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- EmeraldiaÉrudit
Le problème est que le nombre d'ados qui ne fout rien dans cette classe doit s'élever à au moins...15 personnes. Je ne peux pas virer tout le monde.
- EmeraldiaÉrudit
Je te remercie. Je fais toujours de mon mieux. Si tu lis mon topic "inspection probable", tu verras que mes 3è ayant été avertis par leur PP avant q je ne leur dise, m'ont dit : "Ca va être le bordel". J'ai répondu q la Principale serait là (elle a assisté à toutes les inspections avant les vacances, j'espère qu'elle fera pareil pour moi), ça les a refroidis mais ils m'ont dégoûtée, je ne suis pas infecte et voilà leur réaction.Esméralda a écrit:Emeraldia, je penserai donc à toi lundi alors!
Enfin, qd on voit q les élèves se foutent de l'autorité, je ne vois pas pourquoi moi, qui n'ai rien à me reprocher, me prendrais la tête plus q les autres...
- zabriskieÉrudit
Je n'ai pas de remèdes et je ne peux que compatir. Dans mon collège aussi, on pratique le rituel "debout tant qu'il n'y a pas le silence". je trouve ça épuisant et peu efficace... ça vire facilement au "on toise la prof en ricanant", et j'ai beau les flinguer du regard, je me sens quand même bien ridicule face à ces 30 et + élèves qui, pour la moitié, n'en ont rien à foutre et sont contents de perdre quelques minutes de cours.
Pfff... pas envie de reprendre...
Pfff... pas envie de reprendre...
- PAELLANiveau 2
Merci pour vos réponses.
Je voudrais répondre à certains collègues. Cristal avait dit : "Je me demande si ce n'est pas trop tard. On dirait que tu n'es plus crédible, ni auprès de tes élèves, ni auprès de ta hierarchie."
J'ai répondu: "Cristal, je ne comprends pas pourquoi tu dis cela, surtout lorsque tu parles de la hiérarchie..."
Cristal répond: "C'est parce que tu dis que "le principal sera de leur côté". J'en déduis donc qu'il n'est pas (toujours) du tien. "
Ce n'est pas exact. Le Principal ne voit pas bien les punitions (retenues, par exemple) lorsque le groupe
d'élèves perturbateurs est nombreux. Mais bon, tout cela était largement expliqué dans un précédant message intitulé "le principal annule la punition collective que j’ai donnée ».
Pour revenir à l’essentiel de la question. Moi, je pratique le rituel "debout tant qu'il n'y a pas le silence". Si c’est vraiment le début de l’heure ça marche. Si c’est pendant le cours (pas au début), je me tais et je refuse de continuer lorsqu’il y a des bavardages (ils finissent par se taire et on perd beaucoup de temps).
La dernière fois j’ai changé de système et j’ai mis les noms au tableau. Il y en avait huit qui sont repartis avec un devoir supplémentaire assez lourd et un mot aux parents (si cela se reproduisait, leur fils / fille aurait une retenue avec un devoir noté). Les devoirs sups ont été faits et rendus le jour fixé. Après on a eu les vacances. Je ne sais pas ce qui va se passer demain (reprise).
Certains disent que « le système des noms au tableau, ça marche bien chez les petits en primaire, mais pas en 3èmes.»
1) Alors, qu’est-ce que vous faites en collègue (surtout lorsqu’il y en a plusieurs qui bavardent)?
2) Je sais que dans certains collèges ou lycées on exclue un élève à cause des bavardages, mais je ne suis pas arrivée à le faire car on a des problèmes plus graves que les bavardages. Donc, il faut réserver les sanctions lourdes (exclusions) pour de gros problèmes.
3) On peut arriver à exclure un élève qui bavarde, mais pas plusieurs élèves. Il m’est déjà arrivé de mettre à copier jusqu’à la fin de l’heure plusieurs élèves à cause de leurs bavardages. Il m’est déjà arrivé
d’exclure un élève qui bavardait (refusait de se taire) et refusait de se mettre à copier jusqu’à la fin de l’heure.
4) J’avais pensé à leur faire sortir une feuille pour faire un contrôle surprise et relever la feuille de ceux qui bavardent. Mais il y a un souci : ceux qui bossent perdent leur temps, je ne veux pas qu’ils pensent
que c’est injuste, que c’est une punition collective, etc, etc.
Avez-vous des trucs qui marchent bien ? Merci encore pour vos réponses.
Je voudrais répondre à certains collègues. Cristal avait dit : "Je me demande si ce n'est pas trop tard. On dirait que tu n'es plus crédible, ni auprès de tes élèves, ni auprès de ta hierarchie."
J'ai répondu: "Cristal, je ne comprends pas pourquoi tu dis cela, surtout lorsque tu parles de la hiérarchie..."
Cristal répond: "C'est parce que tu dis que "le principal sera de leur côté". J'en déduis donc qu'il n'est pas (toujours) du tien. "
Ce n'est pas exact. Le Principal ne voit pas bien les punitions (retenues, par exemple) lorsque le groupe
d'élèves perturbateurs est nombreux. Mais bon, tout cela était largement expliqué dans un précédant message intitulé "le principal annule la punition collective que j’ai donnée ».
Pour revenir à l’essentiel de la question. Moi, je pratique le rituel "debout tant qu'il n'y a pas le silence". Si c’est vraiment le début de l’heure ça marche. Si c’est pendant le cours (pas au début), je me tais et je refuse de continuer lorsqu’il y a des bavardages (ils finissent par se taire et on perd beaucoup de temps).
La dernière fois j’ai changé de système et j’ai mis les noms au tableau. Il y en avait huit qui sont repartis avec un devoir supplémentaire assez lourd et un mot aux parents (si cela se reproduisait, leur fils / fille aurait une retenue avec un devoir noté). Les devoirs sups ont été faits et rendus le jour fixé. Après on a eu les vacances. Je ne sais pas ce qui va se passer demain (reprise).
Certains disent que « le système des noms au tableau, ça marche bien chez les petits en primaire, mais pas en 3èmes.»
1) Alors, qu’est-ce que vous faites en collègue (surtout lorsqu’il y en a plusieurs qui bavardent)?
2) Je sais que dans certains collèges ou lycées on exclue un élève à cause des bavardages, mais je ne suis pas arrivée à le faire car on a des problèmes plus graves que les bavardages. Donc, il faut réserver les sanctions lourdes (exclusions) pour de gros problèmes.
3) On peut arriver à exclure un élève qui bavarde, mais pas plusieurs élèves. Il m’est déjà arrivé de mettre à copier jusqu’à la fin de l’heure plusieurs élèves à cause de leurs bavardages. Il m’est déjà arrivé
d’exclure un élève qui bavardait (refusait de se taire) et refusait de se mettre à copier jusqu’à la fin de l’heure.
4) J’avais pensé à leur faire sortir une feuille pour faire un contrôle surprise et relever la feuille de ceux qui bavardent. Mais il y a un souci : ceux qui bossent perdent leur temps, je ne veux pas qu’ils pensent
que c’est injuste, que c’est une punition collective, etc, etc.
Avez-vous des trucs qui marchent bien ? Merci encore pour vos réponses.
- EmeraldiaÉrudit
Désolée mais je n'ai pas de trucs miracle, je peux attendre en début de cours voire pendant ss q certains se taisent vu qu'ils se foutent royalement de ne pas travailler, ça les arrange même...
Qd l'administration nous épaule, je trouve qd même q la fiche de suivi collective est pas mal, on cible ensuite la dizaine qui bavarde et on fait des croix qui valent des heures de colle...
Mais il ft être ds un établissement bien géré pour ça...
Qd l'administration nous épaule, je trouve qd même q la fiche de suivi collective est pas mal, on cible ensuite la dizaine qui bavarde et on fait des croix qui valent des heures de colle...
Mais il ft être ds un établissement bien géré pour ça...
- cristalExpert spécialisé
PAELLA a écrit:
Il m’est déjà arrivé de mettre à copier jusqu’à la fin de l’heure plusieurs élèves à cause de leurs bavardages.
C'est ce que je fais presque systématiquement ou alors je donne un texte à copier pour le lendemain. Les élèves ont l'habitude, j'ai juste à dire "Kevin, tu prends ton cahier de textes pour demain et tu notes...." En début d'année, pour qu'ils n'osent pas essayer de ne pas faire la sanction "Ne l'oublie pas parce que moi je ne t'oublierai pas" et tu notes devant eux.
Tu as raison d'attendre le silence en cours avant de poursuivre. Ne regrette pas de "perdre du temps"
De plus,Emeraldia a raison, le soutien de la direction est essentiel.
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