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Ce qui vous pèse le plus dans le tézédariat
- MajungaNiveau 5
Moi c'est l'attente du début de l'année........
- sandGuide spirituel
Quand je l'étais, je détestais l'attitude des collègues installés depuis longtemps dans les lieux : ma g... d'abord !
- RuthvenGuide spirituel
La nécessité de faire preuve à chaque fois auprès de tout le monde ... Et puis aussi l'attente en fin/début d'année.
J'ai détesté le sentiment d'être un pion.
J'ai détesté le sentiment d'être un pion.
- InvitéInvité
Et tu ranges ce sondage dans la catégorie loisir !!
être TZR ne fais pas vraiment partie de mes loisirs
Et on n'a le droit qu'à une réponse, le choix est difficile. Pour moi c'est un mélange entre le fait de toujours être le nouveau (encore qu'à force je commence à être connu un peu partout) / le fait d'avoir les classes que les autres ne veulent pas / le fait de ne pas pouvoir m'investir comme je le voudrais / l'impossibilité de préparer mes cours à l'avance avant la rentrée / l'impossibilité de faire des vœux de classe et d'edt ...
J'ai de la chance, je n'ai pas vraiment à me plaindre du rectorat, qui paye ce qu'il doit relativement rapidement. (avec la mise en place d'Ulysse, je ne sais pas si ça va continuer)
Ça ne me gène pas trop de faire des km.
je ne stresse pas vraiment, où plutôt pas trop à l'avance.
être TZR ne fais pas vraiment partie de mes loisirs
Et on n'a le droit qu'à une réponse, le choix est difficile. Pour moi c'est un mélange entre le fait de toujours être le nouveau (encore qu'à force je commence à être connu un peu partout) / le fait d'avoir les classes que les autres ne veulent pas / le fait de ne pas pouvoir m'investir comme je le voudrais / l'impossibilité de préparer mes cours à l'avance avant la rentrée / l'impossibilité de faire des vœux de classe et d'edt ...
J'ai de la chance, je n'ai pas vraiment à me plaindre du rectorat, qui paye ce qu'il doit relativement rapidement. (avec la mise en place d'Ulysse, je ne sais pas si ça va continuer)
Ça ne me gène pas trop de faire des km.
je ne stresse pas vraiment, où plutôt pas trop à l'avance.
- mistouilleExpert
Ce qui m'a pesé le pluis pendant mon année de TZRariat c'était la sensation que j'avais passé le concours pour rien. Ex contractuelle, je voulais me stabiliser en devenant certifiée et là, je revivais la même chose : l'affectation au dernier moment, le fait de ne pas savoir où se fixer pour le logement, arriver comme un cheveux sur la soupe dans les équipes etc...
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http://leblogdepuce.over-blog.com/
- Reine MargotDemi-dieu
les km ne me gênent pas puisque ça rapporte des ISSR, par contre ce sont les élèves avec lesquels il faut à chaque fois refaire ce travail d'autorité qui me pèsent le plus.
Par contre j'apprécie de pouoir comme c'est le cas actuellement quitter des bahuts pourris où les collègues en poste fixe, eux, doivent rester, pour certains, au risque de leur santé.
Par contre j'apprécie de pouoir comme c'est le cas actuellement quitter des bahuts pourris où les collègues en poste fixe, eux, doivent rester, pour certains, au risque de leur santé.
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Quand tout va mal, quand il n'y a plus aucun espoir, il nous reste Michel Sardou
La famille Bélier
- alinetteNeoprof expérimenté
Quand je l'étais et même encore cette année puisque je pars à cause d'une MCS, c'était le fait de ne pas pouvoir mettre en place mes projets et de m'investir sur du long terme. Et je peux vous dire que j'en ai plein la tête des projets.
- gabeshNiveau 7
Moi c'est les classes qu'on nous refile : beaucoup des mes camarades TZR se voient refiler des 4èmes, comme par hasard. Pour moi, c'est vraiment un niveau pourri.
- alinetteNeoprof expérimenté
gabesh a écrit:Moi c'est les classes qu'on nous refile : beaucoup des mes camarades TZR se voient refiler des 4èmes, comme par hasard. Pour moi, c'est vraiment un niveau pourri.
Je confirme..j'ai toujours eu 1 ou 2 classes de 4e depuis que j'enseigne.
- papillonbleuEsprit éclairé
Tu as raison, je me suis trompée...Et tu ranges ce sondage dans la catégorie loisir !!
- KilmenyEmpereur
Je ne suis pas TZR mais ce qui me terrifierait dans cette situation, ce seraient les trajets. Je déteste conduire, au plus haut point.
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Un petit clic pour les animaux : http://www.clicanimaux.com/catalog/accueil.php?sites_id=1
- lulucastagnetteEmpereur
Moi j'aime les 4èmes !
TZR, je l'ai été les deux premières années, et ce que je détestais, c'était de n'avoir jamais l'esprit tranquille (je n'ai eu que des remplacements courts), de devoir débarquer dans un bahut sans rien savoir (photocopie, noms des collègues, se repérer dans les couloirs) ne me plaisait pas du tout. J'ai besoin de maîtriser l'espace pour être à l'aise.
TZR, je l'ai été les deux premières années, et ce que je détestais, c'était de n'avoir jamais l'esprit tranquille (je n'ai eu que des remplacements courts), de devoir débarquer dans un bahut sans rien savoir (photocopie, noms des collègues, se repérer dans les couloirs) ne me plaisait pas du tout. J'ai besoin de maîtriser l'espace pour être à l'aise.
- littlemaryDoyen
"L'indifférence, voire le mépris des collègues"
J'avoue avoir du mal à comprendre qu'on puisse agir de la sorte avec un collègue car il est TZR
Qu'on agisse ainsi parce qu'on ne supporte pas un collègue OK mais simplement par rapport à son statut, ça me laisse perplexe...On apprend à connaître la personne qui vien faire un remplacement avant, non ?
J'avoue avoir du mal à comprendre qu'on puisse agir de la sorte avec un collègue car il est TZR
Qu'on agisse ainsi parce qu'on ne supporte pas un collègue OK mais simplement par rapport à son statut, ça me laisse perplexe...On apprend à connaître la personne qui vien faire un remplacement avant, non ?
- alinetteNeoprof expérimenté
Perso, ça ne m'est jamais arrivé. J'ai toujours été bien accueillie et considérée, peut-être aussi parce que nous étions 2 ou 3 TZR dans l'établissement. J'ai même eu des collègues qui me disaient regretter mon départ.
- gabeshNiveau 7
Oui, l'accueil n'est pas une chose que je placerai dans les aspects négatifs : il est normal, je trouve (je suis TZR), de ne pas sauter sur un nouveau collègue pour l'intégrer à tout prix. Toutes les personnalités ne sont pas accueillantes et/ou avenantes. Dans la sdp, être TZR ou pas ne change pas grand-chose, s'il y a des c***s, ils ne vous parleront pas, et s'il y a des gens intéressants, vous vous en rendez compte assez vite (même s'ils ne vous ont pas parlé la première semaine). En général, je me rends compte que les personnes qui sont gentilles avec moi dès que j'arrive dans un établissement ne sont pas celles avec qui je m'entends le mieux par la suite (je dis bien "en général").
Et pour les courts remplacements, si personne ou presque ne me parle, que m'importe? Je pars quelques jours après.
Suis-je claire dans tout ce que je viens de raconter?
Et pour les courts remplacements, si personne ou presque ne me parle, que m'importe? Je pars quelques jours après.
Suis-je claire dans tout ce que je viens de raconter?
- yasyasNiveau 9
J'ai toujours eu la chance d'avoir des postes à l'année en 4 ans de TZR, mais le stress du mois d'août, me gâche mes vacances depuis l'année de stage...
Le fait que certains collègues croient que parce qu'on est nouveau "chez eux" on est débutant.
Ne pas pouvoir faire de projet et suivre les classes, j'ai eu cette chance une fois (je me rends compte que pour une TZR j'ai quand même été plutôt chanceuse finalement), et c'était vraiment reposant, une rentrée où on n'est pas obligé de s'imposer parce que les élèves savent déja comment on fonctionne.
En tant que prof d'espagnol, en plus en Outre Mer, je voudrais vraiment pouvoir emmener mes élèves en voyage, mais il faut l'envisager au moins une année scolaire à l'avance, et quand on est TZR...
Myfa je n'ai coché qu'une case, mais tu vois, y a pas mal de trucs qui me pèsent dans mes "loisirs"
Le fait que certains collègues croient que parce qu'on est nouveau "chez eux" on est débutant.
Ne pas pouvoir faire de projet et suivre les classes, j'ai eu cette chance une fois (je me rends compte que pour une TZR j'ai quand même été plutôt chanceuse finalement), et c'était vraiment reposant, une rentrée où on n'est pas obligé de s'imposer parce que les élèves savent déja comment on fonctionne.
En tant que prof d'espagnol, en plus en Outre Mer, je voudrais vraiment pouvoir emmener mes élèves en voyage, mais il faut l'envisager au moins une année scolaire à l'avance, et quand on est TZR...
Myfa je n'ai coché qu'une case, mais tu vois, y a pas mal de trucs qui me pèsent dans mes "loisirs"
- zabouFidèle du forum
J'avais commencé à cocher pleins de petites cases quand j'ai vu qu'on ne pouvait qu'en cocher qu'une
Cette année ce sont les km qui me pèsent. J'ai l'impression de rien pouvoir faire d'autre à côté tellement je suis fatiguée, j'ai beaucoup de mal à récupérer.
L'an dernier j'ai fait des remplacements de courte et moyenne durée et franchement: le mépris des collègues + élèves, se facir des projets qui ne vous enchantent pas du tout, les km, l'EDT pourri mais pourri, le mépris des CDE + rectorat...j'ai fini l'année et
Faire des remplacements c'est très formateur, non vraiment je pense ce que je dis mais ce qui est pesant c'est tout le reste....
Cette année ce sont les km qui me pèsent. J'ai l'impression de rien pouvoir faire d'autre à côté tellement je suis fatiguée, j'ai beaucoup de mal à récupérer.
L'an dernier j'ai fait des remplacements de courte et moyenne durée et franchement: le mépris des collègues + élèves, se facir des projets qui ne vous enchantent pas du tout, les km, l'EDT pourri mais pourri, le mépris des CDE + rectorat...j'ai fini l'année et
Faire des remplacements c'est très formateur, non vraiment je pense ce que je dis mais ce qui est pesant c'est tout le reste....
- AdriGrand Maître
Etre TZR me pèse, ne pouvoir cocher qu'une seule réponse est inhumain !
En premier, les km à faire chaque jour : je déteste la voiture, une véritable phobie que j'ai dû combattre, mais le stress de la conduite est toujours là et m'empoisonne l'existence!
Ensuite, le fait d'être sur deux établissements, toujours sur la route là encore, des km en plus, et on est toujours sur le départ, et l'emploi du temps est forcément pourri.
En troisième justement, l'Edt, avec des CDE qui vous font des promesses d'organisation pour optimiser les déplacements, n'en font rien et vous mentent parce qu'en fait, ils ont surtout répondu aux voeux des profs en place !
TZR, je ne suis jamais vraiment là dans les établissements, l'investissement est difficile, l'envie n'y est pas. Pourtant, on attend de vous ... un voyage par exemple : moi c'est bon, merci, avec mon affectation, je voyage tous les jours !
Ah les frais de déplacement! Se battre pour les avoir, toujours, tout le temps, remplir une paperasserie sans fin (l'informatique ne fonctionne pas mieux)
Et cerise sur le gâteau, ne savoir au mieux que mi-juillet où on va aller à la rentrée, parfois trop tard pour contacter l'établissement.
Bref, être TZR, c'est dépenser beaucoup d'énergie à autre chose qu'à être prof !
Vous l'aurez compris, être TZR me pèse ... beaucoup !
En premier, les km à faire chaque jour : je déteste la voiture, une véritable phobie que j'ai dû combattre, mais le stress de la conduite est toujours là et m'empoisonne l'existence!
Ensuite, le fait d'être sur deux établissements, toujours sur la route là encore, des km en plus, et on est toujours sur le départ, et l'emploi du temps est forcément pourri.
En troisième justement, l'Edt, avec des CDE qui vous font des promesses d'organisation pour optimiser les déplacements, n'en font rien et vous mentent parce qu'en fait, ils ont surtout répondu aux voeux des profs en place !
TZR, je ne suis jamais vraiment là dans les établissements, l'investissement est difficile, l'envie n'y est pas. Pourtant, on attend de vous ... un voyage par exemple : moi c'est bon, merci, avec mon affectation, je voyage tous les jours !
Ah les frais de déplacement! Se battre pour les avoir, toujours, tout le temps, remplir une paperasserie sans fin (l'informatique ne fonctionne pas mieux)
Et cerise sur le gâteau, ne savoir au mieux que mi-juillet où on va aller à la rentrée, parfois trop tard pour contacter l'établissement.
Bref, être TZR, c'est dépenser beaucoup d'énergie à autre chose qu'à être prof !
Vous l'aurez compris, être TZR me pèse ... beaucoup !
- OdalisqFidèle du forum
Le stress dû à la précarité, le fait d'avoir à surmonter ses propres limites à chaque nouvelle rentrée. Franchement des conditions de travail à vous dégoûter du métier. Mais comme il faut bien retirer quelque enseignement positif, je termine malgré tout sur une note positive: une expérience plus riche ( mais c'est bien malgré moi!).
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"There is nothing like staying at home for real comfort." Jane Austen
- papillonbleuEsprit éclairé
Effectivement, une case, c'est difficile, mais vous auriez été tentés de les cocher toutes (forcément), et l'idée était de dégager ce qui vous pesait le plus. J'ai voté l'angoisse de la précarité, mais je dois avouer que la question des classes, de l'edt et des trajets est tout aussi épineuse.
- InvitéNGrand sage
J'ai voté le stress lié à la précarité car chanceuse j'ai été peu confrontée aux kms ( que je n'aurais pas supportés détestant au plus haut point conduire et le temps ne change rien à l'affaire ), aux emplois du temps/classes pourris ...
Ce que tu pourrais rajouter c'est la charge de travail monumentale; devoir à chaque fois changer de niveaux, enseigner une très grande variété d'activités ( dans ma matière j'ai eu à enseigner au moins 20 activités différentes là où un prof en poste fixe en enseigne à peu près 8 ) que l'on ne maîtrise pas forcément ) dans des conditions matérielles si variées que l'on en vient à trouver que l'éducation nationale n'est pas si nationale qu'elle le dit...
Je pense quitter le tézédariat à la rentrée prochaine pour un poste fixe et ma plus grande joie a été de déposer mes voeux d'emploi du temps et de dire ne pas vouloir d'heures sups : le bonheur !
Ce que tu pourrais rajouter c'est la charge de travail monumentale; devoir à chaque fois changer de niveaux, enseigner une très grande variété d'activités ( dans ma matière j'ai eu à enseigner au moins 20 activités différentes là où un prof en poste fixe en enseigne à peu près 8 ) que l'on ne maîtrise pas forcément ) dans des conditions matérielles si variées que l'on en vient à trouver que l'éducation nationale n'est pas si nationale qu'elle le dit...
Je pense quitter le tézédariat à la rentrée prochaine pour un poste fixe et ma plus grande joie a été de déposer mes voeux d'emploi du temps et de dire ne pas vouloir d'heures sups : le bonheur !
- DaphnéDemi-dieu
Personnellement je ne me suis jamais laissé gâcher mes vacances d'été par l'affectation qui arrivait à la rentrée, jamais.
On s'adapte toujours.
On s'adapte toujours.
- InvitéNGrand sage
Daphné a écrit:Personnellement je ne me suis jamais laissé gâcher mes vacances d'été par l'affectation qui arrivait à la rentrée, jamais.
On s'adapte toujours.
+ 1 C'est ce que m'a appris mes deux ans de tézédariat ! Mais attention aux risques d'y laisser sa santé dans certaines conditions vraiment défavorables à la réalisation personnelle.
- AnguaGrand sage
Le rectotat et la perpétuelle impression de f***age de g**le qui me reste quand j'y ai affaire, vraiment.
Je dois être un cas à part, car au fond, être TZR, ça me plait. Je précise que j'ai été extrêmement chanceuse (sauf la première année: néo-tit en collège et lycée à la fois ), toujours eu des remplacements longs u à l'année (ceux de trois jours sont trop absurdes pour que je les compte), et je trouve génial chaque année de tout recommencer. Oui, c'est pénible de ne pas savoir "où" ni "avec qui", mais... je crois que ça me convient...
Alors imaginer les différentes tournures que ça peut prendre l'an prochain, dans une agglo sinistrée par les postes réservés aux stagiaires (qui ont néanmoins toute ma compassion), me fait très peur.
Le pire je crois que ce fut cette année la Grande Masquarade Organisée des Mutations. Trois fois, j'ai joué, trois fois j'ai perdu. Pour le plaisir de râler:
- Trois postes à profil m'intéressaient, l'un n'existe pas, l'autre disparait à la rentrée, le dernier n'est pas vacant
- Trois postes fixes, j'ai demandé, avec assurance de ces Messieurs du Rectorat que les postes stagiaires et en fait que nenni! c'était une blague! Tous sont sortis du mouvement!
- en enfin, le remplacement d'une collègue en congé formation me passe aussi sous le nez...
Alors oui, là, cette année, c'est vraiment le rectorat que j'ai envie d'insulter.
Je dois être un cas à part, car au fond, être TZR, ça me plait. Je précise que j'ai été extrêmement chanceuse (sauf la première année: néo-tit en collège et lycée à la fois ), toujours eu des remplacements longs u à l'année (ceux de trois jours sont trop absurdes pour que je les compte), et je trouve génial chaque année de tout recommencer. Oui, c'est pénible de ne pas savoir "où" ni "avec qui", mais... je crois que ça me convient...
Alors imaginer les différentes tournures que ça peut prendre l'an prochain, dans une agglo sinistrée par les postes réservés aux stagiaires (qui ont néanmoins toute ma compassion), me fait très peur.
Le pire je crois que ce fut cette année la Grande Masquarade Organisée des Mutations. Trois fois, j'ai joué, trois fois j'ai perdu. Pour le plaisir de râler:
- Trois postes à profil m'intéressaient, l'un n'existe pas, l'autre disparait à la rentrée, le dernier n'est pas vacant
- Trois postes fixes, j'ai demandé, avec assurance de ces Messieurs du Rectorat que les postes stagiaires et en fait que nenni! c'était une blague! Tous sont sortis du mouvement!
- en enfin, le remplacement d'une collègue en congé formation me passe aussi sous le nez...
Alors oui, là, cette année, c'est vraiment le rectorat que j'ai envie d'insulter.
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