- Invité22Niveau 10
Quelqu'un a-t-il lu L'Enfant perdu? J'ai entendu une très bonne critique. J'aurais aimé avoir votre avis avant de me le procurer!
- FrisouilleEnchanteur
le 1er des "Cadfael", heureux hasard car ce roman fait partie des bouquins abandonnés par mon CDE au CDI.
J'ai eu du mal à rentrer dans le roman, en raison des noms gallois (on s'y perd entre les familles, les régions, villes et prénoms...) puis cela s'allège un peu et l'aventure va bon train, soutenue par l'ironie subtile de la romancière.
A poursuivre...
J'ai eu du mal à rentrer dans le roman, en raison des noms gallois (on s'y perd entre les familles, les régions, villes et prénoms...) puis cela s'allège un peu et l'aventure va bon train, soutenue par l'ironie subtile de la romancière.
A poursuivre...
- FrisouilleEnchanteur
Un pur régal.
J'avais été grandement marquée par le film, après avoir appris la tirade du nez en CM2, mais n'avais jamais lu l'œuvre. Voilà qui est fait. La préface est de Pierre Citti, dont j'ai eu le bonheur de suivre un TD à la fac de Montpellier.
Et je viens de m'offrir le DVD en passant par le bandeau...
- lulucastagnetteEmpereur
Lu La Consolante d'Anna Gavalda.
Charles Balanda, 47 ans, architecte à Paris, apprend incidemment la mort d'une femme qu'il a connue quand il était enfant, et adolescent. Cette nouvelle l'amène à remettre en question sa vie, son passé, ses choix. Il va remonter le temps et raviver des souvenirs qu'il avait enfouis.
Plus de 600 pages quand même (et les 300 premières pages peu palpitantes). L'histoire se laisse lire, bien sûr, on a envie de connaître la vie de Charles, mais les bons sentiments à la louche, c'est quand même pesant. Vous me direz : quand on lit du Anna Gavalda, il ne faut pas être surpris... C'est vrai que j'avais fait le même constant en lisant Ensemble c'est tout il y a quelques années. Mais bon, voilà. Tout est bien qui finit bien, et l'architecte brillant qui redécouvre la vie avec une fermière et ses cinq enfants, ça me fait sourire quand même... L'amour est dans le pré, ouais !
Ah et un truc qui m'a agacée !!!! L'auteur qui ne cesse de supprimer les sujets dans les phrases. Ca donne : "Charles se leva. Se rasa. Lut son journal. Se demanda l'heure qu'il était. S'en ficha." Et sans cesse, sans cesse, ce "tic" d'écriture. Horripilant.
Charles Balanda, 47 ans, architecte à Paris, apprend incidemment la mort d'une femme qu'il a connue quand il était enfant, et adolescent. « Il déchire la lettre et la jette dans la poubelle de la cuisine. Quand il relève son pied de la pédale et que le couvercle retombe, clac, il a l’impression d’avoir refermé, à temps, une espèce de boîte de Pandore, et, puisqu’il est devant l’évier, s’asperge le visage en gémissant. Retourne ensuite vers les autres. Vers la vie. Se sent mieux déjà. Allez... C’est fini. C'est fini, tu comprends ? » Le problème, c'est que non, il ne comprend pas. Et il n'y retourne pas, vers la vie. Il perd l’appétit, le sommeil, abandonne plans et projets et va essayer de comprendre pourquoi tour se fissure en lui ; Et autour de lui. Commence alors un long travail de deuil au bout duquel il est obligé de se rendre à l’évidence : l’échelle de cette vie-ci est illisible et il faut tout rebâtir
Charles Balanda, 47 ans, architecte à Paris, apprend incidemment la mort d'une femme qu'il a connue quand il était enfant, et adolescent. Cette nouvelle l'amène à remettre en question sa vie, son passé, ses choix. Il va remonter le temps et raviver des souvenirs qu'il avait enfouis.
Plus de 600 pages quand même (et les 300 premières pages peu palpitantes). L'histoire se laisse lire, bien sûr, on a envie de connaître la vie de Charles, mais les bons sentiments à la louche, c'est quand même pesant. Vous me direz : quand on lit du Anna Gavalda, il ne faut pas être surpris... C'est vrai que j'avais fait le même constant en lisant Ensemble c'est tout il y a quelques années. Mais bon, voilà. Tout est bien qui finit bien, et l'architecte brillant qui redécouvre la vie avec une fermière et ses cinq enfants, ça me fait sourire quand même... L'amour est dans le pré, ouais !
Ah et un truc qui m'a agacée !!!! L'auteur qui ne cesse de supprimer les sujets dans les phrases. Ca donne : "Charles se leva. Se rasa. Lut son journal. Se demanda l'heure qu'il était. S'en ficha." Et sans cesse, sans cesse, ce "tic" d'écriture. Horripilant.
Charles Balanda, 47 ans, architecte à Paris, apprend incidemment la mort d'une femme qu'il a connue quand il était enfant, et adolescent. « Il déchire la lettre et la jette dans la poubelle de la cuisine. Quand il relève son pied de la pédale et que le couvercle retombe, clac, il a l’impression d’avoir refermé, à temps, une espèce de boîte de Pandore, et, puisqu’il est devant l’évier, s’asperge le visage en gémissant. Retourne ensuite vers les autres. Vers la vie. Se sent mieux déjà. Allez... C’est fini. C'est fini, tu comprends ? » Le problème, c'est que non, il ne comprend pas. Et il n'y retourne pas, vers la vie. Il perd l’appétit, le sommeil, abandonne plans et projets et va essayer de comprendre pourquoi tour se fissure en lui ; Et autour de lui. Commence alors un long travail de deuil au bout duquel il est obligé de se rendre à l’évidence : l’échelle de cette vie-ci est illisible et il faut tout rebâtir
- FrisouilleEnchanteur
lulucastagnette a écrit: Ah et un truc qui m'a agacée !!!! L'auteur qui ne cesse de supprimer les sujets dans les phrases. Ca donne : "Charles se leva. Se rasa. Lut son journal. Se demanda l'heure qu'il était. S'en ficha." Et sans cesse, sans cesse, ce "tic" d'écriture. Horripilant.
Tiens ! Comme mes élèves ...
- lulucastagnetteEmpereur
Lu Le Voyage dans le passé de Stefan Zweig (Ornella... )
Louis, jeune homme pauvre mû par une volonté fanatique, tombe amoureux de la femme de son riche bienfaiteur, mais il est envoyé quelques mois au Mexique pour une mission de confiance. La Grande Guerre éclate. Ils ne se reverront que neuf ans plus tard. L'amour résiste-t-il au temps ?
J'ai beaucoup aimé cette nouvelle, très nostalgique et mélancolique, qui m'a fait beaucoup penser au poème de Verlaine Colloque sentimental qui est d'ailleurs cité à la fin...
Louis, jeune homme pauvre mû par une volonté fanatique, tombe amoureux de la femme de son riche bienfaiteur, mais il est envoyé quelques mois au Mexique pour une mission de confiance. La Grande Guerre éclate. Ils ne se reverront que neuf ans plus tard. L'amour résiste-t-il au temps ?
J'ai beaucoup aimé cette nouvelle, très nostalgique et mélancolique, qui m'a fait beaucoup penser au poème de Verlaine Colloque sentimental qui est d'ailleurs cité à la fin...
- Invité24Vénérable
ah! il me faisait de l'oeil, je vais donc me lancer!
- lulucastagnetteEmpereur
Tu ne seras pas déçue, en plus la traduction est super !
- lulucastagnetteEmpereur
Lu La Tête en Friche de Marie-Sabine Roger.
Germain, 45 ans, n'a jamais lu un livre de sa vie. Son passe-temps ? Compter les pigeons au parc, rajouter son nom sur le monument aux morts... Un jour, il rencontre Margueritte, 86 ans, qui partage sa passion des pigeons. Elle lui lit le début de "La Peste" et c'est le début d'une belle histoire d'amour.
En ce moment, il y a le film avec Depardieu qui passe au ciné.
Une belle histoire, une écriture agréable, une jolie lecture.
Germain, 45 ans, n'a jamais lu un livre de sa vie. Son passe-temps ? Compter les pigeons au parc, rajouter son nom sur le monument aux morts... Un jour, il rencontre Margueritte, 86 ans, qui partage sa passion des pigeons. Elle lui lit le début de "La Peste" et c'est le début d'une belle histoire d'amour.
En ce moment, il y a le film avec Depardieu qui passe au ciné.
Une belle histoire, une écriture agréable, une jolie lecture.
- lamelimeloÉrudit
Justement, je suis allée le voir hier soir au ciné ce film...C'était rafraichissant dirons-nous... Les portraits sont bien brossés, certaines répliques sont drôles et bien envoyées. La personne la plus émouvante, c'est bien cette vieille Margueritte, interprétée par Gisèle Casadesus. J'ai passé un bon moment; ça n'en fait pas le film du siècle mais il ya des séquences drôle s et puis d'autres qui sont émouvantes. Et puis, ma foi, on ne boude pas son plaisir à la lecture de certains extraits célèbres...
Par contre Lulucastagnette, tu m'as aussi donné envie de lire Le voyage dans le passé...Je note ( un de plus !)
Par contre Lulucastagnette, tu m'as aussi donné envie de lire Le voyage dans le passé...Je note ( un de plus !)
- MurielleNiveau 2
Je conseille aussi Le Voyage dans le passé, et d'ailleurs tout Zweig
Récemment j'ai lu La Promesse de l'aube de Gary que je n'avais jamais eu l'occasion de lire et j'ai beaucoup aimé ; toujours intelligent, parfois cynique et souvent très drôle!
Lu aussi Le Soleil des Scorta de Laurent Gaudé et Le Cercle littéraire des amateurs d'épluchures de patates, plus léger, que je vous conseille pour l'été!
Récemment j'ai lu La Promesse de l'aube de Gary que je n'avais jamais eu l'occasion de lire et j'ai beaucoup aimé ; toujours intelligent, parfois cynique et souvent très drôle!
Lu aussi Le Soleil des Scorta de Laurent Gaudé et Le Cercle littéraire des amateurs d'épluchures de patates, plus léger, que je vous conseille pour l'été!
- LeilEsprit éclairé
lulucastagnette a écrit: Lu La Tête en Friche de Marie-Sabine Roger.
En ce moment, il y a le film avec Depardieu qui passe au ciné.
Une belle histoire, une écriture agréable, une jolie lecture.
J'avais énormément aimé, tout comme le Voyage dans le passé.
Sinon :
Deux petits enfants de Tokyo, Yukio et Yukiko, scellent un pacte de fidélité en inscrivant leurs noms à l'intérieur d'une palourde, comme un serment d'amour éternel. Devenus adolescents, ils se retrouvent à Nagasaki sans se reconnaître ; les sentiments qui les habitent désormais, qui les troublent profondément, leur seraient-ils interdits ? Aux dernières heures de sa vie, la mère de Yukio cherchera à ouvrir les yeux de son fils en lui remettant ce coquillage sorti du tiroir de l'oubli.
Une superbe écriture ! Une pentalogie à découvrir d'urgence si ce n'est pas déjà fait !
_________________
http://www.bricabook.fr/
- lulucastagnetteEmpereur
Lu La Paresseuse de Patrick Besson.
Tout le monde le dit : tu es une paresseuse. Tu ne fais pas d'études sérieuses, tu ne travailles pas ou très peu, tu ne t'es pas encore décidée à épouser quelqu'un. On murmure que tu habites chez tes parents. Cette année, tu as tout de même consenti à t'inscrire en chinois aux Langues-O, qui est comme par hasard la seule université parisienne à se trouver en face d'un très bon coiffeur.
Tu as passé une grande partie de ta jeunesse à te moquer des autres et de toi-même. On admirait ton ironie, on riait à tes bons mots. Tu étais incontestablement la fille la plus spirituelle de ton entourage. Maintenant ce sont les autres qui s'amusent dans leurs appartements bien clos et tu te demandes comment c'est arrivé.
Tu souhaites être émue, pas bouleversée ; aidée, pas entretenue ; comprise, pas plainte ; aimée, pas emprisonnée. Tu t'en veux de chercher dans un homme ce qui te décevra au lieu de te contenter de ce qui te séduit en lui. Tu es prête à tout donner - et à tout reprendre dès que l'occasion s'en présente.
Mais si tu n'existais pas, avec qui irais-je au cinéma l'après-midi ?
Je ne connaissais Besson que de nom. J'ai été séduite par la première de couv et accrochée par la 4è de couv.
Mais quelle déception !! L'histoire est sans grand intérêt, c'est une sorte d'autofiction où l'auteur se jette des fleurs à chaque page. Et summum de l'horreur : je n'ai absolument rien compris à la fin !!
PS : Leil, je note toutes tes bonnes idées !
Tout le monde le dit : tu es une paresseuse. Tu ne fais pas d'études sérieuses, tu ne travailles pas ou très peu, tu ne t'es pas encore décidée à épouser quelqu'un. On murmure que tu habites chez tes parents. Cette année, tu as tout de même consenti à t'inscrire en chinois aux Langues-O, qui est comme par hasard la seule université parisienne à se trouver en face d'un très bon coiffeur.
Tu as passé une grande partie de ta jeunesse à te moquer des autres et de toi-même. On admirait ton ironie, on riait à tes bons mots. Tu étais incontestablement la fille la plus spirituelle de ton entourage. Maintenant ce sont les autres qui s'amusent dans leurs appartements bien clos et tu te demandes comment c'est arrivé.
Tu souhaites être émue, pas bouleversée ; aidée, pas entretenue ; comprise, pas plainte ; aimée, pas emprisonnée. Tu t'en veux de chercher dans un homme ce qui te décevra au lieu de te contenter de ce qui te séduit en lui. Tu es prête à tout donner - et à tout reprendre dès que l'occasion s'en présente.
Mais si tu n'existais pas, avec qui irais-je au cinéma l'après-midi ?
Je ne connaissais Besson que de nom. J'ai été séduite par la première de couv et accrochée par la 4è de couv.
Mais quelle déception !! L'histoire est sans grand intérêt, c'est une sorte d'autofiction où l'auteur se jette des fleurs à chaque page. Et summum de l'horreur : je n'ai absolument rien compris à la fin !!
PS : Leil, je note toutes tes bonnes idées !
- LeilEsprit éclairé
lulucastagnette a écrit:
Mais quelle déception !! L'histoire est sans grand intérêt, c'est une sorte d'autofiction où l'auteur se jette des fleurs à chaque page.
Brrr cela ne fait que confirmer ce que je pense de cet auteur ...:/
Sinon un roman captivant :
« Bienvenue dans les brumes victoriennes... Un livre à énigmes ensorcelant que vous lirez à coup sûr d’une seule traite. » The Times
Angleterre, fin de l’ère victorienne. Constance Langton reçoit la visite d’un avocat, John Montague. Celui-ci lui annonce qu’elle vient d’hériter d’un manoir de famille dans le Suffolk, Wraxford Hall, et lui conseille de vendre la propriété sans perdre une seconde. Wraxford Hall jouit en effet d’une sinistre réputation : ses précédents propriétaires y sont morts dans d’étranges circonstances et une jeune femme, Eleanor Unwin, y a mystérieusement disparu avec sa fille. Quels terribles secrets renferment Wraxfod Hall ? Au fil du journal intime d’Eleanor et des recherches de Constance, deux femmes dont le désir d’indépendance dénote en pleine époque victorienne, se lèvent peu à peu les mystères qui entourent l’étrange demeure. Pièges machiavéliques et coups de théâtre en cascade, terreurs intimes, étranges obsessions et secrètes inconvenances, tout est réuni pour faire de cet hommage très moderne au roman gothique et victorien un chef-d’oeuvre du genre.
« La façon dont John Harwood joue avec les conventions du thriller victorien est une véritable source de délices ! » The Washington Post
Si vous aimez les ambiances lugubres, les châteaux hantés, les sciences occultes, des personnages victoriens, ce roman gothique est fait pour vous.
J'ai adoré, et pourtant je suis une grosse trouillarde.
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- ClarianzEmpereur
j'aime j'aime j'aime!!
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Mama's Rock
- FrisouilleEnchanteur
Leil a écrit:lulucastagnette a écrit:
Mais quelle déception !! L'histoire est sans grand intérêt, c'est une sorte d'autofiction où l'auteur se jette des fleurs à chaque page.
Brrr cela ne fait que confirmer ce que je pense de cet auteur ...:/
Ben au moins cela fait un parallèle avec son homonyme....
- lulucastagnetteEmpereur
Ah oui, Leil, ça a l'air super, ça !! J'adore la couverture...
- AdriGrand Maître
J'ai lu le dernier Michael Connelly sorti en poche : Le verdict du plomb.
Un bon polar. Je préfère ceux où l'inspecteur Bosch est plus présent, mais une bonne lecture quand même.
Un bon polar. Je préfère ceux où l'inspecteur Bosch est plus présent, mais une bonne lecture quand même.
- lulucastagnetteEmpereur
Lu La Femme en vert d'Arnaldur Indridason.
Dans une banlieue de Reykjavik, au cours d'une fête d'anniversaire, un bébé mâchouille un objet qui se révèle être un os humain.
Le commissaire Erlendur et son équipe arrivent et découvrent sur un chantier un squelette enterré là, soixante ans auparavant. Cette même nuit, Eva, la fille d'Erlendur, appelle son père au secours sans avoir le temps de lui dire où elle est. Il la retrouve à grand-peine dans le coma et enceinte. Erlendur va tous les jours à l'hôpital rendre visite à sa fille inconsciente et, sur les conseils du médecin, lui parle, il lui raconte son enfance de petit paysan et la raison de son horreur des disparitions.
Mon 3è polar avec le commissaire Erlendur (après La Cité des Jarres et L'Homme du lac) et c'est celui que j'ai préféré. Du suspense, des personnages attachants. J'ai adoré.
Dans une banlieue de Reykjavik, au cours d'une fête d'anniversaire, un bébé mâchouille un objet qui se révèle être un os humain.
Le commissaire Erlendur et son équipe arrivent et découvrent sur un chantier un squelette enterré là, soixante ans auparavant. Cette même nuit, Eva, la fille d'Erlendur, appelle son père au secours sans avoir le temps de lui dire où elle est. Il la retrouve à grand-peine dans le coma et enceinte. Erlendur va tous les jours à l'hôpital rendre visite à sa fille inconsciente et, sur les conseils du médecin, lui parle, il lui raconte son enfance de petit paysan et la raison de son horreur des disparitions.
Mon 3è polar avec le commissaire Erlendur (après La Cité des Jarres et L'Homme du lac) et c'est celui que j'ai préféré. Du suspense, des personnages attachants. J'ai adoré.
- adlidiHabitué du forum
J'adore les propositions de Neil!! Je vais courir acheter dès que possible: La Séance et Hamaguri!! Merci encore pour tes avis. Je suis allée jeter un petit coup d'oeil à ton blog: il est tout simplement génial.
PS: Magnifiques photos!!
PS: Magnifiques photos!!
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"La vie c'est comme une boîte de chocolats, on ne sait jamais sur quoi on va tomber."
- FrisouilleEnchanteur
adlidi a écrit:J'adore les propositions de Neil!!
Tiens ! Un nouveau membre ?
- clemiecamieHabitué du forum
Murielle a écrit:
Lu aussi Le Soleil des Scorta de Laurent Gaudé
Je l'ai adoré...
- LeilEsprit éclairé
Frisouille a écrit:adlidi a écrit:J'adore les propositions de Neil!!
Tiens ! Un nouveau membre ?
Une contraction de Leil et de Nell !
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- lamelimeloÉrudit
J'ai terminé ça ce week end:
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Très beau, très digne...On entend la voix du narrateur,jeune,entrecoupée de celle du narrateur,âgé, qui essaie d'écrire ses souvenirs...Et puis, surtout, on entend le vent souffler par bourrasques...Un petit livre très court sur un petit bout de terre mais un bon moment de lecture. Je suis plongée maintenant dans la lecture d'une Odyssée américaine de Jim Harrison. Je vous tiens au courant...pour l'instant, ça me plaît ! |
- LeilEsprit éclairé
Si vous voulez vous marrer :
Félix Zac vit aux crochets de Sophie - qui a de nombreuses qualités, dont la plus remarquable est de supporter Félix. Elle a seulement des doutes, parfois, sur la santé mentale de son ami, qui a tendance à mélanger fiction et réalité. Cinéphile, Félix écrit des scénarios qu'il n'achève jamais. Jusqu'au jour où, mystérieusement inspiré, il met un point final à L'Hospice de l'Angoisse. L'intrigue se passe à la Niche Saint-Luc, joyeuse maison de retraite où de vieux acteurs terminent leur existence. Dans cet établissement au-dessus de tout soupçon, un cadavre va semer le trouble. D'autant plus qu'il est le premier d'une longue série... Félix est sûr du succès : un certain Boudini, producteur à Rungis, s'intéresse à son chef-d'oeuvre ! Les ennuis commencent quand la fiction rattrape la réalité, et que de vrais cadavres se ramassent à la pelle... Où est le vrai ? Où est le faux ?! Hommage plein de rebondissements au cinéma de " série Z ", regard décalé sur le grand âge, humour et légèreté : voici le nouveau roman de J. M. Erre, l'auteur de Prenez soin du chien.
Félix Zac vit aux crochets de Sophie - qui a de nombreuses qualités, dont la plus remarquable est de supporter Félix. Elle a seulement des doutes, parfois, sur la santé mentale de son ami, qui a tendance à mélanger fiction et réalité. Cinéphile, Félix écrit des scénarios qu'il n'achève jamais. Jusqu'au jour où, mystérieusement inspiré, il met un point final à L'Hospice de l'Angoisse. L'intrigue se passe à la Niche Saint-Luc, joyeuse maison de retraite où de vieux acteurs terminent leur existence. Dans cet établissement au-dessus de tout soupçon, un cadavre va semer le trouble. D'autant plus qu'il est le premier d'une longue série... Félix est sûr du succès : un certain Boudini, producteur à Rungis, s'intéresse à son chef-d'oeuvre ! Les ennuis commencent quand la fiction rattrape la réalité, et que de vrais cadavres se ramassent à la pelle... Où est le vrai ? Où est le faux ?! Hommage plein de rebondissements au cinéma de " série Z ", regard décalé sur le grand âge, humour et légèreté : voici le nouveau roman de J. M. Erre, l'auteur de Prenez soin du chien.
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