Page 2 sur 2 • 1, 2
- menerveOracle
J'ai aussi eu une explication d'un psychiatre...il m'a dit que l'enseignement du français était plus dur que l'enseignement des autres matières
1) parce que le prof étudie en priorité des textes qu'il aime et donc voir les élèves rejeter la matière c'était un peu comme si ils le rejetaient lui.
2) les élèves vivaient beaucoup plus mal leur échec en français car on leur demande d'écrire des textes et que l'écriture est quelque chose de très personnel. Du coup dans la tête du gamin une sale note en rédac = une sale note pour lui même.
Je me suis dit que ce psy n'avait pas complètement tort.
Et puis il ne faut pas oublier non plus qu'on est en juin, que tout le monde est fatigué et cela joue énormément sur les réactions des uns et des autres!
En bref je te conseille de t'accorder un week-end rien que pour toi, sans corriger aucune copie....fais un break!
1) parce que le prof étudie en priorité des textes qu'il aime et donc voir les élèves rejeter la matière c'était un peu comme si ils le rejetaient lui.
2) les élèves vivaient beaucoup plus mal leur échec en français car on leur demande d'écrire des textes et que l'écriture est quelque chose de très personnel. Du coup dans la tête du gamin une sale note en rédac = une sale note pour lui même.
Je me suis dit que ce psy n'avait pas complètement tort.
Et puis il ne faut pas oublier non plus qu'on est en juin, que tout le monde est fatigué et cela joue énormément sur les réactions des uns et des autres!
En bref je te conseille de t'accorder un week-end rien que pour toi, sans corriger aucune copie....fais un break!
- HéliandreExpert
Merci menerve pour tes judicieux et attentionnés conseils . Justement je chante ce week-end, et en général c'est très efficace pour se détacher du travail.
Là où je suis les élèves ont très peu de culture, de vocabulaire, sont en grand échec par rapport à la langue, pourtant quand ils se laissent aller ils deviennent très enthousiastes dans l'écriture. Persuadés qu'ils ont écrits des super trucs. Curieux pour s'améliorer, si ce n'est pas noté, angoissés et négatifs s'il y a note. Quant aux textes, s'ils sont un peu classiques, c'est tout de suite nul... Oui, l'enseignement du français, plus j'avance, plus je me dis que c'est dur et complexe. C'est la langue maternelle, ce n'est pas anodin d'en juger la maîtrise et de plaquer nos valeurs et nos goûts en proposant des textes...
Bon, je vais aller me coucher, afin d'être le plus reposée possible pour l'entretien de demain et les cours après. Encore merci à vous tous, et bon courage à ceux qui doivent tenir.
menerve a écrit:
2) les élèves vivaient beaucoup plus mal leur échec en français car on leur demande d'écrire des textes et que l'écriture est quelque chose de très personnel. Du coup dans la tête du gamin une sale note en rédac = une sale note pour lui même.
Je me suis dit que ce psy n'avait pas complètement tort.
Là où je suis les élèves ont très peu de culture, de vocabulaire, sont en grand échec par rapport à la langue, pourtant quand ils se laissent aller ils deviennent très enthousiastes dans l'écriture. Persuadés qu'ils ont écrits des super trucs. Curieux pour s'améliorer, si ce n'est pas noté, angoissés et négatifs s'il y a note. Quant aux textes, s'ils sont un peu classiques, c'est tout de suite nul... Oui, l'enseignement du français, plus j'avance, plus je me dis que c'est dur et complexe. C'est la langue maternelle, ce n'est pas anodin d'en juger la maîtrise et de plaquer nos valeurs et nos goûts en proposant des textes...
Bon, je vais aller me coucher, afin d'être le plus reposée possible pour l'entretien de demain et les cours après. Encore merci à vous tous, et bon courage à ceux qui doivent tenir.
- EtherNiveau 9
Tiens le coup jusqu'à la fin de l'année puis profite au maximum de tes vacances... Courage!
- zabouFidèle du forum
Je me reconnais dans ce que tu dis, décris, vis, ressens...et certains de mes collègues pourraient dire la même chose.
Lundi il y aura un conseil de discipline au collège suite à une bagarre dans le cours d'EPS. Bagarre très grave car la police et les pompiers sont intervenus et ont évacué les blessés....Aujourd'hui le collègue est convoqué dans le bureau du cde et lui demande pourquoi il y a autant d'incidents en EPS, qu'il ne sait pas gérer son groupe etc...
Le collègue est sorti du bureau démonté comme moi il y a 1 mois....
Un conseil: ce boulot ne vaut pas la peine qu'on s'use la santé, q'on culpabilise, qu'on se rende malade car jamais l'administration ne reconnaîtra le boulot que l'on fait.
Courage Héliandre
Lundi il y aura un conseil de discipline au collège suite à une bagarre dans le cours d'EPS. Bagarre très grave car la police et les pompiers sont intervenus et ont évacué les blessés....Aujourd'hui le collègue est convoqué dans le bureau du cde et lui demande pourquoi il y a autant d'incidents en EPS, qu'il ne sait pas gérer son groupe etc...
Le collègue est sorti du bureau démonté comme moi il y a 1 mois....
Un conseil: ce boulot ne vaut pas la peine qu'on s'use la santé, q'on culpabilise, qu'on se rende malade car jamais l'administration ne reconnaîtra le boulot que l'on fait.
Courage Héliandre
- FinrodExpert
Aujourd'hui le collègue est convoqué dans le bureau du cde et lui demande pourquoi il y a autant d'incidents en EPS, qu'il ne sait pas gérer son groupe etc...
Le collègue est sorti du bureau démonté comme moi il y a 1 mois....
Il peut pas laisser faire ça, il faut se défendre, avec un syndicat.
:darkvador:
Comment ses collègues en parlent ils ? (tu peux y aller, je m'attend au pire)
- thrasybuleDevin
Ne faudrait-il pas aller systématiquement accompagné, au mieux d'un délégué syndical, à ces réunions? Comme il a été dit , il faudrait tout faire pour rompre la logique de l'isolement et de la stratégie perverse de la culpabilisation
- zabouFidèle du forum
Effectivement aujourd'hui on en a parlé notamment parce que mes collègues depuis qque tps me trouvaient mal et j'ai fini par lâcher le morceau...Certains m'avaient vu pleurer mais ne savaient pas pourquoi et avaient respecté mon silence. Suite à cet incident en EPS j'ai tout balancé car je vois un cde qui s'acharne à démolir ses profs et à les isoler.
On a convenu que dans ce genre de cas, il fallait être solidaire...dans mon cas ils auraient pu aller le voir et lui demander des explications. Demain des collègues notamment les collègues d'EPS vont voir le CDE pour avoir des explications sur ces menaces ou l'intimidation dont le collègue est victime.
On a convenu que dans ce genre de cas, il fallait être solidaire...dans mon cas ils auraient pu aller le voir et lui demander des explications. Demain des collègues notamment les collègues d'EPS vont voir le CDE pour avoir des explications sur ces menaces ou l'intimidation dont le collègue est victime.
- EmeraldiaÉrudit
Le problème est qu'ils ont un niveau à atteindre tout de même. Je ne vais pas leurrer les élèves pour avoir la paix. On va faire du coloriage ou Oui Oui avec certains...menerve a écrit:Et je précise que j'en fais moins qu'avant....je prends du temps pour moi et ça va beaucoup mieux!
Lâche un peu la pression, soit un peu moins exigeante avec les élèves, propose des trucs plus simples et plus court et peut-être que ça se passera mieux...j'ai aussi remarqué que la réaction violente des élèves était parfois une façon de cacher leurs difficultés...ils ne comprennent rien et te le font payer.
- HéliandreExpert
Je profite du message d'Esmeralda, qui fait remonter le post, pour vous tenir au courant des suites, du moins avec l'élève. Et je vous remercie pour vos messages d'encouragement, Thrasybule, zabou. Je sais que pour beaucoup d'entre nous ce n'est pas facile.
Mercredi matin, quand la CDE a fait venir l'élève a son bureau, j'ai entendu celle-ci se mettre à crier dans le couloir, refuser de me voir... Manifestement à cran. Dans le bureau j'ai trouvé la CDE et la PP avec l'élève, qui me tournait le dos, elle était complétement fermé et a tout remis en question. J'avais réfléchi à mes arguments, et face à l'évocation de la punition déchirée, du carnet refusé, mes collègues ont pris en charge l'échange pour lui dire qu'elle devait se plier au règles, quitte à ce qu'on discute après. Je vous passe le moment où l'élève est sortie et a dû être poursuivie dans le couloir. La PP s'est engagée auprès de moi à ce que l'élève se taise dans mon cours (elle est très forte pour pouvoir prendre de tels engagements. C'est quoi mon problème à côté ??? ). Ce qui m'en a bouché un coin, c'est après, en SDP. Là la PP me dit "Bon, Kévin exclu, maintenant Kévina, va falloir que ça s'arrête, là, Héliandre..."... (je précise que Kévin c'était en novembre, et que depuis il a eu 2 conseils de discipline, non de mon fait.).
Échange houleux ensuite. J'aurais dû savoir que le mot dans le carnet ferait du tort à l'élève pour des histoires de problèmes familiaux, de garde... J'ai tenu bon en revenant sur les torts de l'élève et en demandant quels moyens j'avais à ma disposition pour sanctionner les bavardages... J'ai eu des excuses (de la collègue).
Depuis, élève dans son mutisme, je ne m'y frotte plus.
Cet après-midi, travail d'écriture argumentative, choisir un thème et exposer votre avis, blabla...
L'élève a tenu à lire son texte qui parlait très clairement de moi (cette personne m'écoute en ce moment, je la déteste ), il y avait bien des arguments (parle pour ne rien dire, raconte n'importe quoi...). ...
Bon, j'ai repris uniquement sur le travail, et de manière implicite, ce qui lui a fait affirmer qu'il ne s'agissait pas de moi. J'ai préféré laisser tomber. En 2ème heure la gamine a participé et se tenait bien...
Je pense que ça tiendra jusqu'à la fin sans faire trop de vagues. Ce qui me scie, c'est les réactions de collègues et de l'administration. Comme je disais sur un autre fil, cette expérience me donne envie de faire profil bas et de tenter de gérer mes problèmes dans la classe, du moins tant que je suis entourée comme je le suis...
Mercredi matin, quand la CDE a fait venir l'élève a son bureau, j'ai entendu celle-ci se mettre à crier dans le couloir, refuser de me voir... Manifestement à cran. Dans le bureau j'ai trouvé la CDE et la PP avec l'élève, qui me tournait le dos, elle était complétement fermé et a tout remis en question. J'avais réfléchi à mes arguments, et face à l'évocation de la punition déchirée, du carnet refusé, mes collègues ont pris en charge l'échange pour lui dire qu'elle devait se plier au règles, quitte à ce qu'on discute après. Je vous passe le moment où l'élève est sortie et a dû être poursuivie dans le couloir. La PP s'est engagée auprès de moi à ce que l'élève se taise dans mon cours (elle est très forte pour pouvoir prendre de tels engagements. C'est quoi mon problème à côté ??? ). Ce qui m'en a bouché un coin, c'est après, en SDP. Là la PP me dit "Bon, Kévin exclu, maintenant Kévina, va falloir que ça s'arrête, là, Héliandre..."... (je précise que Kévin c'était en novembre, et que depuis il a eu 2 conseils de discipline, non de mon fait.).
Échange houleux ensuite. J'aurais dû savoir que le mot dans le carnet ferait du tort à l'élève pour des histoires de problèmes familiaux, de garde... J'ai tenu bon en revenant sur les torts de l'élève et en demandant quels moyens j'avais à ma disposition pour sanctionner les bavardages... J'ai eu des excuses (de la collègue).
Depuis, élève dans son mutisme, je ne m'y frotte plus.
Cet après-midi, travail d'écriture argumentative, choisir un thème et exposer votre avis, blabla...
L'élève a tenu à lire son texte qui parlait très clairement de moi (cette personne m'écoute en ce moment, je la déteste ), il y avait bien des arguments (parle pour ne rien dire, raconte n'importe quoi...). ...
Bon, j'ai repris uniquement sur le travail, et de manière implicite, ce qui lui a fait affirmer qu'il ne s'agissait pas de moi. J'ai préféré laisser tomber. En 2ème heure la gamine a participé et se tenait bien...
Je pense que ça tiendra jusqu'à la fin sans faire trop de vagues. Ce qui me scie, c'est les réactions de collègues et de l'administration. Comme je disais sur un autre fil, cette expérience me donne envie de faire profil bas et de tenter de gérer mes problèmes dans la classe, du moins tant que je suis entourée comme je le suis...
- lene75Prophète
Héliandre a écrit:Ce qui me scie, c'est les réactions de collègues et de l'administration.
Moi aussi !
_________________
Une classe, c'est comme une boîte de chocolats, on sait jamais sur quoi on va tomber...
- menerveOracle
Emeraldia a écrit:
Le problème est qu'ils ont un niveau à atteindre tout de même. Je ne vais pas leurrer les élèves pour avoir la paix. On va faire du coloriage ou Oui Oui avec certains...
Il ne s'agit pas de les leurrer mais de faire des choses accessibles pour compliquer après....il vaut peut-être mieux qu'ils travaillent sur des choses plus simples que de ne rien faire car il ne comprennent rien et du coup font la foire.
- gymHabitué du forum
je reprends ce topic un peu tard, mais je me demandais si tu ne pouvais pas argumenter toi aussi qu'il n'y a qu'avec un ou deux casse-coui**es que tu as des pb et pas avec le reste de la classe afin de stigmatiser l'élève comme ta hiérarchie essaye de le faire avec toi. Reste droit dans tes bottes, tu es dans ton bon droit et ne laisse pas une gamine idiote te faire culpabiliser. de plus si cela fait déjà 10 ans que tu fais ce metier c'est que tu es faite pour.
- HéliandreExpert
gym a écrit:je reprends ce topic un peu tard, mais je me demandais si tu ne pouvais pas argumenter toi aussi qu'il n'y a qu'avec un ou deux casse-coui**es que tu as des pb et pas avec le reste de la classe afin de stigmatiser l'élève comme ta hiérarchie essaye de le faire avec toi. Reste droit dans tes bottes, tu es dans ton bon droit et ne laisse pas une gamine idiote te faire culpabiliser. de plus si cela fait déjà 10 ans que tu fais ce metier c'est que tu es faite pour.
Ca je ne sais pas, car je n'ai jamais été très à l'aise avec l'autorité (sauf quand je suis contente de mon cours, prépa et déroulement -et c'est vrai que je dois être un peu perfectionniste), et j'ai toujours passé énormément de temps à préparer, au point qu'au bout de dix ans je sature.
On peut pas dire non plus que je n'ai pas de problèmes avec le reste de la classe, il y a des bavardages, des tensions, mais je fais découler la situation, entre autre, d'un pourrissement de l'ambiance, avec le 1er élève qu'on m'a demandé de ne pas exclure, et qui ne relevait manifestement pas d'une structure classique...
Ce qui est sûr, c'est que c'est la 1ère année où ça se passe comme ça, avant j'avais exclus un élève en 9 ans... et je n'avais jamais eu autant de tension avec une classe.
Je vais essayer de terminer l'année en prenant de la distance. Et je suis d'accord avec toi, menerve. Le profil des élèves que j'ai demande des activités simples, et il faut prévoir du temps, aller très doucement. Je le sais mais depuis deux ans ce constat m'oblige à repenser presque tous mes cours, à refaire mes docs... D'où beaucoup de travail et pas assez de temps. C'est ça qui me pèse le plus, pas le temps de faire ou de penser ce que je sais qui marcherait. L'année où j'ai eu mon temps partiel, ça allait. Mais depuis je n'en ai plus eu, ils ont été annulés en juillet... L'an prochain je dois en avoir un. J'attends ça impatiemment.
- HéliandreExpert
thrasybule a écrit:Ne faudrait-il pas aller systématiquement accompagné, au mieux d'un délégué syndical, à ces réunions? Comme il a été dit , il faudrait tout faire pour rompre la logique de l'isolement et de la stratégie perverse de la culpabilisation
+ 1 Ce genre de situation me semble très fréquent. Pour ce qui est de mon expérience, pas mal de chef ne se comportent pas du tout de la même manière avec les différents profs. sans qu'il y ait de raison objective. Une tierce personne permet un échange plus normal, et apaise.
- CelebornEsprit sacré
Autres lieux, autres mœurs. Chez nous, on exclut de cours sans passer pour autant pour un prof bordélisé, et ça m'arrive plusieurs fois pas an (encore aujourd'hui, d'ailleurs).
Tu n'as pas à te justifier : tu as à préserver l'ambiance de travail dans ta classe par tous les moyens à ta disposition afin que les élèves qui veulent progresser puissent le faire dans les meilleures conditions. Le reste, c'est de la c....erie.
Tout mon soutien.
Tu n'as pas à te justifier : tu as à préserver l'ambiance de travail dans ta classe par tous les moyens à ta disposition afin que les élèves qui veulent progresser puissent le faire dans les meilleures conditions. Le reste, c'est de la c....erie.
Tout mon soutien.
_________________
"On va bien lentement dans ton pays ! Ici, vois-tu, on est obligé de courir tant qu'on peut pour rester au même endroit. Si on veut aller ailleurs, il faut courir au moins deux fois plus vite que ça !" (Lewis Carroll)
Mon Blog
- InvitéeHrÉrudit
Encore faut-il que les élèves acceptent d'être fichus à la porte, en collège j'ai connu le bras de fer. Si seulement on pouvait être aidé par la vie scolaire, qui démissionne honteusement la plupart du temps. Le CPE m'a encore dit il y a quelques jours qu'en principe je n'avais pas le droit d'exclure de cours. J'aimerais connaître le texte sur l'exclusion de cours, s'il y en a un.
- InvitéNGrand sage
Un CPE nous avait sorti le texte sur l'exclusion de cours. Pour faire court ( je vais chercher les références exactes ) l'exclusion doit demeurer exceptionnelle et s'impose seulement en cas de mise en danger...seulement il est dit aussi que c'est à la vie scolaire de s'organiser pour recevoir les élèves exclus et c'est là la plus grande difficulté.
Je n'ai connu que des établissements où l'exclusion était très mal vue par l'administration. Dans un collège les exclusions étaient affichées en salle des profs avec noms des collègues qui excluaient et motifs. Nous avions obtenu la suppression de cette fiche jugée stigmatisante pour les profs.
Je n'ai connu que des établissements où l'exclusion était très mal vue par l'administration. Dans un collège les exclusions étaient affichées en salle des profs avec noms des collègues qui excluaient et motifs. Nous avions obtenu la suppression de cette fiche jugée stigmatisante pour les profs.
Page 2 sur 2 • 1, 2
- Travail de recherche sur une longue durée par les élèves (travail de maturité)
- Ce soir ou jamais sur l'autorité, l'éducation et l'histoire : Némo, Serres, Ogien, Badré, C Berest, J. Bernard et F. Taddéi.
- Idée pour un travail sur le respect de l'adulte et de l'autorité?
- Les élèves qui bravent l'autorité
- Correction du travail du soir
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum