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- ThalieGrand sage
carine a écrit:
PS : Je ne crois pas que les habitudes alimentaires allemandes tiennent au système scolaire.
Je ne crois pas avoir dit cela. Simplement, leur alimentation éparpillée tout au long de la journée a étonné nos élèves.
Moi, par contre commencer tous les jours à 8h c'est ma hantise, quelle horreur ! Je suis un oiseau de nuit ! :sorciere:
- DwarfVénérable
Durant mon auxilariat, j'eus une année durant un emploi du temps sur mesure (l'enseignante que je remplaçais était l'épouse du CdE, ça aide à avoir un emploi du temps de ce genre) : tous les jours 8h-12h/13h (sauf le mercredi, pas cours du tout) : une année de rêve! Et oui, sitôt rentré, boulot (et j'étais assez frais pour en rentrant de cours après une matinée entière, contrairement aux retours en début de soirée actuels) : mais en m'organisant bien, j'avais du temps et travaillais avec une bien plus grande efficacité qu'aujourd'hui (toute usure mise à part) et mon emploi du temps à trous... A l'époque (indépendamment du fait que je n'avais pas à m'occuper d'un enfant), je profitais de toutes mes soirées et de mes WE... Ca a bien changé depuis!
- Pierre_au_carréGuide spirituel
Abraxas a écrit:D'après le ministère lui-même, un prof travaille en moyenne 39h1/2 par semaine.
Le matheux parle :
39 h 1/2 sur l'année scolaire (toute l'année - moins les grandes vacances) ou vraiment sur toute l'année ?
Car il me semble que, globalement, un prof travaille un peu plus de 40 h sur le temps scolaire mais pondéré par les vacances on doit s'approcher des 35 h des autres salariés sur l'année (1 500 h sur l'année environ, je crois).
De toutes façons, dans certains métiers dont le métier de prof, le nombre d'heures travaillées n'est que relatif puisque ce n'est pas un métier "au bureau".
- Reine MargotDemi-dieu
Dans ce cas on va aussi compter les heures en vacances passées à corriger des copies ou préparer des séquences...et là on n'en sort plus.
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Quand tout va mal, quand il n'y a plus aucun espoir, il nous reste Michel Sardou
La famille Bélier
- frimoussette77Guide spirituel
Bon et puis c'est aussi variable en fonction des matières.
- CircéExpert
Si je mets bout à bout, la prépa des cours + les cours en eux-mêmes + la correction des copies, je bosse plus de 40 heures par semaine...et largement.
Et moi qui vient du secteur public (entreprise) où je gagnais 40% de plus pour "un vrai" 35 heures (et avec un bac+2) , je sens nettement la différence.
Cette histoire de revalorisation de 100 euros en début de carrière est un foutage de gueule monumentale. Je suis scandalisée que l'on puisse une seule minute penser que cela puisse être une revalorisation de la profession.
Suis énervée tiens!
Et moi qui vient du secteur public (entreprise) où je gagnais 40% de plus pour "un vrai" 35 heures (et avec un bac+2) , je sens nettement la différence.
Cette histoire de revalorisation de 100 euros en début de carrière est un foutage de gueule monumentale. Je suis scandalisée que l'on puisse une seule minute penser que cela puisse être une revalorisation de la profession.
Suis énervée tiens!
- Pierre_au_carréGuide spirituel
marquisedemerteuil a écrit:Dans ce cas on va aussi compter les heures en vacances passées à corriger des copies ou préparer des séquences...et là on n'en sort plus.
Elle sont comptées, je pense.
Je pensais surtout aux grandes vacances ou à certaines vacances où le "nombre" baisse : une moyenne, comme pour les notes, peut baisser très vite.
- Pierre_au_carréGuide spirituel
Circé a écrit:Si je mets bout à bout, la prépa des cours + les cours en eux-mêmes + la correction des copies, je bosse plus de 40 heures par semaine...et largement.
Et moi qui vient du secteur public (entreprise) où je gagnais 40% de plus pour "un vrai" 35 heures (et avec un bac+2) , je sens nettement la différence.
Cette histoire de revalorisation de 100 euros en début de carrière est un foutage de gueule monumentale. Je suis scandalisée que l'on puisse une seule minute penser que cela puisse être une revalorisation de la profession.
Suis énervée tiens!
Tu commences plus bas, mais tu finiras plus haut, non ?
Il n'y a pas de grosse évolution dans le privé, sauf formation et poste plus élevé ?
- neoSage
Et en fonction du nombre de classes, donc de copies (souvent 6 voire 7 classes en langues, plus de 12 en sciences...)frimoussette77 a écrit:Bon et puis c'est aussi variable en fonction des matières.
- neoSage
Qui ont été bien raccourcies au fil des ans, sans aucune compensation financière, au contraire...Pierre_au_carré a écrit:marquisedemerteuil a écrit:Dans ce cas on va aussi compter les heures en vacances passées à corriger des copies ou préparer des séquences...et là on n'en sort plus.
Elle sont comptées, je pense.
Je pensais surtout aux grandes vacances.
Quand j'étais collégien, les cours reprenaient vers le 9 septembre, et on n'avait pas encore "reconquis le mois de juin"...
- FourseasonsGrand sage
neo a écrit:Et en fonction du nombre de classes, donc de copies (souvent 6 voire 7 classes en langues, plus de 12 en sciences...)frimoussette77 a écrit:Bon et puis c'est aussi variable en fonction des matières.
Dire que l'année dernière lors d'un long remplacement j'avais 2 classes (cette année 6 classes). Cela dit quand vous avez 8 heures de cours (12h prof) avec une même classe les DS reviennent très très vite...
- ChocolatGuide spirituel
lunelaure a écrit:Disons que SI on pouvait travailler vraiment au lycée, et seulement 35 heures... peut-être...
Parce qu'honnêtement, comptez vos heures, vous travaillez combien de temps chaque semaine? Et en période de conseil de classe, d'orientation, etc ?
J'enseigne deux disciplines, mais par contre, là, j'estime que c'est un choix personnel, et en l'occurence, c'est quand même proche, disons que c'est la pédagogie qui diffère. Je ne me verrais pas enseigner l'histoire par exemple !
Et malgré les différences d'exercices, les différences de salaire sont quand même scandaleuses. On a vu récemment un post sur les difficultés financières de nombreux d'entre nous ! C'est quand même grave que ceux qui forment la jeunesse de demain, qui disent aux futurs citoyens "travaillez si vous voulez réussir !" soient eux-mêmes si mal payés !
Avant, l'instit' du village, c'était quelqu'un ! Aujourd'hui, on se moque de nous. Mais il a raison, Kévin, de nous dire "zyva!" ; c'est ce que nous dit notre gouvernement !
Je ne peux que partager ton avis (hélas)... mais qu'est-ce que j'aimerais pouvoir te contredire...
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- HarukiNiveau 3
Circé a écrit:t.
Et moi qui vient du secteur public (entreprise) où je gagnais 40% de plus pour "un vrai" 35 heures (et avec un bac+2) , je sens nettement la différence.
Heu, t'étais où?
- vinvinNiveau 8
Si l'on compare, j'ai l'impression que le système espagnol ressemble énormément au système allemand. Mais il es directement lié à un mode de vie. Ils ont adapté le système scolaire à leur mode de vie et non le contraire. Les espagnols mangent tard (15 ou 16h pour le déjeuner).
J'ai travaillé pendant un an dans un Collège-lycée. La bas aussi, les profs sont présents environ 30 h par semaine (6hx5j). Ils commencent à 8h25 et terminent à 14h30. Il y a deux pauses de 10 minutes ou tout le monde se retrouve à la cafet (prof et élèves) pour un petit grignotage et ou café.
Quant au nombre d'heures de cours, ils font comme nous 18h, ont des heures de trous pendant lesquels ils peuvent travailler, voir des collègues, discuter de tels problèmes... (comme nous) et ensuite on leur demande de faire des heures de garde "fixe" en cas de profs absents, ils doivent prendre la relève (si personne ils sont libres) car pas de surveillants. De même pendant la récréation, ils doivent l'assurer une fois par semaine. Et si j'ai bon souvenir ils gagnent environ comme nous. Maintenant le niveau de vie était un peu inférieur au notre...
J'ai travaillé pendant un an dans un Collège-lycée. La bas aussi, les profs sont présents environ 30 h par semaine (6hx5j). Ils commencent à 8h25 et terminent à 14h30. Il y a deux pauses de 10 minutes ou tout le monde se retrouve à la cafet (prof et élèves) pour un petit grignotage et ou café.
Quant au nombre d'heures de cours, ils font comme nous 18h, ont des heures de trous pendant lesquels ils peuvent travailler, voir des collègues, discuter de tels problèmes... (comme nous) et ensuite on leur demande de faire des heures de garde "fixe" en cas de profs absents, ils doivent prendre la relève (si personne ils sont libres) car pas de surveillants. De même pendant la récréation, ils doivent l'assurer une fois par semaine. Et si j'ai bon souvenir ils gagnent environ comme nous. Maintenant le niveau de vie était un peu inférieur au notre...
- LeclochardEmpereur
neo a écrit:Et en fonction du nombre de classes, donc de copies (souvent 6 voire 7 classes en langues, plus de 12 en sciences...)frimoussette77 a écrit:Bon et puis c'est aussi variable en fonction des matières.
Heureux les profs d'EPS !
- vinvinNiveau 8
TU vas te mettre à dos les collègues d'EPS... (rires)
- LeclochardEmpereur
vinvin a écrit:TU vas te mettre à dos les collègues d'EPS... (rires)
Pourquoi ils ont des copies maintenant ? :lol:
- Reine MargotDemi-dieu
NOn et puis avec tous les machins qu'on nous ajoute (bédeuzi et cie, bientôt le livret de compétences) on va bientôt largement les dépasser les 40 heures.
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La famille Bélier
- henrietteMédiateur
Je voudrais juste préciser que, pour l'avoir vécu de l'intérieur, le système allemand tel que vous semblez en parler n'existe pas.
D'abord car les Länder sont totalement autonomes en matière d'éducation, et donc les disparités sont très grandes entre la Bavière par exemple, et la Sarre.
En plus, vous oubliez deux choses :
- lorsqu'un enseignant décroche son accréditation à enseigner, la galère commence pour lui, car cela ne veut pas dire titularisation : à lui de trouver un poste, d'aller démarcher les CDE, d'accepter les situations précaires avant de décrocher enfin un poste de tituliare - il peut se passer de nombreuses années avant qu'il y parvienne.
- les statuts et la rémunération des profs ont beaucoup changé : dans le bahut où j'ai enseigné 6 ans, il y avait au moins trois types de profs allemands différents : les "vieux de la vieille" très très bien pyés en effet (plus que moi qui étais expat, c'est vous dire...), et d'autres bien moins lotis, qui voyaient leur salaire ponctionné des cotisations retraite (ce qui n'était pas le cas pour les anciens), et en enfin les derniers arrivés qui étiaent vraiment mal payés et en situation précaire, ne sachant où (et si !) ils travailleraient l'année d'après !
Ensuite, la bivalence, parlons-en : souvent, j'ai vu comme 2e matière l'histoire, et avec l'absence de programme par niveau (et oui, c'est ça aussi, le modèle allemand : des capacités, mais pas des savoirs - je caricature à peine), j'avais des collègues l'un "spécialiste" de Napoléon le faisant tous les ans avec toutes ses classe de la 6. à la 12. Klasse (enseignement de toute façon pas pris en compte au bac), un autre du IIIe Reich faire de même.
Enfin, leur charge de travail s'est accrue très lourdement de plusieurs heures : je veux dire par là que leur service dû a été augmenté (de mémoire de 3 préiodes de 45 min là où j'étais), et ce sans aucune augmentation de salaire. Imaginez-vous quelque chose de semblable chez nous ? Le problème, c'est que les fonctionnaires allemands n'ont pas le droit de grève, alors...
Là où j'étais, la loi du Land imposait par trimestre 2 évaluations : résultat de tout cela, l'immense majorité des profs allemands n'en faisaient pas une de plus. Et pour "acheter" la paix avec les parents, les notes descendaient très très rarement en dessous de 8 ou 9 sur 20.
Mais il est vrai que les cours étaient finis au plus tard à 15 heures, et le plus souvent à 13h30...
Est-ce vraiment cela que vous voulez comme modèle ??
D'abord car les Länder sont totalement autonomes en matière d'éducation, et donc les disparités sont très grandes entre la Bavière par exemple, et la Sarre.
En plus, vous oubliez deux choses :
- lorsqu'un enseignant décroche son accréditation à enseigner, la galère commence pour lui, car cela ne veut pas dire titularisation : à lui de trouver un poste, d'aller démarcher les CDE, d'accepter les situations précaires avant de décrocher enfin un poste de tituliare - il peut se passer de nombreuses années avant qu'il y parvienne.
- les statuts et la rémunération des profs ont beaucoup changé : dans le bahut où j'ai enseigné 6 ans, il y avait au moins trois types de profs allemands différents : les "vieux de la vieille" très très bien pyés en effet (plus que moi qui étais expat, c'est vous dire...), et d'autres bien moins lotis, qui voyaient leur salaire ponctionné des cotisations retraite (ce qui n'était pas le cas pour les anciens), et en enfin les derniers arrivés qui étiaent vraiment mal payés et en situation précaire, ne sachant où (et si !) ils travailleraient l'année d'après !
Ensuite, la bivalence, parlons-en : souvent, j'ai vu comme 2e matière l'histoire, et avec l'absence de programme par niveau (et oui, c'est ça aussi, le modèle allemand : des capacités, mais pas des savoirs - je caricature à peine), j'avais des collègues l'un "spécialiste" de Napoléon le faisant tous les ans avec toutes ses classe de la 6. à la 12. Klasse (enseignement de toute façon pas pris en compte au bac), un autre du IIIe Reich faire de même.
Enfin, leur charge de travail s'est accrue très lourdement de plusieurs heures : je veux dire par là que leur service dû a été augmenté (de mémoire de 3 préiodes de 45 min là où j'étais), et ce sans aucune augmentation de salaire. Imaginez-vous quelque chose de semblable chez nous ? Le problème, c'est que les fonctionnaires allemands n'ont pas le droit de grève, alors...
Là où j'étais, la loi du Land imposait par trimestre 2 évaluations : résultat de tout cela, l'immense majorité des profs allemands n'en faisaient pas une de plus. Et pour "acheter" la paix avec les parents, les notes descendaient très très rarement en dessous de 8 ou 9 sur 20.
Mais il est vrai que les cours étaient finis au plus tard à 15 heures, et le plus souvent à 13h30...
Est-ce vraiment cela que vous voulez comme modèle ??
- DaphnéDemi-dieu
Heuuuuuuuu, je suis étonnée de voir que les anciens ne payent pas de retraite
Tu es sûre, ça me semble ahurissant.
Tu es sûre, ça me semble ahurissant.
- henrietteMédiateur
Je suis formelle : l'Etat - en l'occurrence le Land - paye à leur place. D'où les rémunérations très élevées.
- neoSage
Merci Henriette de nous faire part de cette expérience intéressante, qui nous montre ce qu'il ya de bon et, désormais, de moins bon dans le système allemand.
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Human... https://www.youtube.com/watch?v=RIZdjT1472Y
- Reine MargotDemi-dieu
En effet c'est très éclairant, merci!!
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Quand tout va mal, quand il n'y a plus aucun espoir, il nous reste Michel Sardou
La famille Bélier
- JohnMédiateur
Je voudrais juste préciser que, pour l'avoir vécu de l'intérieur, le système allemand tel que vous semblez en parler n'existe pas.
D'abord car les Länder sont totalement autonomes en matière d'éducation, et donc les disparités sont très grandes entre la Bavière par exemple, et la Sarre.
En plus, vous oubliez deux choses :
- lorsqu'un enseignant décroche son accréditation à enseigner, la galère commence pour lui, car cela ne veut pas dire titularisation : à lui de trouver un poste, d'aller démarcher les CDE, d'accepter les situations précaires avant de décrocher enfin un poste de tituliare - il peut se passer de nombreuses années avant qu'il y parvienne.
- les statuts et la rémunération des profs ont beaucoup changé : dans le bahut où j'ai enseigné 6 ans, il y avait au moins trois types de profs allemands différents : les "vieux de la vieille" très très bien payés en effet (plus que moi qui étais expat, c'est vous dire...), et d'autres bien moins lotis, qui voyaient leur salaire ponctionné des cotisations retraite (ce qui n'était pas le cas pour les anciens), et enfin les derniers arrivés qui étiaent vraiment mal payés et en situation précaire, ne sachant où (et si !) ils travailleraient l'année d'après !
Ensuite, la bivalence, parlons-en : souvent, j'ai vu comme 2e matière l'histoire, et avec l'absence de programme par niveau (et oui, c'est ça aussi, le modèle allemand : des capacités, mais pas des savoirs - je caricature à peine), j'avais des collègues l'un "spécialiste" de Napoléon le faisant tous les ans avec toutes ses classe de la 6. à la 12. Klasse (enseignement de toute façon pas pris en compte au bac), un autre du IIIe Reich faire de même.
Enfin, leur charge de travail s'est accrue très lourdement de plusieurs heures : je veux dire par là que leur service dû a été augmenté (de mémoire de 3 préiodes de 45 min là où j'étais), et ce sans aucune augmentation de salaire. Imaginez-vous quelque chose de semblable chez nous ? Le problème, c'est que les fonctionnaires allemands n'ont pas le droit de grève, alors...
Là où j'étais, la loi du Land imposait par trimestre 2 évaluations : résultat de tout cela, l'immense majorité des profs allemands n'en faisaient pas une de plus. Et pour "acheter" la paix avec les parents, les notes descendaient très très rarement en dessous de 8 ou 9 sur 20.
Mais il est vrai que les cours étaient finis au plus tard à 15 heures, et le plus souvent à 13h30...
Est-ce vraiment cela que vous voulez comme modèle ??
Je dois ajouter qu'en géographie, en 2001, le lycée où je suis allé utilisait encore des manuels avec marqué "Die heutige Lage der Landwirtschaft in der UdSSR", ce qui signifie "La situation actuelle de l'agricultue en URSS".
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"La nostalgie, c'est plus ce que c'était" (Simone Signoret)
- sandGuide spirituel
Merci Henriette, ce que tu décris est en effet nettement moins séduisant que je le croyais.
- DwarfVénérable
Merci de remettre les pendules à l'heure, Henriette!
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- enseignant: cadre sup, moyen, profession intermédiaire?
- Evaluations au primaire : Profession de foi du nouvel enseignant
- Qu'est-ce qui vous inquiète dans la profession d'enseignant ? - un questionnaire
- tutorat d'un enseignant agrégé dans le 2nd degré par un autre enseignant agrégé
- le français : matière sinistrée ?
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