Collège : Questions de préparation?

Donnez-vous des questions de préparation à faire à la maison avant une lecture analytique ou préférez-vous une découverte du texte en classe?

Parfois oui, parfois non, je fais les deux en fait...

Je fais les deux.
Et le plus souvent, le texte est à lire à la maison une fois avant l'étude car ils ont souvent un mal fou à comprendre, des fois qu'ils aient l'idée d'aller voir dans un dictionnaire ...

Je fais les deux !
Mais mes 3èmes sont amorphes .
Par contre mes 4èmes sont chouettes ! Ils participent très , très facilement............
Ils aiment chercher .
Je ne peux plus les arrêter de parler quand je leur donne dutravail à la maison.

je préfère laisser le suspens et découvrir le texte avec eux!

Je ne donne pratiquement jamais de questions de préparation.
Je préfère leur faire découvrir le texte et surtout, le lire une première fois (sinon, la plupart ne comprend pas).
Je donne en revanche systématiquement des questions de "postparation" (mot préféré de mes formateurs IUFM), soit un petit exercice d'écriture en lien, soit une question d'analyse, ou la synthèse à faire.

clemiecamie a écrit:je préfère laisser le suspens et découvrir le texte avec eux!

Moi aussi. De toute façon, quand ils lisent seuls, les 3/4 de la classe ne comprend pas le texte.

Poups a écrit:mes 3èmes sont amorphes .

Les miens aussi et c'est à eux que je pensais, la préparation leur permettrait d'avoir de la matière pour participer ou au moins pour pouvoir les interroger.
Les miens sont vraiment de vrais légumes. Ils me désespèrent, pourtant j'essaie vraiment de tout faire pour les intéresser, de créer un cours dynamique et vivant mais là, face à leur mutisme, je ne sais plus quoi faire!

lulucastagnette a écrit:Je donne en revanche systématiquement des questions de "postparation" (mot préféré de mes formateurs IUFM), soit un petit exercice d'écriture en lien, soit une question d'analyse, ou la synthèse à faire.

Synthèse? Tu veux dire un petit résumé du texte?

cristal a écrit:

lulucastagnette a écrit:Je donne en revanche systématiquement des questions de "postparation" (mot préféré de mes formateurs IUFM), soit un petit exercice d'écriture en lien, soit une question d'analyse, ou la synthèse à faire.

Synthèse? Tu veux dire un petit résumé du texte?

Soit un résumé du texte, soit une conclusion à la séance, qui mette en valeur un point essentiel (par exemple les interventions du narrateur, ou bien le pathétique d'une scène)

cristal a écrit:

Poups a écrit:mes 3èmes sont amorphes .

Les miens aussi et c'est à eux que je pensais, la préparation leur permettrait d'avoir de la matière pour participer ou au moins pour pouvoir les interroger.
Les miens sont vraiment de vrais légumes. Ils me désespèrent, pourtant j'essaie vraiment de tout faire pour les intéresser, de créer un cours dynamique et vivant mais là, face à leur mutisme, je ne sais plus quoi faire!

Moi aussi !
Ils sont faibles . 8,38 ou 33 au brevet blanc. 7 élèves ont la moyenne. J'essaye de les aider par tous les moyens . Je leur parle. J'ai décidé de mettre une note de participation comprise entre 7 et 15 pour les motiver.( le comportement est inclus).
J'en entends certains.

Nestya a écrit:

clemiecamie a écrit:je préfère laisser le suspens et découvrir le texte avec eux!

Moi aussi. De toute façon, quand ils lisent seuls, les 3/4 de la classe ne comprend pas le texte.

C'est pour qu'ils puissent participer en classe que je serais tenté par des questions de préparation. Au moins je pourrais les interroger.

Poups a écrit:

cristal a écrit:

Poups a écrit:mes 3èmes sont amorphes .

Les miens aussi et c'est à eux que je pensais, la préparation leur permettrait d'avoir de la matière pour participer ou au moins pour pouvoir les interroger.
Les miens sont vraiment de vrais légumes. Ils me désespèrent, pourtant j'essaie vraiment de tout faire pour les intéresser, de créer un cours dynamique et vivant mais là, face à leur mutisme, je ne sais plus quoi faire!

Moi aussi !
Ils sont faibles . 8,38 ou 33 au brevet blanc. 7 élèves ont la moyenne. J'essaye de les aider par tous les moyens . Je leur parle. J'ai décidé de mettre une note de participation comprise entre 7 et 15 pour les motiver.( le comportement est inclus).
J'en entends certains.

Moi aussi, je mets une note de paticipation par trimestre mais ça ne les motive pas.
Je fais le cours avec 3 ou 4 élèves.

Pareil pour moi, Cristal.
et je n'ai jamais réussi à faire bien mieux en 3è !

Tu m'encourages pas là, lulu!

Peut- être , en leur parlant , en les encourageant....
Cela peut marcher ...
je valorise au maximum leur petit progrés , ou leur paticipation .
J'ai , à chaque fois un petit compliment....
Cela incite aussi ....
Essaye !

Moi non plus je ne donne pas de préparation avant. Les élèves lisent tellement mal (et bâclent tellement le travail) qu'en général cela ne nous avance qu'à une seule chose : avant même que nous n'ayons commencé à l'étudier, ils sont convaincus que le texte est
1°) trop dur,
2°) sans intérêt.

Le même texte, abordé par le biais de la lecture professorale, passe très bien.

Pour la participation, mon seul "secret", c'est de toujours proposer des textes qui, d'une manière ou d'une autre, vont les faire réagir. L'horreur, le suspens, la maladresse d'un personnage, le cynisme d'un autre vont leur donner envie de faire des commentaires. Et là, c'est gagné.

Ceci dit, quelle que soit la qualité du texte et les trésors d'énergie que nous déployons (nous au moins), ça ne suffit pas toujours face aux 4eC à 7h55... Bon, c'est humain. Une soufflante et ça repart...

lulucastagnette a écrit:

cristal a écrit:

lulucastagnette a écrit:Je donne en revanche systématiquement des questions de "postparation" (mot préféré de mes formateurs IUFM), soit un petit exercice d'écriture en lien, soit une question d'analyse, ou la synthèse à faire.

Synthèse? Tu veux dire un petit résumé du texte?

Soit un résumé du texte, soit une conclusion à la séance, qui mette en valeur un point essentiel (par exemple les interventions du narrateur, ou bien le pathétique d'une scène)

Je n'avais pas compris, j'étais toujours dans l'idée d'un travail préalable.