- EsméraldaGrand sage
J'ai quelques doutes à propos des contes merveilleux d'après les nouveaux programmes : peut-on étudier des contes autres que les classiques Perrault, Grimm, Andersen ? Je me pose la question car pour l'une de mes classes, dans leur recueil, il y a surtout des contes anonymes, russes ou orientaux ( La princesse et le château des morts, le don d'allah, Vassilissa la très belle, JAcques et le haricot magique...) : est-ce totalement exclu de les étudier ? Ou les donner en cursive ? Je sens que je vais être contrainte de faire des photocopies pour les L.A...
Et le schéma narratif est-il absolument à proscrire ?
Et le schéma narratif est-il absolument à proscrire ?
- minnieExpert
Pourquoi le schéma narratif serait-il à proscrire?
Non seulement je le fais mais j'insiste. Ca leur permet de se repérer, de savoir écrire des histoires, non?
Non seulement je le fais mais j'insiste. Ca leur permet de se repérer, de savoir écrire des histoires, non?
- PasseroseNeoprof expérimenté
Je ne crois pas que les contes étrangers soient à proscrire, puisque des contes africains sont au programme. Ils peuvent être intéressants à voir en tant que variantes (histoires d'ogres par exemple, avec le Petit Poucet ou Jack et le haricot magique...).
Le schéma narratif est utile aussi ; je dirais qu'il sert plus à écrire qu'à lire, parce que cela ne "colle" pas avec tous les contes (de nombreux contes d'Andersen ne présentent pas de situation initiale, par exemple).
Le schéma narratif est utile aussi ; je dirais qu'il sert plus à écrire qu'à lire, parce que cela ne "colle" pas avec tous les contes (de nombreux contes d'Andersen ne présentent pas de situation initiale, par exemple).
- babetteNeoprof expérimenté
Bonjour Esméralda,
Je vois le recueil dont tu parles je l'ai déjà étudié en OI et les élèves aiment en général bien ces contes. C'est Contes merveilleux chez les classiques Hatier,non? Si c'est celui ci tu as un coonte de Grimm les 7 corbeaux pour travailler sur cet auteur donc pas de souci, tu peux donner en cursive des contes africains pour compléter les lectures. Je t'ai envoyé sur ta boite mail mon sommaire de cette séquence ainsi que ma séance sur le schéma narratif sur le conte Un élephant au coeur d'or.
Je vois le recueil dont tu parles je l'ai déjà étudié en OI et les élèves aiment en général bien ces contes. C'est Contes merveilleux chez les classiques Hatier,non? Si c'est celui ci tu as un coonte de Grimm les 7 corbeaux pour travailler sur cet auteur donc pas de souci, tu peux donner en cursive des contes africains pour compléter les lectures. Je t'ai envoyé sur ta boite mail mon sommaire de cette séquence ainsi que ma séance sur le schéma narratif sur le conte Un élephant au coeur d'or.
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- CelebornEsprit sacré
Passerose a écrit:Je ne crois pas que les contes étrangers soient à proscrire...
... d'autant que Grimm et Andersen ne sont pas vraiment des auteurs français
Je fais toujours le schéma narratif, mais en expliquant bien ses limites. L'essentiel est, je crois, ailleurs, mais c'est plutôt bien de leur montrer que les histoires sont structurées.
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"On va bien lentement dans ton pays ! Ici, vois-tu, on est obligé de courir tant qu'on peut pour rester au même endroit. Si on veut aller ailleurs, il faut courir au moins deux fois plus vite que ça !" (Lewis Carroll)
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- LeilEsprit éclairé
Pourquoi devrais-tu les interdire ? Les Contes des Mille et une nuits sont aussi au programme, et ils n'ont pas été écrits par un français.
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Celeborn a écrit:Je
fais toujours le schéma narratif, mais en expliquant bien ses limites.
L'essentiel est, je crois, ailleurs, mais c'est plutôt bien de leur
montrer que les histoires sont structurées.
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- CelebornEsprit sacré
Leil a écrit:Pourquoi devrais-tu les interdire ? Les Contes des Mille et une nuits sont aussi au programme, et ils n'ont pas été écrits par un français.Celeborn a écrit:Je
fais toujours le schéma narratif, mais en expliquant bien ses limites.
L'essentiel est, je crois, ailleurs, mais c'est plutôt bien de leur
montrer que les histoires sont structurées.
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D'ailleurs parfois je me laisse aller, et je me suis ainsi retrouvé à parler de Mrs Dalloway à mes 6e pour leur expliquer que des écrivains faisaient des romans où, extérieurement, il ne se passait "rien"... ^^
d'ailleurs il m'est aussi arrivé de leur parler de la philosophie de l'art chez Malraux, hem...
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