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- InvitéInvité
Après on fait ce qu'on veut. Qui viendra nous engueuler ? Les IPR ? Et on risque quoi ?
- IphigénieProphète
le seul risque est la disparition de la matière,à part ça,tout baigne,restons calmes.Agamemnon a écrit:Après on fait ce qu'on veut. Qui viendra nous engueuler ? Les IPR ? Et on risque quoi ?
- AuroreEsprit éclairé
iphigénie a écrit:Cet enseignement d'exploration, qui ressortit naturellement au champ des lettres, suppose la prise en compte d'une approche fortement interdisciplinaire. C'est en effet un espace de convergences disciplinaires qui met en synergie avec les littératures grecque et latine non seulement l'histoire, la philosophie, mais encore les sciences et les nouvelles technologies ; une attention toute particulière est portée aux langues, française, mais aussi européennes
moi,je trouve ça à hurler de rire:si ça c'est pas du foutage de gueule,expliquez moi ce que c'est!!!!!!!!!!!
Ils ont oublié d'introduire l'Eps,c'est vrai quoi,dans la culture grecque c'est aussi vachement important.Et la musique et l'astronomie,mieux l'astrologie,c'est vrai quoi,les Etrusques,les Chaldéens....y a de quoi faire:quel champ,mes amis,quel champ!!!!!!
On se demande pourquoi un enseignement aussi riche ,fondamental et total n'est pas introduit comme discipline absolument obligatoire,non?
Non? ah bon....
- KilmenyEmpereur
Agamemnon a écrit: Et on risque quoi ?
De voir le latin et le grec purement, simplement et définitivement éradiqués de l'enseignement à terme...(peu d'inscrits = options non crédibles = suppressions).
Le latin et le grec en tant que tels viennent de perdre le statut de véritables options de "spécialité". Ne restera plus que l'option facultative en concurrence avec un large choix et qui finira bientôt par mourir de sa belle mort et Res acta est.
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- AuroreEsprit éclairé
Kilmeny a écrit:Agamemnon a écrit: Et on risque quoi ?
De voir le latin et le grec purement, simplement et définitivement éradiqués de l'enseignement à terme...(peu d'inscrits = options non crédibles = suppressions).
Le latin et le grec en tant que tels viennent de perdre le statut de véritables options de "spécialité". Ne restera plus que l'option facultative en concurrence avec un large choix et qui finira bientôt par mourir de sa belle mort et Res acta est.
Voilà qui est très clair !
"Quitte à me fâcher avec les élites, je le dis tout de suite : on ne reviendra pas au grec ancien pour les lycéens." Richard Descoings, 25/05/2009
http://yahoo.bondyblog.fr/news/200905250001/richard-descoings-non-je-ne-serai-pas-ministre-de-l-education-nationale
- nevermoreNiveau 10
Ce qu'on apprécie toujours, c'est les sous-entendus: pas la peine de permettre aux jeunes de banlieue de faire du latin ou du grec, c'est un truc élitiste de vieux (ah parce que Science Po, n'est plus élitiste maintenant qu'ils prennent deux trois jeunes de banlieue?). C'est pas la peine non plus de leur enseigner la littérature à ces péquenots, ça les intéresse pas. C'est bizarre, mais la seule fois où j'ai enseigné le grec dans ma vie, c'était dans un collège de Seine St Denis.
Mais voyons, la littérature, la culture, le latin, c'est fait pour les "élites" qui nous gouvernent. Oui, eux pourront toujours mettre leur rejeton à Henri IV où, comme par hasard, il y aura toujours ces matières qui ne servent à rien qui seront enseignées.
Ce discours est vraiment à d*g*ler
Mais voyons, la littérature, la culture, le latin, c'est fait pour les "élites" qui nous gouvernent. Oui, eux pourront toujours mettre leur rejeton à Henri IV où, comme par hasard, il y aura toujours ces matières qui ne servent à rien qui seront enseignées.
Ce discours est vraiment à d*g*ler
- AuroreEsprit éclairé
nevermore a écrit:Ce qu'on apprécie toujours, c'est les sous-entendus: pas la peine de permettre aux jeunes de banlieue de faire du latin ou du grec, c'est un truc élitiste de vieux (ah parce que Science Po, n'est plus élitiste maintenant qu'ils prennent deux trois jeunes de banlieue?). C'est pas la peine non plus de leur enseigner la littérature à ces péquenots, ça les intéresse pas. C'est bizarre, mais la seule fois où j'ai enseigné le grec dans ma vie, c'était dans un collège de Seine St Denis.
Mais voyons, la littérature, la culture, le latin, c'est fait pour les "élites" qui nous gouvernent. Oui, eux pourront toujours mettre leur rejeton à Henri IV où, comme par hasard, il y aura toujours ces matières qui ne servent à rien qui seront enseignées.
Ce discours est vraiment à d*g*ler
Et l'augmentation des droits d'inscription pour tous les non-ZEP, bien sûr qu'il oublie d'en parler, le Richie D. :colere:
Pour l'avoir vu en vrai, ce type est très dangereux, gluant et démagogue au possible.
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