conjoint,
oui c'est ce que j'ai mis : quand tu n'as pas gain de cause"...
lene75 a écrit: Mon seul espoir de quitter mon poste rapidement est de bénéficier d'une infra, qui se fait au barème nu.
ah oui, j'avais oublié cet avantage des postes fixes sur les tzr
- lene75Prophète
philip a écrit:oui c'est ce que j'ai mis : quand tu n'as pas gain de cause"...
Bah si tu n'as pas gain de cause tu gardes tes points toi aussi, encore heureux !!! Les bonifications familiales n'ont rien à voir là-dedans.
_________________
Une classe, c'est comme une boîte de chocolats, on sait jamais sur quoi on va tomber...
- Reine MargotDemi-dieu
je comprends donc mal que la tzr qui a eu le poste grâce (elle le dit) à ses bonifs familiales ait été déjà au départ sur la zone de son conjoint...on a dû considérer que ce poste fixe était plus près que son ancien rad?
_________________
Quand tout va mal, quand il n'y a plus aucun espoir, il nous reste Michel Sardou
La famille Bélier
- DaphnéDemi-dieu
marquisedemerteuil a écrit:je comprends donc mal que la tzr qui a eu le poste grâce (elle le dit) à ses bonifs familiales ait été déjà au départ sur la zone de son conjoint...on a dû considérer que ce poste fixe était plus près que son ancien rad?
Non, les TZR ont droit aux points de RC pour avoir un poste fixe, sans limitation de kilométrage comme les titulaires d'un poste fixe (40 km) du moins ici dans notre académie.
Ici les TZR ont droit à des bonifications au bout de 5 ans sur des voeux plus ou moins larges du type COM GEO de leur ZR.
Mais comme il y a pas mal de disparités dans les règles et les barèmes académiques, ce qui est valable ici ne l'est pas forcément ailleurs.
- SebNiveau 7
Exactement : dans mon académie, les TZR n'ont que leurs yeux pour pleurer!
- InvitéInvité
Javais chosi d'être TZR pour quitter un poste fixe horrible et éloigné de plus de 100 km de chez moi. J'ai beaucoup aimé ces deux années de TZRiat : un an et demi à avoir de bons edt, à avoir la salle du collègue remplacé au lieu de bouger tout le temps, des ISSR alors que je n'ai effectué aucun remplacement que mon poste fixe précédent. Mais j'ai quitté le TZRiat à cause d'un remplacement loin, hors de mon département, à la fin de la 2ème année, en mettant "tout poste fixe dans mon département". J'ai eu alors droit au poste dans mon département, mais à 70 km, en APV ZEP, et je n'ai plus eu ma salle, mais plein de salles sur deux étages, et des salles de tout, techno, SVT, français, langues, histoire...TZR, c'est aussi remplacer des collègues qui ne sont pas toujours le dernier arrivé, se sont installés, ont leur salle attitrée, des classes potables.
Il y a aussi les postes fixes sur deux ou trois établissements. C'est sans doute encore pire que TZR, pour certains.
Il y a aussi les postes fixes sur deux ou trois établissements. C'est sans doute encore pire que TZR, pour certains.
- InvitéInvité
Lu sur ce blog: http://classes.blogs.liberation.fr/soule/2010/09/lettre-a-monsieur-le-recteur-.html
La gestion des ressources humaines (RH) à l''Education nationale, c'était un sacré gâchis... Alors le ministre Luc Chatel a décidé de revoir tout ça. But: optimiser les RH. Résultat: des profs qui courent d'un lycée à un autre, des remplaçants qui ne peuvent plus remplacer. Témoignage.Prof de philo, Pierre, qui préfère garder l'anonymat, est TZR depuis ses débuts il y a dix ans, c'est-à-dire Titulaire sur zone de remplacement. Cela signifie qu'il est censé pouvoir être appelé pour pour remplacer un collègue, absent pour une durée plus ou moins longue.Mais là, on se demande comment il pourra remplacer quiconque. A la rentrée, il a été nommé dans trois lycées, l'un à Saint-Dizier, le second à 30 kilomètres de là, le troisième à 35 kilomètres mais dans la direction opposée - ce qui lui fait parcourir certains jours 65 kilomètres aller. Il donne 6 heures de cours ici, 7 heures là et 4 heures là-bas. Il faut ajouter les préparations des cours, les corrections de dissertations et ... 8 heures de route hebdomadaires.
Questions: comment exercer correctement son métier dans ces conditions, s'intégrer dans une équipe, monter éventuellement des projets et surtout être disponible pour les élèves alors que le mot d'ordre officiel est l'individualisation des parcours ? Ensuite, si tous les TZR sont ainsi affectés à 100% dès septembre sur des postes à l'année, où trouver des remplaçants formés alors que l'une des priorités de la rentrée est d'améliorer le remplacement ?
A la mi septembre, Pierre a envoyé une lettre, à l'humour légèrement désespéré, au recteur de l'Académie de Reims. En voici de larges extraits:
"Monsieur le Recteur,Ayant appris à la fin du mois d'août que mon service ne serait partagé qu'entre deux établissements à peine distants de 35 kms, c'est avec un immense soulagement que j'ai pris acte par téléphone d'un complément de service à effectuer dans un troisième établissement situé hors de ma zone. (...)Depuis l'aire de repos de la RN4 d'où je vous écris, je ne me suis jamais senti autant indispensable qu'éparpillé ainsi entre tous ces lycées (...). Ravi grâce aux taxes sur le prix du Super, de participer à l'effort collectif pour résorber le déficit des caisses de l'Etat, je dilapide en carburant une partie de mon salaire, par ailleurs si élevé, et me réjouis que ces déplacements si mal remboursés soient de loin la solution la plus rentable.Passant à peu près 8 heures par semaine sur les routes de Champagne, j'apprends aussi à rentabiliser mon temps: corriger les copies en conduisant est un peu délicat, mais il suffit d'attendre une grande ligne droite et de coincer le volant entre ses genoux - un jeu d'enfant ! Quant à la préparation des cours, j'ai pu, pendant une heure de trajet, méditer l'ébauche d'une leçon sur les rapports de l'Etat à l'individu, et sur l'aspect contradictoire de la formule "gestion des ressources humaines" (...).
Trois établissements, c'est le même métier en trois fois mieux: 3 codes pour la photocopieuse, 3 codes d'accès aux ordinateurs, un trousseau de clefs à faire palir les matons, 3 CPE que je ne verrai sans doute jamais, 36 collègues et 3 proviseurs-adjoints qui ont réussi à peaufiner à la dernière minute un magnifique emploi du temps, en casant très ingénieusement mes heures aux limites improbables de l'après-midi, dans les créneaux dont personne ne veut, de 16 h à 18 h.
Me voici donc "pion" à ma façon, pièce détachable, réajustable, interchangeable (...). Je ne boude pas ma chance, j'aurais pu travailler dans une entreprise plus sévère avec ses employés, comme France Télécom ; j'aurais été enfermé dans un bureau, condamné pour seule distraction à regarder par la fenêtre, d'où j'auras fini par me jeter. Au moins chez nous, on respecte les employés et leur travail.
Veuillez recevoir, sous le masque de cette ironie, l'expression de mon profond désarroi".
La gestion des ressources humaines (RH) à l''Education nationale, c'était un sacré gâchis... Alors le ministre Luc Chatel a décidé de revoir tout ça. But: optimiser les RH. Résultat: des profs qui courent d'un lycée à un autre, des remplaçants qui ne peuvent plus remplacer. Témoignage.Prof de philo, Pierre, qui préfère garder l'anonymat, est TZR depuis ses débuts il y a dix ans, c'est-à-dire Titulaire sur zone de remplacement. Cela signifie qu'il est censé pouvoir être appelé pour pour remplacer un collègue, absent pour une durée plus ou moins longue.Mais là, on se demande comment il pourra remplacer quiconque. A la rentrée, il a été nommé dans trois lycées, l'un à Saint-Dizier, le second à 30 kilomètres de là, le troisième à 35 kilomètres mais dans la direction opposée - ce qui lui fait parcourir certains jours 65 kilomètres aller. Il donne 6 heures de cours ici, 7 heures là et 4 heures là-bas. Il faut ajouter les préparations des cours, les corrections de dissertations et ... 8 heures de route hebdomadaires.
Questions: comment exercer correctement son métier dans ces conditions, s'intégrer dans une équipe, monter éventuellement des projets et surtout être disponible pour les élèves alors que le mot d'ordre officiel est l'individualisation des parcours ? Ensuite, si tous les TZR sont ainsi affectés à 100% dès septembre sur des postes à l'année, où trouver des remplaçants formés alors que l'une des priorités de la rentrée est d'améliorer le remplacement ?
A la mi septembre, Pierre a envoyé une lettre, à l'humour légèrement désespéré, au recteur de l'Académie de Reims. En voici de larges extraits:
"Monsieur le Recteur,Ayant appris à la fin du mois d'août que mon service ne serait partagé qu'entre deux établissements à peine distants de 35 kms, c'est avec un immense soulagement que j'ai pris acte par téléphone d'un complément de service à effectuer dans un troisième établissement situé hors de ma zone. (...)Depuis l'aire de repos de la RN4 d'où je vous écris, je ne me suis jamais senti autant indispensable qu'éparpillé ainsi entre tous ces lycées (...). Ravi grâce aux taxes sur le prix du Super, de participer à l'effort collectif pour résorber le déficit des caisses de l'Etat, je dilapide en carburant une partie de mon salaire, par ailleurs si élevé, et me réjouis que ces déplacements si mal remboursés soient de loin la solution la plus rentable.Passant à peu près 8 heures par semaine sur les routes de Champagne, j'apprends aussi à rentabiliser mon temps: corriger les copies en conduisant est un peu délicat, mais il suffit d'attendre une grande ligne droite et de coincer le volant entre ses genoux - un jeu d'enfant ! Quant à la préparation des cours, j'ai pu, pendant une heure de trajet, méditer l'ébauche d'une leçon sur les rapports de l'Etat à l'individu, et sur l'aspect contradictoire de la formule "gestion des ressources humaines" (...).
Trois établissements, c'est le même métier en trois fois mieux: 3 codes pour la photocopieuse, 3 codes d'accès aux ordinateurs, un trousseau de clefs à faire palir les matons, 3 CPE que je ne verrai sans doute jamais, 36 collègues et 3 proviseurs-adjoints qui ont réussi à peaufiner à la dernière minute un magnifique emploi du temps, en casant très ingénieusement mes heures aux limites improbables de l'après-midi, dans les créneaux dont personne ne veut, de 16 h à 18 h.
Me voici donc "pion" à ma façon, pièce détachable, réajustable, interchangeable (...). Je ne boude pas ma chance, j'aurais pu travailler dans une entreprise plus sévère avec ses employés, comme France Télécom ; j'aurais été enfermé dans un bureau, condamné pour seule distraction à regarder par la fenêtre, d'où j'auras fini par me jeter. Au moins chez nous, on respecte les employés et leur travail.
Veuillez recevoir, sous le masque de cette ironie, l'expression de mon profond désarroi".
- AdriGrand Maître
Lornet : tu as eu de la chance de pouvoir quitter ton poste de TZR quand tu l'as voulu -même si pour ça tu as dû faire un voeu très large- !
C'est vrai que certains postes fixes ne font pas rêver, mais une fois qu'on est fixé, on peut oeuvrer à des améliorations (les Edt et les salles, ça peut s'arranger passée la première année ...)
C'est vrai que certains postes fixes ne font pas rêver, mais une fois qu'on est fixé, on peut oeuvrer à des améliorations (les Edt et les salles, ça peut s'arranger passée la première année ...)
- InvitéInvité
Adri a écrit:Lornet : tu as eu de la chance de pouvoir quitter ton poste de TZR quand tu l'as voulu -même si pour ça tu as dû faire un voeu très large- !
C'est vrai que certains postes fixes ne font pas rêver, mais une fois qu'on est fixé, on peut oeuvrer à des améliorations (les Edt et les salles, ça peut s'arranger passée la première année ...)
Non, ça ne s'est pas arrangé la deuxième année, pas plus que ça se serait arrangé l'année suivante, et j'ai donc quitté mon poste fixe pour un autre poste fixe. Jamais plus de deux ans dans le même bahut, pour l'instant.
- InvitéInvité
Dans un bahut, on m'avait proposé un complément de service ailleurs, sans me préciser où (à 50 km ? 60 ?), donc j'ai redemandé ma mutation dare-dare ! Au pire, j'aurais préféré redevenir TZR que titulaire sur poste fixe dans une ville à 40 km de chez moi et une autre à 50 km de chez moi, parce que TZR, on peut espérer que ça s'arrange, comme c'est la loterie, mais avoir un poste fixe émietté dans des communes non limitrophes, revenir dans son bahut où on n'est plus qu'à moitié, non merci.
J'ai retrouvé la zone sensible APV violence dans un autre département, mais au moins, c'était un poste complet.
J'ai retrouvé la zone sensible APV violence dans un autre département, mais au moins, c'était un poste complet.
- InvitéInvité
D'ailleurs le pire, c'est quand même de penser que tout dernier arrivé dans un établissement peut désormais se retrouver avec un complément de service à Tataouine-les-bains. Donc après dix ans de TZRiat, ou plus de cinq ans en ZEP APV zone sensible hyper violente avec spécialité classes relais ou "littérature et société qu'on ne sait pas ce que c'est alors les collègues me l'ont refilé"...hop ! Le faux poste fixe qui n'en est pas un. Poste de rustine fixe !
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum