- lamelimeloÉrudit
leyade a écrit:Le livre des morts et le mec de la tombe d'à côté ont l'air tentants aussi, mais je vois que ça à l'air de passer ou de casser, le dernier, puisque Lamelimelo, tu n'as pas accroché....
Je vais peut être changer d'avis mais pour l'instant, ce n'est pas mon style. Mais tous les goûts sont dans la nature !
- adlidiHabitué du forum
lamelimelo a écrit:leyade a écrit:Le livre des morts et le mec de la tombe d'à côté ont l'air tentants aussi, mais je vois que ça à l'air de passer ou de casser, le dernier, puisque Lamelimelo, tu n'as pas accroché....
Je vais peut être changer d'avis mais pour l'instant, ce n'est pas mon style. Mais tous les goûts sont dans la nature !
Parfois certains livres arrivent au bon moment...
Qu'est-ce que je vais lire maintenant???
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"La vie c'est comme une boîte de chocolats, on ne sait jamais sur quoi on va tomber."
- LeilEsprit éclairé
T est acteur de théâtre marginal et fantasque, Efina une de ses admiratrices. Une lettre que T lui avait envoyée et qu'ils avaient tous deux oubliée les poussent à s'écrire et à se revoir. Ils entament alors une liaison faite d'attirance et d'éloignements, de curiosité et d'ennui, qui les obsédera toute une vie.
Une écriture déroutante qui n'est pas sans me rappeler celle d'Annie Ernaux.
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http://www.bricabook.fr/
- cannelle21Grand Maître
leyade a écrit:Lorica a écrit:je ne lis que des vieilleries:
L'élégance du hérisson: superbe livre, je l'ai lu d'une traite en une journée et j'ai adoré! je précise que je ne lis pas beaucoup de "littérature", en général je m'ennuie au bout de 50 pages, mais avec ce livre, ça a été tout l'inverse.
J'étais plongée dedans aussi, à conseiller encore et encore pour ceux ou celles qui ne l'auraient pas lu.
J'ai beaucoup aimé le début mais pas du tout la fin... (encore un problème avec la fin). C'est grâce à ce livre que je me suis intéressée à la littérature russe.
- cannelle21Grand Maître
Sinon je viens de lire Cabot caboche de Pennac et j'ai vraiment beaucoup aimé. Par contre j'ai pleuré: c'est le signe que je dois consulter, parce que l'identification en lecture ça me connaît, mais là c'est un chien...
- leyadeEsprit sacré
cannelle21 a écrit:leyade a écrit:Lorica a écrit:je ne lis que des vieilleries:
L'élégance du hérisson: superbe livre, je l'ai lu d'une traite en une journée et j'ai adoré! je précise que je ne lis pas beaucoup de "littérature", en général je m'ennuie au bout de 50 pages, mais avec ce livre, ça a été tout l'inverse.
J'étais plongée dedans aussi, à conseiller encore et encore pour ceux ou celles qui ne l'auraient pas lu.
J'ai beaucoup aimé le début mais pas du tout la fin... (encore un problème avec la fin). C'est grâce à ce livre que je me suis intéressée à la littérature russe.
Maintenant que tu le dis, je me rends compte que pour être précise, j'ai beaucoup aimé le début, le milieu,
mais la fin
( attention, spoiler délivrant des infos sur la fin,
- Spoiler:
- (donc un vrai spoiler!)
- Spoiler:
j'ai trouvé ça un peu nul, mélo, pas très crédible et guimauvesque.
Mais c'est surtout la première moitié qui m'a marquée, avec les répliques incisives.
Et les différentes réponses possibles du chat!
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Maggi is my way, Melfor is my church and Picon is my soutien. Oui bon je sais pas dire soutien en anglais.
LSU AP ENT HDA PAI PAP PPMS PPRE ULIS TICE PAF
- MagpieExpert
J'ai lu récemment La grand mère de Jade, qui m'a plu par certains côtés : les critiques de la grand mère sur la littérature moderne justement, avec ces auteurs individualistes et nombrilistes, mais beaucoup déplu à cause de la relation trop facile de Jade et son amant.
En ce moment, j'ai comme d'habitude plusieurs livres ouverts : le Journal de Ninjinski, Autoportrait de l'auteur en coureur de fond de Murakami et des recueils de poèmes.
En ce moment, j'ai comme d'habitude plusieurs livres ouverts : le Journal de Ninjinski, Autoportrait de l'auteur en coureur de fond de Murakami et des recueils de poèmes.
- lulucastagnetteEmpereur
Moorea a écrit:Leyade et Lo : MERCI
J'ai a-do-ré Le Bal ... quand j'aurai fini le Chien de Baskerville, j'attaque une Suite Française !
J'ai adoré "Suite française" !
"Le mec de la tombe à côté", j'ai bien aimé (lecture détente) mais pas la fin.
"L'élégance du hérisson", je n'ai pas aimé du tout, je trouve que l'auteur se regarde écrire, ça m'a saoulée !
- TziporaExpert
Et bien moi, c'est le contraire : dans Le mec de la tombe d'à côté, c'est la fin que j'ai aimée ! (et vous savez quoi ? il paraît que la suite vient de paraître !).
- lulucastagnetteEmpereur
Cette semaine, j'ai lu ça :
Ce livre raconte comment les parents d'écrivains du XIXème et du XXème siècle ont réagi à la vocation de leurs rejetons. Pour beaucoup, qui rêvaient d'un métier sérieux ou d'un avenir solide, c'est la disgrâce absolue : Jules Renard n'est qu'un "chieur d'encre" aux yeux de sa mère ; le père de Nerval finit par rompre avec lui. Quant à la mère de Marguerite Duras, elle se désespère : "Tu es faite pour le commerce !" Car, insiste Mme Gide, il faut bien trouver de quoi "mettre la poule au pot". D'autres encore sont scandalisés, ou s'agacent d'une imagination jugée débordante. "Poulou n'a rien compris à son enfance", s'écrie la mère de Sartre après avoir lu "Les Mots".
Certes, tous les parents n'ont pas été hostiles : Honoré a souffert sa vie durant de ses rapports avec la terrible Mme Balzac, qui exécrait ses premiers romans, mais il a eu le réconfort d'être le fils de son père ; un Théophile Gautier, une Marguerite Yourcenar ont été encouragés dès l'affirmation de leur vocation. Ce soutien frôle parfois la cocasserie pure : quand, emporté par l'inspiration, Lamartine célébra dans un poème le lierre majestueux, mais imaginaire, qui recouvrait la maison familiale, sa mère s'empressa d'en planter un, afin que nul ne pût prendre Alphonse en défaut...
Peur de la déchéance sociale, fierté face au succès, rejet d'un milieu qu'on connaît mal, incrédulité, dévotion ou indifférence : souvent savoureuses, ces réactions à l'irruption de la littérature dans une vie nous font plonger dans l'intimité de ces familles à la fois si lointaines et si proches.
Une foule de petites anecdotes, une écriture agréable, vraiment un bon moment...
Et je viens de finir ça :
Ce roman vous entraîne dans une quête épique, au coeur d'un Japon féodal où se côtoient poésie délicate et terrible violence. Vengeance, traîtrise, honneur et loyauté, beauté, amour fou... Derrière les visages impassibles et les codes immuables se cachent des coeurs passionnés et des sentiments farouches.
J'en avais entendu parler il y a quelques années et là je m'y suis mise sur les conseils d'un élève. Une agréable lecture de vacances. Je viens d'entamer le deuxième tome.
Ce livre raconte comment les parents d'écrivains du XIXème et du XXème siècle ont réagi à la vocation de leurs rejetons. Pour beaucoup, qui rêvaient d'un métier sérieux ou d'un avenir solide, c'est la disgrâce absolue : Jules Renard n'est qu'un "chieur d'encre" aux yeux de sa mère ; le père de Nerval finit par rompre avec lui. Quant à la mère de Marguerite Duras, elle se désespère : "Tu es faite pour le commerce !" Car, insiste Mme Gide, il faut bien trouver de quoi "mettre la poule au pot". D'autres encore sont scandalisés, ou s'agacent d'une imagination jugée débordante. "Poulou n'a rien compris à son enfance", s'écrie la mère de Sartre après avoir lu "Les Mots".
Certes, tous les parents n'ont pas été hostiles : Honoré a souffert sa vie durant de ses rapports avec la terrible Mme Balzac, qui exécrait ses premiers romans, mais il a eu le réconfort d'être le fils de son père ; un Théophile Gautier, une Marguerite Yourcenar ont été encouragés dès l'affirmation de leur vocation. Ce soutien frôle parfois la cocasserie pure : quand, emporté par l'inspiration, Lamartine célébra dans un poème le lierre majestueux, mais imaginaire, qui recouvrait la maison familiale, sa mère s'empressa d'en planter un, afin que nul ne pût prendre Alphonse en défaut...
Peur de la déchéance sociale, fierté face au succès, rejet d'un milieu qu'on connaît mal, incrédulité, dévotion ou indifférence : souvent savoureuses, ces réactions à l'irruption de la littérature dans une vie nous font plonger dans l'intimité de ces familles à la fois si lointaines et si proches.
Une foule de petites anecdotes, une écriture agréable, vraiment un bon moment...
Et je viens de finir ça :
Ce roman vous entraîne dans une quête épique, au coeur d'un Japon féodal où se côtoient poésie délicate et terrible violence. Vengeance, traîtrise, honneur et loyauté, beauté, amour fou... Derrière les visages impassibles et les codes immuables se cachent des coeurs passionnés et des sentiments farouches.
J'en avais entendu parler il y a quelques années et là je m'y suis mise sur les conseils d'un élève. Une agréable lecture de vacances. Je viens d'entamer le deuxième tome.
- adlidiHabitué du forum
J'ai attaqué :
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"La vie c'est comme une boîte de chocolats, on ne sait jamais sur quoi on va tomber."
- bellaciaoFidèle du forum
lulucastagnette a écrit: Et je viens de finir ça :
Ce roman vous entraîne dans une quête épique, au coeur d'un Japon féodal où se côtoient poésie délicate et terrible violence. Vengeance, traîtrise, honneur et loyauté, beauté, amour fou... Derrière les visages impassibles et les codes immuables se cachent des coeurs passionnés et des sentiments farouches.
J'en avais entendu parler il y a quelques années et là je m'y suis mise sur les conseils d'un élève. Une agréable lecture de vacances. Je viens d'entamer le deuxième tome.
Je l'ai lu aussi, c'est très bien ; il y a quatre tomes... Je me suis arrêtée au début du troisième ! Cela commençait à faire longuet. A mes yeux, le deuxième était le mieux.
- lulucastagnetteEmpereur
bellaciao a écrit:
Je l'ai lu aussi, c'est très bien ; il y a quatre tomes... Je me suis arrêtée au début du troisième ! Cela commençait à faire longuet. A mes yeux, le deuxième était le mieux.
Je viens de voir qu'il y en a cinq en fait et que Universal a racheté les droits d'auteur pour une adaptation ciné prévue l'an prochain.
- nanouevaNiveau 10
Débâcle, de Coetzee (Afrique duSud). Passionnant et brillamment orchestré. A lire.
- bellaciaoFidèle du forum
lulucastagnette a écrit:bellaciao a écrit:
Je l'ai lu aussi, c'est très bien ; il y a quatre tomes... Je me suis arrêtée au début du troisième ! Cela commençait à faire longuet. A mes yeux, le deuxième était le mieux.
Je viens de voir qu'il y en a cinq en fait et que Universal a racheté les droits d'auteur pour une adaptation ciné prévue l'an prochain.
Le cinquième revient sur le passé du père adoptif du héros. Je suis contente pour l'info ciné : ça va en jeter au cinéma !
- FrisouilleEnchanteur
"Pierre Ruche reçoit en héritage la bibliothèque de son ami entièrement consacrée aux mathématiques. Mais Grosrouvre est mort dans des conditions mystérieuses et pour élucider la mort de ce dernier, Pierre doit se remettre à l'étude des mathématiques. "
L'énigme policière offre à l'auteur l'occasion de nous faire découvrir l'histoire des mathématiques et de ses grandes figures - hommes et symboles- à travers les siècles et les continents.
Même si j'avoue avoir sauté quelques démonstrations, que le style laisse parfois lourdement à désirer, et que certaines ficelles sont bien épaisses, un livre qui se lit malgré tout très bien et qui rend les mathématiques un peu moins arides qu'en classe...
- zabriskieÉrudit
Frisouille, puisque tu es par là : je suis en train de terminer La maison du sommeil de Coe, acheté suite à ce que tu en avais dit. Ça me plaît beaucoup !
- FrisouilleEnchanteur
zabriskie a écrit:Frisouille, puisque tu es par là : je suis en train de terminer La maison du sommeil de Coe, acheté suite à ce que tu en avais dit. Ça me plaît beaucoup !
Ah super, c'est mon préféré de Coe ! Ravie que mes élucubrations t'aient été utiles !!!
- adlidiHabitué du forum
nanoueva a écrit:Débâcle, de Coetzee (Afrique duSud). Passionnant et brillamment orchestré. A lire.
Tu veux dire Disgrâce de Coetzee????
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"La vie c'est comme une boîte de chocolats, on ne sait jamais sur quoi on va tomber."
- bellaciaoFidèle du forum
A ceux ou celles qui ont lu Les Déferlantes, de Claudie Gallay, avez-vous trouvé ce roman si extraordinaire ? Je suis assez déçue par le style et je m'étonne qu'un livre écrit ainsi avec de courts chapitres et cette écriture sèche puisse connaître un tel succès (et recevoir le prix des lectrices de Elle). Des avis ?
- AëmielExpert
Pas aimé les déferlantes, pas accroché du tout. Le personnage m'a tapé sur les nerfs dès le début.
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Auteur
- bellaciaoFidèle du forum
Ben ça me fait un peu ça, le côté "je ne parle à personne, je suis asociale car j'ai trop de chagrin".
- lulucastagnetteEmpereur
sérafina a écrit:Pas aimé les déferlantes, pas accroché du tout. Le personnage m'a tapé sur les nerfs dès le début.
Pas spécialement accroché non plus.
Je l'ai fini car je n'aime pas abandonner une lecture mais je n'ai pas compris l'engouement (c'est souvent le cas d'ailleurs !)
- bellaciaoFidèle du forum
Moi aussi, je pense que je vais le finir (et pourtant, un roman aussi long, pff...). Mais ça m'étonnerait que je change d'avis.
- AëmielExpert
Pareil, j'ai lu jusqu'au bout, en me disant que peut-être, il y aurait une chute de la mort qui tue. Ben...non. :lol:
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