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- scot69Modérateur
Je viens de rencontrer le mot "censeur", c'est l'équivalent du CPE?
De même, à quoi correspondrait aujourd'hui le "directeur des études"? Au principal adjoint?
Vous voyez d'autres métiers disparus de l'éducation nationale? (sachant que certains existent toujours dans le privé)
De même, à quoi correspondrait aujourd'hui le "directeur des études"? Au principal adjoint?
Vous voyez d'autres métiers disparus de l'éducation nationale? (sachant que certains existent toujours dans le privé)
- TrucOuBiduleHabitué du forum
Étrangement, quand j'étais lycéenne (ton profil me dit que j'ai le même âge que toi), il y avait pour nous la proviseure, plusieurs CPE et il y avait un homme qu'on appelait censeur. Je pense qu'il était plutôt proviseur-adjoint (c'était une cite scolaire, il y avait donc un collège aussi)scot69 a écrit:Je viens de rencontrer le mot "censeur", c'est l'équivalent du CPE?
De même, à quoi correspondrait aujourd'hui le "directeur des études"? Au principal adjoint?
Vous voyez d'autres métiers disparus de l'éducation nationale? (sachant que certains existent toujours dans le privé)
EDIT : dans le public
- mathmaxExpert spécialisé
De mon temps il y avait un surveillant général, je crois que c’est cela l’ancêtre du CPE.
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« Les machines un jour pourront résoudre tous les problèmes, mais jamais aucune d'entre elles ne pourra en poser un ! »
Albert Einstein
- epekeina.tes.ousiasModérateur
Il me semble que le censeur était, dans les lycées (=lycée + collège + “petites classes”), un adjoint au proviseur chargé à la fois d'assurer l'organisation des études et la discipline en général. Directeur des études, je ne sais pas — je ne suis pas sûr que cela ait existé à proprement parler. Je crois que, dans un autre système que le système public du XIX-XXè siècle, c'était l'équivalent du censeur.
Sinon, vers 1850, est aussi apparu le surveillant général (le surgé) chargé de la discipline quotidienne, de la surveillance de la cour, des couloirs, des entrées, sorties, absences, etc. — et des sanctions et punitions au jour le jour. Ils étaient recrutés parmi les “maîtres d'études”, les ME (alias les pions), ou simple surveillants. Leur suppression date, je crois, de 1970 : les Conseillers Principaux d'Éducation, CPE, les ont remplacés (j'ai connu, au lycée, un ex Surgé devenu CPE (il avait été maître aux aussi dans sa jeunesse, mais n'était pas passé Adjoint d'enseignement, AE).
Sinon, vers 1850, est aussi apparu le surveillant général (le surgé) chargé de la discipline quotidienne, de la surveillance de la cour, des couloirs, des entrées, sorties, absences, etc. — et des sanctions et punitions au jour le jour. Ils étaient recrutés parmi les “maîtres d'études”, les ME (alias les pions), ou simple surveillants. Leur suppression date, je crois, de 1970 : les Conseillers Principaux d'Éducation, CPE, les ont remplacés (j'ai connu, au lycée, un ex Surgé devenu CPE (il avait été maître aux aussi dans sa jeunesse, mais n'était pas passé Adjoint d'enseignement, AE).
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Si tu vales valeo.
- Vieux_MongolFidèle du forum
Pour moi le censeur c'est l'ancêtre du proviseur-adjoint.
Sinon quand j'étais pion agricole, j'étais maître d'internat.
Sinon quand j'étais pion agricole, j'étais maître d'internat.
- sookieGrand sage
Il me semble qu’au collège que j’ai quitté en 1981, (collège seul, pas en cité scolaire) on disait encore censeur pour le principal-adjoint.
Et qu’on est passé du surgé au CPE, quand j’étais au collège.
Et qu’on est passé du surgé au CPE, quand j’étais au collège.
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On est belle et on ne se tait pas, on n'est jamais trop vieille pour quoique ce soit
- colombaneFidèle du forum
Dans mon domaine, l'économe s'est transformé en intendant, puis en gestionnaire, lequel est devenu adjoint-gestionnaire. Evolution actuelle en secrétaire général. C'est le même métier.
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N'allez pas là où le chemin peut mener. Allez là où il n'y a pas de chemin et laissez une trace (R. W. Emerson)
- TrucOuBiduleHabitué du forum
Comme dans l'EN, il y avait les MI-SE. Les maîtres d'internat et surveillants d'externat (j'étais SE de 2002 à 2005). Les AED ont eux déboulé en 2004 je crois (nos deux statuts cohabitaient).Vieux_Mongol a écrit:Pour moi le censeur c'est l'ancêtre du proviseur-adjoint.
Sinon quand j'étais pion agricole, j'étais maître d'internat.
Mais censeur, ce serait donc bien un proviseur-adjoint ou un principal-adjoint.
colombane a écrit:Dans mon domaine, l'économe s'est transformé en intendant, puis en gestionnaire, lequel est devenu adjoint-gestionnaire. Evolution actuelle en secrétaire général. C'est le même métier.
En effet, depuis peu apparemment, j'ai appris cela en CA (ainsi que la "loi 3ds" par la même occasion). Cela ne me semble pas anodin (avec un transfert futur FPE vers FPT peut-être non ?)
EDIT : balises "délirantes" ;-)
- OudemiaBon génie
Lycéenne dans les années 60, je confirme, avec une nuance pour les lycées de filles, où le chef d'établissement était appelée directrice, mais avec une Mme le censeur.epekeina.tes.ousias a écrit:Il me semble que le censeur était, dans les lycées (=lycée + collège + “petites classes”), un adjoint au proviseur chargé à la fois d'assurer l'organisation des études et la discipline en général. Directeur des études, je ne sais pas — je ne suis pas sûr que cela ait existé à proprement parler. Je crois que, dans un autre système que le système public du XIX-XXè siècle, c'était l'équivalent du censeur.
Sinon, vers 1850, est aussi apparu le surveillant général (le surgé) chargé de la discipline quotidienne, de la surveillance de la cour, des couloirs, des entrées, sorties, absences, etc. — et des sanctions et punitions au jour le jour. Ils étaient recrutés parmi les “maîtres d'études”, les ME (alias les pions), ou simple surveillants. Leur suppression date, je crois, de 1970 : les Conseillers Principaux d'Éducation, CPE, les ont remplacés (j'ai connu, au lycée, un ex Surgé devenu CPE (il avait été maître aux aussi dans sa jeunesse, mais n'était pas passé Adjoint d'enseignement, AE).
J'ai un doute pour "principal", il me semble qu'à l'époque c'était un terme utilisé seulement dans l'enseignement privé.
Edit : "petites classes", c'est à dire avant la 6e, je crois qu'elles ont toutes disparu après la guerre ; je connais deux messieurs nonagénaires qui se sont connus en 11e au lycée Buffon (avec des institutrices), et le père d'une amie se vantait d'avoir été élève à Jules Ferry, lycée de filles.
Soit tu te trompes, soit c'était un abus de langage, à moins que, comme pour mon ancien lycée parisien, l'établissement étant devenu un collège, le censeur y aurait gardé le titre correspondant à sa fonction.sookie a écrit:Il me semble qu’au collège que j’ai quitté en 1981, (collège seul, pas en cité scolaire) on disait encore censeur pour le principal-adjoint.
Et qu’on est passé du surgé au CPE, quand j’étais au collège.
- Hervé HervéFidèle du forum
La page wikipédia sur le sujet (incomplète malheureusement):
fr.m.wikipedia.org/wiki/Corps_des_personnels_de_direction_de_l%27Éducation_nationale
fr.m.wikipedia.org/wiki/Corps_des_personnels_de_direction_de_l%27Éducation_nationale
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« Et je demande aux économistes politiques, aux moralistes, s’ils ont déjà calculé le nombre d’individus qu’il est nécessaire de condamner à la misère, à un travail disproportionné, au découragement, à l’infantilisation, à une ignorance crapuleuse, à une détresse invincible, à la pénurie absolue, pour produire un riche ? » (Almeida Garrett cité parJosé Saramago).
- HocamSage
Dans la famille des titres aujourd'hui désuets, il y avait jadis des professeurs, qui étaient plus ou moins l'équivalent des animateurs d'aujourd'hui.
Oui, bon, il fallait bien que quelqu'un la fasse.
Oui, bon, il fallait bien que quelqu'un la fasse.
- LaotziSage
Le "censeur des études" (c'était le titre complet) a disparu, dans les lycées, en 1988, remplacé par le proviseur adjoint. Au collège, on parlait déjà en 1981 du "principal adjoint" et en 1976 de "sous-directeur" : le terme de censeur n'y a donc pas existé (dans le collège au sens actuel, c'est à dire issu de la loi Haby).
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"Trouvez donc bon qu'au lieu de vous dire aussi, adieu comme autrefois, je vous dise, adieu comme à présent."
- epekeina.tes.ousiasModérateur
Ce qui est logique, si l'on se souvient que les Lycées comprenaient les 7 années d'étude menant au bac (et les “petites classes” antécédentes — les lycées de jeunes filles, au départ, ne comprenaient pas la 7è année menant au bac, puis l'on intégrée) : les collèges y ont été définis “en interne”, alors que les CET et les CEG résultent de l'histoire complexes des différentes “EPS”, écoles primaires supérieures, et des écoles dites “techniques” — trois entités que la loi Haby a “fusionnées” en une seule.
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Si tu vales valeo.
- TrucOuBiduleHabitué du forum
Ah oui, mais "animateur" sans le BAFA !Hocam a écrit:Dans la famille des titres aujourd'hui désuets, il y avait jadis des professeurs, qui étaient plus ou moins l'équivalent des animateurs d'aujourd'hui.
Oui, bon, il fallait bien que quelqu'un la fasse.
On était pas si à la ramasse dans mon lycée de province.Laotzi a écrit:Le "censeur des études" (c'était le titre complet) a disparu, dans les lycées, en 1988, remplacé par le proviseur adjoint. Au collège, on parlait déjà en 1981 du "principal adjoint" et en 1976 de "sous-directeur" : le terme de censeur n'y a donc pas existé (dans le collège au sens actuel, c'est à dire issu de la loi Haby).
- Spoiler:
- on entendait encore ce terme pour le pro-adjoint de 1995 à 1998 pour ma part.
J'ai un grand souvenir de son "refus catégorique" comme si je délirais, qd j'ai demandé si je pouvais continuer le grec "gd débutant" ET le latin lors de mon inscription en 1ère S. Le mot censeur m'avait sans doute semblé à ce moment-là très sensé.
EDIT -
Merci pour ces précisions, je trouve ça très intéressant.epekeina.tes.ousias a écrit:Ce qui est logique, si l'on se souvient que les Lycées comprenaient les 7 années d'étude menant au bac (et les “petites classes” antécédentes — les lycées de jeunes filles, au départ, ne comprenaient pas la 7è année menant au bac, puis l'on intégrée) : les collèges y ont été définis “en interne”, alors que les CET et les CEG résultent de l'histoire complexes des différentes “EPS”, écoles primaires supérieures, et des écoles dites “techniques” — trois entités que la loi Haby a “fusionnées” en une seule.
- Spoiler:
- C'était donc un lycée dans le sens que tu indiques ce que j'ai fréquenté (cité scolaire : collège et lycée (puis CPGE et BTS aussi). En tout de 1991 à 1999.
- scot69Modérateur
colombane a écrit:Dans mon domaine, l'économe s'est transformé en intendant, puis en gestionnaire, lequel est devenu adjoint-gestionnaire. Evolution actuelle en secrétaire général. C'est le même métier.
Oui, j'ai connu un collège où il y avait la vieille pancarte "économat" sur la porte de l'administration.
- trompettemarineMonarque
Quand j'étais élève dans l'un des collèges où j ai étudié. Il y avait un "censeur". On était pétrifié dès qu'il nous apostrophait. Pour les élèves, il représentait l autorité.
- HonchampDoyen
J'ai une copine qui était dans le privé, Années 70. Elle parlait du" préfet". Le préfet des études.
Sinon, oui, le surgé, la surge...
Le pion, la pionne...
Dans les CET, devenus LEP, puis LP, et dans LTE, devenus LEGT , les chefs des travaux . Je ne sais pas si cela se dit encore.
Sinon, oui, le surgé, la surge...
Le pion, la pionne...
Dans les CET, devenus LEP, puis LP, et dans LTE, devenus LEGT , les chefs des travaux . Je ne sais pas si cela se dit encore.
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"Tu verras bien qu'il n'y aura pas que moi, assise par terre comme ça.."
- epekeina.tes.ousiasModérateur
Il a existé encore des Lycées-Collèges (mais avec double direction) dans les années 80. Mais c'est aussi l'époque où les Lycées ont vu leurs effectifs exploser, d'où des réallocations de bâtiments entre deux constructions. Rien qu'ntre le moment où j'étais encore lycéen (on était 30 dans ma terminale) et celui où je suis devenu prof, ça avait “un peu” changé. Mes deux classes quand j'étais stagiaire : une TD de 43 élèves et une TD de 45 élèves (les 43 comprenaient les sport-étude rugby du bahut : pour les faire entrer dans une salle prévue au maximum pour 35, c'était tout un protocole).
C'est vers cette même époque que les Bacs techno et les Bacs géné ont été priés de se trouver dans les mêmes bâtiments. En revanche, les ex-CET ont subsisté sous forme de lycées dits “techniques” (on y trouvait les CAP, BEP et les séries techno), et ils ont été absorbés ensuite par les série “pro” (créées fin 85), puisqu'ils disposaient d'ateliers et de matériel : on y trouvait encore, au début des années 80, les descendants des derniers “maîtres d'ateliers” (d'anciens instits qui s'étaient spécialisés dans les classes post-CM2 d'avant le décret Berthoin de 59, qui étaient des classes dites “techniques”, et qui avaient suivi le mouvement lors de la création des collèges techniques, pour devenir quasi “chefs de travaux”, un peu comme certains instits devenus PEGC avaient ensuite rejoint les CES juste après leur création vers 63-64).
C'est vers cette même époque que les Bacs techno et les Bacs géné ont été priés de se trouver dans les mêmes bâtiments. En revanche, les ex-CET ont subsisté sous forme de lycées dits “techniques” (on y trouvait les CAP, BEP et les séries techno), et ils ont été absorbés ensuite par les série “pro” (créées fin 85), puisqu'ils disposaient d'ateliers et de matériel : on y trouvait encore, au début des années 80, les descendants des derniers “maîtres d'ateliers” (d'anciens instits qui s'étaient spécialisés dans les classes post-CM2 d'avant le décret Berthoin de 59, qui étaient des classes dites “techniques”, et qui avaient suivi le mouvement lors de la création des collèges techniques, pour devenir quasi “chefs de travaux”, un peu comme certains instits devenus PEGC avaient ensuite rejoint les CES juste après leur création vers 63-64).
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Si tu vales valeo.
- sookieGrand sage
Honchamp a écrit:J'ai une copine qui était dans le privé, Années 70. Elle parlait du" préfet". Le préfet des études.
Sinon, oui, le surgé, la surge...
Le pion, la pionne...
Dans les CET, devenus LEP, puis LP, et dans LTE, devenus LEGT , les chefs des travaux . Je ne sais pas si cela se dit encore.
J’ai commencé en 1991 dans le privé et il y avait encore des préfets.
Et j’étais maître auxiliaire et pas contractuelle, je ne sais pas ce que cela change.
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On est belle et on ne se tait pas, on n'est jamais trop vieille pour quoique ce soit
- bchasaNiveau 9
Quand j'étais au lycée de 1982 à 1985 il y avait un proviseur, un censeur et une responsable des surveillants qui assurait parfois l'internat en cas d'absence.
- HonchampDoyen
Il y avait aussi, puisque tu parles des maitr'aux, ceux qui avaient été titularisés dans le corps des AE, adjoints d'enseignement. Intégrés ensuite dans le corps des certifiés.
J'avais pas mal de copines à la fac qui étaient devenues maitr'aux aux 4 coins de l'académie. Rappelons que sous Giscard, on recrutait peu. 80 postes au Capes d'histoire en 1979 ou 80.
Mitterrand élargit à environ 300 en 1981 et 1982. Après, je ne sais pas comment cela progresse, mais on a recruté jusque 1600 certifiés en histoire (J'ai eu un stagiaire qui était vers 1580ème. Je me demande même si ça n'a pas monté jusque 1900.
En EPS, j'ai un copain, âgé aujourd'hui, qui était CE, chargé d'enseignement. Il enseignait en lycée et en collège, cela semblait l'équivalent de certifié ? Mais il n'avait pas fait le CREPS, cela n'existait pas quand il a débuté, je pense. Il y avait ici quelques CE comme lui en EPS.
J'avais pas mal de copines à la fac qui étaient devenues maitr'aux aux 4 coins de l'académie. Rappelons que sous Giscard, on recrutait peu. 80 postes au Capes d'histoire en 1979 ou 80.
Mitterrand élargit à environ 300 en 1981 et 1982. Après, je ne sais pas comment cela progresse, mais on a recruté jusque 1600 certifiés en histoire (J'ai eu un stagiaire qui était vers 1580ème. Je me demande même si ça n'a pas monté jusque 1900.
En EPS, j'ai un copain, âgé aujourd'hui, qui était CE, chargé d'enseignement. Il enseignait en lycée et en collège, cela semblait l'équivalent de certifié ? Mais il n'avait pas fait le CREPS, cela n'existait pas quand il a débuté, je pense. Il y avait ici quelques CE comme lui en EPS.
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"Tu verras bien qu'il n'y aura pas que moi, assise par terre comme ça.."
- epekeina.tes.ousiasModérateur
Depuis septembre 2023, les anciens “Maîtres Auxiliaires” soit en CDD soit en CD1 (qui avaient une grille indiciaire, mais pas de PPCR) ont été intégrés au nouveau statut de “Maîtres Délégués” (MD, qui comprend une catégorie 1 et une catégorie 2).
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Si tu vales valeo.
- HonchampDoyen
J'ai connu (il enseigne encore ) un MAGE, maître auxiliaire à garantie d'emploi.
Je ne le vois pas assez souvent pour savoir d'il est devenu Maître Délégué.
Je ne le vois pas assez souvent pour savoir d'il est devenu Maître Délégué.
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"Tu verras bien qu'il n'y aura pas que moi, assise par terre comme ça.."
- PrezboGrand Maître
Honchamp a écrit:J'ai connu (il enseigne encore ) un MAGE, maître auxiliaire à garantie d'emploi.
Il était en poste à Poudlard ?
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- 13 novembre 2014 : la ministre de l'Education nationale annonce officiellement les conclusions des groupes de travail sur la redéfinition des métiers de l'Education.
- Jeudi 12 décembre 2013 : premières décisions sur l'évolution des métiers de l'Education nationale
- ateliers metiers bts Am
- Texte sur métiers...
- Lycée des métiers
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